11/05/2017
16:09:42
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Un dîner au ministère, Teyla-Fujiwa

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Cathédrale

Une voiture vient chercher l'ambassadeur du Fujiwa, Juro Sakari. L'ambassadeur pouvait voir dès son arrivée sur le sol de la capitale, Manticore, une ville en pleine reconstruction. Effectivement, les derniers rapports économiques du pays sont très bons pour le pays prévoyant une croissance de l'ordre de quinze pour cent sur l'année. L'ambassade du Fujiwa est dans un quartier où il y a de nombreux parcs à ciel ouvert. Mais cela n'empêche pas le quartier d'être lui aussi touché par les chantiers. Le nombre d'immeubles à rénover est important dans la capitale. La stagnation économique du pays sur les dernières années fut un coup terrible pour le pays. La population a vu la dette du pays et les coupes budgétaires augmenter. Réduisant à néant nombreux projets. C'est tout naturellement que la croissance actuelle est très bien accueillit par les teylais. En plus de cela, l'ambassadeur a pu apercevoir de nombreuses affiches qui servent de pub pour le programme spatial naissant du pays. On en trouve à chaque arrêts de bus, de tram. La plus impressionnante des pubs est celle accrochée sur une tour, la pub fait toute la longueur de la tour haute de vingt étages. Donnant une impression des plus impressionnantes. La fusée semble décoller du sol, mais bien sûr, c'est un tour que joue le cerveau de celui qui regarde la pub.

Une fois arrivé au ministère des affaires étrangères, Juro Sakari pouvait voir un bâtiment moderne. Une architecture sobre, mais à la fois complexe. L'intérieur vêtu de blanc et de noir avec des touches de bois. Mais le plus impressionnant fut les nombreux végétaux à l'intérieur. Personne ne pouvait s'y tromper, ce bâtiment venait de naître. Avec un peu de concentration, l'ambassadeur pouvait se rappeler que le bâtiment venait d'être inauguré il y a deux semaines. Une fois à l'intérieur, deux gardes escortent l'homme. Les deux gardes devant l'ambassadeur, marchant au pas militaire, sabre de cérémonie à la ceinture. L'uniforme est recouvert d'un bleu sombre. Avec les rayures blanches au manche, donnant un indice sur le grade des hommes escortant l'ambassadeur.

Arrivé devant la salle, un majordome ouvre les portes, les gardes s'arrêtent sur les côtés, se tournent. Dégaine les sabres tout en les mettant devant leurs visages. Dans un hurlement qui pouvait surprendre n'importe quel être humain l'un des gardes déclare :

A l'honorable ministre des affaires étrangères Jean-Louis Gaudion, je souhaite présenter au nom de ma Reine, l'honorable ambassadeur de l'Etat du Fujiwa, Juro Sakari.

Les gardes repartent aussitôt, les portes se referment derrière l'ambassadeur. Une voix venant du fond de la pièce s'exclame :

Jean-Louis Gaudion a écrit :Monsieur l'ambassadeur c'est un véritable honneur de vous recevoir dans ce lieu. J'espère que vous avez fait bon voyage. J'ai été soulagé d'apprendre que votre installation au sein du Royaume c'est bien passé, dit le ministre tout en se rapprochant.
La pièce est sans aucun doute la pièce où se passera le dîner au vu des assiettes et autres ustensiles posés sur la table. La pièce pouvait être charmante pour ceux qui aimaient le modernisme. Pour ceux n'aimant pas, c'était une pièce des plus froide.

Vétégaux
Image d'illustration de la décoration d'intérieur
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Juro Sakari prit un moment pour absorber l'ambiance qui émanait de la pièce, la fraîcheur moderne du décor contraste fortement avec les traditions et l'architecture de son pays natal, le Fujiwa. Il afficha un sourire chaleureux, tenant sa posture droite et digne en regardant l'honorable ministre des affaires étrangères, Jean-Louis Gaudion.

