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États confédérés
Syndicats-Unis de Zélandia
[Commissariat à la Marine des Syndicats-Unis de Zélandia]
Posté le : 10 août 2023 à 23:45:09
26

Posté le : 05 sep. 2023 à 23:53:16
461
Le Secrétariat à la Marine et aux Armées lance une campagne de recrutement dans tous les centres communaux de recherche d'emploi, ainsi que dans tous les centres pénitenciers communaux

Le but de cette campagne est de, à terme, former 10 000 soldats professionnels en plus pour le Corps Expéditionnaire.
(+33) 02 05 68 25 10, ou à l'adresse mail suivante :
secrétariat-marineetarmées@.gouv.ze
Posté le : 03 oct. 2023 à 14:09:53
2255

De plus, les institutions militaires sont un syncrétisme entre syndicalisme libertaire et méritocratie dans l'acquisition de promotion.
L'Union Navy (U.N.) :
















Marine Luchtvaartunie (M.L.-u.) :



Posté le : 03 fév. 2024 à 14:12:45
3254
Note : 2709-012.
De : SECFAMA.
À : SECGZL.
Objet : Proposition d'une doctrine défensive maritime pour la Fédération.
Confidentiel. À l'attention exclusive du personnel autorisé.
Blankenvoorde,
District Gouvernemental,
Le vingt-sept septembre 2012.
Comme vous le savez déjà, mes chers confrères, de plus en plus d'États de par le monde se mettent à revendiquer des Zones Économiques Exclusives, que j'abrégerai à partir de cet instant en Z.E.E. De plus, il est a préciser l'inexactitude dans la législation maritime desdits États, ces derniers considérant les Z.E.E. qu'ils s'auto-approprient comme d'une extension de leurs eaux territoriales ; alors qu'il est de notoriété publique, que comme leur nom l'indique, ou du moins le sous-entend, une Z.E.E. est une partie de la haute mer, dont l'exclusivité de l'exploitation des ressources revient à un ou plusieurs États riverains, PUIS, s'il reste des ressources à exploiter, l'exploitation peut aller à des États non-riverains qui seraient intéressés.
Ce document n'est pas un critique des législations maritimes nationales de par le monde. Cela n'est pas constructif, et s'il en ai nécessaire de le faire, la communication orale est amplement suffisante. Ce document n'a prétention qu'à faire part de faits, facilement observables et vérifiables - au besoin - par un observateur aguerri.
J'exposerai donc, à partir de ce moment, une ébauche de notre doctrine navale défensive. Je ne vous apprends rien en énonçant le fait que la Fédération, à l'internationale, ne reconnaît en rien, ni les eaux territoriales, ni les Z.E.E. C'est même la posture du Secrétariat Général actuel que de continuer cette politique maritime. Ce faisant, nous ne nous en reconnaissons pas non plus. Cependant, qu'en est-il en cas de conflit. Mis à part la Republyk Aukcytone, du Keninkryk fan Hvids Neeland ainsi que de la Republyk fan Mienskiplik Lân Komitees (abréger Mienskiplik Lân, NDLR) ——à l'heure actuelle le plus menaçant de nos trois voisins terrestres, preuve en est de la proposition des Feriene Gemeenten fan Grutte Kah à nos communes Paltoterannes d'installer des bases militaires dans le cadre du LiberalIntern——, la menace d'une invasion terrestre de nos territoires fédéraux est supplantée par celle d'une invasion navale.
Ainsi, après réflexions avec mes collaborateurs du Federaal Sekretariaat foar de Marine en oan de Legers (F.S.M.L., NDLR), moi, Willemijn Gijsbersje, soumets la proposition suivante au Secrétariat Général pour examen avec l'ensemble des Secrétaires Fédéraux, dont moi-même. Nous pensons tout d'abord à la revendication d'eaux territoriales de vingt-quatre mille à partir d'une ligne de base que nous faisons commencer à nos terres à marée basse. Ensuite, il va de soi qu'en vertu de notre politique navale actuelle, ces eaux territoriales seraient en temps de paix ouvertes à tous. La paix ne faisant cependant pas partie de mon pré carré, c'est donc en temps de guerre que je vais parler. L'idée serait d'organiser dans ces vingt-quatre mille d'eaux territoriales des patrouilles navales tous les douze mille marins, afin d'empêcher tout débarquement et,ou bombardement naval. Ces patrouilles seraient composées de patrouilleurs (logique me diriez-vous), sous-marins et dragueurs de mines, assistés par des patrouilles aériennes de nos chasseurs.
