23/02/2015
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Ici seront publiés les articles de presse et autres médias de la République de Makt

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maktmatin


DU SANG SUR LA GLACE !


EXCELLENCE ARENA
L'Excellence Arena, en Travie, qui a accueilli les mondiaux de Hockey sur glace s'est enflammée pour la finale historique entre la République de Makt et son petit frère le Lofoten, anciennes colonies, et rivaux historiques pour le titre de plus grand hockeyeurs du monde !

"Une nuit de pur hockey : Un match éblouissant se termine par une victoire éclatante" tels furent les mots des présentateurs qui commentèrent les dernières minutes du match historique qui s’est déroulé entre les deux nations soeurs. Alliés historiques, les équipes du Lofoten et de Makt se sont mués en impitoyables rivales sur la patinoire, et ne se sont rien épargnées.


"Ce fut une rencontre émouvante et intense entre des adversaires qui se disputent depuis des années le titre mondial de plus grands hockeyers du monde ! Une rivalité qui s'est transformée en une démonstration de talent sur la glace"
déclarait encore l’entraîneur maktois Magnus Olavsøn.
Les deux pays se revendiquent chacun d’être les plus grandes nations du hockey, et encore une fois ils l’ont prouvé. Ce sport a été érigé au rang de sport national au sein de la république Maktoise, tandis que dans les Provinces-Unies, il vient en seconde position après le biathlon, en terme du nombre de licenciés. Mais dans chacun de ces deux pays respectifs, le hockey est extrêmement populaire, d’ailleurs, la crosse de hockey, qui fait parfois office de décoration murale, est l’un des cadeaux les plus offerts à Noël.

Les amateurs de hockey ont été invités à un spectacle mémorable hier soir dans l’Excellence Arena de Travie, où les équipes rivales les "Loups Blancs", aussi appelés les WW (ie . "White Wolfs of Lofoten") et les "Ours Furieux" (Angry Bears of Makt) se sont affrontés dans un match qui restera gravé dans les mémoires. Cette soirée de hockey a été une célébration de la passion, de la rivalité et, bien sûr, de l’excellent jeu sur la glace.
Une rencontre intense et brutale, preuve que l’amitié fraternelle entre Maktois et Lofotens n’a pas beaucoup pesé dans l’esprit de compétition, et que l'une ou l'autre des équipes n'a guère retenu ses poings.
Dès le coup d'envoi, il était clair que les deux équipes étaient prêtes à tout donner pour remporter la victoire, et à prouver à la partie adverse qui était le grand maître mondial de la crosse. Les gradins étaient remplis de partisans et supporters enthousiastes, portant fièrement les couleurs de leur équipe préférée. L'atmosphère électrique et chauffée à blanc de l'aréna a été un rappel que le hockey est bien plus qu'un simple sport pour cette communauté passionnée.
Car le match a débuté de manière explosive, avec une série de tirs puissants et de superbes arrêts des gardiens des deux équipes. Les passes précises et les jeux défensifs acharnés ont captivé le public. Les équipes se sont affrontées pour chaque pouce de glace, ce qui a maintenu le suspense tout au long de la soirée.
Le premier but a été inscrit par
Arthur Pendletøn de l'équipe lofotène, qui a réussi à tromper le gardien adverse avec un tir précis. L'arène a explosé de joie alors que les partisans des Loups Blancs célébraient le but de leur héros en agitant des masques à l’effigie de la mascotte de leur équipe nationale. Cependant, Eïvor Barnstaffer des Angry Bears a répliqué peu de temps après, égalisant le score et ramenant la tension à son comble.
Le deuxième tiers-temps a été tout aussi captivant, avec des actions rapides des deux côtés et des arrêts spectaculaires de part et d'autre. Les équipes ont joué avec une intensité incroyable, et les joueurs se sont surpassés pour protéger leur but et inscrire le but de la victoire. La tension a culminé à son paroxysme avec la blessure involontaire provoquée par le plaqueur
Janus Okanagan sur son homologue Lofotène Blaise de Montmorancy .


