15/07/2016
12:15:45
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Missions de Pădure

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Missions de Pădure

Ici seront contés la façon dont vos expéditions tentèrent de survivre à la forêt.

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Pădure – Jour 1 : premières visions

Nous venons de nous poser sur la terre ferme en descendant de l'avion, grâce à une corde, chacun à notre tour. Le pilote avait décidé de ne pas se poser et de nous larguer pour une raison évidente, le temps, les bourrasques incessantes de vent, la pluie tombant en trombes, l'empêchait de se poser à l'endroit prévu. Bon, en même temps, se poser à cet endroit était purement impossible sachant que des arbres étaient présent ponctuellement à la lisière de Pădure, certes en moindre quantité qu'à l'intérieur de la forêt, mais tout de même et que nous étions prévenu que les dépressions sont quasiment constante dans cette zone. Je ne sais pas qui avait décider une telle connerie, mais bon passons.

Le voyage jusqu'au camp et donc jusqu'à Pădure fut long, fastidieux et surtout éprouvant. Nous sommes toutes et tous partis du Port de Paasilinna tôt le matin dans une ambiance très étrange. Personne n'osait parler et l'atmosphère était pesante, voire malaisante. Seul le patron, Mr Hämäläinen, à l'origine de cette expédition aux objectifs multiples selon les personnes, brisa le silence, toujours de manière plus ou moins théâtrale et avec un humour douteux le caractérisant parfaitement.

"Salut tout le monde, j'espère pour nous que ce voyage ne sera pas dur (Pădure), dit-il en explosant de rire à sa propre blague."

Il continua pendant plusieurs heures à sortir aléatoirement ce genre de blague de mauvais goût. La plupart de nos collègues n'étaient pas très attentifs aux pitreries du patron. Sûrement le stress. Ou alors ils étaient juste gêner. Mais le patron avait au moins le mérite de détendre quelques personnes, ce qui se fit ressentir à la fin du voyage concernant l'atmosphère générale. Enfin, la fin du voyage… Loin de là ! Nous avions d'abord fait escale à Helmi, au Pharois, dans le but de récupérer du matériel scientifique, entre autres. Matériel nécessaire, mais que nous ne possédions pas au Finnevalta. Ne me demandez pas le détail de ce matériel, la plupart de ses objets sont absolument inconnu pour moi. Je préfère les fonctions exponentielles plutôt que de chercher, on ne sait quoi. Bref. Nous avons aussi fait le plein avant de repartir, direction notre nouvelle escale, Scar en Malévie. Utile d'avoir des alliés internationaux quand même. Une fois le plein effectué à Scar, nous avons longé les côtes Malévienne en direction d'Aërola en Priscyllia. Plus le voyage passait, plus l'équipage apprenait à se connaître, l'atmosphère était bon et un certain esprit de camaraderie s'installa. Ce n'était pas étonnant, le patron avait choisi des gens se ressemblant, en tout cas dans leur personnalité et dans leurs aspirations, lui et moi y compris. C'étais de bonne augure pour la suite. À chaque escale, nous nous arrangions pour arriver le matin et pour repartir en fin d'après-midi, une fois avoir visité les villes correspondantes. À Aërola, nous avions dormi une nuit et nous avions embarqué dès le matin pour rejoindre le camps Narrien leiri.

Dans l'avion, l'ambiance était clairement tendue, l'appréhension gagnait clairement les esprits. Plus nous nous rapprochions de notre destination plus je me sentais mal. Un mal de ventre et une migraine insupportable commençaient à me gagner. J'avais l'impression que c'était le cas de la plupart de mes camarades. Mes mains tremblaient, mes jambes tremblaient, mon corps tout entier tremblait de peur. Nous allions nous retrouver dans quelques heures à quelques mètres de la mythique forêt de Pădure. La fameuse forêt d'où l'on ne revient jamais d'après les contes et les récits populaires Finnevaltai, la forêt aux possibilités et aux dangers multiples. Le rêve d'une vie, pour la plupart des explorateurs présent dans cet avion. Pas pour moi. J'avais tout de même eu de l'appétit intellectuel à l'idée de découvrir de mes yeux cette forêt si spécial et si incroyablement inconnu. Mais maintenant que nous y étions presque, mon envie de rentrer à Paasilinna était irrésistible. La nausée s'empara de mon corps, la peur, l'appréhension et l'angoisse me faisait mal, mentalement comme physiquement. Arrivé à ce stade, je n'avais qu'une envie : sauté de ce maudit avion. Quand deux personnes avec qui j'avais sympathisé vinrent s'installer près de moi. Un civil nommé Viljami et une scientifique (hydrologue) nommée Auli. Viljami tenta de lancer une conversation.

