11/11/2014
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Géographie du Kjhemet [à compléter]

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Géographie du Kjhemet


Kjhemet

I - L'urbanisation et le climat :



Dans l'Empire pharaonique du Kjhemet, plus de 60 % de la population réside en zone urbaine de toute taille qu'il s'agisse de grandes villes, de cités moyenne ou de petites bourgades. Cependant, la grande majorité des villes et agglomérations se concentre soit le long de la côte ou au bord du fleuve majeur Iteru soit dans les plateaux et montagnes. Dans le pays, hormis de très grande ville et mégalopoles comme (-----) il est clair que la plupart des sujets/citoyens vivent dans des petites et moyennes ville et même de de grand village sans toutefois que les espaces entres ses fameuses villes soient systématiquement très grandes.
Ainsi, le long de l’Iteru il n’est pas rare de trouver des villes ou villages a peine espacé de quelque kilomètre voir même centaine de mètre (ce qui peut parfois rendre la distinction entre les villes et villages plus compliqué). Dans tout les cas, ces villes et zones géographiques en raison de leur attractivité et de la rareté relative des terres habitables causé par le désert dominant, rend la densité de population beaucoup plus importante à l’échelle locale. Cette situation s’expliquant encore une fois par le caractère aride qui prédomine sur l’ensemble du territoire ainsi qu’une certaine volonté de regroupement autour des villes, de la civilisation et des zones habitables par nature.

Par exemple, à titre indicatif, bien que la densité national soit de 90 habitants au kilomètre carré, celle le long du fleuve Iteru (seul permanent dans le pays) est évaluée à 1500 habitants aux kilomètres carrés. Ce chiffre restant une moyenne il peut en avoir moins comme plus tout le long du fleuve et du delta du fleuve, d’ailleurs cette concentration peut facilement être expliquer naturellement avec non seulement la proximité de l’eau qui reste essentielle à la vie et à l’agriculture tout en apportant de l’humidité, mais aussi grâce au climat plus clément qui y règne. (humidité notamment)

Il n’y a pas que l’attrait de la nature qui est optimisé pour l’installation humaine, l’architecture et les matériaux le sont depuis des siècles et même des millénaires. En effet, pour contrer les températures souvent élevées surtout en été.
C’est donc aussi pour recueillir quelque fraîcheur que l’on construit traditionnellement en brique épaisses ou en brique en argile dite crue (même si il ne sont pas du tout les seuls matériaux de construction y compris avec l’évolution des matériaux), cette exemple de choix des matériaux permet donc de conserver une certaine fraîcheur bienvenu à l’intérieur des bâtiments.
D’ailleurs, les techniques architecturales des rues, places et bâtiments mettent un accent particulier sur le travail des ombres car ceux-ci en étant optimisé au maximum pour garder des températures plus douce à l’ombre tout au long de la journée en esquivant les rayons du soleil. De même, il y a très souvent des vérandas qu’elle soient fixes ou portatives pour d’avantage crée des espaces de travail plus confortables que ce soit pour les commerçants ou les employés municipaux ou les maçons, etc....

Pour les constructions, les matériaux et les techniques bien que fortement modernisé au fil des siècles et des industrialisations, conservent de nombreuses caractéristiques de l'architecture ancienne et antique, en se rapprochant beaucoup de se a quoi elle ressemblait durant l’antiquité et même bien après grâce au maintient de la centralisations et du pouvoir pharaonique.
Ainsi, on note par exemple, la présence de grandes colonnes peintes, d’obélisques recouvert de hiéroglyphes, de nombreux temples, ou des grands bâtiment/habitations très ouvert et aéré. Cette omniprésence traditionnel et conservatrice dans l’architecture ne doit pas oublier que le Kjhemet a évoluer. C’est pour cela qu’il est important de précisé que la modernisation de l’architecture et des technologies domotiques sans oublié l’industrie ont fait évoluer les matériaux (mélangeant modernité et tradition) ainsi que l’isolation, les toitures et d’autre aspects techniques de la vie courantes rendant les bâtiments plus efficace et résistants face au intempérie et au temps tout en conservant leurs esthétique d’antan.
La principales politiques de l’architecture et que l’on peut résumé au Kjhemet entier est l’optimisation, l’efficacité et la tradition. Donc pour être le plus efficace possible, on peut tout à fait retrouver des matériaux moderne comme des tuiles, du parquet ciré ou des portes en acier équipé d’alarme côtoyer des murs en grès ou en briques. Cela permettant de remplir l’objectif cité ci-dessus concernant la politiques architectural pour offrir un mélange harmonieux entre tradition pharaonique et innovation moderne dans l'architecture de l’empire Pharaonique du Kjhemet.


Concernant les matériaux de construction et comme dit plutôt, la brique épaisse ou la brique en argile ne sont pas les seuls matériaux de construction utilisé au Kjhemet même si pendant longtemps certains était spécifique, par exemple plusieurs types de pierre sont utilisé :

le grès
  • L'emploi du grès pour la construction tend à se généraliser sous la XVIIIe dynastie (nouvel Empire Kjhemetous) et restera l'un des matériaux de construction les plus employé jusqu'à aujourd'hui car c’est une pierre couramment disponible. Il est extrait des carrières du Kheny (notamment) dans la haute Kjhemet qui est la plus grande de tout le pays. Il est employé, dans l'architecture cultuelle dont la construction des monuments, de temples et de statues ou tout simplement pour tout type de structure.
  • Plus simplement, le grès (peut importe sa couleur même si le rouge a une symbolique particulière) est donc un matériau de construction polyvalent et précieux dans l’empire du Kjhemet, utilisé tant pour des raisons pratiques, religieuse que symboliques.
    En effet, sa résistance aux éléments en fait un matériau idéal pour les structures et bâtiment extérieures particulièrement ceux massives par conséquent les grandes colonnes et les obélisques sans oublié les statues des dieux sont souvent sculptés dans cette pierre. De plus, ce matériau est apprécié pour sa capacité à être finement sculpté sans difficulté majeur ni risque excessive de casse ce qui permet des détails élaborés dans les représentation artistiques et religieuses
    En terme de durabilité, comme le grès est moins dur/rigide que le granit par exemple celui-ci résiste bien aux intempéries et couplé à un polissage, sa durabilité permet de prolonger la vie des diverses structures.
    Enfin, en matière funéraire, le grès est utilisé dans les tombes pour les sarcophages (parfois les structures) et les éléments décoratifs.


Le calcaire
  • Le calcaire est une roche sédimentaire composée principalement de carbonate de calcium. Dans l’empire du Kjhemet, il se trouve en abondance le long du fleuve Iteru ou dans les collines désertiques. Les types de calcaire peuvent varier, certains type étant plus durs et plus durables, tandis que d'autres, comme le calcaire de Tura (de haute qualité), sont plus fins et plus facilement taillable. Par conséquent, grâce à sa grande disponibilité, sa facilité de taille et ses propriétés esthétiques une fois finis, il a joué un rôle central dans l'architecture et l'art Kjhemetous. Le calcaire n’est pas seulement un matériau de construction avec ses qualités ; il est aussi symboliquement important pour les Kjhemetous (peut importe l’époque). Sa couleur blanche est associée à la pureté et à la lumière, des qualités très recherchées pour les monuments religieux et funéraires. Par conséquent, son utilisation dans des structures sacrées et funéraires renforce l'idée de la divinité et de l'éternité.
  • De part sont importance et ses qualités, il a été massivement employé pendant l’ancien et le moyen empire jusqu’à qu’il soit progressivement remplacé par le grès après la XVIII dynastie sans toutefois disparaître. Les lieux d’exploitation principaux du calcaire au Kjhemet sont : Tourah et Makasara, toutes deux situées au sud de Djanpenutjeh, Tell el-Amarna dans les montagnes de l'est et d'autre dans les carrières du Sud du Pays
    Si aujourd'hui le grès l'a massivement remplacé, il reste que sont emploie existe toujours dans le civil où sont esthétisme plaie toujours ainsi que plus rarement pour les religieux et le pouvoir(Le calcaire est utilisé pour le revêtement intérieur et extérieur des bâtiments notamment) et que beaucoup de monument historique et de tombeaux des pharaons de l'ancienne et du moyen Empire (ou même des plus récent que ces deux époques mais plus minoritaires) sont fait en calcaire et nécessite un entretien rigoureux. Parmi les monuments où le calcaire était le principal matériau utilisé on compte la construction des pyramides. L’un des plus grand exemple du Pays, la pyramide de Khufu à Inebou-Hedj/Ineb Hedj, est construite avec du calcaire de Tura, une pierre de haute qualité provenant des carrières près Djanpenujeh. Ce calcaire, blanc et fin, a été utilisé pour recouvrir la surface extérieure de la pyramide, donnant à l'édifice un aspect brillant sous le soleil. Hormis les pyramides, on compte aussi les temples funéraires, les mastabas (ancêtre des pyramide) et les tombes impériales qui étaient souvent construite en calcaire, l’avantage étant que ce matériau facile a sculpter est idéal pour les reliefs et les inscriptions hiéroglyphiques qui ornent les murs de ces structures ou même des bâtiments civil aujourd’hui.