Juro SAKARI: « Merci pour votre accueil, Monsieur le Ministre. Le voyage était, en effet, sans encombre. Quant à mon installation, elle a été grandement facilitée par votre personnel compétent. Je suis impressionné par le dynamisme et le renouveau qui anime Manticore. Votre peuple a montré une grande résilience face aux défis passés et je suis honoré d'être ici en ce moment de renaissance. »

Il jeta un regard appréciateur sur la salle, notant la juxtaposition de l'architecture moderne avec des touches naturelles. Ses yeux se sont finalement posés sur le ministre, son expression sérieuse et concentrée témoignant de son engagement à fortifier les liens entre le Fujiwa et ce royaume en pleine reconstruction. « J'ai hâte de travailler avec vous, Monsieur Gaudion, pour tisser des relations solides et bénéfiques entre nos nations. Ensemble, je suis sûr que nous pouvons réaliser de grandes choses. Notre discussion fera l'objet d'un rapport que je rédigerai pour le ministère des Affaires Étrangères du Fujiwa. Cependant, j'ai en ma possession des directives en provenance de là-bas, qui nous permettront de discuter des sujets auxquels le Cabinet de mon pays tient particulièrement à cœur. »
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Une fois enfoncé dans la pièce, l'ambassadeur a eu tout le temps de remarquer plusieurs choses.

La plus surprenante de tous est la magnifique peinture dédiée à la culture et l'histoire du Fujiwa. Une peinture d'une taille assez grande, elle est accrochée sur un mur avec deux gardes à chaque extrémité. Il semblerait que le Royaume voulût signifier, à travers ce geste ridicule, sa volonté de protéger l'état de Fujiwa du moins durant cette rencontre. Quand tu auras remarqué la peinture, l'actuel ministre des affaires étrangères déclara :

Jean-Louis Guadion a écrit :Elle est à vous bien entendu. Voyez cela comme un cadeau entre nations entamant une relation bilatérale axée sur la coopération.
La deuxième chose la plus visible fut le portrait de la Sa Majesté Catherine III accroché au mur du côté droit de la pièce. De plus, on pouvait voir en dessous un texte explicatif sur la vie de Catherine III l'actuelle reine du Royaume.

La troisième chose, c'est le contraste. On remarque assez rapidement que tout est contraste dans cette pièce. Le tableau dédié au Fujiwa avec un cadre d'or accroché sobrement sur un mur blanc. Entouré des soldats royaux ayant sur eux une tenue de cérémonie des plus extravagantes. Mais la position des soldats est simpliste. Ils regardent droit devant, les bras le long du corps. N'ayant rien dans leurs mains. Seulement un sabre accroché à la ceinture de leurs tenues. Une posture pouvant être qualifié de ridicule. Le portrait de la Reine entouré de verdure contraste avec les couleurs utilisées par le peintre. On pouvait voir sur le portrait des couleurs de noir, blanc, rouge et bleu. Mais du bleu foncé. Pas plus pas moins. Même la table est remplie d'un contraste certain, avec les ustensiles et assiettes dessus. Des assiettes ornées de décoration posées simplement sur une table vêtu d'un rouge vif. Tout cela dans une pièce a l'architecture moderne avec des touches naturelle.

Le ministre te répondra calmement tout en te tendant la main :

Jean-Louis Gaudion a écrit :L'honneur est partagé Monsieur l'ambassadeur. Ma nation est fière de vous recevoir ici dès les premiers jours de votre arrivée.

En espérant que le rapport sera riche de détail. Je suis un homme qui aime les détails dit-il avec le sourire. Puis il reprit : le repas va être servi dans trois minutes, je vous prie de nous installer et de commencer la discussion que sera enrichissante, je le sais déjà.
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Au fur et à mesure que l'ambassadeur fujiwan s'enfonçait dans la pièce, il pouvait apprécier le décor qui s'étalait devant ses yeux. Peu impressionné par toute cette organisation, cela ne lui déplaisait pas pour autant. Au contraire, il avait quelques souvenirs remontant à l'une de ses visites au Palais Impérial du Fujiwa où la famille impériale avait pour coutume d'accueillir les équipes d'ambassadeurs avant leur départ. Au fond de lui, il pensait que le portrait de Catherine III aurait été mieux remplacé par un portrait de l'Empereur Oden, mais il n'était pas chez lui, pourquoi donc entretenir une pensée si irrespectueuse ?

Impressionné mais déterminé, l'ambassadeur prit une grande respiration, prêt à prendre la parole dans ce décor grandiose et contradictoire. Les enjeux de la rencontre étaient de taille, et il était résolu à représenter son pays dignement, quel que soit le cadre imposant et paradoxal dans lequel cela se déroulait. Il tendit donc la main vers son hôte, le ministre Guadion, tout en s'inclinant légèrement comme le veut la coutume fujiwane. Tout en s'asseyant accompagné du ministre, il prît la parole:

