01/08/2015
19:33:03
Index du forum Continents Eurysie Rasken

Entreprise Raskenoise

Voir fiche pays Voir sur la carte
11822

Apex Energy


Apex Energy

Histoire
Apex Energy est une entreprise publique sur le sol Raskenois, chargée de l’intégralité de l’approvisionnement énergétique du pays. Son objectif est de maintenir, par tous les moyens, un approvisionnement stable et constant afin de ne pas perturber la vie économique de la nation. Pour en arriver là où elle est aujourd'hui, l’entreprise a parcouru un long, très long chemin. Tout commence en 1918 avec la création de l’entreprise privée Apex. Cette petite entreprise s’est spécialisée dès sa création dans l’extraction pétrolière, une source d’énergie en plein essor. Son créateur, Jeremias Breytenbach, y voyait un moyen de s’enrichir facilement. Cependant, les premières années de l’entreprise ne furent pas un long fleuve tranquille. Pendant les quatre premières années de son histoire, aucune découverte ne fut faite. Pire, son dirigeant, Jeremias Breytenbach, pensa même à jeter l’éponge. Cependant, Jeremias s’accrocha, et ce fut une bonne décision, car un an après, en 1923, la première découverte d’Apex fut officialisée avec Eisenbrand, un géant de quasiment 5 milliards de barils de réserve exploitable. La joie liée à la découverte d’un si gros gisement ne fut pas de longue durée, car l’année suivante, en 1924, une deuxième découverte fut officialisée avec Feuerklang, un gisement encore plus grand qu’Eisenbrand, estimé à plus de 5,5 milliards de barils de réserve exploitable. Jeremias se voyait déjà comme un magnat du pétrole, un producteur majeur de la région, et cela aurait dû être le cas, mais la réalité fut toute autre.

En effet, le gouvernement de la République de Brod Flor de l’époque, sous la présidence de Wilhelm Wagner, fit voter une loi en 1925 afin de pérenniser son approvisionnement en énergie. Cette loi stipulait que la production d’Apex devait suivre de près la consommation du pays afin de ne pas épuiser trop rapidement les gisements. Cette loi limita fortement la hausse de la production d’Apex ainsi que les ambitions de richesse de son fondateur.

En parallèle d’Apex, une autre entreprise commença à faire parler d’elle : Energy Kraft. Fondée en 1928 par Fritz Potthast, cette entreprise se spécialisa dans le raffinage du pétrole brut. Sa croissance fut bien moins problématique qu’Apex, car à peine deux ans après sa création, Energy Kraft inaugura sa première raffinerie. En 1932, soit deux ans plus tard, Apex franchit un jalon important : sa production dépassa pour la première fois la barre des 100 000 barils par jour. Durant les années suivantes, rien de marquant ne se produisit, à l’exception de l’inauguration d'une deuxième raffinerie par Energy Kraft en 1938. La prochaine date importante arriva en 1947. Cela faisait déjà un certain temps que le gouvernement y réfléchissait, mais cette année-là, la nationalisation d’Apex fut actée. Un an seulement après cette nationalisation, l’entreprise désormais publique dépassa la barre des 200 000 barils par jour. Cette année fut également marquée par la découverte du troisième gisement Raskenois, baptisé Erdschatten. Comparé à ses deux grands frères, ce gisement était bien plus petit, avec des réserves récupérables de 3,8 milliards de barils, le classant dans la catégorie des grands gisements, et non des gisements géants comme Feuerklang ou Eisenbrand.

À partir de 1951, le pays entra en guerre civile. Les deux camps qui s'affrontèrent étaient, d’un côté, le futur camp impérial dirigé par la générale Kristina Schützenberger, et de l’autre, le camp républicain dirigé par le président Friedrich Weber, alors en plein milieu de son mandat. De 1951 à 1976, il ne se passa presque rien, si ce n’est que la loi sur le pétrole, stipulant que la production devait suivre de près la consommation, fut abrogée par les deux camps. Cette abrogation visait à financer l’effort de guerre, d’abord du côté républicain, puis au fur et à mesure que les troupes de la générale Schützenberger gagnaient du terrain, du côté impérial. À la sortie de la guerre civile en 1976, le camp impérial victorieux rétablit la loi de 1925, réduisant ainsi drastiquement la production.

