21/02/2015
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[Encyclopédie de Thot] L'Empire Pharaonique du Kjhemet (en écriture)

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La grande encyclopédie impérial de Thot


exil

Table des Matières :


1.Présentation générale

2.Histoire chronologique générale

3.Politique et institution

4.L'éducation

5.Économie

6.Religions

7.Cultures

8.Langues

9. Sport

10.Administration

11. Prêtres et prêtresses du culte impérial

12. Société

13.Armée

14.Composition de l'être et transmission funéraire

présentation générale


pharaons

Nom officiel : Empire Pharaonique du Kjhemet

Nom courant : Kjhemet (EPK)

Toponyme : le terme Kjhemet (peut être écrit kemet ou kêmi, les trois sont semblable) à trois significations « la terre noire » (arable), en référence à la bande de terre rendue fertile par le limon noir déposé par la crue annuelle de L'Iteru, artère vitale de la civilisation depuis l'Antiquité.
la signification « Le Pays de la terre noire » en référence au Pays en général et non plus seulement le fleuve
la significations de Kjhemetous, pour le peuple

Régime politique : Empire pharaonique théocratique constitutionnel

Gentilé : un Kjhmeti, une Kjhmeta, des Kjhemetou
Langue(s) officielle(s) : Egyptien antique, Hiéroglyphes égyptiens
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : le copte, le grec


Drapeau :
Drapeau

Signification du drapeau :

  • le blanc (hedj) est le symbole de la joie et du faste, mais aussi de la pureté rituelle requise pour le culte. Elle rappelle la couleur de l'aurore, la lumière qui triomphe de l'obscurité.

  • le jaune (khenet) est le symbole de l'or, du soleil à son zénith et de l'immortalité. C'est la couleur des dieux, dont le corps est en or jaune

  • le noir (kem) est le symbole de la renaissance et de la fertilité, le noir est la couleur du limon fertile apporté par la crue annuelle de L'Iteru et fortement lié à la symbolique de la renaissance (ainsi que la couleur de la nuit et du royaume des morts)

  • le rouge ((desret) est le symbole de la violence, du désert, du feu, du sang et de la mort, mais aussi de la victoire

  • L'Ânkh ou croix de vie symbolise la vie par l'existence mortelle sur la Terre, mais également l'existence immortelle dans l'après-vie

  • L'œil de Rê/Ra symbolise un des éléments clés de la création du monde ainsi que du maintien de l'ordre dans l'Empire du Kjhemet, ils rappel aussi Œil oudjat (d'Horus) qui est une force pacifique et protectrice

  • La représentation surplombant l'aigle représente la vie terrestre/humaine au Kjhemet

  • L'aigle fait référence à Horus qui est le dieu protecteur du pharaon et à la protection divine en général

Devise officielle : célébrons les dieux, honorons les pharaons, l'empire sera que plus fécond
Hymne officiel :

Chef de l'Etat : : Pharaonne Akarkhenthas V depuis le 2 mars 2010 (surnom d'outre-mer)

constitution pharaonique actuelle :28 février 1997

Monnaie nationale : Le Chât-Deben

Fêtes nationales : nombreuse fêtes pratiquées tout au long de l'année par exemple ; heb nefer en Ipet, heb-sed, heb nefer en inet, heb-Min, heb-Bastet, heb-Ouag

Capitale : Djanpenutjeh (économique et politique), Amon-Rê Tjetesma (religieuse et culturel)

Population : 86 407 963 habitants (09/02/2012)

densité : 94,1 habitants au km²

Superficie : 917 625 km²

Produit intérieur brut national : 523 000 000 000 $ (09/02/2012)
Produit intérieur brut par habitants : 6 053 $ (09/02/2012)
croissance du PIB (2012) : 3,6%

Indice de fécondité: 4.4 enfants par femme en moyenne
Espérance de vie : 78,6 pour les femmes et 75,4 ans pour les Hommes
Taux d'alphabétisation: 95%

Histoire chronologique générale


Chronologie de l'histoire de l'Empire Pharaonique du Kjhemet :
-3500 à -3150 = Sédentarisation, urbanisation et unification progressive (pré dynastique)
-3150 à -2685 = Période archaïque/thinite (I-II dynasties)
-2685 à -2180 = Ancien Empire (III-VI dynasties)
-2180 à 2040 = Première période intermédiaire (VII-XI dynasties)
-2040 à -1782 = Moyen Empire (XI-XII dynasties)
-1782 à -1570 = Deuxième période intermédiaire (XIII-XVII dynasties)
-1570 à -1069 = Nouvel Empire (XVIII-XX dynasties)
-1069 à -764 = Troisième période intermédiaire (XXI-XXV dynasties)
-764 à 542 = Basse époque (XXV-XXXI dynasties)
-542 à -400 = Période étrangère (XXXII-XL dynasties)
-400 à -30 = Néo Ancien Empire (XL-XLV dynasties)
-30 à 175 = Régence des cultes (XLV-XLVI dynasties)
175 à 1066 = Néo Moyen Empire (XLVII-L dynasties)
1066 à 1182 = Quatrième période intermédiaire (LI-LV dynasties)
1182 à 1595 = Néo Nouvel Empire (LV-LVI dynasties)
1595 à 1789 = Cinquième période intermédiaire (LVII-LXIII dynasties)
1789 à 1800 = Coup d'Etat et révolution Pharaonique (LXIII-LXIV dynasties)
1800 à 1976 = Empire Moderne (LXIV dynasties)
1976 à 1996 = Dictature de Nofre-Hotep
1996 à....... = Empire Moderne (LXIV dynasties)


Préhistoire et sédentarisation au Kjhemet :



L’archéologie a démontré une présence humaine très ancienne en faisant même du fleuve Iteru un des berceau de L’humanité et des premières civilisation même si la disparité des villages et populations rendent les zones d’habitations beaucoup plus large qu’aujourd’hui. Ainsi, il existe une multitude de cultures plus ou moins isolé et importante avec une des plus importante pour l’historiographie Kjhemetous. Cette culture se nommant Naqada permettra d’établir les codes du pouvoir Pharaonique ainsi que les unifications du pays, de plus cette culture est découpé en fonction des périodes en Naqada I, Naqada II et Naqada III.
Toutefois, la variété des sites et culture fera que certaine disparaîtront mais d’autre ont été absorbé ou supplanté comme celle de Maadi-Boudo ou Badari.
Ainsi dès la préhistoire des preuves archéologiques très ancienne démontre la présence humaine sur le territoire Kjhemetous ainsi qu’un développement primitif et ingénieux avec différent outil ou arme tout en commerçant et en tissant des liens varié avec d’autre culture.
Certaines des plus anciennes structures connues ont été découvertes au Kjhemet le long de la frontière Sud avec la Nubie sur le site Arkin . Les archéologues ont dater les structures à 100 000 av. J.-C. Les restes des structures sont des dépressions ovales d'environ 30 cm de profondeur et 2 × 1 mètre de large. Beaucoup sont bordés de dalles de grès plates qui servaient d'anneaux de tente soutenant un abri en forme de dôme de peaux ou de broussailles. Ce type de structure offrait un lieu d'habitation, mais si nécessaire, il pouvait être facilement démonté et déplacé. Il s'agissait de structures mobiles faciles à démonter, déplacer et remonter offrant aux chasseurs-cueilleurs une habitation semi-permanente, jusqu’au implantation permanente le long de L’Iteru et des zones habitables.