Joru SAKARI: « Merci pour votre accueil, comme vous le savez sans doute, je suis saisi d'un sentiment d'ébahissement. Je ne suis pas encore familier avec tous vos protocoles, mais celui-ci semble avoir été mis en place avec de certains moyens. Je me suis hâté pour ce qui semblait n'être qu'un simple repas formel, mais n'y voyez pas une volonté de minimiser l'importance de notre discussion. Maintenant, permettez-moi de vous demander: avez-vous des attentes spécifiques envers le Fujiwa que vous aimeriez aborder en premier lieu? Je préfère commencer nos discussions avec une claire compréhension des intentions de mon interlocuteur. Cela étant dit, si vous préférez que je prenne l'initiative, je suis tout à fait disposé à le faire. Dîtes-moi qui commence :) »
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Jean-Louis Gaudion a écrit :C'est avec honneur que mon royaume vous offre un tel protocole. Je n'ai pas reçu énormément d'ambassadeur ici. Pour tout vos avouez vous êtes le premier Monsieur l'ambassadeur. Ce qui me ravit au plus profond de moi soyez en sûr.

Concernant le protocole, je m'excuse de ne pas vous avoir prévenu. Il faut dire que mon ministère est surchargé de travail. C'est la chance d'être une nation qui s'ouvre au monde. Nous avons dû recruter deux nouvelles équipes entières pour tenir le rythme. Je divague.

Concernant les attentes de mon pays envers l'état de Fujiwa. Écoutez nous savons respectueux de la souveraineté des nations, de la démocratie. Vous recherchez à attirer les nations vers le multilatéralisme. Nous nous ressemblons sur certains points de ce que je remarque. À vrai dire oui nous en avons une. Mais cela pourra attendre, il me semble. Ce n'est pas urgent. Nous souhaitons développer des liens culturels avec votre nation. C'est tout naturellement que nous avons étudié le projet : Celestial Harmony Arena sur l'Îlot Mélodia. Ma nation aimerait à terme évoquer la représentation d'artiste Teylais au Celestial Harmanony. Nous savons que les études du projet estiment le temps de construction à cinq années. Ce qui nous laisse tout le temps de développer notre relation bilatérale.

Qu'attend votre nation de la mienne Monsieur l'ambassadeur ? Je pense que vos attentes sont nombreuses ou du moins cela donnera une conversion des plus intéressantes.
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Juro SAKARI: « Monsieur le ministre, ne vous excusez pas pour le protocole, au contraire, cela témoigne de la vitalité et du dynamisme de votre pays. L'ouverture sur le monde est une étape importante et je suis ravi de voir que le Royaume de Teyla s'engage activement dans cette voie. Il est tout à fait compréhensible que cela nécessite une charge de travail supplémentaire et l'adaptation de vos équipes. En ce qui concerne vos attentes, je suis ravi d'entendre que vous partagez notre respect pour la souveraineté des nations et la démocratie, et que vous appréciez notre engagement pour le multilatéralisme. Votre intérêt pour le développement des liens culturels avec le Fujiwa est très bien accueilli. L'art et la culture sont des ponts entre les peuples qui transcendent les frontières. Le projet du Celestial Harmony Arena est justement destiné à favoriser ces échanges et ces rencontres. Nous avons déjà eu plusieurs sollicitations et elles ont toutes été acceptées. L'organisme derrière le CHA se chargera d'accepter vos propositions d'artistes et de représentations. »

L'ambassadeur se permet de boire une gorgée d'eau plate, histoire de se réhydrater, avant de poursuivre...

« En ce qui concerne nos attentes envers le Teyla, elles sont en effet nombreuses et significatives. À l'exception du Milouxitania, nous n'avons pas encore établi de représentations ni de projets concrets en Eurysie. C'est pourquoi, compte tenu de votre potentiel naissant et de vos aspirations prometteuses, nous envisageons de faire du Teyla le partenaire privilégié du Fujiwa dans cette région. L'idée derrière cette ambition n'est pas seulement d'étendre notre influence, mais de contribuer activement à votre développement. En investissant dans vos projets, en partageant notre expertise et en vous apportant notre soutien, nous espérons renforcer notre coopération et créer une dynamique d'échanges mutuellement bénéfiques. Ainsi, notre objectif principal est de construire une relation qui sera profitable pour les deux parties, où les réussites de l'une bénéficieront directement à l'autre. Nous sommes convaincus que le Teyla a le potentiel pour devenir un acteur majeur sur la scène eurysienne et nous souhaitons contribuer à réaliser ce potentiel. »
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Le ministre fait un signe de la tête en guise de remerciement concernant les premiers mots de l'ambassadeur. Durant la prise de parole de l'ambassadeur, le dîner fut servi. Les plats servit sont les suivants :
- Macaroni au foie gras et jus de viande
- Saint-Pierre braisé aux câpres
- Riz pilaf
- Poires rôties et pain d'épices