La même année, Energy Kraft fut à son tour nationalisée, puis fusionnée avec Apex pour former Apex Energy. L’année suivante, en 1977, il fut décidé qu’Apex Energy serait la seule entreprise autorisée sur le territoire Raskenois à s’occuper du secteur énergétique, incluant l’extraction d’hydrocarbures, la production électrique et le transport de l’énergie en général. En 1978, le site de Tremblay fut inauguré avec le premier réacteur de recherche Raskenois, Gretel 1. Plus tard, entre 1996 et 1997, Apex Energy inaugura les deux tranches du barrage d'Osterwald pour une capacité totale de 4000 MW.

À partir de 1998, les dirigeants de l’entreprise commencèrent à émettre des inquiétudes quant au futur de l’approvisionnement énergétique de Rasken. En effet, les gisements actuellement en exploitation avaient tous plus de 50 ans, voire plus de 70 ans pour les plus anciens. Et la loi de 1925, limitant la production, commençait à montrer ses limites. Comme si une entité supérieure les avait entendus, l’année suivante, Apex fit sa dernière découverte de pétrole, bien que modeste comparée à ses trois prédécesseurs. Le gisement baptisé Lagerstätte ne disposait que de 1,1 milliard de barils exploitables. Les dirigeants d’Apex n’attendirent pas longtemps avant de fixer la marche à suivre : Lagerstätte fut développé de manière agressive, sa production passant de zéro en 2000 à 160 000 barils par jour quatre ans plus tard, en 2004. Cette montée rapide permit de réduire la production des trois autres gisements et donc de les économiser encore un peu plus. Cette mise en production rapide repoussa le pic de production, qui aurait normalement dû avoir lieu en 2001. Au lieu de cela, la production pétrolière continua à augmenter pendant la décennie. Cependant, les analystes ne se faisaient pas d’illusions : si le pic n’avait pas eu lieu en 2001, il n’avait été que retardé et devrait survenir durant la décennie 2010.

À partir de 2005, Apex commença à prospecter le plateau de Crystal. Bien que cet environnement soit inhospitalier, certains chercheurs estimaient qu’il pourrait receler des réserves significatives. La même année, un nouveau gouvernement fut élu, moins opposé à l’énergie nucléaire que le précédent. Tout au long de l’année, des discussions eurent lieu au sein de l’Assemblée nationale pour décider si Rasken devait ou non se lancer dans l’atome. Finalement, le besoin croissant de remplacer les centrales à charbon en raison de leur pollution, ainsi que le bon fonctionnement du démonstrateur industriel Katia, suffirent à convaincre l’Assemblée et le gouvernement. À partir de cette date, Apex fut chargée de développer les infrastructures nécessaires au lancement d’un programme nucléaire à grande échelle afin de fermer la totalité des centrales à charbon d’ici 2024.

En 2011, comme l’avaient prédit les analystes, les quatre gisements Raskenois dépassèrent leur pic de production. Dès lors, le pays dut apprendre à vivre avec de moins en moins de pétrole produit sur son sol. Cependant, cette triste nouvelle fut éclipsée quelques mois plus tard par une autre annonce d’Apex Energy. En effet, les prospections du plateau de Crystal avaient été menées à terme et les résultats étaient très positifs : pas moins de six gisements furent découverts, et tous étaient classés dans la catégorie des super géants, c’est-à-dire possédant chacun plus de 10 milliards de barils exploitables. Le plus grand, Smaragdglut, atteignait presque les 60 milliards. La même année, l’entreprise inaugura ses deux premiers réacteurs nucléaires à la centrale d’Osterwald. Ces réacteurs, appelés RPR (Réacteur Pressurisé Raskenois), appartiennent à la génération 3+ et ont une puissance de 1200 MW. L’inauguration des deux premières tranches n'était que le début, car la centrale d’Osterwald accueillera à terme six réacteurs de 1200 MW. Viennent ensuite la centrale d’Ortmann, avec les mêmes caractéristiques, et enfin la centrale de Brandis, qui possédera le même nombre de réacteurs, mais avec une puissance de 1600 MW.