Un nez blessé et un visage ensanglanté restera l’image symbole de ce match, dont l’image a été ré-utilisée par les médias pour illustrer l’intensité de la rencontre. Impressionnante, le médecin des Loups Blancs a confirmé que cette dernière était malgré tout superficielle et sans gravité.


nezcassé


Finalement, c'est Ernest Jacobssøn de l’équipe maktoise qui a brisé l'impasse, inscrivant un magnifique but qui a été acclamé par les partisans des Angry Bears, brandissant à leur tour des peluches et des effigies de leur mascotte, un ours noir !
Le troisième et dernier tiers-temps a été une course contre la montre pour l'équipe des Loups Blancs, qui a tout tenté pour égaliser une fois de plus. Exploits qu’il réalisent, dès les premières minutes du tiers temps, et se payent même le luxe d’un but supplémentaire accordée sur la faute improbable du défenseur maktois
Charlie Stantor
Une chose improbable se produit alors, un effondrement de la ligne de défense lofotène, face aux Ours Furieux qui malmènent les défenseurs des Loups Blancs avec une facilité déconcertante. Après une égalisation record de 5 - 5, les dernières minutes ont été particulièrement tendues, avec des tirs au but désespérés et des arrêts héroïques des gardiens. Finalement, l'équipe nationale maktoise a réussi à conserver son avance, remportant le match sur le score de 5-3 aux tirs aux buts

Victoire de Makt


Beau joueur, l’entraîneur Lofotène, Anton Strauss-Weener, a personnellement salué “que le match entre les Loups Blancs et les Ours Furieux restera gravé dans les annales du hockey international comme un exemple de ce que ce sport unique peut offrir : de l'action, de l'émotion, et une expérience inoubliable pour tous ceux qui ont eu la chance d'y assister.”

Magnus Olavsøn quant à lui s’est réjoui et félicité que le qualificatif de “plus grande nation du hockey attribuée à Makt n’est pas usurpée, et que ce titre a été obtenu à la vitesse des patins et à la force de la crosse ”

Ce match de hockey a été en définitive un spectacle exceptionnel, où la passion et le talent se sont conjugués pour offrir aux amateurs une soirée inoubliable. D’après beaucoup de spécialistes et de commentateurs sportifs, ce match de hockey restera dans les annales de cette pratique sportif comme une rencontre d’anthologie. Les joueurs des deux équipes méritent des éloges pour leur engagement et leur détermination sur la glace. Les supporters, quant à eux, en ont eu pour leur argent et ont créé une ambiance incroyable dans l'aréna, montrant une fois de plus que le hockey est bien plus qu'un simple sport, c'est une passion qui rassemble les communautés nordiques et les peuples du nord entre eux, et la rivalité historique entre ces deux grandes nations amatrices de sports de glace en tout genre a été mis ici en exergue.
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maktmatin


Meurtre sordide dans la banlieue de Walden!


meurtre et police dans la nuit à Walden
C'est dans le quartier de Fjällgatan que les habitants ont été réveillés avec brutalité assaillis par une vision cauchemardesque, un meurtre d'une violence inouïe



Les habitants de la capitale maktoise, se sont réveillés groguis et choqués par un meurtre sordide et brutal, et qui a frappé au coeur de la nuit une mère célibrataire de quatre enfants âgée de 28 ans, Marianne SIVERTSEN NÆSS, vivant dans la banlieue proche de Walden, dans le quartier populaire du Fjällgatan.

Dans la nuit du 29 octobre, après avoir passé du temps dans des bars animés du quartier haut du Fjällgatan et être rentrée tard chez elle d’après les derniers témoins connus à l’avoir aperçue vivante, Marianne SIVERTSEN NÆSS a décidé de sortir pour faire de l’auto-stop. C’est là que les enquêteurs perdent sa trace, et qu’aucune caméra de surveillance ne l'a repérée après 23 heures, à l’angle de rue Bölring et l’impasse Long Store Lane.