    Dans la continuité esthétiques et symbolique le calcaire était et peut encore (plus rarement) être utilisé pour sculpter des statues des dieux, de pharaons ou de personne importante noble ou non. Sa texture était considéré comme douce et permet de réaliser des sculptures détaillées, bien que ces œuvres étaient souvent recouvertes de plâtre et peintes pour améliorer leur apparence. D’un autre coté, les murs des temples et des tombes en calcaire sont souvent décorés de reliefs et de scènes gravées, racontant des histoires mythologiques, des événements historiques, ou des rituels funéraires.
    Enfin, dans les tombes, le calcaire servait (notamment durant l’ancien et le moyen empire) à fabriquer des sarcophages, des stèles funéraires, et des statues votives .


La calcite
  • La calcite est un minéral composé principalement de carbonate de calcium et souvent appelée albâtre, à tort. La calcite, se distingue par sa transparence et sa son aspect translucide ainsi que par sa couleur allant du blanc laiteux au jaune pâle (parfois avec des veines ou des marbrures). Toutefois, ce matériau est aussi connue pour sa fragilité toute particulière, ce qui en a limité l'utilisation à des parties particulières des temples et palais ou a des objets et construction limité comme de petite statue voir des sarcophages.
  • La calcite est extraite des carrières de l'ouadji, Gerrkjmutja/Gebel el-Silsila ou de Menat-Khufu au centre du pays.
    Malgré son utilisation limité et sa fragilité la calcite a une signification symbolique en raison de sa couleur claire et de sa translucidité, la calcite est donc souvent associée à la lumière solaire. Dans le contexte funéraire, elle peut symboliser la pureté de l'âme et son passage vers l'au-delà. Par conséquent, les objets en calcite sont donc non seulement esthétiques, mais aussi une signification religieuse et symbolique importante dans la culture Kjhemetous. Cependant comme cité plus tôt sa fragilité rend limité son usage entre objets rituels et décoratifs ainsi que des parties particulières des temples et palais.


Le granite rose
  • Le granite rose (aussi appelé rouge), également connu sous le nom de granite d'Assouan/Swenet, est un matériau extrêmement précieux au Kjhemet En effet, la dureté du granite lui a valu une très bonne réputation ainsi qu'une utilisation massive comme seuil de portes ou obélisques de l'antiquité à nos jour
  • Son utilisation est également fréquente pour la statuaire du kjhemet. Les sources de granite rose sont principalement issues des carrières de Djaru Gebel Fatireh situé dans les montagnes du Sud et proche d'Assouan/Swenet.
    Le granite rose est couramment utilisé pour la construction d'obélisques. Ces monuments, symboles du soleil et de la puissance divine tout autant que la puissance des pharaons, sont souvent érigés devant les temples. Le granite rose de Swenet/Assouan en raison de sa qualité, de sa durabilité et de sa beauté a été et est encore le matériau de choix pour des structures monumentales tels les obélisques ou les statues (dans la construction traditionnel), l’un des exemples les plus célèbres est l’obélisque dans la même ville de Swenet qui fut pendant longtemps obélisques le plus grand jamais érigé.
    Ce granite se distingue par sa couleur rosée due à la présence de feldspath, ainsi que par sa texture granuleuse composée de quartz, de mica, et d'autres minéraux.
    Historiquement, l'extraction du granite rose à Swenet/Assouan a toujours nécessité une expertise considérable afin de ne pas les fissurer ou tout simplement pas les casser. Par conséquent, le transport de ces blocs, qui peuvent très facilement peser plusieurs tonnes, était un exploit logistique impressionnant surtout pour les périodes anciennes, là où les technologies moderne permette une plus grande facilité de transport. Traditionnellement, les blocs étaient transportés sur l’Iteru, en majorité sur des barges, pour ensuite être tiré (avec des systèmes ingénieux pour rendre le tirage plus facile) jusqu'aux sites de construction pouvant ce situer situés dans tout le pays. Aujourd’hui, il y a encore ses transports par bateau mais avec une technologie bien évidemment plus avancé permettant un meilleur transport, de meilleur délai mais aussi un risque beaucoup moins élevé (sans oublier la santé des travailleurs), des transports routier le plus souvent par convoie entier ou alors il peut y avoir un transport par voie de chemin de fer.
    Le granite rose est non seulement apprécié pour sa durabilité, mais aussi pour sa couleur, qui est symboliquement associée à la vie, au renouveau et au pouvoir solaire. Utilisé dans des contextes impériaux et religieux, ce matériau symbolise la force et l'immortalité, des qualités essentielles dans la culture Kjhemetous.
    Ainsi, Les pharaons et les divinités sont souvent représentés par des statues colossales sculptées dans le granite rose. La durabilité du granite assure que ces statues peuvent résister au passage du temps, et leur taille imposante symbolise la puissance et l'autorité des figures représentées. Par exemple, les colosses de Imnḥtp-Memnon, bien que faits de quartzite, sont proches de cette tradition, tandis que des statues de différents pharaon comme Ramsès II et Ramsès III ont été sculptées dans du granite rose.

    Dans le milieux funéraire, les sarcophages destinés aux pharaons, au membres de la noblesse ou au personne importante (en soit n'importe qui, ayant les moyens) sont souvent fabriqués en granite rose. Ces sarcophages massifs, qui sont en grande majorité décorés de hiéroglyphes et de scènes religieuses comprenant les dieux, doivent protéger le corps du défunt et assurer sa renaissance dans l'au-delà. Outre les sarcophages, des monuments funéraires comme des stèles et des autels sont aussi parfois sculptés dans le granite rose. Ces objets sont la plupart du temps érigés en l'honneur des défunts ou des divinités, et leur fabrication en granite renforce leur caractère sacré et éternel.
    Le granite rose est également encore utilisé dans la construction des temples (bien que non systématique), notamment pour les colonnes, les linteaux, les statues et les portes très souvent monumentales. Ces nombreux éléments en granite rose, contribue hormis à la symbolique à la majesté et à la pérennité de ces structures.
Le quartzite
  • Le quartzite est une pierre principalement utilisée pour la statuaire ou de gros éléments comme les piliers. Le seul monument connu entièrement réalisé en quartzite est la Chapelle rouge d'Hatchepsout aussi appelée « palais de la Maât » . Cette pierre est extraite des carrières au Sud de Djanpenutjeh le long de l'Iteru

La pierre de bekhen
  • La métapélite est souvent appelée grauwacke, silstone ou schiste vert et n'est utilisée que pour des ouvrages monolithiques comme des statues ou les sphinx. Elle est extraite des carrières de rōhentou proche de l'actuel Louxor.