Dans la période prédynastique qui est la phase de transition entre la préhistoire et la période Archaïque (aussi appelé Thinite) marquant la fin de la Préhistoire pour devenir l'histoire Pharaonique. Durant cette période, le climat Kjhemetous était beaucoup moins aride qu'il ne l'est aujourd'hui. De vastes régions du Kjhemet sont recouvertes de savane arborée et traversée par des troupeaux même si le désert était déjà présent par endroit. La flore et la faune y sont alors beaucoup plus prolifiques et la région de L’Iteru abrite d'importantes populations de gibiers d'eau. La chasse est une activité commune pour les anciens Kjhemetous et c'est aussi à cette période que de nombreux animaux sont domestiqués pour la première fois.
Vers 5700 avant notre ère, de petites tribus vivant dans la vallée de L’Iteru développent leur propre culture identifiable par leurs poteries et des objets personnels, tels que des peignes, des bracelets et des perles et démontrant d'importantes connaissances en agriculture et en élevage. Permettant un début d’identité culturel entre les régions même si le sentiment national n'existe pas encore.

En Haut-Kjhemet, la plus importante de ces cultures primales est la culture de Badari, connue pour ses céramiques de haute qualité, ses outils en pierre et son utilisation du cuivre. Dans le nord du Kjhemet, les cultures Nagada I (amratienne) et Nagada II (gerzienne) succèdent à la culture de Badari et marquera les débuts des codes du pays. Celles-ci développent un certain nombre d'améliorations technologiques et établissent des contacts avec les peuples extérieur et limitrophe ainsi que les cité portuaire.

Dans le sud du Kjhemet, la culture Nagada, semblable à celle des Badari, commence à s'étendre le long de L’Iteru à partir du quatrième millénaire avant notre ère environ. Dès la période de Nagada I, les Kjhemetous prédynastiques commercent et importent de l'obsidienne pour façonner leurs lames et d'autres objets à partir d'éclats. Sur une période d'environ 1 000 ans, la culture Nagada se développe à partir de quelques petites communautés agricoles jusqu'à devenir une puissante civilisation (pour la région) où les dirigeants ont un contrôle total sur la population et les ressources de la vallée de L’Iteru.

Le centre du pouvoir s'établit en premier lieu à Nekhen, puis plus tard à Abdjou, élargissant ainsi son contrôle du territoire du Kjhemet vers le nord. Ils établissent de nombreux échanges commerciaux avec ce qui est appelé la Nubie plus au Sud (comprenant notamment des peuples Noir), les oasis du désert et les cultures de la Mer orientale à l'est.
La culture Nagada fabrique une gamme très diversifiée de biens matériels, tels que de la céramique peinte, des vases en pierre de grande qualité, des palettes de maquillage, ainsi que des bijoux en or, en lapis-lazuli et en ivoire, reflétant la montée en puissance et la richesse de l'élite. Ils mettent également au point un émail céramique connu sous le nom de faïence qui est utilisé pour décorer des tasses, des amulettes et des figurines. À la fin de la période prédynastique, la culture Nagada commence à utiliser des symboles écrits qui vont évoluer progressivement jusqu'à devenir le système d’écriture hiéroglyphique complet utilisé pour l'écriture de l’empire du Kjhemet.
D’ailleurs, au fur et à mesure de l'expansion continue du désert oblige les premiers ancêtres des Kjhemetous à s'installer plus durablement autour de L’Iteru et des oasis tout en adoptant un mode de vie plus sédentaire au Néolithique.

Ainsi, la période prédynastique est la dernière période de la préhistoire Kjhemetous. Elle fait la transition entre le Néolithique et la formation d'un État par unification du pays et centralisation des pouvoirs aux mains des dynasties pharaoniques. Auquel, la culture badarienne en Haute-Kjhemet annonce déjà les futures cultures nagadéennes dont est issue la culture Kjhemetous pharaonique. Tandis que les Basse et Haute-Kjhemet se développent séparément tout en s'influençant mutuellement, vers 3400 av. J.-C., la culture de Nagada II supplante la culture de Maadi-Bouto et finit par s'imposer à tout le Kjhemet, prélude à l'unification politique plus tardive.
L'unification marque le début de la période dite « protodynastique », qui débute vers 3300-3100 av. J.-C. Du point de vue historique, elle correspond au début de la « dynastie 0 » à Abdjou, tandis que du point de vue archéologique elle correspond aux phases Nagada III et, suivant le découpage traditionnel, au début de l'âge du bronze ancien.

Ainsi, par convention, la dynastie 0 désigne les Pharaons ayant précédé la première dynastie Kjhemetous. Le terme dynastie est utilisé par analogie avec la chronologie classique, par dynastie, de la période suivante, mais dans cette période mal connue il n'y a aucune preuve que ces Pharaons faisaient partie (ou non) d'une même lignée monarchique ou même de l'exactitude des pharaons et leur dates.
Cette dynastie 0 est souvent appelée Nagada III ou période protodynastique et correspond à la dernière phase de la culture Nagada de la préhistoire du Kjhemet Ancien, datant d'environ 3200 à 3000 av. J.-C. C'est la période durant laquelle le processus de formation de l'État, qui a commencé avec Nagada II, est devenu très visible, avec des Pharaons nommés à la tête de puissants pouvoirs politiques.
À cette époque, qui voit également le développement d'une protoécriture qui deviendra l'écriture hiéroglyphique Kjhemetous, les noms de ces Pharaons étaient inscrits sous forme de « serekhs » sur diverses surfaces, notamment des poteries et des tombes.
Le Kjhemet étant encore morcelée, plusieurs souverain étaient contemporains les uns des autres et se faisaient la guerre, menant ultimement à la fin de la période à l'unification de l'Égypte par les rois originaires de Thinis. Le terme de dynastie 0 réfère en général aux Pharaon de cette ville. Ce qui donnera la période Thinite/Archaïque