Secteur d’activité de l’entreprise

Pétrole
Gaz
Charbon
Barrage
Centrale biomasse
Centrale à gaz
Centrale au charbon
Nucléaire
Le secteur de l’énergie nucléaire est à la fois l’un des plus récents tout en étant relativement ancien. En effet, la production électrique d’origine nucléaire n’a vu le jour qu’en 2011 avec le démarrage des deux premiers réacteurs de production du pays au sein de la centrale d’Osterwald, qui devrait à terme accueillir 6 réacteurs nucléaires de 1200 MW. Cependant, l’histoire nucléaire d’Apex n’a pas commencé en 2011, mais dans les années 70 avec la construction de réacteurs expérimentaux et de démonstrateurs. Malheureusement, la faible volonté politique de l’époque ne permit pas de passer du démonstrateur industriel à l’échelle commerciale.


Pôle de production

Centrale nucléaire d’Osterwald (Rasken)
• Osterwald 1 : Puissance : 1200 MW, date de début des travaux : 2006, date du démarrage du réacteur : 2011 / Consommation en uranium naturel : 240 tonnes par an
• Osterwald 2 : Puissance : 1200 MW, date de début des travaux : 2006, date du démarrage du réacteur : 2011 / Consommation en uranium naturel : 240 tonnes par an
• Osterwald 3 : Puissance : 1200 MW, date de début des travaux : 2007, date du démarrage du réacteur : 2012 / Consommation en uranium naturel : 240 tonnes par an
• Osterwald 4 : Puissance : 1200 MW, date de début des travaux : 2007, date du démarrage du réacteur : 2012 / Consommation en uranium naturel : 240 tonnes par an
• Osterwald 5 : Puissance : 1200 MW, date de début des travaux : 2008, date du démarrage du réacteur : 2013 / Consommation en uranium naturel : 240 tonnes par an
• Osterwald 6 : Puissance : 1200 MW, date de début des travaux : 2009, date du démarrage du réacteur : 2014 / Consommation en uranium naturel : 240 tonnes par an

Centrale nucléaire d’Ortmann (Rasken)
• Ortmann 1 : Puissance : 1200 MW, date de début des travaux : 2010, date de démarrage du réacteur : 2015 / Consommation en uranium naturel : 240 tonnes par an
• Ortmann 2 : Puissance : 1200 MW, date de début des travaux : 2011, date de démarrage du réacteur : 2016 / Consommation en uranium naturel : 240 tonnes par an
• Ortmann 3 : Puissance : 1200 MW, date de début des travaux : 2012, date de démarrage du réacteur : 2017 / Consommation en uranium naturel : 240 tonnes par an
• Ortmann 4 : Puissance : 1200 MW, date de début des travaux : 2013, date de démarrage du réacteur : 2018 / Consommation en uranium naturel : 240 tonnes par an
• Ortmann 5 : Puissance : 1200 MW, date de début des travaux : 2014, date de démarrage du réacteur : 2019 / Consommation en uranium naturel : 240 tonnes par an
• Ortmann 6 : Puissance : 1200 MW, date de début des travaux : 2015, date de démarrage du réacteur : 2020 / Consommation en uranium naturel : 240 tonnes par an

