11/11/2014
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La grande guerre civil de 1973-1976

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1973-1976
histoire de la grande guerre civil


Contexte avant 1973 :



Nous sommes le 22 juillet 1969, le règne de Hatshepsout VIII commence et le Kjhemet est en plein âge d'or industriel grâce aux deux industrialisations massive de 1844-1860 et 1920-1942 où le PIB national a été multiplié par 4. Également le pays rayonne culturellement et administrativement grâce à des réformes énergiques et à des investissements massifs ;
Par exemple la ligne de chemin de fer qui relie Kusnurma, Shetnubu et Qulbybesheh pour le commerce notamment de minerais ou de pétrole à coûter 75 milliards de Chât-Deben (1chât-Deben = 1 euro) ou l'agrandissements/modernisation des ports de Qulbybesheh et de Napsybesheh avec un coût de 125 milliards de Chât-Deben.
Ainsi, tout semblait réussir au pays même si la Pharaonne Hatshepsout VIII à fait éclater plus d'un scandale et polémique à cause de son caractère, celle-ci était toutefois très compétente et bien entourée. Cependant, la Pharaonne va voir progressivement son pays ce déchiré de l'intérieur entre rivalité politique, inégalité très importante et mouvement révolutionnaire ou terroriste.
Si à son accession au trône la situation était encore sous contrôle, rapidement cela s'envenime notamment en 1971-1972 (on compte près de 368 attentas dans tout le pays.) ce qui va aboutir à un durcissement du régime avec la loi martiale et le déploiement de l'armée.

Si il à semblée un temps que la guerre civil fût éviter tout les espoirs fut écarté le 18 avril 1973 quand une partie de l'armée et une coalition de partie révolutionnaire se sont associé pour formée le PRSK dans un premier temps de 1973 à 1974 (partie révolutionnaire socialiste de Koush) puis dans un second temps le PLEP (partie de libération de l'empire Pharaonique) en 1975. Cela aboutissant à la prise d'otage des époux/épouse secondaire de la Pharaonne et leurs exécutions comme déclarations de guerre. (13 victimes)

la Guerre civil de 1973 à 1974, la guerre conventionnel :



Si l'exécution de tous les époux et épouse secondaire de la Pharaonne lui ont provoqué une colère noire, c'est avant tout un acte politique sans importante stratégique qui certes à choqué, mais à aussi ressemblé les ultras opposants au régime. Ainsi, la guerre civile est déclarée, au départ les insurgés n'ont pas de contrôle du territoire hormis l'est du pays et le sud (autour des plateaux et montagnes) mais cherche surtout à foncer le plus rapidement sur Amon-Rê Tjetesma et Djanpenutjeh les deux capitale (le pays étant très centralisé).
Néanmoins, la Pharaonne Hatshepsout VIII n'était pas dupe de la manœuvre, elle qui de ses 14 à 19 ans était dans l'armée. Elle regroupa ses forces et par des manœuvres éclaires défait les armées révolutionnaires aux batailles de Waspemu (dans le Sud) et Akpitjer (à l'est), de fait la situation semblait régler le sud-est en état de siège et l'Est est en cours de reconquête.
Cependant, la pharaonne n'avait pas prévu les très nombreux pièges et actes de guérilla auxquels l'armée du Kjhemet n'était pas du tout préparée d'autant plus que l'armée nationale n'a jamais été très nombreuse (le pays privilégiant la qualité à la quantité), autour de 800 000 Hommes sur tout le territoire avec seulement 345 000 Hommes lors de la campagne de 1973.
L'armée s'est donc embourbée dans l'est et dans le sud tandis que de nouveaux fronts s'ouvraient progressivement sur le reste du territoire à cause de partisans et miliciens (à l'exception du centre et du nord) qui ont fait éparpiller les forces armées encore plus et empêchant des interventions rapides de soutien entre armées.

la Guerre civil de 1974 à 1975, la guerre de guérillas et de positions :