La période de la Naqada III, d'environ 3200 à 3000 av. J.-C. est généralement considérée comme identique à la période protodynastique, également appelée Dynastie zéro, durant laquelle le Kjhemet a été unifiée. La période protodynastique est remarquable pour avoir été la première ère avec les premières traces d'écriture au Kjhemet, sous la forme de hiéroglyphes archaïques et uniquement figuratifs, la première utilisation régulière des « serekhs », la première irrigation, la première apparition des cimetières impériaux et un début d’administration. À cette époque, le Pharaon n'a qu'un nom, celui d'Horus. La tradition Kjhemetous plus tardive a eu tendance à confondre histoire et mythe, à tel point qu'il est difficile de faire la part des choses. Ainsi le dieu faucon Horus est souvent considéré par les Kjhemetous comme le premier pharaon.
Durant la fin de la période prédynastique, l'Égypte se trouve divisée en deux royaumes : un Pharaon pour le Nord (Basse-Kjhemet) et un pour le Sud (Haute-Kjhemet). Les Pharaons du Sud prennent alors le dessus sur ceux de Basse-Kjhemet. La conquête a dû être progressive. En effet, si Narmer est considéré comme l'unificateur du Kjhemet et le premier Pharaon de la Ire dynastie, l'un de ses prédécesseurs, Iry-Hor, est attesté sur une inscription, inscription mentionnant également Memphis-Ménès, ville pourtant fondée selon le mythe par l'unificateur du Kjhemet Ménès. Le dernier bastion du royaume du Nord était peut-être celui de Bouto : en effet, sur la Palette de Narmer Hor-Haha, les hiéroglyphes sculptés près du captif vaincu par Narmer - un harpon et un lac - ont été considérés par les spécialistes de L'histoire du Kjhemet comme étant soit un nom de lieu pour le nome du Harpon (situé au nord-ouest du delta) soit le nom du captif, phonétiquement lu comme étant Ouash ou Ouashi
Dans tout les cas, la période prédynastique se termine à la création de la Ire dynastie, avec l'unification du pays par Narmer Hor-Haha

Des empires de l'antiquité jusqu'à la fin de la régence des cultes :




à compléter

Le Moyen Age Pharaonique :



à compléter

L'époque moderne :



à compléter

l'empire moderne jusqu'à la dictature de Nofre-Hotep :



à compléter

la dictature de Nofre-Hotep :



A approfondir

Le 19 octobre 1976 marque le début de la dictature de Nofre-Hotep qui va durer jusqu’en 1996, pendant ses 20 année le dictateur Nofre Hotep va centré le pouvoir autour de sa personne dans un régime qui peut s’approcher d’une république même si beaucoup d’aspect impériaux seront encore insinuer et même sauvegarder.

La dictature étant très fortement lié a la personnalité de Nofre-Hotep, celui-ci va y imprégné de ses idées les deux décennies suivantes. Bien que sa personnalité soient complexent et que beaucoup d'aspect de sa personne ne fait pas consensus en raison des objectifs et visions souhaiter. Il y a toutefois consensus pour les Biographes et historiens que Nofre-Hotep étaient très pragmatique dans sa politique en empruntant des idées à tout les bords et avaient une réel envie de rendre son pays plus grand tout en ayant une forte stabilité.
Les deux objectifs majeur de Nofre-Hotep étaient la stabilité et la réussite, pour y parvenir il n'hésitera pas à utiliser un maximum de moyen différents tant que celui-ci fonctionnent et bénéficie à la nation. Toutefois, il es clair que le dictateur n'avait pas peur d'utiliser la violence et la corruption y compris pour remplir ses propres poches.

Si dans un premier temps Nofre-Hotep joue le jeux des réformes révolutionnaires et se fait assez respectueux des institutions afin de stabiliser/calmer la situation, rapidement comme toute dictature, Nofre-Hotep va progressivement consolider son nouveau pouvoir en passant par des purges politiques et administratifs, des emprisonnements ou des bannissements afin que les opposants de tout bord soit écarter ou insignifiants.

Une fois que le pouvoir qui lui est totalement acquis et que ses fidèles sont répartie dans les sphères institutionnels du pays, Nofre-Hotep va s’atteler à la reconstruction du pays et son repeuplement en conséquence de la guerre civil. Le bilan de la guerre civil est aujourd’hui estimé entre 7 à 9 millions de morts, dont 1,5 million de soldats tout camp confondu et 30% des infrastructures détruite à travers le pays.
En conséquence, Nofre-Hotep va lancer de nombreux chantier afin de reconstruire les infrastructures avec un très fort contrôle de l’État dans ses chantiers et entreprises du bâtiment (avec menace, corporation ou exploitation des populations) et en parallèle d’une forte ouverture à l’immigration qui a permis à la fois de repeupler le pays mais aussi d’en exploiter la force de travail.
Il va également mettre en place des politiques économiques ou l’état contrôle une majeur partie du marché tout en permettant une certaine libéralisation dans le sens où en échanges de pots de vin des entreprises ont pu s’installer sur le territoire enrichissant le pays et les poches des membres du régimes.
Tout en contrôlant d’avantage le pays et la population, Nofre-Hotep va fortement augmenter les effectif des forces de l’ordre ainsi que la création d’une police politiques permettant une baisse drastique de la criminalité et muselant les opinions dissidentes.

Ainsi, Nofre-Hotep a profiter d’un contrôle total du pays et des nouvelles ressources en gaz, minerais et pétrole pour s’attacher le cœur des populations en augmentant le niveau de vie, en reconstruisant le pays tout en réduisant les inégalités social .
Avec ses nombreuses politiques en faveur de la population une bonne partie de celle-ci était plus que favorable envers Nofre-Hotep et son administration.

Toutefois, ces politiques en faveurs du pays et de la population cache une face beaucoup plus sombre de ces vingts année de dictature. Tout d’abord l’opposition politiques et le pluralisme n’existait pas durant cette période, même si il y avait trois partie au Senebty Shutyu, tous était sous les ordres et validation du partie de Nofre-Hotep le PEDP.
Ainsi de 1976 à 1996 il y avait que deux autre partie autorisé le PEK car est minoritaire tout en associant le nationalisme et populisme relativement proche du PEDP sur certain point ainsi que le PCV car la religion a toujours été importante pour la population sans s’intéresser pleinement sur le fond de la politique de Nofre-Hotep.

Ensuite, il y avait un certain climat de terreur bien ressentie/vécue par la population à cause de la répression des idées et opposition via la police politique même si ce climat pouvait fluctuer en fonction des années. Il reste que des dizaines de milliers de personnes ont été arrêter, juger, torturer voir même abattue pour les plus récalcitrant.
Aucun endroit n’était véritablement sécurisé pas même les maison qui étaient souvent misent sur écoutent et encore moins la rue et espace public quadrillé et contrôlé par les forces de l’ordre et la police politique.