Centrale nucléaire de Brandis (Rasken)
• Brandis 1 : Puissance : 1600 MW, date de début des travaux : 2016, date de démarrage du réacteur : 2021 / Consommation en uranium naturel : 320 tonnes par an
• Brandis 2 : Puissance : 1600 MW, date de début des travaux : 2017, date de démarrage du réacteur : 2022 / Consommation en uranium naturel : 320 tonnes par an
• Brandis 3 : Puissance : 1600 MW, date de début des travaux : 2018, date de démarrage du réacteur : 2023 / Consommation en uranium naturel : 320 tonnes par an
• Brandis 4 : Puissance : 1600 MW, date de début des travaux : 2020, date de démarrage du réacteur : 2025 / Consommation en uranium naturel : 320 tonnes par an
• Brandis 5 : Puissance : 1600 MW, date de début des travaux : 2025, date de démarrage du réacteur : 2030 / Consommation en uranium naturel : 320 tonnes par an
• Brandis 6 : Puissance : 1600 MW, date de début des travaux : 2029, date de démarrage du réacteur : 2034 / Consommation en uranium naturel : 320 tonnes par an

Centrale nucléaire de Thalberg (Rasken)

En projet

Centrale nucléaire de Schoff (Rasken)

En projet

Centrale nucléaire de Teschner (Rasken)

En projet

Centrale nucléaire de (Sylva)

• Sylva 1 : Puissance : 1600 MW, date de début des travaux : 2012, date de démarrage du réacteur : 2017 / Consommation en uranium naturel : 320 tonnes par an
• Sylva 2 : Puissance : 1600 MW, date de début des travaux : 2012, date de démarrage du réacteur : 2017 / Consommation en uranium naturel : 320 tonnes par an
• Sylva 3 : Puissance : 1600 MW, date de début des travaux : 2013, date de démarrage du réacteur : 2018 / Consommation en uranium naturel : 320 tonnes par an
• Sylva 4 : Puissance : 1600 MW, date de début des travaux : 2013, date de démarrage du réacteur : 2018 / Consommation en uranium naturel : 320 tonnes par an


Pôle de Raffinage/Retraitement

Centre d’enrichissement de Balmer (Rasken)
• Balmer 1 : Capacité de raffinage d’uranium naturel : 1000 tonnes / Nombre de réacteurs pouvant être alimentés : 6,25 de 1200 MW ou 4,7 de 1600 MW / Date de début des travaux : 2006 / Date de démarrage du réacteur : 2010
• Balmer 2 : Capacité de raffinage d’uranium naturel : 1000 tonnes / Nombre de réacteurs pouvant être alimentés : 6,25 de 1200 MW ou 4,7 de 1600 MW / Date de début des travaux : 2006 / Date de démarrage du réacteur : 2010
• Balmer 3 : Capacité de raffinage d’uranium naturel : 1000 tonnes / Nombre de réacteurs pouvant être alimentés : 6,25 de 1200 MW ou 4,7 de 1600 MW / Date de début des travaux : 2006 / Date de démarrage du réacteur : 2010
• Balmer 4 : Capacité de raffinage d’uranium naturel : 1000 tonnes / Nombre de réacteurs pouvant être alimentés : 6,25 de 1200 MW ou 4,7 de 1600 MW / Date de début des travaux : 2006 / Date de démarrage du réacteur : 2010
• Balmer 5 : Capacité de raffinage d’uranium naturel : 1000 tonnes / Nombre de réacteurs pouvant être alimentés : 6,25 de 1200 MW ou 4,7 de 1600 MW / Date de début des travaux : 2006 / Date de démarrage du réacteur : 2010
• Balmer 6 : Capacité de raffinage d’uranium naturel : 1000 tonnes / Nombre de réacteurs pouvant être alimentés : 6,25 de 1200 MW ou 4,7 de 1600 MW / Date de début des travaux : 2006 / Date de démarrage du réacteur : 2010