Avec la guérilla, les insurgés révolutionnaires vont changer de tactique en voulant occupés du territoire via le harcèlement, en fatiguant les troupes et donc faire plier le pouvoir sans oublier que les révolutionnaires tentent de s'acheter la sympathie des locaux ou leurs soumissions par la terreur si nécessaire.
Du côté du pouvoir, la Pharaonne va également changer de tactique, d'abord en enrôlant des conscrits, mais qui doivent être formée puis envoyée au front ou en protection des convoi ce qui prend du temps ensuite elle va décider d'appliquer la progression en tache d'huile. C'est-à-dire qu'elle va compartimenter la progression par secteur et seulement quand ce secteur est totalement sécurisé alors un autre secteur peut être attaqué ;
L'inconvénient de tout cela étant que d'un côté ou de l'autre la population civile souffre énormément de ses passages et finalement cela va aboutir à une stagnation avec l'armée nationale qui contrôle les grandes villes et les insurgés qui contrôlent les campagnes et les villes plus petites (à l'exception de la ville de Louxor et de Kusnurma ainsi que leur région pour les insurgés)
A ce stade la Pharaonne fait le constats premièrement que malgré le gonflement de son armée de centaine de milliers de soldats les gains sont minime notamment à cause d'une démoralisation progressive , deuxièmement son pouvoir s'affaiblie de jour en jour par la remise en cause de son pouvoir à l'image des député qui s'oppose régulièrement aux directives et troisièmement que contre toute attente que le PRSK puis le PLEP à réussit à gonfler ses et à recevoir du matériel lourd (comme des chars) et prépare une attaque de grande ampleur sur tout le territoire.
Encore à ce jour, on ne sait pas qui a fournit tout ce matériel aux insurgés, mais ce qui est sur est qu'ils veulent en finir rapidement avec une attaque concentré à la date anniversaire de la formation du PLEP le 3 septembre 1975, sachant que leurs espions ont fournis des informations précieuses sur l'état de l'armée nationale et des points faible du Front.

la Guerre civil de décembre 1975 à février 1976, La surprise de l'attaque des insurgés :



Le 3 septembre 1975 à 4H12 du matin, l'attaque est lancé en même temps sur tous les fronts contre l'armée de la Pharaonne, si l'Est tient bien le choc un premier temps grâce à la présence de la Pharaonne et d'un des généraux ayant le plus le vent en poupe Nofre-hotep le reste des fronts vont se faire ébréché après de vifs combats. Le front sud-est percé à 16H34, la ville sacrée de Amon-Rê Tjetesma est prise le 4 septembre le front ouest s'écroule à 18h 02, mais l'avancé est ralentie par le manque d'infrastructure via le Désert.
Ainsi plus d'un million de partisans plus ou moins bien formé se déverse à l'ouest et au sud, en catastrophe la Pharaonne ordonne le replie jusqu'à Shetnubu au nord et jusqu'à l'Iteru au Sud à moins de 100 kilomètres de la capitale et à l'ouest jusqu'à Napsybesheh.
Ce repli sera salvateur pendant un temps, car l'avancée irrésistible des insurgés s'arrête brusquement sur les défenses renforcées de l'armée nationale le 28 décembre 1975.
Immédiatement après la pharaonne promulgue un décret qui force tout les kjhemetou qui ne travaille pas au champs et au ravitaillements (usine, convoie,etc.) à prendre les armes au nom des dieux et de la nation ainsi que de réquisitionner tout ce qui serait utile à l'effort de guerre, tout en dissolvant le corps législatif et emprisonnant tout opposant politique parmi les députés et dirigeant des sepats quel que soit leur échelle. De décembre 1975 à février 1976, les efforts colossaux consentis portent leur fruit, car par miracle non seulement le front tient, mais en plus des contre-attaques vigoureuses repousse la plupart des insurgés, qui devant géré leur ligne logistique sont repoussé de plusieurs kilomètres.
Le bilan est très lourd des deux coté tout antan que la fatigue, le constat est que les insurgés tiennent la grande partie du territoire et la pharaonne les deux régions du centre et du nord les plus peuplées et riche.
Enfin la Pharaonne et le PLEP semblent vouloir un compromis car les deux camps ont perdu des centaines de milliers de soldats et les pertes civils se comptent en millions sans oublier que la guerre à ruiner le pays de fond en comble, tout ses efforts ont cependant montré ses limites le pouvoirs est ruiner mais tient bon grâce à ses ressources de ses deux régions les plus riches et les insurgés voient leur nombre fondre à vue d'œil tout comme leur réserve, ils veulent donc profiter de leur immense avantage tant qu'il le peuvent.