Cette équilibre entre carotte et bâton va se maintenir jusqu’à la fin de la dictature même si elle sera beaucoup plus marqué entre 1976-1990 que durant les dernières années de 1990-1996.
En effet, l’année 1990 va marqué un début de déficit puis de récession économique qui va durer jusqu’en 2000.
Cette crise économique va durcir le régime pour les controles, la polices, etc.. mais aussi augmenter de nouveau les inégalité social et la pauvreté (qui existait toujours malgré les politiques de Nofre-Hotep) ainsi que la corruption qui sera à un niveau beaucoup plus généralisé et intense. Les institutions vont par conséquent ce gripper et la dictature bien qu’encore bien établie va se fissurer de par en part jusqu’en 1996 et la mort de Nofre-Hotep. Cette année 1996 marque a la fois la mort de Nofre-Hotep et la chute quasi-immédiate de la dictature car de nombreux soulèvement et le rattachement de l’armée au insurgé va permettre de faire tombé la dictature et de remettre la 64 dynastie sur le trône

Cette période est tout autant détestée qu’adoré ce qui rend l'historiographie de cette période difficile à rendre objective.
Elle est adoré par certain en raison de la forte stabilité et de la reconstruction/réussite économique suite aux ravage de la guerre civil.
Détesté par d’autre car ces 20 ans restent une dictature avec ce qui a suivie de privation de liberté et de répression avec certes une réussite économique mais aussi une corruption de plus en plus généraliser suivie d’une récession économique

le retour de l'empire moderne :



à compléter

Politique et institutions


Symbolique

Institution de l'éxecutif :



Le Kjhemet est une monarchie de droit divin, plus précisément un Empire pharaonique où le pouvoir central est centré autour de la personne du Pharaon (et de son conjoint). Par conséquent, l’empire Pharaonique du Kjhemet est très centralisé et le Pharaon possède encore énormément de prérogative pour gouverner.
Ainsi, les institutions issue d’un système administratif complexe et hiérarchisé bien que ce modernisant avec l’évolution du monde et de la civilisation a gardé son modèle politique et institutionnel issue de l’Antiquité, le peuple acceptant le mode de gouvernement imposé par leurs pharaon car est basé sur le respect de la Maat, la volonté divine et vise au bien-être collectif. Le Pharaon en tirant sa légitimité des dieux est à lui seul la représentation de l’État et en assure les fonctions essentielles( même si sa toute puissance est dilué comme avec un parlement national ou des élections)
Il est également l’administrateur principal du pays, le chef des armées, un législateur très important conjointement avec le parlement, le premier magistrat et le prêtre suprême du culte impérial Kjhemetous tout en veillant à la justice via l’équilibre de la Maat et à la distribution des bien nationaux.

Par conséquent, il revient de choisir pour le pharaon de la politique national et internationale à mener. Bien entendu, une seul personne ne peut faire une bonne gestion d’une nation ainsi le souverain délègue l’exécution de ses décision à des conseillers constituant le gouvernement, des fonctionnaires, des représentant dans les Sepats/Gouvernorats et des scribes correspondant à l’administration, etc…
En parallèle, la délégation se fait indirectement par le corps législatif du nom de Senebty Shutyu qui peut proposer, discuter et voter les lois.

Pour avoir un contrôle central sur l’empire du Kjhemet, le souverain s’appuie sur une très grande administration très hiérarchisé chapeauté par un ou plusieurs Tayty-sab-tjaty et les Tjaty (représentant l’exécutif), ainsi l’administration est divisée en diverses sections dont le Trésor, Le grenier, Les Archives et les Travaux Pharaonique/public.
Les divers représentant dont les scribes et fonctionnaire (le terme peut même être associer et sont les plus emblématiques) aux diverse échelle administrative représente le pouvoir central en agissant par délégation de pouvoir au nom du Pharaon dans tous les domaines de la sociétés ainsi il gère l’économie via lacollecte les impôts, garantissent la sécurité ou garantisse la religion du culte impérial et ses infrastructures en plus de d’autre charges qui sont lié au préfet, maire, etc.

Pour l'exécutif, celui-ci est constitué de ministres toutes nommées par le souverain, leurs nombres varient en fonction de leur portefeuille ministériel avec notamment le Tayty-sab-tjaty (équivalent de Premier ministre) et les tjaty (ministre) de la défense, de l'économie, etc. Formellement, il n’y a pas de limitation pour leur nombre au sein du gouvernement.

Institutions législatif :



Les institutions législatif sont représenté par le Senebty Shutyu qui est le parlement/corps législatif de l’empire pharaonique du Kjhemet.
Celui-ci est un parlement monocaméral qui est élu au suffrage direct, les députés sont au nombre de 600 :
284 d'entre eux sont élus au scrutin majoritaire plurinominal, 284 autres sont élus au scrutin de liste majoritaire et enfin 32 sont nommés directement par le souverain.
Si le souverain a encore énormément de prérogatives politiques, religieuses et administratives, celui-ci ne peut interférer directement contre les députés hormis quelque exception légal comme le droit de veto ou la dissolution de l'assemblée, ces prérogatives ayant été établies en 2000.
A contrario depuis 2000, afin d’améliorer les compétences du Senebty Shutyu et un contrôle plus poussée du gouvernent et du pharaon, les députés peuvent par la majorité qualifiée suspendre un projet de loi ou démettre les gouverneurs provinciaux.
Même si de nombreuse évolution légal on permit la création de contre pouvoir, il est clair que encore aujourd’hui le Pharaon possède une part énorme de pouvoir et peut largement imprimé la politique national de sa volonté.

La succession impérial :



Symbole

Le Kjhemet étant une monarchie de droit divin sous la forme d’un empire celui-ci est héréditaire d’ailleurs afin d’éviter une quelconque querelles de famille ou de succession (complot, assassinat, renversement), le pharaon prend soin d’incorporer l’enfant qui doit le succéder au pouvoir soit en le nommant officiellement comme prince/princesse héritier(ère) ou général en chef des armées soit en associant l’enfant au trône en tant que corégent.
Dans le cas d’absence d’enfant, c’est le membre de la famille le plus direct qui est désigné et peut suivre le même modèle politique citer que l’enfant du Pharaon

Depuis l’instauration de la 64ème dynastie en 1800, la règle de succession fut établie comme cognatique où les femmes héritent à égalité avec les hommes. Tandis qu’avant 1800 à quelque exception près, la succession était agnatique-cognatique issue de la tradition de succession de l’Antiquité
Enfin, il peut y avoir une régence si le souverain a moins de 16 ans ou si il est inapte à régner physiquement ou mentalement. Pour choisir le régent il y a deux possibilité soit le régent à été désigner en avance par le Pharaon soit en cas de non désignation d’un régent à l’avance, un conseil de régence se réunie et désigne un régent qui est traditionnellement un proche de la famille Impérial.