En conclusion, l'idée initiale serait de fermer complètement nos eaux territoriales UNIQUEMENT en cas de guerre ouverte à l'encontre de la Federaasje fan Seelânske Gemeenten (Fédération des Communes Zélandiennes, NDLR), afin d'empêcher tout bombardement naval ainsi que tout débarquement naval sur nos côtes, ainsi qu'au sein des communes côtières.
Veuillez trouvez en pièce jointe les documents cartographiques effectuées par l'état-major naval de la Federale Marine fan Seelân.
Willemijn Gijsbersje
De : SECFAMA.
À : SECGZL.
Objet : Proposition d'une doctrine défensive maritime pour la Fédération.
District Gouvernemental,
Le vingt-sept septembre 2012.
Ce document n'est pas un critique des législations maritimes nationales de par le monde. Cela n'est pas constructif, et s'il en ai nécessaire de le faire, la communication orale est amplement suffisante. Ce document n'a prétention qu'à faire part de faits, facilement observables et vérifiables - au besoin - par un observateur aguerri.
J'exposerai donc, à partir de ce moment, une ébauche de notre doctrine navale défensive. Je ne vous apprends rien en énonçant le fait que la Fédération, à l'internationale, ne reconnaît en rien, ni les eaux territoriales, ni les Z.E.E. C'est même la posture du Secrétariat Général actuel que de continuer cette politique maritime. Ce faisant, nous ne nous en reconnaissons pas non plus. Cependant, qu'en est-il en cas de conflit. Mis à part la Republyk Aukcytone, du Keninkryk fan Hvids Neeland ainsi que de la Republyk fan Mienskiplik Lân Komitees (abréger Mienskiplik Lân, NDLR) ——à l'heure actuelle le plus menaçant de nos trois voisins terrestres, preuve en est de la proposition des Feriene Gemeenten fan Grutte Kah à nos communes Paltoterannes d'installer des bases militaires dans le cadre du LiberalIntern——, la menace d'une invasion terrestre de nos territoires fédéraux est supplantée par celle d'une invasion navale.
Ainsi, après réflexions avec mes collaborateurs du Federaal Sekretariaat foar de Marine en oan de Legers (F.S.M.L., NDLR), moi, Willemijn Gijsbersje, soumets la proposition suivante au Secrétariat Général pour examen avec l'ensemble des Secrétaires Fédéraux, dont moi-même. Nous pensons tout d'abord à la revendication d'eaux territoriales de vingt-quatre mille à partir d'une ligne de base que nous faisons commencer à nos terres à marée basse. Ensuite, il va de soi qu'en vertu de notre politique navale actuelle, ces eaux territoriales seraient en temps de paix ouvertes à tous. La paix ne faisant cependant pas partie de mon pré carré, c'est donc en temps de guerre que je vais parler. L'idée serait d'organiser dans ces vingt-quatre mille d'eaux territoriales des patrouilles navales tous les douze mille marins, afin d'empêcher tout débarquement et,ou bombardement naval. Ces patrouilles seraient composées de patrouilleurs (logique me diriez-vous), sous-marins et dragueurs de mines, assistés par des patrouilles aériennes de nos chasseurs.
En conclusion, l'idée initiale serait de fermer complètement nos eaux territoriales UNIQUEMENT en cas de guerre ouverte à l'encontre de la Federaasje fan Seelânske Gemeenten (Fédération des Communes Zélandiennes, NDLR), afin d'empêcher tout bombardement naval ainsi que tout débarquement naval sur nos côtes, ainsi qu'au sein des communes côtières.
Willemijn Gijsbersje