Le Béton, l'acier et autre
  • Les matériaux "modernes" comme le béton, le parpaing ou l'acier se font de plus en plus présents dans l'architecture bien qu'ils soient encore, marginaux avec 12 % pourcent des architectures même si les nouveaux quartiers d'affaires ou certains quartiers étranger privilégie ses matériaux, cela reste contrôler par les autorités, car veulent préserver les traditions architecturales sans toutefois négligé la modernité et le développement.
  • Néanmoins, certaine architecture arrive a cumuler les deux comme certains palais ou temple qui sont renforcer avec de l’acier ou du béton armée par exemple.
    En effet, Le béton est un matériau extrêmement résistant par rapport à la pierre, étant capable de supporter des charges importantes. Cela pousse les architectes de la nouvelle école a combiner de plus en plus les deux voir à favorisé c’est matériaux moderne afin de construire des structures beaucoup plus hautes et plus complexes.
    La question ce pose aussi pour l’acier car avec sa grade résistance à la traction cela permet de construire des structures en hauteur comme des gratte-ciels ou des ponts suspendus et moderne. Par ailleurs, comme déjà dit plus haut certains temples et palais ont déjà adopté ses méthodes tout comme les infrastructures civiles pour permettre d’atteindre des échelles plus importante.
    Sans oublier que des matériaux comme le béton, l’acier ou le parpaing permettent une construction beaucoup plus rapide par rapport aux technique de taille et d’assemblage des blocs de pierre traditionnel. Par conséquent certain projet monumentaux ont déjà été construit avec ses matériaux et qui ont donc remplie entière satisfaction si on excepte la vision traditionnel de l’architecture.
    Enfin, l’utilisation de ses matériaux permet de développer des infrastructures urbaines plus « avancées » et surtout à moindre coup mais surtout permet de se développer verticalement via des immeubles ou grattes-ciels, ce qui conduit à une densité urbaine accrue et à un développement économique plus rapide. Ce à quoi le pouvoir pharaonique est bien conscient..


L'Iteru

La géographie de l’empire Pharaonique du Kjhemet est donc fortement marquée et influencé par la présence du fleuve majeur Iteru, celui-ci étant vital car étant le seul fleuve et cours d’eau permanent du pays. L’Iteru qui traverse le pays du Nord au Sud pour se diviser au nord en plusieurs bras pour former un vaste delta fertile, tout le long de l’Iteru et notamment au delta le fleuve est le véritable grenier à blé de l’empire (depuis des millénaires), l’agriculture étant prospère grâce aux limons déposés depuis les fonds du fleuves par les crues annuelles. De plus, la topographie est marqué par ses terres plates et arable, ce qui fait un contraste fort avec le reste du pays désertique.
Hormis ce fleuve vital pour le pays et des oasis un un peu partout (qui offrent un refuge de fraîcheur, de verdure et le plus souvent de civilisation) sur le pays celui-ci est recouvert à 85 % de zone désertiques avec quelque chaînes de montagnes à l’Est et au Sud avec des sommets qui atteignent jusqu’à 2 285 mètres d’altitudes.
Les chaînes de montagnes sont caractérisés par des climats varié et offrent aussi une diversité climatique tout aussi surprenante et différente. Certaines sont arides et sec comme un reflet du reste du pays désertique et presque dépourvue de vie en comptant quelque végétaux et animaux (aidée par les rares périodes de pluie), alors que d’autre montagne sont plus « humides » (avec des pluies pouvant être plus fréquentes) et pouvant même être qualifié de semi-arides avec une faune et une flore plus riche et marqué (tels des troupeaux) tout en étant adaptée au climat de montagne avec des concentrations diverses.

Le pays à la fois géographiquement et historiquement se découpe en deux aires territorial distinct mais complémentaire avec la Haute-Kjhemet aussi appelé Ta-chemou qui correspond au sud du pays et la Basse-Kjhemet aussi appelée Ta-Mehou qui correspond au Nord du Pays

Le climat au Kjhemet est caractérisé par une aridité marquée, avec un air particulièrement sec et salubre dans la majorité du territoire. Cependant, sur la côte, autour des oasis et le long du fleuve Iteru, il y a bien plus d’humidité ce qui permet de bénéficier d’un climat plus favorable et adoucie tout comme sur certaines chaînes de montagne.
Concernant les températures, le nord (Ta-Mehou) du pays bénéficie d’une température annuelle pouvant aller entre 20 et 31 degrés, le centre enregistre des températures plus élevé comprise entre 28 et 35 degrés. Tandis qu’au Sud (Ta-chemou), la chaleur peut rapidement devenir plus écrasante car les températures sont entre 28 et 55 degrés. Le désert est à la fois une continuité et une exception car celui-ci ayant des températures très chaudes le jour et peuvent être glacial la nuit.
Les températures bien qu’élevées pendant la journée, surtout en été (et sous le soleil), sont atténuées le soir par une brise régulières venant du nord. Ce vent nocturne rafraîchit l’atmosphère et apporte donc une fraîcheur bienvenue qui rendent les soirées plus agréables. D’ailleurs les températures en hivers restent douce, avec des températures en journée variant de 20 à 25 degrés sur l’ensemble du territoire

A noter qu’au printemps, le pays est assez souvent frappé par le Khamsin, un vent sec, chaud et très poussiéreux qui souffle jusqu’à 150 km/h. Quand le Khamsin sévit, celui-ci rend la respiration oppressante avec un air difficile à respirer tout en donnant au ciel une teinte de couleur orange foncé, créant une atmosphère particulière voire oppressante. En parallèle, de ce phénomène naturel est souvent accompagné de violents orages durant cette période, période particulièrement instable.

Cette chaleur et ce soleil constant ont profondément influencé les mœurs et les coutumes de l’empire (depuis l’Antiquité), en effet la chaleur et l’absence de taboue sur les corps ont fait que le besoin de se vêtir ne se fait guère ressentir hormis pour des tenues/vêtements très légers faites de lin ou de mousseline par exemple. Cette légèreté n’empêche pas les Pharaons et la famille royale d’avoir une certaine exception avec des habits somptueux qui sont couverts/ornées d’or, de bijoux, de parure et souvent de masque symbolique (même si il ne sont pas permanent) comme peuvent le représenté les anciens sarcophages.
En plus du code vestimentaire, l'hygiène personnelle occupe une place centrale dans la vie quotidienne. Les bains et les soins de toilette sont très fréquents et réguliers, non seulement pour se rafraîchir, mais aussi pour protéger la peau des effets desséchants du climat, du sable ou des insectes. Il y a aussi des apparats pour se protéger du soleil avec un usage de diverse perruque accompagné par l'usage de fards, de cosmétiques et de parfums qui est monnaie courante et répandu chez les deux sexes, reflétant l'importance accordée à l'apparence et au bien-être.

II - la faune et la flore :



désert

Si le Kjhemet est désertique à 85%, elle n'en abrite pas moins diverses plantes qui se sont adaptées à des conditions particulièrement hostiles : lotus, papyrus, palmiers, tamaris, acacias, jacarandas, poincianas, mangroves, palmier dattiers, etc... Si celle-ci se retrouve surtout le long des cotes fertiles et de l'Iteru, il est possible de les croisés en plus faible quantité dans les zones semi-désertiques.
De plus, la grande majorité désertique du pays ne veut pas dire forcément inhabitable, car avec les nombreuses oasis (plus ou moins imposant) de nombreux petits espaces de verdure permettent le développement de la faune et de la flore, ces oasis étant très protégées par le gouvernement.
Sans oublié que même les désert eux-mêmes, malgré des conditions extrêmes et la rareté de l'eau abrite des animaux dont certain sont emblématique du pays comme le scorpion, le scarabée et le serpent.

FLORE NOTABLE DU PAYS :

  • Henné (Lawsonia inermis) : lythracée. Arbuste de 2 à 3 m, parfois épineux quand il est âgé. Écorce blanchâtre. Feuilles persistantes, ovales. Fleurs blanches ou roses disposées en grappes, à l’odeur suave. On utilise les feuilles qui colorent en orange roux depuis la Haute Antiquité. On a retrouvées des momies dont les ongles étaient teintés de henné. Cela se pratique encore aujourd’hui, lors de la cérémonie du mariage notamment.