Institution judiciaire :



Le système judiciaire tout entier suis les principes de la Maât, la déesse de l'ordre/ordre cosmique et de la justice. Ainsi les tribunaux modernes doivent s'efforcer de maintenir l'équité et l'harmonie, en s'appuyant sur les valeurs héritées du Kjhemet ancien.

Sur le plan juridique, les pharaons détiennent leurs pouvoirs régaliens des dieux dont ils sont les successeurs. L'action pharaonique est déterminée par deux maximes maintes fois énoncées dans les discours pharaonqiue. La première consiste à « amener la Maât », c'est-à-dire les aspects agréables de la vie comme la justice,l’ordre, la vérité ou la paix. La seconde revient à « chasser le chaos-isefet », c'est-à-dire les aspects négatifs de l'existence comme le tumulte, la maladie, le désordre et toute forme de perturbation comme les attaque étrangère ou les guerres civiles

Institution religieuse :





Institution indépendante et consultative :



Inspiré des anciens conseillers Impériaux et des scribes, un "Conseil des Sages" est une institution consultative composée de savants, d'érudits et de leaders communautaires. Ce conseil consultative joue un rôle dans la préservation de la culture, de la sagesse ancienne/tradition et dans la formulation de conseils pour le monarque.

Des institutions, appelées "Universités de Scribes", sont crée pour former de nouveaux scribes, afin d’être des gardiens du savoir et des historiens. Ces établissements sont chargés de préserver et de transmettre la richesse de la langue, de la littérature et de la science pharaoniques. Ces institutions ont des hiérarchie de la plus basse échelle jusqu’à l’autorité suprême et sont encadré par catégorie de compétence qui sont plus ou moins séparé (leur nom peuvent varié en fonction des prérogatives).

Concernant les institutions indépendante la « commission d’Ammout » est la plus connue, celle-ci a été crée afin de contrôlé les décision par rapport à la peine capital et éviter toute abus/tyrannie qui suivrait cette décision. Sa compétence concerne aussi le bon respect de la loi concernant la torture (qui est interdite) ainsi que des violences corporel grave que ce soit pour les citoyens ou les détenus.

Educations


éducation

Généralités historiographique :



L’histoire de l’éducation dans l’empire pharaonique du Kjhemet est tout aussi ancienne que l’empire lui même, dès lors qu’une société fut établie et que l’écriture fut constituer le savoir et la culture devait être sauvegarder d’où l’ancienneté de l’éducation dans l’empire. Toutefois, l’éducation ainsi que l’empire à grandement évoluer au cours du temps.
En effet les moyens, la centralisation et la technologie ne sont pas les même entre l’antiquité et aujourd’hui, par conséquent l’empire du Kjhemet antique était une civilisation marquée par une hiérarchie sociale rigide (mais pas impénétrable) qui s’appuyait beaucoup sur les classes sociales des nobles, des scribes et des prêtres ainsi que la forte influence du culte impérial.
Le pharaon est donc comme aujourd’hui au sommet de cette pyramide sociale, et l'administration de l'État, la gestion des ressources et l'organisation des travaux publics dépendent d'une classe éduquée de scribes et de fonctionnaires.
C'est dans ce cadre que l'éducation prend son importance pour la survie de l’empire et le maintient de la Ma’at. C’est donc pour cela que l'éducation au sein du Kjhemet (et encore aujourd’hui) occupe une place centrale dans l'organisation de la société Kjhemetous et reflète la structure hiérarchique et religieuse du pays. Elle joue un rôle essentiel dans la formation des scribes, des prêtres, et des administrateurs, qui contribuent au bon fonctionnement de l'État pharaonique.


Pendant longtemps, dans l’empire pharaonique du Kjhemet l’éducation des enfants divergeait selon leurs origines sociales et même en fonction de leur sexe. Ainsi, les jeunes filles qui participaient d’avantage aux tâches domestiques étaient donc de ce fait préparées dès leurs plus jeune âge à devenir des épouses capables de tenir une maison et de savoir gérer leurs propres enfants. Toutefois, il serait réducteur de simplement limité l’éducation des filles/femmes à cela car l’éducation des femmes et petites filles ont toujours été importantes (tout comme celui-des garçons) et c’est pour cela qu’il n’était pas rare d’avoir des administrateurs, des scribes, des militaires ou des fonctionnaires femmes.
Par contre, il est vraie que l’accès à l’éducation vis-à-vis de plusieurs facteurs pouvait avoir un accès plus limité par rapport à celui des hommes.
Dans les campagnes, les différences sexuelles sont plus contrasté, de fait les filles et les garçons sont égalitaire dans le sens ou les nombreux travaux manuel des champs comme les semailles ou les moissons nécessitait beaucoup de bras et donc la « réquisition » tout autant des femmes et hommes.

Par contre, quelque soit leurs sexe les enfants, quelle que soit leur condition sociale, étaient appelés à embrasser la carrière de leur père et de leur mère. Cette orientation était inéluctable pour les aînés de la famille même si les autres enfants peuvent tout a fait suivre la carrière des aînés et de leur parent.


Au sein du Kjhemet, on remarque deux lieux traditionnel distincts d’enseignement : l’ât sebayt signifiant littéralement le « lieu d’enseignement », que l'on peut appeler communément l'école et le per ânkh signifiant littéralement la « Maison de Vie ». L’enseignement principal consistait à inculquer aux enfants l’apprentissage du hiératique (langue simplifier du Kjhemetous anciens et des hiéroglyphes). En effet, La plupart des écoliers se contentaient de cet apprentissage de base car le hiératique était l’écriture de l’administration, donc plus rapide et comprehensible. Ceux qui se destinaient à une carrière de prêtre, de scribe, ou de scribe des contours poursuivaient leur instruction par l’apprentissage des hiéroglyphes.
Ces écoles étaient souvent liées aux temples religieux, et l'éducation avait une forte dimension spirituelle. Ainsi, Les prêtres pouvait aussi faire office de professeur et enseignaient les écrits sacrés, les rituels religieux, la lecture, l'écriture et les mathématiques nécessaires à des activités telles que l'agriculture et la construction.