Centre d’enrichissement de Schulz (Rasken)
• Schulz 1 : Capacité de raffinage d’uranium naturel : 1000 tonnes / Nombre de réacteurs pouvant être alimentés : 6,25 de 1200 MW ou 4,7 de 1600 MW / Date de début des travaux : 2012 / Date de démarrage du réacteur : 2016
• Schulz 2 : Capacité de raffinage d’uranium naturel : 1000 tonnes / Nombre de réacteurs pouvant être alimentés : 6,25 de 1200 MW ou 4,7 de 1600 MW / Date de début des travaux : 2013 / Date de démarrage du réacteur : 2017
• Schulz 3 : Capacité de raffinage d’uranium naturel : 1000 tonnes / Nombre de réacteurs pouvant être alimentés : 6,25 de 1200 MW ou 4,7 de 1600 MW / Date de début des travaux : 2014 / Date de démarrage du réacteur : 2018
• Schulz 4 : Capacité de raffinage d’uranium naturel : 1000 tonnes / Nombre de réacteurs pouvant être alimentés : 6,25 de 1200 MW ou 4,7 de 1600 MW / Date de début des travaux : 2015 / Date de démarrage du réacteur : 2019
• Schulz 5 : Capacité de raffinage d’uranium naturel : 1000 tonnes / Nombre de réacteurs pouvant être alimentés : 6,25 de 1200 MW ou 4,7 de 1600 MW / Date de début des travaux : 2016 / Date de démarrage du réacteur : 2020
• Schulz 6 : Capacité de raffinage d’uranium naturel : 1000 tonnes / Nombre de réacteurs pouvant être alimentés : 6,25 de 1200 MW ou 4,7 de 1600 MW / Date de début des travaux : 2017 / Date de démarrage du réacteur : 2021

Centre de retraitement du combustible nucléaire Karina (Rasken)
• Karina 1 : Capacité de traitement du combustible nucléaire : 10 réacteurs par an / Date de début des travaux : 2006 / Date de démarrage du centre : 2010
• Karina 2 : Capacité de traitement du combustible nucléaire : 10 réacteurs par an / Date de début des travaux : 2010 / Date de démarrage du centre : 2015
• Karina 3 : Capacité de traitement du combustible nucléaire : 10 réacteurs par an / Date de début des travaux : ???? / Date de démarrage du centre : ????

Le centre de retraitement du combustible nucléaire Karina a pour spécificité de séparer le plutonium du reste du combustible usagé afin d’en faire du MOX. Ce MOX sera utilisé dans les réacteurs de la centrale de Brandis.


Pôle de stockage des déchets nucléaires

Site de stockage de Vasylivna
• Date de début des travaux : 2002 / Date de démarrage du centre : 2010

Le site de stockage de Vasylivna, situé dans la région d’Adéon, est conçu pour stocker les déchets radioactifs de haute activité (HA) et de moyenne activité à vie longue (MA-VL), qui ne peuvent pas être stockés en surface ou en faible profondeur pour des raisons de sûreté nucléaire ou de radioprotection. Celui-ci a actuellement la capacité de stocker l’équivalent des 60 prochaines années de déchets produits par nos centrales existantes et en construction. Cependant, cette capacité pourra être grandement agrandie dans les décennies à venir. Particularité de cette installation, une grande partie des installations souterraines de Vasylivna se trouve sous la mer. En effet, les puits d’accès qui seront utilisés pour descendre dans Vasylivna se trouvent bel et bien à terre, mais le prolongement de la couche géologique se situe en grande majorité sous la mer aux alentours de 540 mètres de profondeur.


Pole de recherche

Site de Tremblay

date de début des travaux : 1974 / date de fin des travaux : en perpétuelle agrandissement

D’une superficie totale de 24km2, le site de Tremblay est le seul centre de recherche sur l’Atome de Rasken. C’est sur ce site qu’Apex construit tous ses démonstrateurs industriels et ses projets pilotes. L’aventure du site de Tremblay commença en 1974 avec la construction du tout premier réacteur expérimental d’Apex nommé : Gretel 1 qui sera suivi 2 ans plus tard par Gretel 2.