  • Tamarinier (Tamarindus indica) : Légumineuse. Arbre de 15 m de haut. Feuilles pennées à nombreuses folioles vert pâle. Fleurs jaunes veinées de rouge, disposées en grappes. Fruit marron, en gousse de 15 cm. À l’intérieur, les graines sont entourées d’une pulpe acidulée aux propriétés laxatives, antiscorbutiques et utilisée contre l’hypertension. On en tire une boisson très appréciée.

  • Papyrus (Cyperus papyrus) : roseau pouvant atteindre 4 m de haut, dont la tige est triangulaire et l’inflorescence filamenteuse. Les jeunes tiges et les rhizomes étaient consommés grillés sur le feu. Appliqué sur les blessures, il accélérait la cicatrisation.

  • Sésame (Sesamumindicum) : petite herbe annuelle dont la tige est triangulaire, les feuilles lancéolées et les fleurs grandes et blanches. Le sésame entre dans la préparation de plusieurs plats et pains au Kjhemet. Une huile en est extraite ainsi qu’une pâte, utilisée en pâtisserie

  • Canne à sucre (Saccharum) : Grande graminée de la famille despoaceae d’une hauteur allant de 2,5 à 6 m. Tiges pleines d’un diamètre de 1,5 à 6 cm. Feuilles alternes réparties en deux files opposées. Cultivée principalement en Ta-Chemou/Haut Kjhemet, elle sert à la production de sucre. Fréquemment consommée en jus.

  • Frangipanier (Plumeria acutifolia) : De la famille des apocynacée. Petit arbre à feuilles caduques, atteignant 6 m de haut, à rameaux épais et ramifiés deux par deux. Fleurs odorantes, pétales blancs étalés en étoile, apparaissant de juin à septembre. Il est très implanté dans les régions "tropicales".

  • Palmier dattier (Phoenix dactylifera) : palmacée. Vigoureux palmier atteignant 30 m de haut. Feuilles pennées légèrement bleutées. Les dattes en sont le fruit. D’abord jaunes lorsqu’elles sont fraîches, elles brunissent avec le temps. Cet arbre est d’une importance économique irremplaçable dans les régions désertiques tout en étant très emblématique du Kjhemet.

  • Palmier doum d’Égypte (Hyphaene thebaica) : palmacée. Palmier à tronc souvent ramifié, atteignant 10 m de haut. Feuilles raides, dressées, en éventail, de couleur vert bleu. Fruit ovale orangé, à saveur de pain d’épice. On en trouve beaucoup dans les plantation au sud du pays, proche d'Amon-Rê Tjetesma et au sud de L'Iteru

  • Bananier (Musa acuminata) : musacée. 1,50 à 3 m, de forme caractéristique, avec ses longues feuilles vert clair. Les fleurs sont entourées d’une grande écaille violette. Le bananier n’est pas un arbre, mais une plante herbacée, qui meurt quand le régime de bananes est mûr. Il se reproduit par tiges souterraines. Il en existe des centaines de variétés.

  • Caroubier (Ceratonia siliqua). Arbre à feuilles persistantes pouvant atteindre 4 m de haut. Les feuilles sont composées, épaisses, ovales et vernissées. Les fruits sont des grosses gousses brunes de 20 cm de longueur. On en fait des boissons. Les graines étaient utilisées comme unité de mesure : un karat est le poids d’une graine de caroubier.

  • Figuier commun (Ficus carica). Arbuste à feuilles caduques, à bois souple. Feuilles épaisses, ovales avec trois lobes. Il donne des fruits deux fois par an, en été et en automne. Les figues étaient liées aux déesses : on les trouve très souvent sur les tables d’offrandes avec le sycomore. La figue est mentionnée dans les Textes des pyramides. On peut en fait une liqueur.

  • Flamboyant (Delonix regia) : légumineuse. Il atteint 15 m de haut, ses branches sont largement étalées. Feuilles caduques, finement découpées, ressemblant à celles d’une fougère. Magnifiques fleurs écarlates, disposées en grappes, apparaissant en avril, quand l’arbre est dénudé de ses feuilles. Fruits en très longues gousses aplaties, de 45 cm de longueur.

  • Grenadier (Punica granatum) : famille des punicacée. Arbuste ou petit arbre de 6 m de haut, parfois épineux. Feuilles caduques, allongées, vert foncé, brillantes. Fleurs rouges, apparaissant en même temps que les premières feuilles. Le fruit est utilisé pour son jus et en mélasse dans la cuisine. Dans la poésie amoureuse du Kjhemet, les grenades figure la poitrine des femmes.

  • Jacaranda (Jacaranda mimosifolia) : bignoniacée. Arbre de taille moyenne, de 15 à 20 cm de haut, à large couronne aérée. Les feuilles, très découpées comme celles d’une fougère, tombent à la fin du printemps. Ensuite vient la floraison constituée de grosses grappes pyramidales de fleurs en clochettes bleu lavande. Fruits aplatis, ressemblant à des castagnettes.

  • Manguier (Mangifera indica) : anacardiacée. Grand arbre de 18 à 30 m de haut, à cime étalée. Feuilles vert foncé, luisantes et allongées. Le manguier fut importé au Kjhemet au XVIIIe siècle. Il est aujourd’hui implanté dans tout le pays. Les mangues de Kusnurma se distinguent par leur goût particulièrement sucré. Ses multiples variétés sont très appréciées des Kjhemetous

  • Sycomore (Ficus sycomorus). Grand arbre à feuilles persistantes, pouvant atteindre 15 m de haut, très résistant à la sécheresse. Ses branches et ses feuilles forment une couronne majestueuse et sphérique. La déesse Hathor est appelée la dame du sycomore. Son bois est toujours utilisé pour fabriquer des sarcophages.
palmier

Également le Kjhemet compte environ 430 espèces d'oiseaux et une centaine de mammifères, au nombre desquels les dromadaires, les ânes, les gazelles, léopard, oryx, hyènes ou lynx du désert Si la chasse a impacté une partie de la population des espèces animales, il n'y a pas de menace extrême quant à l'extinction de nouvelle espèce dans l'immédiat. Il reste que les animaux croisés le plus souvent sont ceux domestiqués tels les ânes, dromadaires, les buffles et les chiens, les villes regorge aussi de chats des rues.
La faune du Kjhemet reste essentiellement aviaire, car l'Iteru constitue un axe migratoire important. On peut même observer sur ses bords la majorité des oiseaux qui figurent sur les bas-reliefs depuis l’époque pharaonique antique : canards, ibis, cigognes, hérons, aigrettes et spatules.
Très à leur aise au Kjhemet une quarantaine d'espèces de serpents, des scorpions et quelques crocodiles vivent dans les déserts et dans certaines parties de L'Iteru. Toutefois, l'activité humaine les a repoussés des zones urbaines.

ANIMAUX NOTABLE DU DESERT

  • Chacal doré : Le chacal doré ressemble au loup gris, mais il s'en distingue par sa taille plus petite, son poids plus faible, son torse plus allongé, son front moins proéminent, ses pattes et sa queue plus courtes et son museau plus étroit et plus pointu. Les pattes sont longues par rapport au corps, et les pieds sont minces avec de petits coussinets. Les mâles mesurent 71 à 85 cm de long et les femelles 69 à 73 cm. Les mâles pèsent de 6 à 14 kg et les femelles de 7 à 11 kg. La hauteur au garrot est de 45 à 50 cm pour les deux. Le chacal doré, très présent est inoffensif et vit en meute.