Comme bilan, historiquement l’éducation se concentre sur la transmission de savoirs essentiels à la gestion des affaires publiques et religieuses ainsi que le maintient de l’État pharaonique. Bien que réservée à une élite plus ou moins large en fonction des époques, l'éducation Kjhemetous reflète les priorités de la société pharaonique : ordre, stabilité, et préservation du savoir à travers les générations tels que la Ma’at la instituer.

contexte historiographique de l'éducation :



-L'éducation concernant les scribes fait partie des plus importante car les scribe constituent le pilier du système administratif de du Kjhemet Antique et encore aujourd'hui même si de nombreuse réforme ont eu lieu entre temps . Ils sont responsables de la tenue des archives, de la gestion des biens, des impôts, ainsi que des rituels religieux. L’apprentissage pour devenir scribe est long et rigoureux, car il implique la maîtrise des hiéroglyphes, des hiératiques (une version simplifiée des hiéroglyphes utilisée dans les documents administratifs), ainsi que de l’arithmétique. Ils sont ainsi dire comme des fonctionnaire d'élite pour les divers sujets administratif
L'éducation des scribes se déroule principalement dans "les maisons de vie", ou per-ankh, qui sont des institutions rattachées aux temples mais pas que. Ces écoles forment non seulement des scribes mais aussi des prêtres et des médecins. Les élèves y apprennent à écrire, à compter et à comprendre les différents aspects de la gestion de l'État.

-Les maisons de vie/per-ankh sont des centres d’enseignement situés dans ou à proximité des temples tout autant rattaché administrativement aux prêtres qu'au service publique pharaonique. Leur rôle ne se limite pas à l'éducation des scribes, mais comprend également la conservation et la transmission du savoir religieux, médical et littéraire. Les scribes formés dans ces institutions jouent un rôle crucial dans les rites funéraires, la copie des textes religieux et la gestion des temples.
L'apprentissage est principalement basé sur la mémorisation et la copie de textes anciens. Les élèves s’entraînent en copiant des documents, parfois sous la forme de dialogues fictifs entre maîtres et élèves, ce qui leur permet de se familiariser avec le vocabulaire et les expressions idiomatiques de l’époque concerné.

-Le clergé joue un rôle essentiel dans l'éducation, car la religion est omniprésente dans la société Kjhemetous que ce soient depuis l'antiquité à nos jours. Les prêtres sont responsables non seulement des rites religieux mais aussi de la préservation des textes sacrés et de l’enseignement des mythes et des dogmes religieux. Les prêtres sont souvent recrutés parmi les familles de scribes, et leur formation inclut la lecture et l’interprétation des textes sacrés ainsi que la connaissance des rituels.
Les écoles sacerdotales forment également des médecins (qui a l'époque l'associait avec de la magie), car la médecine Kjhemetous est étroitement liée aux pratiques religieuses et aux connaissances empiriques. L’enseignement médical se base sur des textes spécialisés, souvent conservés dans les bibliothèques des temples en plus d'autre bâtiment en cas de besoin.

-Dans les temps antérieur, si l'éducation que l'on peut qualifier de formelle via des écoles et temples dédié est principalement réservée aux enfants issus des familles nobles ou des familles de scribes, de manière général les enfants de l'élite, notamment les princes, bénéficient d’une éducation plus large. Ils apprennent l’écriture, l’arithmétique, la gestion des terres et parfois les techniques militaires. Cette éducation est destinée à former les futurs dirigeants et à les préparer à leurs responsabilités administratives et politiques.
Les fils et filles des pharaons reçoivent souvent une formation spéciale, non seulement dans les lettres et les mathématiques, mais aussi dans la diplomatie, les stratégies militaires, la reproduction et la gestion des affaires religieuses et économiques de l'empire sans oublier les principes de la Ma'at.

-Pendant longtemps, en dehors du système formel d'éducation, les artisans, paysans et ouvriers (de manière général le peuple) reçoivent une formation pratique transmise de génération en génération. Les artisans qui travaillait à la construction des tombes impérial dans le Ta-sekhet-ma’at, (qui se traduit par "Le grand champ" ou "La grande nécropole") sont des exemples d’ouvriers hautement qualifiés ayant reçu une formation technique spécialisée dans leur domaine. Ils sont souvent lettrés et savent utiliser les outils mathématiques et pratique pour concevoir des structures complexes.

Le contexte historiographique est important car le modèle éducatif Kjhemetous a fortement évoluer avec de nombreuse réforme que ce soit pour l'accessibilité pour les programmes, pour l'accessibilité de la population avec une massification progressive de l'éducation ou des réformes de fonctionnement du service public et par conséquent de l'éducation. Ainsi, le 19ème siècle peut être considéré comme "le siècle solaire du renouveau et des réformes" car tout les domaines ce sont fortement réformer, y compris dans le domaine éducatif jusqu'à donner le système éducatif actuelle moderne même si d'autre période ont vu l'éducation évoluer par rapport à sont temps par exemple le 16ème siècle et le tout début 17ème n'ont pas à rougir des initiatives réformatrices


Les matières traditionnelles Kjhemetous :



Par matières traditionnelles, il faut entendre les matières considéré comme acquise et commune/principale du programme éducatif classique dont les Kjhemetous le plus souvent compétent voir excelle. Ces matières traditionnelles ainsi que l'aptitude ou l'excellence qui le plus souvent en découle est tout aussi vraie au cours de l'histoire et encore aujourd'hui.

-Écriture et langues : L’apprentissage des hiéroglyphes tout comme la maîtrise de la langue est central, mais les scribes et autre étudiant en fonction du cursus doivent aussi maîtriser les écritures cursives, comme le hiératique, utilisé dans les documents courants. De manières général, la grammaire, le vocabulaire et l’art oratoire sont des pré-requis à une bonne éducation. Également, depuis le 19ème siècle les langues étrangères sont souvent apprise se qui fait des Kjhemetous de bon diplomate et de bon polyglotte.

-Littérature : Les élèves de toute catégorie apprennent également à lire et à écrire des textes littéraires, poétiques, et des récits historiques Kjhemetous . La littérature Kjhemetous a une fonction pédagogique et morale, visant à inculquer les valeurs sociales et éthiques dont la Ma'at est la plus importante. Parmis ses textes, il y a les sagesses ou maximes qui sont les textes moraux et philosophiques qui transmettaient des conseils sur la conduite personnelle et la bonne gouvernance, pour les récits mythologiques des histoires des dieux et de leurs interactions avec le monde des hommes et pour Les récits historiques des chroniques des règnes des pharaons et des grandes réalisations de l'empire. Toutefois, à l'image de l'écriture et des langues les textes étrangers ne sont pas écarter au contraire, cela permettant d'approfondir la culture et la sagesses des élèves

