

Gu bhis tigo h-o Morchessán el ovhis chilch suminar pér a Sirimane tua h-Othu h-o Esobil Tiprihu. Gu ben roveún tu rudérnim ehu toí a gérar praghinun, mismu se gu aren bhán ivetomoí h-óidh'u vélidh'u firim la toí tu h- adru chaiteshaíar...
Maí podirnil ben a pirsan che coipuden pér mau n-a plós ona maitu. Í h-éhe, el naí ogen sau tu maí h-ommare! Su poridhen idanoíun, mí el falen sovauhim chu se gu oven a ve chu gu oven onagértuóe, su ben bhán cros o maí podirnil. El naí oven dégér beidh'u prisoíun o maí chadíar, nadomoí choitu el bhis Chaisihir Prumhirun tua Prisetoíd'u Morchausán More Vetoles oidru 1980 (ón mel nuf sá h-óedoid) í 1984 (ón mel nuf sá h-óedoid í chadru). Su ben pérdoí cros o h-el chu gu veven onagértuóe h-oí h-Ósemo, n-í chu gu pévhis roichaidim Ilhos.
Soves chu gu bren véu idirnilmoí ruchanisoíun tu ovim mau privunidh'u choid ona h-idod'u tu soidí tu maí podirnil. El naí nadefhis mau larsuch gu bhis vauhim la ghis el, el ovhis chilch'u suminar. Gu ben tu h-adoí plós idanidh'u tu saí h-Idod'u tu soidí h-ochdóiln...
Ares póidh oí deim mau plósun ovoí maí h-oreví?
Í tu h-ohur, chamoí soides véar véu?
Mon père est la personne qui compte pour moi le plus au monde. Eh oui, il ne s'agit pas de mon mari ! Cela peut paraître étonnant, mais il faut savoir que si j'ai la vie que j'ai aujourd'hui, c'est bien grâce à mon père. Il n'a pas toujours été présent à mes côtés, notamment quand il était premier conseiller du Président Saint-Marquois Mary Vidalis entre 1980 et 1984. C'est pourtant grâce à lui que je vis aujourd'hui en Uusimaa, et que j'ai pu rencontrer Elias.
Sachez que je vous serai éternellement reconnaissante de m'avoir prévenue quant à l'état de santé de mon père. Il ne m'a rien notifié lorsque j'ai été le voir chez lui il y a quelques semaines. Je suis d'autant plus étonnée de son état de santé actuel... Pourriez-vous m'en dire plus avant mon arrivée ?
Et d'ailleurs, comment allez-vous?