la Guerre civil de février 1976 à mai 1976, L'appel du pouvoir et la futur victoire insurgés :



A contre cœur la Pharaonne se résigne à accepter des pourparlers avec les insurgés, la date des pourparlers à été fixer au 12 mars ce qui semble être accepter par le PLEP mais un évènement majeur va ce produire le 11 mars 1976 à 12H12 Nofre Hotep le général du front de l'est avec le plus grand nombre de troupe proclame un gouvernement transitoire révolutionnaire du Kjhemet et tout en lançant son coup d'Etat se rallie aux insurgé pour renversé la Pharaonne Hatshepsout VIII.
Il a été difficile de comprendre la trahison de Nofre Hotep peut être a il sentie le vent tourner ou simplement l'appel du pouvoir (on lui connaissait une forte ambition.), cela étant cette trahison change totalement les cartes, les insurgés en profitant donc pour rompre les pourparlers et lancé le 12 mars 1976 une attaque sur la totalité de la région du nord. Désormais, les troupes Pharaonique sont largement en sous-nombre avec des combats à 1 contre 3 voir 1 contre 5 par endroit, même si la plupart sont endurcies par les combats et résistent avec la plus grande des vaillances les villes tombent les unes après les autres, dont Shetnubu le 14 mars, Napsybesheh le 25 mars et Qulbybesheh le 16 avril.
Le 28 avril 1976 toute la région du nord-est conquise, la guerre est dors et déjà perdu, mais la pharaonne refuse catégoriquement de partir en exil, déjà qu'accepter des pourparlers a été très dur pour elle alors l'abandon ou l'exil lui est insupportable alors elle se replie en direction de la capitale.

Toutefois, la réalité la rattrape seule, 19 342 soldats parviennent à se replier dans la région de la capitale face à environ 1,5 million de soldats et miliciens. Même si dans ses 20 000 soldats, c'est dans la majorité des professionnels de carrière, des vétérans parmi les vétérans le déséquilibre des forces est devenus abyssale et désormais seul la population de la capitale et de ses alentours pourront protéger les restent de l'empire.
Du côté insurgés, l'euphorie est immense, car la victoire est assurée, tout leur réussit depuis 1976 même Nofre-Hotep qui est proclamé chef des armées et du gouvernement transitoire "promet" de répondre aux attentes des insurgés comme la fin de L'empire, la fin de la noblesse, la fin des inégalités, etc.
Nofre-Hotep maintenant chef désigné va accorder une pause jusqu'au 12 mai pour se reposer, reprendre des munitions et vivres tout en organisant les futures opérations sur Djanpenutjeh.
Du côté du pouvoir, chaque journée est mise à profit pour piéger les routes et les villes, organisé les défenses des quelques villes restantes surtout Djanpenutjeh, continué à maintenir les forces armées insurgés au Sud derrière l'Iteru et enrôlé un maximum de personne homme, femme et enfants jusqu'au blessé tant qu'ils peuvent tenir une arme.
Également comme dernier espoir la Pharaonne Hatshepsout VIII fait un appel à l'échelle internationale des autres nations, une dernière illusion de victoire, car même si des volontaires sont bien venus rien d'étatique a été lancé.

la Guerre civil de mai 1976 à juillet 1976, La bataille pour Djanpenutjeh :