  • Cobra à cou noir : Cobra cracheur, capable de cracher son venin à distance. Particulièrement dangereux. Ce serpent atteint en moyenne de 1 à 2 m, jusqu'à 2,2 m, sa taille pouvant varier selon sa localisation géographique. La tête est modérément distincte du corps et sa forme est principalement liée aux deux larges glandes à venin situées de chaque côté de la gueule. Il possède des écailles lisses et brillantes

  • Dromadaire : Ne porte qu’une bosse qui contient de la graisse, dont il fait usage pour se nourrir lorsque la nourriture manque. La graisse peut être aussi transformée en eau (les 40 kg de graisse peuvent être transformés en plus de 40 litres d’eau). Le dromadaire peut ainsi marcher 8 jours en plein désert. Il a été très courant jusqu'aux mécanisations des transports au Kjhemet notamment dans les caravanes marchandes, il reste un animal de transport fiable (bien qu'au second plan) et très apprécié dans le pays.

  • Fennec : De la famille des renards, possède de plus grandes oreilles. Typique des sables, où il est capable de se creuser une tanière en quelques secondes, ses oreilles lui sont utiles à repérer ses proies, mais surtout à dissiper la chaleur en surplus. Il est courant de les voir lorsque vous passez une nuit dans le désert. On le surnomme renard de poche, du fait de sa toute petite taille. C'est en effet le plus petit des canidés qui existe sur Terre. Il mesure de 20 à 40 cm et son poids moyen est de 1,7 kg

  • Gazelle dorcas. Elle parvient à ne pas boire pendant de longues périodes et tire des plantes et de la rosée l’eau dont elle a besoin. Elles mesurent de 53 à 62 cm de hauteur au garrot pour les femelles et de 58 à 67 cm au garrot pour les mâles, de 90 à 110 cm de longueur, avec un poids de 12 à 25 kg maximum, la femelle étant légèrement plus petite et plus légère que le mâle. Le ventre et la croupe sont blancs, la queue est noire, le reste du pelage est fauve, avec une bande plus foncée délimitant les zones ventrale et dorsale

  • Gerbille. Petit rongeur qui passe ses journées dans sa tanière et ne sort qu’après le coucher du soleil pour éviter la chaleur et les rapaces, Ils vivent généralement en petits groupes à l'état sauvage. Le territoire d'un groupe, qui peut atteindre plusieurs centaines de mètres carrés, est centré sur un terrier profond muni de nombreuses galeries ramifiées. Leur ouïe, très développée, leur permet de localiser les prédateurs ainsi que leurs congénères parmi le groupe

  • Scorpion. Fréquent au Khjemet les scorpions se retrouvent sous les pierres, dans les endroits arides, dans les vieux murs, mais aussi dans les habitations : ils peuvent se cacher sous les lits, les draps ou dans les couvertures, Leur activité est essentiellement nocturne et crépusculaire, il est difficile à repérer le jour parce qu’il est capable d’un mimétisme parfait sur le sable ou au milieu des cailloux. la nuit ou au crépuscule, Ils se déplacent pour chercher leur nourriture. Ils se nourrissent uniquement de proies vivantes qu'ils paralysent à l'aide de leur venin ou maintiennent solidement entre leurs pinces (appelées pédipalpes). Ils utilisent toutefois leur venin avec parcimonie, le stock mettant deux semaines à se reconstituer.

ANIMAUX NOTABLE DE LA VALLEE DE L'ITERU

  • Crocodile : Le crocodile de L'Iteru n’a pas disparu. On le trouve encore, et en assez grand nombre, dans le fleuve, les lacs et dans des vivariums. L’animal assure aux familles un gage de bonheur, sur la base de croyances du Kjhemet La présence de crocodiles dans l'Iteru est pour les Kjhemetous l’annonce d'une crue favorable aux récoltes : les crocodiles sont donc des animaux sacrés encore aujourd'hui. Egalement animaux représentant Sobek dieu Maître des eaux, il est le dieu qui irrigue les champs Son statut de dieu de l’eau et de la fertilité le fait adorer partout dans le delta et la vallée de l'Iteru ainsi que dans toute zone "humide". A noter que les crocodiles de L'Iteru ne s'alimentent plus si la température est inférieure à 15,7 °C et ils ne sont plus capables de nager si la température est inférieure à 7,6 °C. L'espérance de vie d'un crocodile peut atteindre 100 ans.

  • Gamousse : Introduit en Égypte au XVIIIe siècle, le buffle au pelage noir est utilisé pour les travaux des champs, pour tirer des charrues ou le chadouf. Le soir, il est de coutume que la gamousse prenne place au rez-de-chaussée de l’habitat traditionnel, apportant chaleur l’hiver. Bien que les Gamousses soit ressemblant aux vaches et bœufs elles n'ont aucun lien de famille/d'espèce avec ceux-ci qui sont présent depuis la nuit des temps au Kjhemet toutefois les gamousses sont aussi compris dans le culte de la Déesse Hathor (Hathor est présentée entre autres descriptions comme une déesse à forme de vache tenant le soleil entre ses cornes)

  • Héron garde-bœufs : Cet oiseau trapu blanc à tête ronde orné de plumes de couleur chamois pendant la saison de reproduction, qui niche en colonies, le nid est une plate-forme de branches placée dans les arbres ou les arbustes/buissons. Contrairement à la plupart des autres hérons, il se nourrit dans les habitats herbeux relativement secs, accompagnant souvent le bétail ou d'autres grands mammifères, se nourrissant des insectes (comme les parasites sur les animaux) et des petits vertébrés, le long du fleuve ou des lacs du Kjhemet. Il est aussi appelé « l’ami des paysans » car on le voit très souvent dans les champs aux côtés des agriculteurs.
  • Le Héron garde-bœufs est un oiseau de 88 à 96 cm d'envergure, de 46 à 56 cm de longueur et pesant entre 270 et 512 g. Il a un cou relativement court et épais, un bec robuste et une posture voûtée car il rentre son cou dans les épaules.


  • Huppe : Cet oiseau mesure de 26 à 32 cm de longueur (bec : de 5 à 6 cm) pour une envergure d'environ 45 cm et une masse de 60 à 80 g, Sa longévité est d'environ 11 ans. La huppe fasciée est un oiseau de taille moyenne, au plumage orangé (femelle légèrement plus terne), barré de noir et blanc sur les ailes et la queue. Elle possède une huppe érectile, longue, orange, se finissant par du noir. Son bec est long, mince et recourbé. Ses ailes sont larges et arrondies, et ses pattes courtes mais puissantes. Elle aime se promener dans les herbes coupées.

  • Perche du Nil. Elle peut ressembler à un sandre. Sa capacité à se reproduire est conséquente (en conséquence on peut la retrouver sur d'autre continent) C'est le plus grand poisson d'eau douce du continent Afaréen et l'un des dix plus gros poissons d'eau douce que l'on trouve actuellement sur la planète. La perche du Nil est bien connue depuis l'antiquité pharaonique. On la retrouve par exemple sculptée sur les monuments funéraires

  • Poisson-chat. Le poisson-chat de L'Iteru préfère les habitats marécageux, peu profonds, pauvres en oxygène. Parce qu’il aime les eaux boueuses, dans la mythologie il guide le bateau solaire lorsqu’il navigue la nuit sur le fleuve du monde. Les Kjhemetous attribue aussi aux poissons-chats un rôle symbolique et mythologique riche (sacré même), il émane de lui une puissance régénératrice.
  • Les poissons-chats ont l'un des plus grands éventails de taille au sein d'un même ordre de poissons osseux, leurs tailles pouvant aller de 12 cm à 1,6 mètre.


  • Varan du Nil. Le varan du Nil adulte peut mesurer de 1,50 m à 2 m. Il ne pèse que 3 kg à 6 kg. On le distingue par son cou assez long. Son corps est d’une couleur vert-gris foncé et noir avec des taches et des lignes jaunes. Il est solitaire, sauf en période de reproduction. Il est carnivore et détritivore. Le corps est d'une couleur allant du gris foncé au noir avec des taches jaunâtres. Le crâne est barré d'une rayure noire à hauteur de l'œil. Les taches jaunes forment 3 à 9 bandes entre les épaules et le pelvis puis se transforment en rayures sur toute la longueur de la queue. Les membres sont tachetés, le ventre est blanc ou jaune avec des rayures noires.