Gretel 1:

Type : Réacteur à eau lourde refroidi au gaz
Caloporteur : eau lourde plus convection de l’air autour de la cuve
Combustible : Oxyde d’uranium
Début des travaux : 1975
Fin des travaux : 1977
Raccordement au réseau : 1978
Arrêt définitif du réacteur : 1985
Puissance thermique : 600 kw
Puissance électrique : 120 kw
Rendement : 20 %


Gretel 2:

Type : Réacteur à eau lourde refroidi au gaz
Caloporteur : eau lourde plus convection de l’air autour de la cuve
Combustible : Oxyde d’uranium
Début des travaux : 1976
Fin des travaux : 1978
Raccordement au réseau : 1979
Arrêt définitif du réacteur : 1986
Puissance thermique : 1136 kw
Puissance électrique : 250 kw
Rendement : 22%


Jeckeln 1

Type : réacteur nucléaire de recherche type argonaute
Caloporteur : Eau légère
Combustible : Uranium enrichie à 24 %
Début des travaux : 1979
Fin des travaux : 1980
Arrêt définitif du réacteur : 2004
Puissance thermique : 140kw


Theodor 1:

Type : Réacteur nucléaire de type UNGG (Urnaium Naturelle Graphite Gaz)
Caloporteur : Air
Modérateur : Graphite
Combustible : Uranium naturelle
Début des travaux : 1984
Fin des travaux : 1987
Raccordement au réseau : 1988
Arrêt définitif du réacteur : 2000
Puissance thermique : 153 Mw
Puissance électrique : 40 Mw
Rendement : 26%


Theodor 2:

Type : Réacteur nucléaire de type UNGG (Urnaium Naturelle Graphite Gaz)
Caloporteur : Air
Modérateur : Graphite
Combustible : Uranium naturelle
Début des travaux : 1987
Fin des travaux : 1990
Raccordement au réseau : 1991
Arrêt définitif du réacteur : 2001
Puissance thermique : 192 Mw
Puissance électrique : 50 Mw
Rendement : 26%


Theodor 3:

Type : Réacteur nucléaire de type UNGG (Urnaium Naturelle Graphite Gaz)
Caloporteur : Dioxyde de carbone
Modérateur : Graphite
Combustible : Uranium naturelle
Début des travaux : 1988
Fin des travaux : 1991
Raccordement au réseau : 1992
Arrêt définitif du réacteur : 2004
Puissance thermique : 535 Mw
Puissance électrique : 150 Mw
Rendement : 28%


Theodor 4:

Type : Réacteur nucléaire de type UNGG (Urnaium Naturelle Graphite Gaz)
Caloporteur : Air
Modérateur : Graphite
Combustible : Uranium naturelle
Début des travaux : 1989
Fin des travaux : 1993
Raccordement au réseau : 1994
Arrêt définitif du réacteur : 2017
Puissance thermique : 655 Mw
Puissance électrique : 190 Mw
Rendement : 29%


Katia 1 :

Type : Réacteur à eau pressurisée
Caloporteur : eau
Modérateur : eau
Combustible : Uranium enrichie à 5 %
Début des travaux : 1990
Fin des travaux : 1997
Raccordement au réseau : 1998
Arrêt définitif du réacteur : 2028
Puissance thermique : 1452 Mw
Puissance électrique : 450 Mw
Rendement : 31%


Irisdina 1 :

Type : Réacteur à neutron rapide
Caloporteur: Sodium
Combustible : MOX
Début des travaux : 2012
Fin des travaux (estimé): 2017
Raccordement au réseau (estimé): 2018
Arrêt définitif du réacteur : ????
Puissance thermique (estimé): 526 Mw
Puissance électrique (estimé): 200 Mw
Rendement (estimé): 38%


Bernhard 1:

Type : Réacteur à sels fondu
Caloporteur: Sodium
Combustible : fluorure d'uranium (UF4)
Début des travaux (estimé): 2014
Fin des travaux (estimé): 2019
Raccordement au réseau (estimé): 2020
Arrêt définitif du réacteur : ????
Puissance thermique (estimé): 612 Mw
Puissance électrique (estimé): 300 Mw
Rendement (estimé): 49%


