15/07/2016
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Sommet trilatéral Teyla-Aquitagne-Travie

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Le Royaume avait l'habitude de recevoir des délégations étrangères sur son sol ces derniers temps, l'ouverture diplomatique du pays avait nettement aidé bien que perturbé le fonctionnement du ministère des affaires étrangères du Royaume. Heureusement pour les équipes du ministère, le ministre y comprit, plusieurs choses ont permis l'amélioration des conditions de travail rapidement.

De prime abord le nouveau bâtiment du ministère entré en fonctions un mois après l'ouverture du pays permet de travailler dans un environnement saint, propre et spacieux pouvant permettre l'agrandissement des équipes de travail tout en gardant des conditions convenables contrairement à l'ancien bâtiment qui fut confectionné pour une équipe réduire autour du ministre. L'action faite par le ministère est toute naturelle. Il s'agit du recrutement d'effectif pour répondre aux besoins nouveaux du ministère. Le ministère des affaires étrangères de Teyla est le ministère qui a eu le plus de recrutement, ses effectifs ont fait fois cinq depuis le début de l'année et l'ouverture du pays. Cela permit plusieurs actions. L'étude de la culture et l'histoire de deux nations que le pays s'apprête à accueillir en son sein et plus particulièrement pour le ministère de l'Économie du Royaume de Teyla. Nombreuses réunions on eu lieu avec le ministre de l'Économie puis des transports afin d'apprendre aux deux ministres les choses importantes dans l'histoire de deux nations. L'autre action et c'est une première historique, du moins dans la période moderne, c'est la tenue d'un sommet sans besoin d'engager un prestataire ou sous-traitant qu'importe le domaine, le service public ayant la main d'œuvre et les moyens nécessaires.

C'est donc une capitale qui se transforme durant toute la durée du sommet. Les alentours du ministère de l'Économie entièrement bouclé pour la journée avec un nombre de force de sécurité trop élevé pour la zone. Mais le Royaume ne voulut prendre aucun risque sécuritaire. Le Ier régiment de la garde royale est mis à disposition de la préfecture et du ministère de l'Intérieur pour le service de protection du sommet des invités conviés. En-dehors de l'aspect sécuritaire, la capitale, dont le maire Rosalie Chabas est cheffe du principal parti d'opposition royaliste, se transforma aux couleurs des deux pays affichant fièrement les drapeaux de la Travie et du Royaume Fédéral d'Aquitagne dans de nombreuses rues de la capitale. Un heureux hasard qui s'appelle Jacqueline Truffard, chargé de l'organisation de cette rencontre, a fait en sorte que le convoi passe devant la prestigieuse d'université de science politique de la capitale renommée au nom du défunt souverain d'Aquitagne. L'Université accueille vingt mille étudiants chaque année. C'est aussi l'université des futurs souverains du Royaume de Teyla.

Ce qui suit sera pareil pour les deux nations en dehors des noms.

Alors que le soleil est a son plus au niveau dans la journée, le soleil frappant le sol créant bien trop de chaleur pour ne pas transpirer sur le tarmac en attendant l'avion des délégations. Mais personne n'avait le choix et devait de rester sur place pour l'accueil des ministres étrangers. Le Royaume de Teyla a accueilli les deux nations par quatre avions de chasse dernièrement reçus par le Royaume. Signe que le Royaume finance de plus en plus son armée et que son économie est fleurissante, car c'est bel et bien un avion de chasse national. Les pilotes sont pour l'instant Kah-Tanais, c'est dans le domaine public, mais cela ne dérangerai pas pour le moment le gouvernement, car il était au courant des faiblesses du Royaume sur le domaine aérien militaire. Les avions de chasse suivent les avions des délégations jusqu'à l'arrivée à l'aéroport puis repartent au sein d'une des bases aériennes du pays.