-Mathématiques : Les mathématiques sont considéré comme essentielles notamment pour la gestion des terres, des impôts , des récoltes, et pour les travaux de constructions, les mathématiques Kjhemetous incluent l’arithmétique de base, les fractions et la géométrie. Toutefois, les mathématiques ne se résume pas qu’à cela et englobe tout les domaine possible d’autant plus avec des cursus approfondie et spécialisé

-La Religion/théologie et les Textes Sacrés : La religion via le culte impérial étant au cœur de la vie Kjhemetous, la connaissance des textes religieux que ce soit des mythes, hymnes ou prières et des rites funéraires sont essentielle pour les prêtres et les scribes ainsi qu'a la population. Ainsi, les élèves apprennent à lire et interpréter des textes comme le Livre des Morts, qui fournissent des instructions pour l'au-delà tout en apprenant le panthéon des dieux. De ce fait, la transmission des mythes et des cycles divins (comme le mythe d’Osiris, d’Horus, etc.) font partie intégrante de l’éducation religieuse considéré au sein de la société comme commune.
Cela fait des Kjhemetous de très bon théologiens (surtout pour les prêtres) d'autant plus que la société Kjhemetous n'est pas du tout fermer sur elle même en matière de religion car les études d'autres religions ne sont certes pas systématique pour les étudiants mais constitue un cercle d'étude non négligeable, d'autant plus si l'on compte les nombreuse minorité religieuse extérieur au culte impérial Kjhemetous.

-Le Dessin et la Peinture : Les études de dessin et de peinture sont très ancienne (avec de nombreuse évolution) pour tout type de représentation ainsi les étudiants sont formés à l'art du dessin pour représenter des objets, des personnes et des scènes religieuses ou funéraires dans l'espace publique ou dans les tombes et les temples.
La précision dans la représentation des proportions humaines et divines sont cruciale dans l’art Kjhemetous, et les jeunes élèves reçoivent une formation sur ces techniques.

-La Rhétorique et la Communication : Les Kjhemetous sont depuis très longtemps bien plus réputé pour être un peuple de commerçant et de diplomate que de guerrier. Par conséquent, la capacité à s'exprimer clairement et efficacement sont un atout pour les scribes, les diplomates, les élèves et la population tout en étant très bien vue dans la société.
Les élèves apprennent notamment l'art de la rhétorique, à travers des exercices de rédaction et de discours, ainsi que les conventions de la communication officielle. Cette apprentissage de la rhétorique et de la communication est souvent associé avec celui des langues ce qui fait des Kjhemetous de bon diplomates et de bon communiquant permettant de respecté leurs réputation pluri-millénaire.

(en cours)

Economie


représentation

La région du Kjhemet est l’un des berceau de l’humanité et dès les premières sédentarisations suivie des unifications différent secteur économique ce sont mis en place avec les ressource à disposition et par la géographie du pays. Avec des encadrement, de l’administration ou du contrôle par les pouvoirs public ainsi que les Pharaons même si bien sur cela ne c’est pas fait en un jour.
De fait, l’économie de l’empire pharaonique du Kjhemet est longue et complexe, remontant à l'Antiquité auquel le Kjhemet est la pure continuité sans toutefois que le Kjhemet refuse les évolutions technologies et la modernité.
Dès l’antiquité la plus ancienne l’agriculture était au cœur de l’économie, justifié par la présence de l’immense fleuve Iteru qui compense la large dominance du désert, effectivement le fleuve Iteru était et est toujours vital pour l’économie Kjhemetous en regroupant la plus grande partie de la population et des richesses. Ainsi la cultures intensives des terres le long de L’iteru continue jusqu’à aujourd’hui, l’irrigation étant essentielle pour soutenir les cultures. Sans oublié que la pêche est aussi très développé

Depuis l’antiquité les pharaons et pouvoirs public ont aussi mis en place de vaste programme de construction, qu’il concerne les travaux public comme la voirie ou les habitations ou les monument comme les pyramides, les hypogées, les temples, statuts ou tout autre batiment de grande importance pour les Kjhemetous. Ainsi ces vastes programmes stimule encore l’économie en fournissant du travail à une grande main d’œuvre que ce soit directement par les ouvriers ou indirectement par les commerçants ou les fournisseurs.
L’économie du Kjhemet repose aussi sur ses nombreuse ressource minière comme l’or, le cuivre, l’étain, le fer, etc.… (le Kjhemet ayant de grande ressource en or)
le pays dispose aussi de ressource naturel comme le sel, la pêche, le coton, le bois (dans une mesure limité), ect…
La politiques économiques du pouvoir pharaonique Kjhemetous est donc très interventionnistes dans beaucoup de domaine toutefois au vue des enjeux économiques moderne et des différentes crises économiques que le pays a connue le libéralisme (dans le sens du laissé faire le secteur et les entreprises privées) c’est bien inséré dans l’économie Kjhemetous et c’est accéléré depuis le milieu des année 90

Par conséquent, l’empire du Kjhemet est très riche en ressource diverse mais la dominance du désert sur le territoire national limite l’exploitation du territoire ce qui a rapidement forcé l’empire du Kjhemet à grandement ce tourné au commerce pour échanger et surtout s’approvisionner en ressource qu’elle ne dispose pas sur le territoire national.
C’est pour cela qu’il est récurrent que les habitations soient construisent au bord ou sur le désert afin de sauvegarder des terres agricoles permettant de gagner de la place sans affecter la fertilité, de plus de vaste programme pour reverdir le désert et gagner du terrain sur celui-ci sont existant et bien que cela donne des résultats, cela est très gourmand en ressource ainsi que pour les finances sous oublier que cela prend du temps.

Ainsi dès la fin de l’antiquité l’économie du Kjhemet est dominé par l’agriculture/la pêche, le commerce (de ressource naturel notamment, dont l’or) qui est très important et par la taxation grâce à une très bonne administration. Cela a fait et fait toujours du pays une région économique et commercial importante.

Bien sur le pays au cour de sont histoire a connue de nombreuse et diverse crise dans tout les domaines possibles dont les plus pur représentation sont les périodes intermédiaires avec plus ou moins de force et d’impact sur la société Kjhemetous. Ainsi il est clair que les crises économiques ont toujours mis à mal le pouvoir central dont le pharaon est censé être la représentation du divin sur Terre et qui sait comment bien gouverner et faire prospéré la nation.
Parmi ces nombreuses crises économiques et politiques on peut citer celle de la dernière période intermédiaire (cinquième période intermédiaire) connue au Kjhemet qui c’est déroulé durant les 17es et 18èmes siècles. Ce fut une périodes très dures pour l’empire qui a connue des guerres civiles à répétitions, des famines répétée, des épidémie et surtout des très grave crise économique successive en 1655, 1700, 1766 et 1789 qui ont fait tomber le pays de son statut de grande puissance et la fait ce replier sur lui-même auquel les puissances étrangères en ont profiter pour infiltrer les pouvoirs économique et autre de l’empire.
Cette situation catastrophique durera jusqu’en 1800 où la monté sur le trône suite à la révolution pharaonique de l’actuel 64ème dynastie va permettre un renouveau du pays et un nouveau grand pas dans la modernité. En effet, si les débuts ont été laborieux (conséquences de la cinquième période intermédiaire) la découverte de gisement de pétrole, de nouvelle mine de diamant, d’or, de charbon, de cuivre, etc.… ou de gaz ont permis dans un premier temps une industrialisation entre 1844-1860 ainsi que dans un second temps une seconde industrialisation en 1920-1942. L’économie va grandement ce modernisé avec un accent sur les infrastructures, les ressources minière/du sous sol et l’agriculture permettant à l’empire pharaonique du Kjhemet de rattraper son retard.