"Vous aussi ?"

On se comprenait par ses seuls mots. Auli enchaîna.

"Ouais comme tout le monde apparemment"

Je ne pus commenter davantage. Je levais la tête et je vis la plupart des personnes de cet avion la mine grave, tordu par la douleur. Sauf le patron qui paraissait comme un poisson dans l'eau. Notre mal-être s'accentuait inévitablement. Nous n'étions plus qu'à 2 heures de notre objectif. La boule au ventre que je ressentais me donna le vertige. Le sommeil m'emporta…

Quelques minutes, plus tard, je me réveillai en sursaut, réveillé par le patron.

"Debout Lyydi, on va bientôt descendre, le trajet est terminé, maintenant, tu te sentiras beaucoup mieux, dit-il avec le sourire d'ange le caractérisant."

Le patron prit le temps d'avoir un mot revigorant pour tout le monde. C'est cela que l'on appelle un leader, il a réussi à changer l'état d'esprit et l'atmosphère générale de notre groupe, juste du fait de sa présence...

Je venais de descendre la corde. Mes premiers pas dans cet endroit furent étranges. On se trouvait à l'emplacement prévu pour notre camp, à une cinquantaine de kilomètres de la lisière de la forêt ou tout du moins de ce que l'on considère être le début, la frontière séparant la forêt du reste. Mais même à une telle distance des arbres était présent autour de nous, en assez grandes quantités, avec une densité sûrement ridicule par rapport à la forêt proprement dites. Même à partir d'où nous sommes, je ressentais la présence de la forêt. Si j'avais été lâché ici, sans savoir où je me trouvais, j'aurai compris que j'étais près d'une imposante masse de végétaux et de vie sans les voir explicitement. Enfin si un petit peu, des flaques et des points d'eaux ponctuaient l'emplacement. C'étais à la fois magnifique et à la fois horrible ; comment allons nous nous installer ?

L'air était chargé d'humidité, je sentais la mousse et le bois avant toutes autres odeurs, ma vie et celle de mes camarades semblais tout à coup absolument ridicule en comparaison avec ce que je voyais et encore, je ne voyais sûrement pas grand-chose par rapport à la réalité. J'emplissais mes poumons de cet air humide, mais incroyablement plaisante à inhaler. Je dirai spontanément : pur. C'est le mot. Le patron avait raison je me sentais déjà mieux c'était cet avion de malheur qui nous rendaient tous malade. Enfin, j'espère...

Une certaine portion de l'herbe se trouvant autour de nous avait été coupée - elle m'arrivais à la cheville, grand maximum - pour que l'on puisse installer notre campement. Rien n'avait été installé, tout était vierge hormis l'herbe, nous devrons tout faire. J'espère que le ravitaillement arrivera rapidement, par ce que ce n'est pas avec ce qu'on a qu'on va s'en sortir. On a du pain sur la planche...
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Pădure – Jour 2 & 3 : premières visions

Ce matin, c'est logistique pour toute l'équipe. Pour les 88 fous évidemment, mais aussi pour les centaines de travailleurs et de cadres s'acharnant à soutenir un plan logistique plutôt compliquer dans le but de réussir les différents objectifs de la mission. Objectifs différant en fonction des individus et des groupes d'intérêt. Qu'ils soient militaire, spirituel, scientifiques, aventuresque, fantastique, métaphysique, culturel ou politique, ses objectifs ne pourrons être réalisé sans un appui logistique efficace.

La chaîne logistique se décompose en plusieurs partis, des bateaux et des avions partent de Paasilinna direction Aërola, en faisant escale par le Pharois ou la Malévie. Une fois sur la terre ferme les biens sont transporter avec des véhicules blindé léger. Comme dit précédemment tout le matériel de relevées scientifique nécessaire à l'expédition a été acheminer et larguer en même temps que les personnes. Quelques vivres et équipement de pure survie ont été apportés par chaque individu dans un sac à dos personnel (avec notamment une capsule de cyanure). Mais pas plus.