Avion
Image d'illustration

Une fois arrivé à l'aéroport, les délégations peuvent voir un dispositif sobre. On pouvait voir une femme au bout d'un tapis rouge. Une femme au sourire communicateur, mais c'était bien son seul charisme. Le reste de sa personnalité et ce qui transparaît est fade, sans saveur provocant aucune émotion chez ses interlocuteurs. Mais elle était une proche du Premier ministre actuel, ce qui lui permet d'avoir le poste de ministre des transports, il faut rajouter à cela des compétences technocratiques bonne ce qui ajoute du poids au choix du Premier ministre. Elle n'a pas de casserole derrière elle, ne provocant aucune polémique. Transparent aux yeux de l'opinion publique, mais au vu de la guerre interne dans le gouvernement Carbasier, c'était une très bonne nouvelle qu'une ministre fasse ce qu'on lui dise, et cela, dans le calme. Elle avait monté de toute pièce le futur réseau de chemin de fer du pays tout en étant en lien permanant avec les parlementaires des différents groupes. Son plan allait être la loi la plus facilement adoptée du gouvernement, Carbasier est de très loin. Les analystes, en fonction des prises de position publique, envisagent une loi adoptée avec plus de quatre vingt pour cent des voix à la chambre basse. Maintenant, il lui fallait convaincre des futurs partenaires, aux yeux du Royaume, d'établir un réseau d'infrastructure dans toute la région allant de l'Auccitone jusqu'à la Travie, se détournant à la Loduarie Communiste et Carnavale si les relations diplomatiques le permettent. Au vu de la position géographique du Royaume de Teyla, avoir un tel réseau allait augmenter grandement les échanges commerciaux du pays, mais aussi les marchandises passant par le pays et donc les recettes fiscales de Teyla in fine. De plus avec le courant libéralisme du gouvernement sur les questions internationales, il espérait pouvoir voir la région calme et dans la paix grâce aux échanges commerciaux à venir et ainsi voir le continent grandir face aux autres continents. C'était une vision longue terministe, mais évoquant un sentiment d'espoir chez Patricia Cloture, la ministre des transports.

En plus de la ministre, les différentes délégations peuvent voir dix gardes royaux formant deux lignes distinctes l'un en face de l'autre. Les gardes sont en tenue de cérémonie ornée d'un bleu clair, avec deux traits d'or sur le devant des manches évoquant les grades des gardes présents ici. Regardant un point fixe devant eux, les gardes paraissent impassible. Alors que les membres de la délégation avancent entre les deux lignes un garde carabine collée à la poitrine pointée vers le haut hurle :

-A l'honorable ministre des transports, je souhaite présenter au nom de ma Reine, l'honorable délégation étrangère composée...

Ainsi, le garde énumère les principaux membres des différentes délégations, après cela, la ministre ira dire bonjour et saluer tous les membres par courtoisie diplomatique n'ayant pas particulièrement envie de dire bonjour à toutes les personnes pour gagner du temps. Mais la diplomatie prévaut sur son envie personnelle et elle le sait. Les délégations seront dans le même convoi bien que dans des voitures bien différentes. Ceci dit les ministre de l'Économie et transports des deux délégations seront avec la ministre des transports du Royaume de Teyla. La traversée de la ville se fit sans encombre. On pouvait observer une ville en pleine transformation au vu des nombres de chantiers en cours dans la capitale. Mais aussi une capitale remplie de verdure. Une fois arrivée au ministre de l'Économie du Royaume, on pouvait voir un bâtiment ancien orné de dorure toute en ayant une touche moderne à l'intérieur. Valentin Corentin, le ministre de l'Économie, attendait à l'intérieur d'une pièce qui allait abriter la réunion. Il dit bonjour lui aussi à tous puis commença la réunion sur un ton cordial avec le sourire aux lèvres par moment :

-Dans un premier bonjour à tous en espérant que votre voyage fut agréable. Je vous remercie aussi d'avoir accepté cet entretient commun. En effet, nous espérons pouvoir bâtir des relations cordiales et sereines avec vos nations. Concernant le sujet principal, j'ai cru comprendre qu'un tel projet fut déjà discuté, mais n'a pas abouti. Nous avons donc tout à faire pour que la fin ne soit pas la même.