DANS LES MER

  • Barracuda. Poisson aux dents redoutables. C'est un assez grand poisson, pouvant mesurer jusqu'à 2 m de long pour 50 kg. Le corps du barracuda est allongé, avec une mâchoire inférieure de grande taille et des dents en forme de crocs. Les deux ailerons dorsaux sont largement espacés, le premier ayant cinq épines et le second une épine et neuf rayons mous. Les extrémités des nageoires les plus postérieures sont blanches. Les flancs portent généralement quelques taches noires variables.

  • Dugong : Ce mammifère marin herbivore, appelé aussi vache marine ou halicore, a une silhouette potelée (On peut l'observer paresser), mesure 3 à 4 m de long et peut atteindre 500 à 900 kg. Il est équipé de deux pattes avant modifiées en courtes nageoires arrondies, et dépourvu de pattes arrière (même vestigiales). La nageoire caudale du dugong, contrairement à celle du lamantin en forme de palette arrondie, est de forme triangulaire et présente un sillon médian. Elle ressemble en cela à la queue des cétacés

  • Mérou rouge (Cephalopholis taeniops) : Gros poisson avec une couleur de base orange rougeâtre avec la tête et le corps recouverts de petites taches bleues, tout comme la nageoire dorsale, la nageoire anale et la nageoire caudale. Les nageoires sont noirâtres vers les marges tandis que la partie à rayons mous des nageoires dorsale et anale et la nageoire caudale ont une étroite marge bleuâtre. Il y a une ligne bleue horizontale immédiatement sous l'œil. Il y a 9 épines et 15 à 16 rayons mous dans la nageoire dorsale tandis que la nageoire anale a 3 épines et 9 à 10 rayons mous, les nageoires pectorales sont plus longues que les nageoires pelviennes et la nageoire caudale est arrondie. Il atteint une longueur totale maximale de 70 centimètres, bien qu'ils soient plus courants à environ 40 centimètres. il mène une vie paisible entre les rochers.

  • Murène grise : Poisson long et mince, ondulant, à la mâchoire dangereuse, qui aime se blottir dans les rochers en guettant sa proie.
  • Le corps est serpentiforme de couleur blanc gris à lilas pâle avec des nuances de jaune à beige clair, Cette petite murène peut atteindre 65 cm (40 à 50 cm le plus souvent). La coloration de la tête tend plus vers le gris-brun avec des pointillés noirs disposés en ligne et limités en avant des ouvertures branchiales. Les juvéniles sont généralement plus clairs que les adultes. La bouche est grande, avec de nombreuses dents coniques et courtes sur deux rangées sur la mâchoire supérieure et une seule sur la mâchoire inférieure. Deux dents plus longues sont présentes sur le palais. Les nageoires pectorales et pelviennes sont absentes, alors que les nageoires dorsale, caudale et anale n'en forment qu'une, sans épines ni rayons mous, qui court sur pratiquement toute la longueur du corps. Les écailles sont absentes et le corps est recouvert d'un mucus protecteur. Deux petites narines en forme de tubes sont présentes sur l'extrémité du museau.


  • Poisson-ange. Poisson particulièrement beau, Comme chez tous les poissons-anges, le corps haut et très comprimé latéralement est de forme ovale. La longueur de 20 cm en moyenne peut atteindre 50 cm au maximum. L'adulte est bicolore : la robe bleutée comporte une grande marque verticale de couleur jaune à l'arrière du corps. A la différence des adultes, les juvéniles sont bleu foncé à noir et portent des lignes verticales bleues et blanches assez régulièrement espacées le long du corps : les secondes, généralement au nombre de 3 et sensiblement plus épaisses, sont situées respectivement derrière l'œil et la nageoire pectorale puis dans la partie postérieure du poisson. La tache jaune apparaît pour une taille proche de 6 cm. Sa saveur à goût de corail en fait un mets difficile à manger. Attention, son opercule est muni d’une pointe aiguë.

  • Poisson-clown. Parmi le plus connu des poissons, il est souvent à proximité d’une anémone de mer avec laquelle il forme une symbiose parfaite, l’un protégeant l’autre. Sa robe est orange, rayée de blanc. Les poissons-clowns sont de taille modeste ; adultes leur taille varie de 6 cm à 16 cm. Les caractéristiques qui les distinguent des autres sous-familles sont leurs 50 à 78 rangs d’écailles, des opercules généralement dentelés, une nageoire dorsale composée de dix épines neuf ou onze dans de rares cas et généralement 14 à 20 rayons souples. Les poissons-clowns ont quelque particularité, Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu'ils forment avec dix espèces d'anémones de mer, normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de poissons-demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d'une anémone. L'individu dominant est la femelle, plus imposante que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n'interviennent pas dans la reproduction.

  • Poisson-perroquet. Ce poisson herbivore mange des algues et du corail qu’il peut broyer avec ses mâchoires puissantes. De couleur bleu profond, Les poissons-perroquets ont un corps massif, allongé, légèrement comprimé latéralement, au profil arrondi, recouvert de grosses écailles cycloïdes. Selon l’espèce, la taille oscille entre moins de 20 cm à 130 cm, pour une taille moyenne de 30 à 40 cm. Au niveau du squelette, ces poissons portent 9 épines dans la nageoire dorsale et 10 rayons mous ; 3 épines dans la nageoire anale pour 9 rayons, une épine et 5 rayons dans les nageoires pelviennes, et 11 rayons branchus dans la caudale. Ils possèdent 25 vertèbres, et la ligne latérale s'étend sur 22 à 24 écailles

  • Raie manta. Cette raie particulièrement rare pèse environ 1 360 kg. Elle mesure de 3 à 6 m. Sa robe est bleu foncé sur le dos et d’habitude blanche sur le ventre. Les raies mantas ont une large tête, un corps en forme de disque aux nageoires pectorales triangulaires, avec des nageoires céphaliques en forme de cornes de chaque côté de leur gueule, qui sont en fait des extensions des nageoires pectorales. Les yeux sont sur les côtés de la tête, derrière les nageoires céphaliques. Les raies mantas disposent de cinq paires d’ouïes situées sur la face ventrale. Leur queue est dépourvue de squelette interne, et plus courte que leur corps. Les nageoires dorsales sont petites et placées à la base de la queue. Ce sont des suspensivores et elles ingèrent de grandes quantités de zooplancton, qu’elles avalent avec leur large gueule ouverte lorsqu’elles nagent. La gestation dure plus d’un an

  • Requin. On trouve des requins-marteaux, des requins blancs et des requins-léopards en mer Surtout du coté de l'ouest du pays (proche de Louxor par exemple). La prudence veut qu’on ne bouge pas en leurs présence, il reste que les accidents et morts sont assez rare car l'humains n'est pas par principe une proie pour les requins toutefois si le requin est en période de reproduction, sent l'odeur du sang ou est affamé les risques sont multiplié.