Les Finnevaltai présents au camp ont plus au moins deux jours pour ériger un camp digne d'un petit village. Alors, ils n'ont plus de temps à perdre. À peine ont ils eu le temps de prendre connaissance des lieux que 5 véhicules Finnevaltai arrivèrent chargés d'équipement. De la nourriture, des matériaux destinée à créer des habitations avec les plans pour les montées et les fabriqué à la manière d'un meuble, des équipements de collecteurs et de traitement de l'eau de pluie, des réchauds fournit avec les cartouches de gaz adéquats, des mini étagères, de l'essence et des mini réfrigérateurs. Quelques instants plus tard, 3 véhicules arrivèrent, chargés eux, de générateurs électriques, de matériels informatiques divers, d'instruments de musique, de jeux de sociétés divers et variés et tout un tas d'objet du quotidien (ménager, des casseroles, des poêles, etc.).

Les priorités pour les deux jours suivants sont assez claires pour tout le monde, aucune discorde n'est à signaler, simplement par ce que la nécessité est de survivre même s'ils ne sont pas présents au cœur de la forêt. On ne sait jamais. Nous ne sommes pas sans savoir que le camp est proche de la Transblêmie en plus du danger manifeste que représente Pădure. Les générateurs doivent être installé et fonctionnel le plus tôt possible tout comme les habitations, leur disposition, et les collecteurs de pluie. Le reste ce sera pour plus tard. Quelques membres de la Seikkailijoiden organisointi finnevaltai et quelques scientifiques rechigne au travail et trépigne d'impatience quant à la suite des événements, mais ils se mettent tout de même à participer à l'effort commun.

Ceci n'est pas une habitation de tradition Finnevaltaise, mais c'était le parfait rapport qualité prix.

Les générateurs et les collecteurs de pluies mettent quelques heures à être mis en place, mais le nerf de la guerre se trouve au niveau des habitations. Le type d'habitations choisit par les logisticiens ressemble à un tipi. Ils ont prévu un tipi pour trois personnes avec en plus un réfrigérateur et une petite étagère pour conserver la nourriture et un accès à l'électricité via des multiprises, c'est-à-dire que nos 88 fous ont 29 habitations à montée en deux jours. Il va en exister deux types : un en forme de dôme et un en forme de cône. L'installation est relativement simple à comprendre, mais longue à installer. Comme on le constate grâce au schéma, des bâtons de bois doivent être imbriqués de manière bien précise pour former ses dites formes de dômes et de cônes. Pour recouvrer la structure, nos fous doivent mettre une couche de caoutchoucs pour l'imperméabilité puis une couche de tissu pour la décoration. Il est prévu également de disperser les habitations d'une manière bien précise dans le but de creuser des pièges et des fossés en cas d'invasions de choses vivantes non identifiées.

Schéma peu qualitatif de la disposition des habitations au sein du camp. Les croix correspondent aux habitations, les cercles autour des croix correspondants à des pièges, les traits autour des chemins correspondants à des fossés bourrés de pièges en tout genre.

Concernant la nourriture, les vivres acheminés sont avant tout des légumineuses et des féculents facilement conservable, mais la présence de réfrigérateurs permet aux fous de disposé de viande ou tout autres aliments frais. Il est prévu que des véhicules passent une fois par semaine pour ravitailler nos aventuriers.
Le temps passe et les tensions commencent à apparaître et différents leaders commencent à émerger. Blëmme lui-même, un certain Waltteri et un certain Tiitus. Trois "groupes" se forment alors autour d'eux. Les disputes font rage quant à la disposition des habitations entre autres...
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Pădure – Jour 2 & 3 : premières visions la suite

HRP : Nous allons voir pour chaque catégorie de personnes mentionner ici, comment se passe leur installation, ainsi que le prénom de chaque participant.e.s.
Les civils

Les "civils" sont des volontaires solitaire ayant souhaité participer à cette expédition pour diverses raisons. Ils sont différenciés des autres, car ils ne font pas partie d'un groupe à proprement parler, ce sont des citoyens lambdas.

Une fois les préparatifs essentiels à la bonne vie du camp achevés, la plupart des civils se retrouvent sans la moindre tâche si ce n'est la plus difficile d'entre elles : l'attente. L'attente des prochaines expéditions Le contexte stressant de l'aventure proche d'une si mystérieuse forêt rend cette attente encore plus insupportable même si ça ne fait que trois jours que l'on a posé les pieds sur ce sol. C'est un terreau fertile pour la mise en place d'une vie culturelle riche. Deux guitares circulent entre quatre mains, accompagner de deux voix. Des ateliers de dessin sont tenus malgré la faible présence de papier et de crayons. Des histoires connus ou inédites sont raconter sur Pădure. Une personne sculpte les bouts de bois trouvé par terre. Viljami, iel, se contente de profiter...