Nous vous avons réuni ici pour discuter d'un potentiel projet commun d'infrastructure pour permettre de relier nos nations à travers un réseau de chemin fer avant tout. Le chemin de fer est privilégié ici, car nous avons des frontières communes et représente un gain écologique non-négligeable selon nous.


Le ministre invite tout le monde à se rendre à la page dix huit du dossier transmis avant la rencontre à chaque délégation en nombre suffisant pour que chacun puisse avoir un dossier afin de pouvoir suivre la réunion.

Train

Le ministre reprit son propos dans un ton tout aussi cordial qu'avant :

-Comme l'indique la légende, le rouge indique un projet, des lignes plutôt à grande vitesse tandis que le noir indique des lignes normales, ne répondant pas aux critères de la grande vitesse. Comme vous pouvez le voir, le projet peut peut-être reprendre des lignes existantes, cela est normal. Il s'agit de connecter nos pays et cela passe aussi par les lignes existantes. Concernant le reste, il me semble primordial si un tel projet ce fait, que nos capitales respectives soient relié par des lignes a grandes vitesses pour des raisons pratiques et économiques. Nous avons énormément de proposition à faire sur le sujet, mais avant toute chose. Est-ce que vos nations sont favorables à un tel projet et si oui favorable aux diverses lignes proposées pour l'instant ?

Bien nous nous voulons discuter du financement, occupation des lignes et d'autres choses importantes. Mais la question principale reste celle que je viens de poser avant toute chose selon moi et ma nation.
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Le Ministre des Affaires, Monsieur Jean Clérico débutait cette rencontre avec joie. Il pensait qu'enfin, le projet Hermès d'ouverture de la Travie au monde portera ses fruits et aura des répercussions sur le terrain. Il prit alors la parole pour la première fois de cette journée tout en sortant une feuille de son épais dossier bleu foncé.
"Tout d'abord je tenais à vous remercier pour les idées que vous nous avez proposées. Nous nous sommes inspirés de ces propositions fortement intéressantes afin de les comparer à notre réseau actuel."
Il donna à chacun de ses interlocuteurs la copie de la carte des infrastructures de transport traviennes et reprit son discours.
"L'axe majeur et symbolique de notre projet est la ligne à grande vitesse Manticore-Gèvre-Flaviume-Travie-Colseau. Cette axe permettra de connecter véritablement nos peuples et d'assurer un déplacement facilité de part et d'autres de nos pays. De notre côté, les voies ferrées nécessaire à cette ligne sont quasiment déjà installées. Il ne reste plus qu'à construire une connexion à la ville d'Orlogne pour que les trains passent la frontière.
Concernant la ligne est-ouest qui reliera les grandes villes traviennes à Valentia et Flaviume, celle-ci est parfaitement réalisable mais avec plus de difficultés que la précédente. Nous devrons, pour la partie est, construire une ligne entre Martilly et Trave. Il faut savoir que ce tronçon était déjà envisagé et que sa réalisation sera donc plus rapide que le reste, les équipes techniques et scientifiques ayant déjà étudiées le terrain. Enfin, la partie ouest est la plus complexe. Elle reliera Beltry à Soiville pour franchir la frontière. Il s'agit du tronçon qui mettra plus de temps à ouvrir mais il se fera."
Il marqua une pause et pointa avec son stylo le nord du pays.
"J'aimerais également, si vous le voulez bien, relier l'Aquitagne et la Travie par l'autoroute. Nous envisageons une continuation de l'A5 et de l'A6 afin que vous puissiez connecter votre réseau routier au notre."
Il sortit alors une autre feuille avec de nombreux tableaux et données chiffrées.
"Concernant le financement du projet, ce sujet est délicat mais nous devons trouver une solution rapide pour mettre en œuvre rapidement les moyens nécessaires à la construction des voies de chemin de fer. Concernant l'axe principal à grande vitesse, nous pensions à une répartition en trois des coûts de travaux. En effet, il bénéficiera aux trois pays directement. Les autres aménagements sont plus régionaux et concernent moins directement les trois pays en même temps. Ici, nous avons étudié un système de répartition inégale. L'Etat concerné directement payerait la moitié tandis que les deux autres auront à leur charge 25 % du coût chacun. Qu'en pensez-vous ?
Vous parlez avec justesse de l'organisation de la gestion des voies et des trajets et principalement de l'occupation des voies. Comment vos pays ont-ils organisé le transport ferroviaire ? Avez-vous une ou plusieurs entreprises autorisées à faire circuler des trains ? Si chacun possède une entreprise, nous pourrons facilement nous mettre d'accord sur un accord d'exploitation en fonction des lignes. Cela serait plus difficile si un nombre plus important d'organismes sont en compétition."