Liste des projets/contrats menée par l’entreprise

-Contrat portant sur la livraison de 1,6 millions de barils par jour à la Shihai Keiretsu établie en Mährenie
-Gestion du pipeline reliant Rasken à la Mährenie
-Contrat portant sur la livraison de 200 000 barils par jour à la Energià distribución établie au Péronas
-Expédition en la foret de Padure portant sur l’exploration du sous sol de la foret en vue d’une future exploitation


Liste des projets/contrats en négociation par l’entreprise
-Contrat portant sur la livraison de 1millions de barils par jour à la Pharois Öljy-Yhtiö établie dans la Péninsule albienne (Finnevalta & Pharois Merirosvo)
-Financement du projet d’exploration de la foret de padure de la CRENWA (Wanmiri)
-Demande de licence d’exploration à la République de Mokhaï
-Demande de licence d’exploration au Valkoïnenland




Liste des projets/contrats en réflexion par l’entreprise
-Contrat portant sur la livraison de pétrole vers la Tcharnovie voisine
-Construction d’un réseau de pipeline en Tcharnovie afin d’alimenter plus facilement le pays
-Demande de licence d’exploration a la Wanmiri
8

Technica

17

Kruger Engineering

8

Schibane

7

Spinake

15

Aether Industrie

4432

Sterwagen


En recherche de logo
[img=]Carte[/img]

Sterwagen est la plus récente marque automobile de Rasken encore en activité. Le constructeur automobile voit le jour en 1966 grâce a ses deux fondateurs Markus Stereg et Rolf Wagenerg. A ses début, la marque n’attire pas grand monde, elle passe plusieurs fois très proche de la liquidation judiciaire. Les cause de cette situation sont nombreuse, premièrement il y avait la guerre civiles, même si la vie loin de la ligne de front était quasiment normale, un autre raison et que les modèles que la marque proposé était moins demandé que le reste. En effet, Sterwagen est une marque spécialisé dans la production de véhicules tout-terrain/franchissement. Bien que les véhicules de ce type était peux demander les deux créateur avait la volonté de crée une production nationale de véhicules tout-terrain pour ne pas dépendre de l’étrange, le problème étant que quitte à acheter un 4X4, les particuliers allait plutôt acheter le véhicules chez un marque reconnue à l’internationale plutôt que d’acheter une voiture à une marque nationale inconnue au bataille encore quelque année plutôt.

Le sauvetage de la marque arrivera sous la forme de deux acteurs totalement différents, le premier fut les agriculteur Raskenois qui du fait de leur activité roulé plus souvent sur de la terre que sur du bitume. Vient alors en 1972 la formation d’un collectif d’aide au agriculteur dans l’est du pays qui visait à aider les agriculteurs à se remettre au niveau technologique (certain possédant et utilisant encore des tracteur de 1910 ou des voiture vieille de plus de 40 ans plus du tout adapté). Cette aide viens sous la forme d’un appelle d’offre, celui ci eu un nombre conséquent de réponse de la part des constructeur internationaux ainsi que du petit constructeur nationale Sterwagen. C’est finalement ce dernier qui gagna l’appelle d’offre, réussissant à proposer un tout terrain peux cher mais très efficace.

Le deuxième fut l’entreprise nationale Apex Energy qui en 1977 qui avait besoin de renouveler sa flotte de véhicules vieillissant. Ses demandes était simple, l’entreprise avait besoin d’un véhicule passe partout. Étant donné ses activités pétrolière, gazière et charbonnière, l’entreprise avait besoins de véhicules qui pouvait atteindre les différent point de production. De plus, des gisements de gaz récemment découvert comme Caelum en 1970 et plus tard Cosmodôme en 1999 se situe en montagne dans des zones peut desservie par le réseau routier, les chemin en terre étant la norme. Ajouté à cela, la guerre civile qui avait ravagé de nombreuse route les rendant difficilement utilisable par des véhicules classique. Depuis cette date, Apex est resté un client régulier de la marque automobile, se tournant vers elle des que le besoin de nouveau véhicules se fait sentir.

