27/03/2015
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[Fiche Pays-HRP]

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Rapide Résumé en attente d'un développement complet et terminer du lore autour de la Fédération.

Création de pays : Confédération Zélandienne


Généralités :



Nom officiel : Confédération Zélandienne.
Nom courant : La Confédération.
Gentilé : Confédéré•e•s || Zélandien•ne(s)

Inspiration culturelle : Le Commonwealth of Nations || culture•s des États confédérés : Benelux ; U.S.A. ; Canada, Alaska et Groenland ; Caraïbes, Brésil et Suriname ; Liban, Israël et Phénicie ; Afrique du Sud, Républiques Boers et Sud-Ouest Africain ; Inde et Raj Britannique ; Australie et Nouvelle-Zélande ; Maphilindo et enfin Japon.

Situation Géographique :

[b]Langue(s) officielle(s) :
L'ensemble des langues des États confédérés.

Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Toutes ; même celles n'ayant plus de locuteur.

Drapeau :
Drapeau

Devise officielle : De see is myn rjocht ou La mer est mon Droit.

Hymne officiel :

Monnaie nationale : De Seelânske Pûn ou la livre Zélandienne

Capitale : La Confédération n'a pas de capitale de jure mais la Steaten Hûs(chambre des États) se situe à Blankenvoorde : commune-capitale des Syndicats-Unis de Zélandia.

Population : 66 591 674 hbts.

Superficie : 340 417 km²

Aperçue du pays :



Présentation du pays : La ...

En l'ans 493, le Royaume de Zélandia voit le jour par le mariage d'un chef de guerre Zélandien : Loadewyk et la fille d'un comte Flamand : Linde de Flandre. Ce dernier est formé sur la péninsule orientale au sud de la Manche-Blanche. Jusqu'au XIIe siècle, le royaume s'agrandira par différentes conquêtes et mariages, d'abord au sud, puis vers l'ouest. À partir du XIIe siècle, grâce à son ouverture récente à l'ouest sur l'océan d'Espérance, au nord et à l'est, le Royaume de Zélandia devient une plaque tournante dans le commerce entre le nord germanique et le sud latin de l'Eurysie. Cette période de prospérité amenant des souverains de plus en plus désintéressés par la chose politique, ces derniers mettent en place des séries de décrets privatisant l'économie et le commerce afin de diminuer leur charge de travail et de mieux se concentrer sur les futilités de cour. Ces décrets permettront à des entrepreneurs Zélandiens de faire fortune en affrétant leurs flottes ou compagnies de mercenaire aux nations environnantes. Au XVe siècle, lors de la découverte de l'Aleucie, les grandes familles bourgeoises héritières des premiers entrepreneurs maritimes se réunissent en deux compagnie de commerce : la Western Zealand Nazum Company (W.Z.N.C.) ou Compagnie Zélandienne du Nazum Occidental et la Seelân Nazum Oriental Company (S.N.O.C.) ou Compagnie Zélandienne du Nazum Oriental (on pensait alors que l'Aleucie n'existait pas et qu'il s'agissait du même continent de Nazum). Ces deux compagnies organisèrent ainsi des expéditions afin d'explorer ces nouvelles terres et d'en acheter des parts aux populations indigènes s'ils y en a, ou de les réclamer aux noms des compagnie et de la couronne. Ces colonies furent rapidement peuplées par les marins et leurs familles, ainsi que par tous ceux qui rêvaient d'y faire fortune. Elles (les colonies) firent aussi la richesse de la métropole.
Au XVIe siècle, les souverains Zélandiens eurent un regain d'intérêt pour les affaires politiques et commencèrent à déconstruire les décrets privatisant l'économie et le commerce fais par leurs prédécesseurs. En effet, la richesse des colonies, en particulier celle de la Côte de l'or du Paltoterra, permit de financer la plupart des activités de la cour, au détriment de la population métropolitaine. Pour faire face à cette nationalisation, cinq famille de la noblesse, aidées par les deux compagnies que sont la W.Z.N.C. et la S.N.O.C., renversèrent la famille royale régnante, la rétrogradant au même niveau qu'une famille noble lambda et fondèrent l'Alliance de Zélandia.

C'est ainsi que l'Alliance vit le jour grâce à ces grandes familles de la noblesse Zélandienne qui avaient renversé l'ancien Royaume de Zélandia. Les Cinq Maisons noble fondatrices de l'Alliance possédaient toutes les compétences politiques, économiques et militaires citées ci-dessus, seulement pour la métropole. En effet, les Cinq Grands rétablirent les anciens décrets accordant l'autonomie au entreprises, mais uniquement pour les deux principales compagnies et leurs colonies. Mais les intérêts de chaque noble ne concordant pas entre eux, cela amena à une grande instabilité qui affaiblit l'Alliance sur la scène internationale.