Les deux boissons servies sont un vin datant de quinze années pouvant être considéré comme un grand crû par les palais connaisseur. L'autre boisson étant de l'eau plate. Le ministre des affaires étrangères après avoir fini de mâcher tout en ayant dit bon appétit, il dit :

Jean-Louis Gaudion a écrit :Vous avez des attentes très élevées de ce que j'entends. C'est un honneur que ma nation fut choisi pour dans un premier temps entamer des discussions sur un tel projet et peut-être à l'avenir mener un tel programme.

Vous le savez sans doute, mais ma nation et le gouvernement entament depuis sa prise de fonction, soit quatre mois une politique qui consiste à transformer l'économie de notre nation. Dans un premier temps, nous souhaitons garder une forte base agricole tout en la modernisant. Je sais que de nombreuses entreprises de mon pays souhaite avoir des accords pour l'acquisition de licences de machine agricole. Pour que les entreprises puissent les produire grâce à la licence. A travers des subventions gouvernementales envers les agriculteurs pour permettre cette transition.

Le plus gros chantier entreprit par le gouvernement est l'industrie. Le gouvernement dans les grandes lignes souhaite industrialiser notre économie et moderniser les industries existantes déjà. Le but, c'est d'aller vers une industrie manufacturée à haute valeur ajoutée. Pour ce faire, le gouvernement a dévoilé une partie du plan au grand public à travers le programme spatial et divers subvention concernant le secteur et l'aide pour des études longues dans des filières scientifiques.

À très long terme, mon pays souhaite être compétitif dans les semiconducteurs et tout ce qui tournent autour de la DATA. Ce sont les deux secteurs que nous visons à terme en plus du spatial. Comme vous l'avez dit, nous sommes ambitieux, mais nous partons de loin. C'est donc tout logiquement que nous somme prêt à discuter d'un tel projet, d'autant plus avec votre nation.
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Le parfum alléchant du macaroni au foie gras accompagné de jus de viande s'éleva doucement dans les narines de l'invité fujiwan, suivi de près par l'arôme de Saint-Pierre braisé aux câpres. Le riz pilaf ajoutait une touche d'exotisme, tandis que les poires rôties et le pain d'épices promettaient une fin sucrée et réconfortante pour ce festin. Les deux boissons proposées: un vin qui, du haut de ses quinze années, n'avait rien à envier aux grands crus, et de l'eau plate pour ceux qui préféraient une boisson plus rafraîchissante. L'ambassadeur, en vrai connaisseur, ne put s'empêcher d'apprécier la qualité du vin proposé.

Juro SAKARI: « Votre excellente cuisine et ce grand cru créent une atmosphère des plus propices à notre discussion, Monsieur le Ministre. J'admire sincèrement la vision claire et l'ambition élevée de Teyla. Le plan que vous avez esquissé, celui d'une transformation économique progressive et bien pensée, reflète une volonté forte d'améliorer la vie de votre peuple tout en conservant l'essence de votre nation. Concernant l'acquisition de licences pour les machines agricoles, sachez que le Fujiwa, fort de son expérience en matière d'innovation technologique, serait ravi d'étudier des partenariats dans ce domaine. Nous avons toujours encouragé le partage de technologies et de connaissances, car nous croyons qu'il s'agit là d'un moteur essentiel du développement mutuel. Enfin... en choisissant avec soin nos partenaires :) »

Après une gorgée de son grand cru, il poursuit...

« Le Fujiwa, bien que modeste sur l'échiquier mondial, a su s'imposer comme un acteur significatif au sein de Nazum. Pour être tout à fait honnête, à l'exception de nos liens avec le Jashuria, que vous connaissez sans doute, nous n'avons pas encore établi de collaborations notables en matière d'échanges d'expertise ou de partenariats de recherche et développement avec d'autres nations. Cependant, nous sommes ouverts et désireux d'explorer de nouvelles opportunités. Dans cet esprit, si cela vous convient, nous serions ravis de discuter de l'idée d'accompagner Teyla en partageant nos savoir-faire fujiwan. Une telle collaboration pourrait se concrétiser par l'implantation d'industries fujiwanes sur votre territoire, avec une main-d'œuvre essentiellement teylaise. C'est un excellent point de départ, j'en suis persuadé. Concernant le domaine spatial, j'aimerais que cela reste entre nous, mais en effet, le Fujiwa envisage également de participer à cette course. Cependant, il est essentiel que notre secteur industriel devienne plus compétitif et efficient. Pour l'instant, nos industries n'ont pas encore les capacités nécessaires pour construire un réacteur de fusée, encore moins un réacteur à propulsion avancé. Il est à noter que certaines grandes puissances n'ont pas non plus atteint ce stade de développement. »
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Jean-Louis Gaudion a écrit :Soyez-en sur, tout ce qui est dit ici restera ici. Mon gouvernement informera la presse comme le veut la tradition, par communiqué qu'une rencontre a eu lieu tout en disant que nous avons évoqué des sujets qui importent aux yeux de nos nations.