Le 12 mai, les opérations sont lancées par Nofre Hotep pour prendre Djanpenutjeh son armée dépassant 1,5 million d'hommes endurcie par 3 ans de guerre contre 338 965 soldats que la Pharaonne a réussit à réunir (dont seulement 26 374 sont des soldats de métier ) composé de civil, de blessé et de soldats.
Dès le début, les défenses sont submergées par l'attaque et les défenseurs sont sans cesse repoussés vers la capitale, même le sud du front traverse l'iteru et fonce sur la capital. Toutefois, il ne faut pas penser que les opérations fussent une promenade de santé, la région de Djanpenutjeh a toujours été très fidèle au pouvoir, et même si l'immense majorité des défenseurs sont des civils inexpérimenté ceux-ci restent très combatif et prompt à une guérilla et des guerre de rue à la fois pour sauvegarder leur vie et par fidélité à l'Empire/Pharaon.
Si l'objectif numéro 1 est la capitale pour renverser le souverain, il reste que la très grande densité de population, le nombre de villes et les nombreux pièges installer pose de réel problème au insurgé même si un certain nombre de villes et donc de poche de résistance sont éviter ou encerclé.

Les résultats sont toutefois là, la progression ne peut être arrêtée durant tous le mois de juin où les territoires périphériques sont pris ou neutralisés et le 15 juillet 1976 le combat final se prépare à quelques kilomètres de la capitale, où s'est retranché la Pharaonne et le reste de son armée estimé à 155 743 soldats (dont 12 497 professionnels) . Si la pharaonne quasi-infatigable motive encore ses troupes avec la plus grande des motivations, personne n'est dupe que ce combat sera le dernier combat qui compte.
En face Nofre-Hotep dans son calme légendaire à déployer ses troupes avec précautions et intelligences, avec initialement 780 000 pour ne pas gêner la manœuvre puis le reste de ses troupes pour en finir une bonne fois pour toutes.

16 juillet 3H30 du matin, la fraîcheur de la nuit accompagne tous les soldats et les Etats major fatigué, mais apte au combat, les uns résignés les autres sur-motivé et tout le monde profite de ses dernières minutes de répit. Le ciel est parfaitement dégagé, les armes chargées, tout est prêt.
Dès 3H45 un barrage d'artillerie intense s'abat sur les défenseurs bien retranché, à 4H15 l'assaut est lancé les chars avance les avions couvre le ciel et les soldats s'entre-tue.
Ce carnage continue toute la journée, la pharaonne criant à plein poumon des ordres et des encouragements en plein milieu du champ de bataille forçant l'admiration de tous. A 13h30 la ligne recule mais tient bon, à 15h02 les défenseurs commence à manquer de munition, mais se batte toujours.

Les insurgés se batte également avec toute la motivation du monde écrasant les défenseurs de leur nombre et réussit finalement à percer la ligne fortifiée à 18H22 sur le flanc gauche suivie du flanc droit qui se désagrège complètement, il ne reste plus que le centre avec Hatshepsout VIII à sa tête accompagné de sa garde impériale.
Vers 19H00 plusieurs balles atteignent la souveraine qui est mortellement blessée et se vide de son sang jusqu'à que les dernières balles et obus soit consommé en même temps que la Pharaonne succombe à ses blessures, ce constat fait la garde impérial fidèle à leur serment préfère mourir que de se rendre. À 20h15 tout est fini, la victoire est sans appel pour les insurgés qui exténuer rentre dans la capitale le lendemain.

Bilan de la bataille :
98 000 morts et 57 743 capturés dont 22 653 blessés pour l'armée national
166 475 mort, 15 473 blessés pour les insurgés

La victoire révolutionnaire et ses conséquences de juillet à octobre 1976 :



Les insurgés font leur entrer sans aucune violence et dans une discipline impeccable dans la capitale sous les yeux à la fois inquiets et stupéfaits de la population. Nofre-hotep par son pouvoir de président du gouvernement provisoire ayant négocié la veille pour que tout se passe bien à leur arriver, aussi pour montrer que les insurgés ne sont pas contre le peuple en étant de simple brut pillard au vu des trois années de guerre et de guérillas auquel la population a grandement souffert.
Le cortège révolutionnaire remonte vers le palais impérial où une partie de la famille impériale a fui tandis que ce qui est resté va rencontrer Nofre Hotep et son gouvernement même s'il est inutile de précisé que la rencontre fût très tendu. Nofre-Hotep va ensuite les faire prisonnier et monter au balcon du palais pour déclarer dans un discours d'une heure trente (diffusé et retransmis par la télévision et par radio) la victoire des révolutionnaires, la fin de la guerre et des promesse de bon traitement voir des futures amnistie aux opposantes armées ou non au gouvernement provisoire s'ils se rendent.