L’endroit est isolé en périphérie de la ville, très peu éclairé, et surtout connu pour être mal fréquenté. Certains soirs, de nombreuses descentes de police ont lieu, notamment pour interrompre des bagarres entre bandes rivales, entre clients éméchés de prostituées et de petits trafiquants en tout genre. Le lieu est surtout connu pour être un point de trafic d’armes prohibées telles que les grenades ou les fusils automatiques, et de combats de rue clandestins, une pratique officiellement interdite, mais dont les autorités n’arrivent visiblement pas à proscrire ou endiguer.
Un quartier donc gangréné par la violence, les gangs, et les petits caïds en tout genre, mais c’est surtout la prostitution et le proxénétisme qui tiennent le pavé dans ce quartier.

On en sait très peu sur les circonstances du drame, en revanche, beaucoup d’informations ont fuité sur les détails sordides du meurtre en lui même. Il apparaît d’après les premiers éléments de l’enquête que Marianne SIVERTSEN NÆSS a été brutalement attaquée. Son ou ses agresseurs l’ont visiblement frappée à l’arrière de la tête avec un marteau, de manière à la rendre quasiment inconsciente ou tout du moins très sonnée. Puis c’est là que le massacre aurait commencé : le ou les agresseurs ont poignardé la malheureuse de nombreuses fois au niveau de la poitrine, de l’abdomen et des parties génitales. Les coups portés ont été tellement violents que le sternum a été brisé, alors qu’il s’agit de l’un des os les plus solides du corps. Autre détail troublant et très inquiétant, les viscères ont été extraites de la cavité abdominale, et ce de manière intentionnelle. Une partie de l’utérus a également été prélevé et, selon toute vraisemblance, emporté.

Le corps de Marianne SIVERTSEN NÆSS a été retrouvé par des passants tôt le lendemain matin, à proximité de son appartement.
Les premières investigations de la police n'ont pas permis d'identifier le moindre suspect, et l’absence de preuves matérielles solides et de témoignages oculaires laissent les enquêteurs sans pistes précises. En outre, le quartier, considéré comme l’un des plus pauvres de Walden, où semble régner la loi du silence, ne facilite pas le travail des enquêteurs, qui se heurtent à la méfiance et au mépris des habitants, car il se trouve que Marianne SIVERTSEN NÆSS, vivait de l'assistance sociale, de petits boulots dans des boîtes d’interim, et arrondissait ses fins de mois en se prostituant de manière irrégulière mais confirmée de source sûre chez elle, où elle recevait des clients dans sa chambre, en présence de ses enfants. Une vie difficile et mal considérée par le voisinage, qui rajoute encore au drame et à la détresse de ses 4 jeunes enfants, qui se retrouvent ainsi violemment privés de leur seul parent, dans des circonstances dramatiques et qui seront difficiles à surmonter. Les enfants SIVERTSEN NÆSS ont été immédiatement confiés à l'assistance publique, en attendant d’identifier d’autres membres de la famille susceptibles de les recueillir.
Mise à part des activités nocturnes suspectes, on ne lui connaissait aucun ennemi, et il semblerait que Marianne SIVERTSEN NÆSS ne trempait pas dans de louches histoires de trafic ou autre qui auraient pu constituer des mobiles. Elle n’avait pas contracté de dettes auprès d’un prêteur sur gages, et payait son loyer en temps et en heures. Un des responsables de l’enquête aurait donc confié que l’on se dirigerait vers une rencontre fortuite qui aurait mal tournée, ou une agression gratuite pour le moins inexplicable. Mais ce qui laisse perplexe tous les enquêteurs c’est l’extrême sauvagerie de ce meurtre, rarissime pour une simple agression.

Marianne SIVERTSEN NÆSS cacherait t elle de sombres secrets dans un lourd passé qui expliquerait ce déchaînement de violence ? L’enquête nous le dira. Quoiqu’il en soit les habitants du quartier du Fjällgatan, bien qu’habitués à un quotidien difficile, fait de violence et d’incivilités, sont pour la première fois confrontés à un meuttre d’une sauvagerie inouïe qui projette une chape de plomb sur un quartier déjà déshérité et qui n’avait pas besoin de ça.

Le commissaire du Fjällgatan, Bjørn ARILD-GRAMSON s’est dit avoir toute confiance en ses agents pour identifier le ou les meurtriers.
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