Je ne sais pas si vous lisez les journaux de la République de Tanska. Mais mon pays négocie actuellement un accès à la mer actuellement via la concession d'un port ou la construction d'un port. Les contours sont encore à définir. En plus de la construction d'infrastructure autour de projet. Gare de marchandises, chemin de fer. C'est un projet à moyen terme. Mais cela permettra d'assurer l'importation et l'exportation de ressource.

Il me semble que l'état du Fujiwa à un savoir faire solide dans le domaine du chemin de fer. Pour le côté du chemin de fer de mon pays reliant à Teyla. Nous pouvons avoir un projet mené par une coopération. Une entreprise Teylaise et une entreprise de votre pays menant ensemble le projet. Tout en assurant la capacité d'opérer sur la ligne, en la laissant ouverte à la concurrence. Bien sûr, il faut que le projet de base soit validé par mon Royaume et la République de Tanska. Concernant le matériel nous en serons ravi.

De plus, nos objectifs peuvent se rejoindre. Vous avez dit que mon pays, vous permettrez peut-être une implantation de votre économie sur notre continent. Sachez que mon pays souhaite avoir un grand réseau d'infrastructure sur le continent Eurysien. Cela permettra un dynamisme économique fort, tout en reliant les différents peuples.

Vous pensez à des domaines particuliers concernant les industries de votre pays voulant d'implanter dans le Royaume de Teyla ?

Concernant le spatial, je me réjouis d'une telle nouvelle. Je ne peux qu'encourager votre nation de continuer dans cette voie. Mon gouvernement a un plan bien établit, que je ne peux révéler à ce stade pour diverses raisons. Le secret industriel et d'autres raisons. Mais ma nation se veut confiante. Surtout que nous avons déjà entamer une certaine coopération dans le domaine avec la République de Miridian et le Duché de Sylva. Deux nations se voulant elles aussi innovatrices et acteur du spatial.
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Juro SAKARI: « Effectivement, il est crucial de munir le Teyla d'un réseau de transport performant, couvrant les domaines terrestres, maritimes et aériens. Je suis ravi de constater que vous êtes en bonne voie pour l'octroi d'une concession portuaire. Si nous envisageons de développer des voies commerciales communes, le Fujiwa dispose d'un tonnage important en termes de navires commerciaux. Bien que je ne puisse pas parler au nom de l'entreprise : la PTT, je suis ici pour néanmoins les informer que l'entreprise pourrait mener ses activités au sein du Teyla et se charger globalement des opérations d'import-export. Le domaine ferroviaire est une de nos fiertés nationales. Sans vouloir nous vanter, notre expertise est reconnue au Nazum et nous avons déjà de grands projets ferroviaires sur le continent. Cependant, il est tout à fait envisageable que nos compétences dans le domaine ferroviaire soient mises à votre disposition sous forme d'une collaboration avec le Fujiwa Railways Group. Soyez rassuré, nous pouvons transformer votre pays en un véritable dédale de fer, où les trains transporteront une multitude de marchandises, contribuant significativement au développement intérieur de Teyla. En ce qui concerne l'implantation d'industries, il serait nécessaire de consulter nos partenaires privés, mais je peux d'ores et déjà vous assurer que des usines ferroviaires seront érigées pour la construction de rames efficaces et modernes. La métallurgie pourrait également être un secteur d'implantation pertinent, et, si je ne m'abuse, vous recherchez également à développer l'électronique. Est-ce exact? »
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Jean-Louis Gaudion a écrit :C'est exact, mais nous souhaitons une indépendance sur le sujet. L'implantation d'entreprise étrangère ne nous dérange pas. Mais en parallèle, je préfère vous prévenir, mon pays développera ses propres industries sur cette question-là. C'est une question hautement stratégique pour tout un tas de raison.