  • Tortue imbriquée. Espèce protégée en voie d’extinction. Cinq cents tortues imbriquées seulement pondent, chaque année, au Kjhemet. La tortue imbriqué est notamment le seul reptile spongivore connu. Elle vit à proximité des côtes dans l’ensemble des mers tropicales. Réputée et longtemps recherchée pour la qualité supérieure de son écaille, elle est pour cette raison l’une des espèces de tortues de mer les plus menacées d’extinction. La tortue imbriquée mesure entre 60 et 100 cm et pèse entre 43 et 75 kg, le plus gros spécimen trouvé faisant 127 cm. Les œufs mesurent entre 30 et 45 mm et pèsent entre 20 et 31,6 g.
  • La tortue imbriquée est une grande nageuse. Des scientifiques ont relevé des pointes à 24 kilomètres à l'heure sur cinq kilomètres. Des plongées ont été enregistrées à plus de 70 m pour des durées de 4 866 s, soit plus de 81 minutes. La maturité sexuelle est atteinte chez cette tortue après dix ans, voire probablement vers vingt ans et peut se reproduire au moins pendant dix ans. Elle est donc qualifiée d’espèce à maturité tardive. Son espérance de vie n’est pas connue.
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Géographie Citadine du Kjhemet


ville

III- Les 9 plus grandes villes et capitales des gouvernorats :



Djanpenutjeh :

à completer (18 891 991 habitants)

Qulbybesheh

à completer (8 133 220 habitants)

Napsybesheh

à completer (7 1340 60 habitants)

Shetnubu

à completer (5 425 576 habitants)

Kusnurma

à completer (2 264 151 habitants)

Louxor


Louxor

Le gouvernorat d’Imentèt est un territoire quasi identique au reste du pays avec en immense majorité désertique suivie de quelque plateau rocheux et un petit nombre d’oasis. Par conséquent ce gouvernorat, celui-ci dispose de quelque ressource comme quelque mine de sel ou de minerai mais qui est peu peuplée avec plusieurs petit centre urbain en majorité sut la cote comme des villages de pécheur ou de mineur (plus ou moins proche les uns des autres).
Ainsi l’histoire du gouvernorat d’Imentèt est principalement marqué par la surveillance des frontières via des fort au Sud et au Nord, de transite commercial afin que les caravanes puissent y faire escale et part l’exploitation de ressource à destination des plus grandes métropoles.

Afin de dynamiser le gouvernorat d’Imentèt et ces quelque centre urbain tout en ayant une métropole conséquente pour la région, un premier projet suivie d’un premier chantier durant le Néo Nouvel Empire a eu lieu à partir de 1498. Si le chantier a bien avancé avancé jusqu’en 1524 avec une population et un réseau urbain regroupant 5500 âmes, l’affaiblissement progressif du Néo Nouvel Empire ont ralentie progressivement les travaux jusqu’à leur arrêt total et l’abandon du site durant la cinquième période intermédiaire.
La population qui était en majorité des locaux et des émigré soient de l’étranger ou d’autre gouvernorat du Pays ont quitter le site qui sera à l’abandon jusqu’en 1820, date à laquelle de nouveau plan ont été conçus et approuver par les Pharaons de la 64ème dynastie.

A partir de 1820 le pouvoir central veut repartir de zéro en réutilisant le site, tout d’abord il vont renommé la ville Louxor afin de rendre « plus simple » sa prononciation et son attrait pour les étranger. En effet, comme l’ancien projet de 1498 les étranger auront leur place dans la vie de la métropole pour attirer leur savoir faire, leur marchand, leur technique et surtout peuplé le site rapidement.
Par contre contrairement à 1498 qui ne ce focalisait pas sur l’immigration (vue comme un bonus et un accélérateur), le chantier de 1820 lui va grandement encouragé l’immigration des étrangers. En conséquence, dès 1835 la ville de louxor était déjà peuplé de plus de 20 000 habitants et ne cessera d’augmenté rapidement en taille et population. Même si il est vrai que la guerre civil de 1973-1976 fut un grand ralentisseur. La dictature de Nofre Hotep elle sera bénéfique pour la ville lui qui a fortement fait appel à l’immigration.
Aujourd’hui en 2012, Louxor est peuplée de 1 246 813 habitants et est devenu une ville florissante qui est le fruit d’une diversité culturelle captivante, en accueillant en majorité des immigrants venus des quatre coins du globe ou du pays. Louxor étant la ville le plus cosmopolite de l’empire avec environ 30 % de la population qui est nés à l’étranger et environ 46 % de la population ont au moins un parent nés à l’étranger.

Les températures de la ville sont régulière et bonne à vivre tout au long de l’année sans changement drastique au cours de l’année, pendant l’hiver les températures sont bonne pouvant aller de 14 degrés à 22 degrés. Tandis que pendant l’été les températures peuvent aller de 26 à 35 degré. Ces températures font de louxor une ville balnéaire très prisé où des touristes notamment étranger sont légion.

Louxor donne lieu a une symphonie de cultures, où les rues résonnent des langues, des coutumes et des gastronomies de chaque coin du monde le tout coupler avec le pouvoir et les traditions Kjhemetous. Les quartiers sont une mosaïque de couleurs, de danse et de tradition créant une atmosphère cosmopolite qui séduit les résident et les touristes.

La ville n’est pas seulement un centre culturel et cosmopolite, elle est également un centre économique en plein essor après la stagnation des années 80-90. Louxor tire sa prospérité d’activité industrielle diversifié avec un accent sur l’industrie manufacturière, son port où transite des ressources varié dont les ressources historique du gouvernorat comme le poisson, le sel ou les minerait et les investissement croissant dans les entreprises technologiques.
La nouvelle croissance la ville fait prospéré de plus en plus les industries manufacturières, technologique et portuaire, créant des emplois et attirant divers population autochtone et étrangère.

Louxor investi massivement afin de favorisé l’intégration et la mobilité social via l’éducation, le travail, le sport ou des programmes d’intégration qui sont mis en place pour faciliter l’adaptation des nouveaux arrivants. Cela, ce voit dans les festivals culturels annuels qui célèbrent la richesse et la diversité, offrant aux habitants l’occasion de partager et d’apprécier les différentes traditions. Sans oublier que des centres communautaires sont érigés dans chaque quartier, offrant des espaces de rencontre et d’échange pour renforcer les liens entre les Résidents.
Il est toutefois important de noter que l’autorité impérial est tout de même présente et encadre la vie de la ville même si celle-ci à un statuts spécial accoré en 1820

La ville s'efforce de créer une qualité de vie exceptionnelle pour ses habitants. Les espaces verts, les parcs et les installations récréatives abondent, offrant un équilibre entre le dynamisme urbain et le bien-être naturel. La ville met également l'accent sur la durabilité, avec des initiatives visant à réduire son empreinte carbone et à promouvoir des modes de vie respectueux de l'environnement. De par ces investissements louxor est la ville avec le moins de pauvreté et ou les différences sociaux économiques sont les plus faible du pays.

Il est donc clair que les objectif initiaux de la construction de la ville sont pleinement réussi et même si la ville n’est clairement pas la plus importante du pays elle reste une grande métropole qui a rendu le gouvernorat d’imentèt plus attractif et important

Amon-Rê Tjetesma

la ville d’Amon-Rê Tjetesma est la ville la plu sacré de tout le pays et regroupe de grand sanctuaires, temples et autres infrastructures religieuses, celle-ci est en plein milieu d’un Oasis et d’une mince bande de verdure dans et autour de la ville qui fait ressortir la ville comme une anomalie au milieu du désert.
La ville est peuplée de habitants 904 825 (24/03/2014) ce qui en fait une ville modérément peuplée au sein du Kjhemet. Grâce à la présence d’une oasis importante pour la région, la vie fut possible dans l’antiquité assez tôt et le pouvoir central envoya des colons peuplée l’endroit durant l’antiquité dès l’ancien empire avec un développement initial de la cueillette et de l’agriculture ainsi que le commerce. La région évolua en même temps que les différents empire ainsi au moyen empire l’oasis devient un centre agricoles importants. Les cultures sont introduites et développées grâce aux systèmes d'irrigation adaptés aux conditions désertiques
et au nouvel empire l’oasis gagnent en importance stratégique et économique. Il sert de points de ravitaillement pour les armées en campagne et de centres de commerce pour les caravanes venant des autres régions du pays ou de l’étranger.
Ces trois exemples montre un certain développement de la ville malgré son éloignement et son relatif isolement qui à été aussi suivie par un développement théologique et théocratique important qui continuera continuellement jusqu’à aujourd’hui. D’ailleurs les pharaons et de manières général le pouvoir central on sut laissé une certaine autonomie aux religieux sur place afin de développé et maintenir une vie religieuse sur place.
Malgré les siècles qui sont passé on trouve toujours au cœur de la ville un immense complexe de temples dédiés aux principaux dieux du panthéon Kjhemetous, notamment Amon-Rê (qui est le plus important), Isis, Osiris et Horus. Les temples sont le plus souvent construits en pierre de calcaire blanc et ornés de hiéroglyphes et de fresques relatant les mythes et les légendes, les colonnes massives et les obélisques décorés de hiéroglyphes se dressent tout autant fièrement, entourés de jardins luxuriants autour des temples.