Sept ans après la création de l'Alliance, la S.N.O.C., qui avait par ailleurs racheté sa rivale et s'était renommée la Seelân Overseas Trade Company (S.O.T.C.) ou Compagnie Zélandienne pour le Commerce des Outres-Mers renversa les dirigeants issus de la noblesse et fondèrent la Fédération comme elle l'est de nos jours. En écrivant la constitution, les directeurs de la S.O.T.C. prirent comme exemple le fonctionnement décentralisé des colonies, autonome les unes des autres et donnèrent plusieurs compétences à des communes, qui correspondent aux grandes villes et à des communautés qui sont un ensemble de plusieurs petites villes et villages. Par ailleurs, les colonies devinrent aussi des communes ou communauté, selon la taille des agglomérations s'y trouvant égalent à celles de métropoles. Cela permit d'assurer à chaque citoyen un pouvoir politique égal les uns aux autres et donc une prospérité économique pour chacun. D'ailleurs, les taux de pauvretés et de chômages sont bas dû à la solidarité des citoyens entre eux grâce à leur proximité au sein de petite entité politique, ces derniers acceptant de s'entraider.
Quant aux populations indigènes, lors de la colonisation, les Zélandiens cherchant des partenaires commerciaux traitèrent d'égal à égal avec les indigènes. Ces derniers, devenant de plus en plus dépendants aux produits Zélandiens s'imprégnèrent rapidement du mode de vie des nouveaux arrivants, leur permettant de bien s'intégrer aux colonies, et de devenir des citoyens égaux aux colons lors de la création de la Fédération.


Mentalité de la population : Par leur rapprochement à la mer à cause de la dispersion de leur territoire, les Zélandiens sont dans l'ensemble des individus épris de liberté, individuelle ou politique et économique. Bien que pas très actifs sur la scènes internationales, ce sont d'ardents défenseurs de la liberté de navigation, cette même liberté qui leur a permis d'entreprendre de nombreuses explorations autour du globe ainsi que de nombreuses découvertes scientifiques et technologiques. Ces voyages leur ont aussi fait découvrir de nouvelles cultures, leur donnant une grande ouverture d'esprit, faisant de la Fédération de Zélandia une terre d'accueil pour les émigrés du monde entier ou les personnes rêvant de faire fortune à condition que l'effort soit fait des deux côtés, et que les nouveaux arrivants s'intègrent un minimum. Les Zélandiens se ferment rapidement à ceux n'ayant pas la même ouverture d'esprit qu'eux.

Place de la religion dans l'État et la société : À la fondation du Royaume de Zélandia, les premiers rois ont tout de suite accordé la liberté de conscience à leurs sujets afin d'éviter des troubles entre différentes confessions et de favoriser le vivre ensemble et la productivité. Quand l'Alliance vit le jour, les Cinq grands décidèrent de la séparation des Églises et de l'État dans le but d'éviter que les principaux dogmes, qui étaient royalistes, ne les renversent à leur tour en prenant trop d'influence. Et quand la Fédération vit à son tour le jour, ceux que l'on appela les "Seconds Pères Fondateurs" — les premiers étant les nobles — prirent, dans le but de limiter encore plus l'influence des différentes Églises, la décision d'interdire tous les cultes sans exceptions. Cela permit donc de faire main basse sur la fortune des Église, en termes monétaire, foncier et culturel et de donner aux femmes les mêmes droits que les hommes, puisqu'il n'y avait plus de dogme pour assurer qu'un sexe était plus faible ou fort que l'autre. Dans la société, cela se traduisit naturellement par une ouverture d'esprit encore plus poussée.

Politique et institutions :



Institutions politiques : La Fédération de Zélandia est constituée de plusieurs communes et communautés fonctionnant comme une démocratie directe, dans laquelle la voix de chaque citoyen compte, homme comme femme. Les décisions sont prises à la majorité absolue obligeant chacun à aller défendre son idée jusqu'au bout en s'exprimant bien.
Quant au gouvernement central, ce dernier est composé de cinq secrétaires plus un secrétaire général président le gouvernement et représentant la nation, chacun élus pour cinq ans. Chaque candidat au poste de secrétaire se présente à l'élection d'un secrétariat. Il en existe donc cinq : les Affaires Étrangères, l'Économie et l'Industrie, l'Innovation et la Recherche, le Commerce extérieur et enfin la Marine qui comprend le Corps Expéditionnaire qui est l'armée extérieure de la Fédération ainsi que la Marine Civile et la Marine Marchande.

Principaux personnages :
Siert Bruggink est le secrétaire général de la Fédération de Zélandia.

Giel Rutter est le secrétaire chargé des Affaires Étrangères de la Fédération.

Willemijn Gijsbers est la secrétaire des différentes Marines ainsi que du Corps Expéditionnaire de la Fédération.


Politique internationale : La Fédération de Zélandia est un État neutre et assez fermé en terme de relation diplomatique bilatérale. En revanche, la Fédération fera tout ce qui est en son pouvoir afin de défendre la liberté de navigation et le commerce mondiale. Appuyée par une Marine marchande composé de toute les flottes des compagnies de commerce forte de bâtiments de toutes sortes, petits mais bien armés et rapides à produire ou réparés, la Fédération n'hésitera pas à intervenir dans des conflits afin de porter assistance aux civils et entreprises dans des théâtres d'opérations dangereux ainsi qu'à protéger les bâtiments de commerces neutres peut important leur pavillons. De plus, cette dernière [la Fédération] engage régulièrement des "Opérations de nettoyage" anti-piraterie dans toutes les mers du globes.
Il est tout aussi important de préciser, qu'en temps de paix, les navires et leur équipage sont autonomes vis-à-vis de leur secrétariat et viennent régulièrement d'eux-même, prêter main forte aux navires ou aux populations côtières en difficultés, même si cela nécessite d'ouvrir le feu au besoin.
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