Concernant le ferroviaire. Tout cela me semble possible, et même enviable. Mais dans une logique de coopération et de partage des connaissances ou du savoir faire avec les entreprises Teylaises du domaine. Bien entendu, nous laisserons ouvertes les lignes à la concurrence tout en payant vos entreprises comment il se doit sur ce domaine en cas de coopération avec nos entreprises. Concernant des usines de constructions de rames nous vous disons oui très ouvertement. Les lois du pays sont faites de toute évidence pour faciliter l'implantation d'entreprise étrangère.

Le gouvernement à déjà un plan complet des lignes futures qui seront mise en place. Ils nous manquent l'aval du parlement et cela débutera. La question budgétaire risque de poser problème dans un premier temps. Donc nous devrons rassurer les députés sur cette question. Mais je pense que le plan pourra passer le Parlement sans encombre d'ici deux mois maximum.
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Juro SAKARI: « C'est avec intérêt que j'entends votre proposition d'étendre notre coopération ferroviaire à d'autres nations, mais permettez-moi de tempérer cet enthousiasme par un rappel de la politique que nous menons au Fujiwa. En effet, notre savoir-faire en matière de chemins de fer, que nous avons acquis et perfectionné avec soin, n'est pas quelque chose que nous partageons légèrement. Nous choisissons nos partenaires avec une extrême attention, en pesant chaque aspect de la collaboration potentielle. Ne voyez pas cela comme une forme d'égoïsme ou une réticence à coopérer au-delà de nos frontières. Au contraire, il s'agit d'une mesure de prudence, née d'une compréhension profonde de l'importance stratégique de notre expertise ferroviaire et de notre responsabilité envers le peuple fujiwan. Notre collaboration avec Teyla dans ce domaine est un signe de notre confiance mutuelle et de notre engagement à travailler ensemble pour le bien commun. Cependant, l'extension de cette coopération à d'autres nations nécessiterait une réflexion approfondie et une évaluation soigneuse de chaque partenaire potentiel. Nous devons nous assurer que ces collaborations respectent nos valeurs, nos intérêts et notre vision du développement ferroviaire. Je ne veux pas que le Fujiwa puisse dévoiler ses secrets industriels comme cela à n'importe qui. C'est pour cela que je veux qu'on soit sur la même longueur d'onde, vous me suivez? »
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Jean-Louis Gaudion a écrit :Oh, il doit y avoir méprise, je me suis très certainement mal exprimé, je m'en excuse. Je vais répliquer ma pensée de la meilleure des façons.

Ma nation ne souhaite pas vous impliquer dans des projets avec d'autres nations autres que nous. Quand je parle des lois du pays, je parle des lois du Royaume de Teyla qui permettent de faciliter l'implantation d'entreprise étrangère sur notre sol.

Quand je parle d'ouverture de ligne à la concurrence. Je parle uniquement vis à vis des lignes sur notre sol, et uniquement interne. Cela concernait uniquement vos entreprises, tout en laissant un certain pourcentage pour nos entreprises bien entendu. Cela me semble nécessaire. Concernant les liaisons amenant a d'autres nations, je ne peux pas être aussi affirmatif.

Je peux vous assurer que les entreprises Teylaise seront publiques. Elles ne tomberont pas dans le privé et encore moins dans des mains étrangères. D'autant plus qu'une telle coopération renforcera leurs capacités de résistance financières.
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Juro SAKARI: « Fort bien, je tenais à m'assurer que nous soyons sur la même longueur d'onde. Je ne voudrais pas rédiger un rapport erroné et créer une surprise désagréable au sein du ministère des affaires étrangères fujiwan. Nous pouvons donc envisager avec sérieux notre future coopération en matière ferroviaire. Pour ce qui est des lignes qui dépasseraient notre territoire, il conviendra d'entamer des discussions avec les pays voisins concernés. Notre partage d'expertise vous permettra, soyez-en assuré, d'optimiser cet aspect. Quant au secteur aéronautique, disposez-vous d'infrastructures développées telles que les aéroports, tant pour le voyage que pour le commerce? »
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Jean-Louis Gaudion a écrit :Oui nous avons toute les infrastructures concernant les aéroports. Nous en avons un ici même dans la capitale et un second à Gèvres concernant les aéroports internationaux. Ils peuvent tout deux recevoir des marchandises comme des personnes. Notre industrie sur le sujet n'est pas à plaindre contrairement à d'autres secteurs comme le train.
Votre gouvernement souhaite potentiellement investir dans cette industrie ?
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