La victoire des révolutionnaires est concomitante à la création d'un vrai gouvernement qui va associer une majorité de révolutionnaire à tendance marxiste, des plus modéré et quelque ultranationaliste d'extrême droite (qui sont peu nombreux, mais qui vont prendre de plus en plus d'importance).
Ce gouvernement provisoire va dans un premier temps faire un bilan matériel et humain de la guerre civil, se bilan est estimé entre 7 à 9 millions de morts, dont 1,5 million de soldats tout camp confondu et 30% des infrastructures détruite dans le pays.
Ensuite et jusqu'au 19 octobre 1976 le gouvernement mené par Nofre-hotep va tenter d'appliquer leurs programmes avec plus ou moins bien de réussite. Par exemple : une répartition des terres aux peuples, la nationalisation des entreprises du pays, la fin des classes sociales, un salaire minimum et des caisses sociales, une refonte monétaire et une nouvelle constitution.
Sur le plan social il est clair que le gouvernement provisoire est une réussite, sur le plan économique la fin de la guerre, le retour des échanges et les réformes permettent une remonté économique progressive mais le très gros point noir de ses 4 mois de gouvernement est le plan politique car il y a de très nombreuse différence politique au seins du gouvernement (que la guerre civile avait fait cohabiter) et personne sait qu'elle régime établir après le gouvernement provisoire. En conséquence, le pays n'a pas de vrai exécutif et le législatif est très fragile ainsi que diviser (le corps législatif a été dissous dès le premier jour du gouvernement.), les instabilités apparaissent de plus en plus intensément et fréquemment.

Cette situation va entraîner une hausse de la corruption dans les sphères du pouvoir dans le gouvernement ou dans le corps législatif nouvellement élu le 1er septembre 1976, dont le nouveau partie de Nofre-Hotep (qui se décrit comme indépendant) Le PEDP récolte 280 sièges sur 600 et le PLEP 220 sièges , les autres sièges sont un ensemble de parties minoritaire.).
Le parti n'est pas directement majoritaire mais la très grande influence de Nofre-Hotep, va par voie de négociation et surtout de corruption permettre un rattachement de nombreux députés dans la sphère d'influence du PEDP (estimé a une majorité officieuse de 400 députés)

Le pays va donc vivre sous ce régime particulier et instable jusqu'au 19 octobre date où Nofre-Hotep se sachant dominant dans la majorité des sphères politique, administratives et surtout militaire lance un coup d'Etat. Ce coup d'Etat sera court car en moins de 20h la quasi totalité du pays est sous le contrôle direct de l'armée avec des résistance disparate par exemple dans la capitale il n'y aura aucune violence, la où dans Kusnurma il y aura 555 mort.

Il reste que le pays est dirigé par Nofre-Hotep en personne qui installe sa dictature en arrêtant ses opposants et une bonne partie de ses alliés qui ne lui sont pas fidèles. Également tout ce qui se sont rendu après la prise de Djanpenutjeh et qui attendait leur amnistie emprisonner ou sous surveillance seront maintenu ou envoyer en prison, torturer, voir exécuter (certains sont sortiront par allégeance au pouvoir.). Désormais, jusqu'en 1996, le pays sera sous la coupe de la dictature de Nofre-Hotep grâce à la guerre civile.
La famille impériale aura trois avenirs différents certains seront maintenu emprisonner jusqu'en 1996, d'autre exécuter et surtout certain partiront en exil et "exerceront le pouvoir" depuis l'Eurysie avec des tentatives continue pour retrouver le pouvoir.

Les conséquences de la guerre civil ont donc été un grand nombre de mort et de destruction pour ensuite se transformer en des espoirs d'une vie meilleur pendant le gouvernement provisoire révolutionnaire avec des idée "novatrices" pour l'époque dans l'Empire mais finir par un coup d'état crée par l'instabilité post guerre civil qui établie une dictature longue de 20 ans dont les effets se ressentent encore aujourd'hui après la restauration de la dynastie.
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