La carte du projet travienCarte du projet travien
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Le Roy Édouard Ier prit la parole:

La proposition du Royaume de Teyla me semble d'une grande pertinence, à une chose près. Il parait dommage que la capitale économique de mon Royaume, York, la deuxième ville d'Aquitagne, ne soit pas rattachée au réseaux à très grande vitesse. Autre chose, et non des moindres: il va falloir traiter des frontières. Les droits de douanes doivent-ils être abolis? La libre circulation des biens et des personnes doit-elle être permise? Pour notre part la Couronne est prête à faire le même traitement de faveur qu'avec ses alliés économiques et marchands, c'est-à-dire réduire ou supprimer, au cas par cas, les frais de douane. Je dis bien au cas par cas: ainsi, les entreprises ne concurrençant pas directement les firmes aquitagnoises, mais ouvrant de nouveaux marchés au sein du Royaume, seront favorisées. Un dernier point, sur lequel je n'admettrait aucune concession: les marchandises circulant sur le réseaux devront respecter les normes législatives des pays traversés. Qu'en pensez-vous?
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Les ministres Teylais regardent les cartes pendant un long moment après avoir écouté leurs interlocuteurs. Ils s'attendaient aux sujets évoqués par les deux parties. Des interrogations de bon sens. Le Royaume de Teyla a des propositions à faire. Alors Valentin Corentin, ministre de l'Économie, se racle la gorge et déclare :

- Messieurs, dames les ministres, Votre Altesse Royale, dans un premier temps, le Royaume est satisfait d'apprendre qu'aux premiers abords vous n'êtes pas fermé aux discussions et donc au projet. C'est un projet ambitieux, mais qui se veut réaliste, tout en permettant à toutes les parties de gagner sur tous les points. Il faudra sûrement plusieurs réunions comme celles-ci pour aboutir au projet, nous soulèverons à chaque instant des points importants, car je n'ai pas souvenir qu'un tel projet fut discuté aussi profondément. Mais j'ai l'assurance que chaque partie répondra et discutera des points soulevés par chacune des parties.

Concernant l'utilisation des chemins de fer qui est une question importante. Teyla n'a qu'une seule entreprise pour le moment. Si tel n'est pas le cas pour tout le monde, nous avons pensé à un système. Les entreprises du pays en question créées une réunion d'entreprise, un consortium en somme. Ensuite, nous créons une entreprise unique qui exploitera seule les lignes comprises dans l'accord finale. Les parts de l'entreprise seront distribuées à part égale entre les consortiums et les entreprises uniques de nos nations respectives. Au final, chaque nation aura le même nombre de part au conseil d'administration à travers ses entreprises nationales publiques et privées. De plus, le Royaume est favorable à doter d'un droit de veto chaque membre/entreprise du conseil d'administration.