La ville est tout autant construite à but religieux car Il y a également les rues principales qui sont considéré comme des avenus sacrées de la villes qui sont très larges et bordées de symbole religieux et d’architecture comme des sphinx et des obélisques. Celles-ci mènent toutes aux temples principaux et aux palais.
Il existe également autour des temples principaux de plus petits sanctuaires et chapelles qui honorent des divinités moins connue et importante, dans tout les cas chaque lieu de culte reste important pour la mythologie et reste des œuvre d’art architecturales.

Les minorités religieuses bien qu’existante sont très infime au sein même de la ville auquel on compte plus de 97 % de croyant du culte impérial, malgré cela il existe quelque temples permettant aux minorité de se recueillir même si la majorité des minorité religieuses sont en dehors de la ville repartie dans le gouvernorats.

La ville est marqué dans son architecture par des canaux artificiels à travers la ville, afin de rappelé l’Iteru qui est tout aussi sacré. D’ailleurs même les petites embarcation fluvial sont des inspirations religieuses avec des « bateaux solaires » qui transporte des passagers d’un site sacré à l’autre (comme des taxis pirogue en quelque sorte).
La population elle est depuis longtemps marqué par la théologie et la présence de prêtre et prêtresse toutefois de nombreux civil s'y sont installer ce qui a fait bondir la population. Il reste que ceci sont très influencer et doivent vivre aux rythme de la vie religieuse de la ville

Djabydjed


Djabydjed est collé au pieds d’une chaîne de montagne de moyenne altitude et entouré de collines et vallée basses, la ville reste surélevé ce qui lui permet de bénéficié d'une vue panoramique sur des paysages divers, allant des palmiers verdoyants autour de la ville aux dunes dorées du désert en passant par des collines défiant le désert. Djabydjed étant peuplé de 566 863 habitants et est la capitale du gouvernorat du Inpou
A l’origine, malgré l’absence d’eau de surface de manière permanente au court de l’année de petite communauté ce sont progressivement installé sur place afin de bénéficier de la protection de la chaîne de montagne et d’une étape pour ce reposé pour les voyageurs et caravanes marchandes. Depuis l’aménagement humain a permis de découvrir des sources d’eau souterraine et de rendre la zone beaucoup plus verdoyante en gagnant du terrains sur le désert.
L’emplacement de la ville n’étant pas un hasard car la chaîne de montagne permet de sauvegarder une certaine fraîcheur comparativement au désert alentours et de ce protégé de la plupart des vent du désert
Le développement de la ville a permit à l'architecture de Djabydjed d’être un mélange harmonieux de styles modernes et de motifs inspirés de l’architecture traditionnel Kjhemetous. Les bâtiments présentent des façades aux tons chauds, avec des frises ornées de hiéroglyphes stylisés. De nombreux jardins optimisé sous forme diverse et des cours intérieures apportent une touche de verdure à l'ensemble tout en rafraîchissant les espaces. Malgré que le développement de la ville fut relativement anarchique, celle-ci conserva une optimisation plus qu’importante que l’on retrouve encore aujourd’hui.
D’ailleurs, la présence de la montagne a permit a un certain nombre de bâtiment d’être construit à travers la roche avec une dominance de temples même si d’autre type de bâtiment y sont présent.
Pour l’économie de la ville celle-ci s’est développé grâce aux échange commerciaux florissant en tirant profit des caravanes marchandes traversant le désert tout en développant une agriculture très varier afin de s’approvisionner plus facilement en aliment. Également, les nombreuses ressources souterraine et dans la chaîne de montagnes ont aussi permit le développement humain de Djabydjed.

Le tourisme est aussi non négligeable et a le vent en poupe que ce soit pour visiter la chaîne de montagne, son histoire ou sa géographie où des rallye dans le désert sont couramment organisé par exemple.
On peu également citer la production d’électricité qui permet des apport monétaire supplémentaire entre les panneaux solaire, les très nombreuse éolienne ainsi que les centrales traditionnel.
Djabydjed est considéré comme un centre culturel important car celle-ci est un melting-pot culturel et architectural où des influences anciennes/traditionnel et moderne se croisent (notamment depuis ses industrialisation qui ont multiplié sa population). Des festivals très colorés, mettant en valeur la musique, la danse et l’art sont organisé régulièrement.

Kharga


Kharga

L'oasis de Kharga est la plus méridionale des grand oasis du Kjhemet ainsi que la capitale régional du gouvernorat de Shay/seth. L ‘oasis de Kharga s'étend sur 150 km mais sa largeur ne dépasse pas 30 km. La ville est entourée par le désert, avec un paysage aride et désertique caractéristique de la région. Par conséquent, kharga connaît un climat désertique avec des températures élevées pendant la journée et des nuits plus fraîches. Les étés sont chauds, tandis que les hivers peuvent être doux pendant la journée et froids la nuit.

D'ailleurs, Kharga est l'une des oasis les plus importantes du désert occidental. Elle est connue pour ses palmiers, ses vergers, et ses sources d'eau qui ont permis le développement de l'agriculture dans cette région aride ainsi qu'une certaine prospérité.
La célébrité de cette riche oasis au seins du pays consiste en l'existence de plusieurs sources et puits d'eau naturelle dont la température, qui peut atteindre 43 °C, est réputée comme particulièrement efficace pour le traitement des rhumatismes et des allergies. Il y a donc des installations thermal et des cures récurrentes pour les Kjhemetous ou les touristes.

L'économie locale repose principalement sur l'agriculture, avec la culture de dattes, de céréales, et d'autres fruits. Le commerce et le tourisme sont également des activités importantes, avec des visiteurs attirés par les sources d'eau, par l'histoire ancienne de la région et la beauté du désert.
D'ailleurs, Kharga offre aux visiteurs la possibilité de découvrir des sites archéologiques, tels que le temple de Hibis, un temple Kjhemetous antique dédié à Amon (qui possède un nom local). Les visiteurs pouvant explorer les environs désertiques, avec des excursions dans le désert avec divers moyens.

La population de la ville est relativement modeste, et la vie quotidienne est influencée par la présence de l'oasis et les activités agricoles. Kharga est peuplée de 145 522 habitants, ce qui en fait une ville mineur comparativement aux autre ville du pays. Même si cela est justifié par l’éloignement de Kharga et la large dominance du désert dans le gouvernorat qui limite encore aujourd’hui grandement l’implantation humaine sur toute la région. D'ailleurs, l’oasis de Kharga est également l’endroit du pays ou la proportion de berbère et maghrébin est la plus élevé à l’image du gouvernorat de Shay (Seth)
Concernant la religion, le dieu principal de Kharga est Amenèbis « Amon d’Hibis » qui est le nom local du dieu Amon et représenté en compagnie de son épouse la déesse Mout et du dieu Khonsou. Même si biens sur, d'autre culte sont présent dont l'Islam et le christianisme et qui ont leurs présences depuis le moyen-Age.

Grâce a l’archéologie on sait que l’implantation humaine dans la zone de Kharga date de la préhistoire où plus de 80 sites ont révélés que des Hommes ont pratiqué des techniques d’adaptation à une époque de grande variation climatique qui fera varié le paysage ente les savanes, forêts et déserts.
Ainsi les Kjhemetous ont occupé les divers oasis du Pays dès l’ancien Empire mais ce sont avec les époques postérieur notamment après la chute du nouvel Empire que datent les divers construction (dont le temple d’Hibis) et vestige découvert à ce jour.
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