Depuis son sauvetage miraculeux dans les années 1970, Sterwagen s’est développé au point de devenir la deuxième marque automobile de tout Rasken, que ce soit parmi les marques étrangères ou nationales.
Voici maintenant la liste des modèles proposés par Sterwagen :


Sterwagen Blücher

Drapeau

Fiche technique Sterwagen Blücher

    Nom : Sterwagen Blücher
    Type : SUV
    Modèle commercial : Blücher Vizegraf/Herzog/Fürst
    Prix : 36 000 / 42 000 / 57 000 Sleck (72 000 / 84 000 / 114 000 euros)
    Carburant : Essence
    Motorisation : V6 / V8 / V8 (tous atmosphérique)
    Puissance (ch) : 280 / 360 / 420
    Couple (Nm) : 386 / 480 / 560
    Cylindré (litres) : 2,6 / 2,8 / 3,2
    Consommation (litre pour 100km) : 7 / 7,4 / 7,9
    Transmission : 4 roues motrices
    Poids à vide : 2 800 kg
    Boîte de vitesse Automatique et Manuelle
    Vitesse max : 270km/h
    Accélération 0 à 100 Km/h (secondes) : 5,3 / 5 / 4,5


Sterwagen Reitz

Drapeau

Fiche technique Sterwagen Reitz

    Nom : Sterwagen Reitz
    Type : Véhicule tout terrain fait pour le franchissement
    Modèle commercial : Reitz Vizegraf/Herzog
    Prix : 28 000 / 34 000 Sleck (56 000 / 68 000 euros)
    Carburant : Essence
    Motorisation : V8 atmosphérique / V8 turbo
    Puissance (ch) : 300 / 420
    Couple (Nm) : 470 / 520
    Cylindré (litres) : 3 / 3
    Consommation (litre pour 100km) : 8 / 8,7
    Transmission : 4 roues motrices
    Poids à vide : 2 400 kg
    Boîte de vitesse : Automatique et Manuelle
    Vitesse max : 270km/h
    Accélération 0 à 100 Km/h (secondes) : 5,3 / 5


Sterwagen Falck

Drapeau

Fiche technique Sterwagen Falck

    Nom : Sterwagen Falck
    Type : Pick-up utilitaire avec des capacités de franchissement
    Modèle commercial : Falck Vizegraf/Herzog
    Prix : 28 000 / 34 000 Sleck (56 000 / 68 000 euros)
    Carburant : Essence
    Motorisation : V6 / V8 (tous atmosphérique)
    Puissance (ch) : 280 / 340
    Couple (Nm) : 470 / 520
    Cylindré (litres) : 2,6 / 3
    Consommation (litre pour 100km) : 6,7 / 7
    Transmission : 4 roues motrices
    Poids à vide : 2 400 kg
    Boîte de vitesse : Automatique et Manuelle
    Vitesse max : 270km/h
    Accélération 0 à 100 Km/h (secondes) : 6,4 / 6

Sterwagen Falck Kaiser

Drapeau

Fiche technique Sterwagen Falck Kaiser

    Nom : Sterwagen Falck Kaiser
    Type : Pick-up utilitaire avec des capacités de franchissement
    Modèle commercial : Falck Kaiser
    Prix : 60 000 (120 000 euros)
    Carburant : Diesel
    Motorisation : V10 (Compresseur volumétrique)
    Puissance (ch) : 640
    Couple (Nm) : 1012
    Cylindré (litres) : 5,4
    Consommation (litre pour 100km) : 15
    Transmission : 6 roues motrices
    Poids à vide : 2 800 kg
    Boîte de vitesse : Automatique et Manuelle
    Vitesse max : 320km/h
    Accélération 0 à 100 Km/h (secondes) : 5
Haut de page