Contacter une Brigade Internationale

CANAL D’ÉCHANGE AVEC LES BRIGADES INTERNATIONALES

Il y a, au Grand Kah, de nombreuses brigades internationales suffisamment influentes pour jouir d'une indépendance opérationnelle. Celles-là peuvent être contactés par des moyens officiels comme officieux, ou en groupe via l'Office de Communication des Brigades Internationales.


"Alors, camarade, qu'est-ce que ça sera ?"

LETTRE SECRETE DE CONTACT AUX BRIGADES INTERNATIONALES DU GONDO

Camarades,

La Société Autonome Utilitaire de Coopération Internationale, de Secours et de Sauvetage Exportable a reçu pour mandat privée de travailler sur le sol de la République Démocratique Libre du Gondo. Le client ainsi que ses objectifs ne peuvent être détaillées ici, de même que les moyens qui seront mis en place. Sachez juste qu'aucune action armée ni politique ne sera menée à l'encontre de vos hommes ou de vos actions dans le pays si nous sommes amenés à coopérer.

Nous vous contactons afin de préparer le terrain à notre arrivée. Nous n'avons pas votre influence, vos moyens ni vos capacités. Mais nous n'avons pas non plus votre réputation, votre posture politique et vos limites au Gondo. Pour ainsi dire, pour le moment, nous ne sommes personnes. Nos origines géographiques ne traduisent pas nos attaches politiques ni le client qui nous commande. Si vous voulez nous rencontrer, vous saurez nous trouver près de l'aéroport de la Commune de Kotios. Trouvez un vendeur de hot dog et demandez y une saucisse. Il vous indiquera la marche à suivre. Cela ne me surprendra guère d'entendre que vous y avez une antenne ou que d'autres brigades qui vous sont liées en ont. Nous n'y entretenons qu'un bureau de contact, le seul. Il n'y a pas de garde, pas d'armes. Inutile de vous en prémunir si nous voulons instaurer un dialogue de confiance. Nous sommes encore des inconnus pour vous et pour le monde, et donc nous ne sommes pas une menace à vos yeux, je l'espère.

Amicalement votre,
Agent 15:41

Un mot manuscrit, format A5.

Camarades chefs des volontaires Kah-tanais,
Je vous écrit ce mot pour vous faire part d’un télégramme que j’ai reçu hier. Il a été dicté par le colonel Etoto, je précise que c’est le chef du MILP, il a été mon subordonné quand nous étions dans l’armée républicaine. Je ne vais pas vous réécrire le message, mais il dit en gros qu’Etoto propose un accord militaire en échange de garanties sur l’auto-détermination des pitsi une fois les kwandaouis chassés. Il dit que ses agents à Port-en-Truite peuvent faciliter l’entrée de l’Armée Démocratique. Je suis personnellement pour, à condition de subordonner l’entité pitsi autodéterminée à notre influence. Comme c’est vous les stratèges, et que vous fournissez les armes, je demande votre avis. Ils veulent une réponse avant la fin de l’ultimatum imposé aux hommes à DFL. Concernant ces deniers, le commandant de la ville et le Premier Ministre Dwâ m’ont écrit pour demander l’autorisation pour leurs troupes de quitter la ville avec leur matériel sans être fait prisonnier. Ils promettent de se replier jusqu’au Gonda.

Général de Brigade Yahnik Sangaré
Commandeur de l’Armée Démocratique