Liste des prénoms des "civils" présent.e.s : Viljami, Qin Chun, Tuomo, Taistov, Ossian, Jyrki, Jarno, Aarne, Manu, Sauli, Kalervo, Pilvi, Johanna, Tanja, Virpi, Kreeta, Eliina, Anneli, Jenna, Rauni, Kullervo, Reino, Yrjänä, Reima, Lentäminen, Eemeli, Vakooja, Maija, Amalia, Päivikki.

Les scientifiques

Les "scientifiques", dans cette expédition, sont des personnes ayant pour corps de recherches les sciences dites "dur", des sciences du vivant, de la terre, de l'eau, de l'espace...

Les scientifiques n'ont pas eu à beaucoup travailler, hormis la mise en place des tipis et de leur contenant. Ils ont été exemptés de tout le reste des travaux pour se concentrer sur leur mission. Accompagnés de quelques civils (Yrjänä, Reima, Kullervo et Lentäminen), ils sont toustes partie quelques mètres à l'intérieur de la forêt dans le but de disposé quelques appareils de mesures, des thermomètres, des pluviomètres,
des évaporomètres, des baromètres, des anémomètres, des hygromètres et des héliographes. Quelques autres ont passée leur journée à effectuer diverses mesures en fonction de leur recherche. Auli, iel, prit des mesures sur les points d'eau présent autour du camp...

Liste des prénoms des "scientifiques" présent.e.s : Auli, Lari, Aatu, Kaappo, Sakari, Jari, Esaias, Eero, Urpo, Miska, Kaapro, Cheng Liuxian, Sohvi, Alma, Tiia, Linnea, Aallotar, Lempi, Iines, Rauna, Janika, Iivana, Valtteri, Kari, Joni, Torsti, Antti, Raino, Iikka, Arvo, Tuure, Miina, Tuija, Emma, Ilta, Eleonoora, Pihlaja, Taimi, Elvi, Lyyti, Orvokki, Mimosa, Lumikki, Eini.

Les agents de la SPF

Les deux agents de la SPF présents sur place sont sous une couverture civile. Il s'agit de Lentäminen et de Vakooja. La présidente leur a donné deux missions principales : ramener tout le monde en vie, quitte à neutraliser les menaces extérieures comme intérieure et préparer des rapports potentiellement utiles à l'armée. Pour le moment, ils n'ont pas eu à intervenir de quelconques manières sur ses deux missions. Toutefois, ils ne perdent pas leurs réflexes. Observer, analyser, déduire...

Les aventuriers

Les "aventuriers" sont des membres de l'association Seikkailijoiden organisointi finnevaltai. Ce sont des experts de l'aventure, iels ont déjà beaucoup d'expérience dans le domaine des expéditions.

Lors des trois premiers jours, iels ont aider à tout installer, comme tout le monde. Quelques un.e.s de ses aventurierère ont été envoyer en tant qu'éclaireureuse (Viljam, Kirsi et Aune). Les autres sont restées au camp et ont aidé les scientifiques, Blëeme, ainsi qu' à la fin de l'installation du camp.

Liste des prénoms des "aventurier" présent.e.s : Viljam, Kirsi, Aune, Ayizhan, Aliisa, Xu De, Iivo, Yrjö, Eerikki, Margareeta, Essi.

Blëeme, le député ou l'homme d'affaires ?

Blëeme Hämäläinen est un député du Parti Nationaliste et il est à l'origine de cette expédition. Voilà tout ce qu'il y a à retenir sur lui pour le moment. En plus d'avoir aidé à la mise en place du camp, il doit préparer et coordonnée les prochaines expéditions tout en consultant tout les membres du camp. Il est leur psychologue, leur homme à tout faire, quand une personne à besoin, il est là.

Viljami

Viljami est la représentante de Biologia ja yritys, l'entreprise pharmaceutique de Blëeme Hämäläinen lui même. Nous avons eu sont point de vue sur l'arriver. Durant ses trois jours elle a tenu un carnet sur les différentes espèces de plantes et animales qu'elle a rencontrées, en plus d'avoir aidé au camp. Pour le moment, elle n'a pas relevé d'espèce étrange, venu d'une autre planète...

Les personnages en italique

Leur rôle n'est pas exclusivement celui évoquer précédemment, iels jouent un double rôle. Iels seront des personnages prépondérants...
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