Ce système est possible si nous avons qu'une entreprise par nation exploitant les chemins de fer. Toutefois, si nous avons tous une entreprise uniquement et que vos nations rejettent ce système nous l'acceptons, nous pouvons aller vers un autre système que nous trouvons plus complexe que cette possibilité.

Concernant la proposition de la République Démocratique Travienne sur le financement, nous y sommes défavorables. Déjà, car le réseau Teyla est à faire de zéro. Cela serai extrêmement défavorable vis à vis de vos nations. Toutefois, nous voulons vous avertir que le projet de construction pour notre réseau national, que nous vous avons transmis, est d'ors et déjà financé par une loi rectificative du budget de l'état. Quoiqu'il arrive le projet du côté Teylais, est financé. Nous adapterons notre projet national en fonction de l'aboutissement de ce grand projet. Toutefois, la République Démocratique Travienne et le Royaume Fédéral d'Aquitagne sont libres d'adopter ce système de financement, nous n'y sommes pas opposés. Le Royaume de Teyla peut même aider à hauteur d'un milliard de pétales sous trois ans. Le Royaume refuse que ce milliard aille dans le financement de l'autoroute évoquée, le Royaume souhaite se concentrer sur le rail, mais nous ne sommes pas opposé à rajouter des projets autoroutiers ou toutes autres liaisons dans l'accord final bien au contraire.

Vos deux nations ont évoqué des modifications, des rajouts de trajet ou des modifications du type de ligne, nous sommes favorable aux propositions faites.


Le ministre fait une pause, regarde ses conseillers et le ministre des transport teylais. Il touche sa cravate tout en buvant son verre entier d'eau. Pour lui, il avait parlé trop longtemps, il savait que ce n'était pas fini, d'autant plus que le sujet suivant pouvait être brûlant. Il reprend dans un ton neutre :

Concernant les droits de douane ou l'absence de droit de douane et donc la libre circulation des biens. La question est très complexe et mérite d'être traitée dans un premier temps par des membres de nos ministères dans un groupe de travail. Ils auront pour mission de remettre un rapport. Ensuite, nous pourrons traiter cette question politiquement dans une autre rencontre s'il vous convient Votre Majesté et Monsieur le ministre.

Concernant la libre circulation des personnes. Pour l'instant, nous y sommes défavorables pour qu'un tel accord soit possible au sein de cet accord. Nous préconisons des accords bilatéraux ou de laisser en place nos lois respectives sur la question des visas, contrôle aux frontières, etc. Libre à vos nations de prendre une décision pour retirer la nécessité de visa ou autre unilatéralement bien entendu.
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De nouveau, Édouard pris la parole:

"En ce qui concerne le financement et la gestion de la ligne, nous vous rejoignons sur l'idée d'un consortium à financement participatif. À mon sens, nos gouvernements respectifs devraient avoir la charge de répartir entre entreprises privées et publiques le tiers des parts qui leur sera confié, et le statut du consortium devrait stipuler que nos gouvernements peuvent les reprendre selon leur bon vouloir.

Nous ne pensons pas que la libre circulation des personnes au sein de la ligne soit pertinente, mais qu'il faut établir des accords bilatéraux avec toutes les nations concernées : je pense aux privilèges que les Traviens ont en Aquitagne du fait du Pacte d'Amitié Aquitano-travien. Mais concernant les marchandises et les liens, nous ne voyons pas l'intérêt de déléguer cette tâche à des commissions subalterne. Je pressens que la chose sera sans cesse reporté, retardant ainsi l'ensemble du projet. Or nos citoyens et sujets respectifs ont besoin de cette ligne, et le plus rapidement possible. Pourquoi ne pas nous dire que que vous en pensez? Nous voulons mettre un point d'honneur à ce que la franchise règne au cours de ce sommet, afin de favoriser la coopération entre nos trois pays.
, dit-il en s'adressant au ministre teylais.
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