Si le Kjhemet n’a jamais connue la colonisation de son territoire pat d’autre puissance étrangère, elle a toutefois subis de nombreuse influence et soumission étrangère, le paroxysme de ces influences qui ce rapproche (sans toutefois en être un) en quelque sorte d’un protectorat ayant eu lieu durant cette fameuse cinquièmes et dernière période intermédiaire connue. Auquel une part importante de l’économie était contrôler par des étranger/nations étrangère, en plus de nombreuse infrastructure, port, ect….
Quand a eu lieu la révolution pharaonique de 1789 à 1800 la nation est redevenue pleinement souveraine, y compris dans son économie et sa politique toutefois il n’y a pas eu d’interdiction pour les étrangers de s’implanter dans le pays bien sur avec des politiques plus ou moins forte en matière de protectionnisme en fonction des périodes pour protéger les industries national. Les différent pharaon ayant compris que dans une économie et un monde moderne et internationalisé un pays ne peut pas être seul contre tous y compris dans l’économie. Ainsi les capitaux et entreprises étrangère ont et peuvent encore s’installer dans le pays mais cette fois-ci avec un contrôle de L’État et non ds puissance étrangère.
Aujourd’hui, il est clair que la situation n’est plus du tout comme avant et le libéralisme reste plus libre pour toute entreprise national ou non tout en composant avec l’interventionnisme du pouvoir central.

La 64ème dynastie depuis leur monter sur le trône sont particulièrement réputer pour leur politique de réforme dans de nombreux domaine, l’économie et la finance n’y échappant pas. Pour y parvenir la 64 dynastie va notamment durant les deux industrialisation poursuivre des politiques de nationalisation (pas dans leur totalité) et des réforme agraire, minière, des conditions et du droit du travail, sur les banques, société privé, ect…. En parallèle le pays ayant connue ses premières heures du socialisme qui progressivement a été « arranger » par la littérature politique/socialiste pour qu'il soit conforme à la théocratie pharaonique (même si bien sur certain sont contre le pouvoir pharaonique)

l'économie durant la dictature de Nofre Hotep :

Cultures


vetements Kjhemetous

Vie quotidienne, la mode :



Comme pour beaucoup d''autres aspects de la vie quotidienne, les décors des tombes, les scènes des temples, la statuaire, mais aussi les textes permettent de se faire une idée précise de la façon dont les Kjhemetous avaient et ont encore de se vêtir.
Les habits dans l’Empire pharaonique du Kjhemet au-delà d’envie personnel et de goût doit avant tout s’adapter à une considération très ancienne mais pourtant simple : celle de pouvoir s’habiller dans un climat très chaud et un air particulièrement sec et salubre avec une humidité qui existe quasi exclusivement le long de la côte et du fleuve Iteru, ainsi que s’habiller de façon à répondre à une exigence spirituelle et cultuelle ( la dimension religieuse est essentielle au Kjhemet).
La mode vestimentaire peut être considéré comme très traditionnel car les vêtements purement Kjhemetous sont très porté et populaire toutefois il n'y a aucune restriction vestimentaire ce qui fait que des vêtements étranger ou moderne peuvent tout à fait être porté l'exemple le plus simple est le costume.
Dans la mode Kjhemetous traditionnel, certains vêtements sont communs aux deux sexes avec plusieurs variantes différente tels la tunique ou la robe. Bien sur deux trois élément sont a prendre en compte, le premier est le niveau de richesse qui fait varier l’élaboration des vêtements traditionnels même si toutefois la base de la mode reste la même
en deuxième, l’envie des personnes de se vêtir comme elle l’entend. Enfin en troisième le quotidien des travaux car des métiers dans les champs, dans les usines, les commerce ou les bureaux font varier naturellement les codes vestimentaire.
En effet, il est plus fréquent pour les travaux de circonstance comme des champs, des usines ou qui nécessite d’être en extérieur d’être nue ou presque avec une simple pièce de tissu/pagne nouée autour de la pagne. A l’inverse un marchand ou un bureaucrate pourra plus facilement ce permettre d’être plus habiller.

Les chaussures sont les mêmes pour les deux sexes avec une large dominance des sandales avec de large panel de choix, elles peuvent être de cuir tressé, ou, particulièrement pour la classe sacerdotale, de papyrus (le papyrus est très prisé) . En effet, dans l’empire du Kjhemet, à part la pardalide (peau de léopard, attribut traditionnel du costume sacerdotal des prêtres), les matériaux d’origine animale sont particulièrement considérés comme impurs et font l’objet d’un tabou même si la mondialisation a en partie modifier les mentalités, étant peu employés pour les manteaux et interdits dans les temples et les sanctuaires. De ce fait, le lin est le textile le plus utilisé ; la laine est connue, mais d’usage d’autant plus rare que le climat ne la requiert pas.
Si le lin est le textile par excellence au Kjhemet, d’autre tissus sont aussi utilisé comme le coton qui est aussi populaire tout comme la soie ou la mousseline. Les tissus synthétique sont tout aussi présente même si ils sont assez minoritaire.

Une autre spécificité du Kjhemet sont les perruques qui sont encore porté, aussi communes aux deux sexes, ce sont les parures de tête qui peuvent être plus ou moins élaboré. Faites de véritables cheveux et de crins, elles comportent d’autres éléments ornementaux incorporés.
Les femmes kjhemetous sont parfois représentées avec un cône parfumé sur la perruque, les cônes parfumés sont constitués d'un mélange d'huiles, de résines et de matières grasses, et contiennent de la myrrhe même si les matériaux peuvent différé.
Les cônes parfumée peuvent être porté sur des perruques ou sur des têtes rasées. La lente fonte des cônes sous l'effet de la chaleur corporelle permet de diffuser le parfum .
Les hommes et les femmes portant le cône portent presque toujours un bandeau orné sur le devant et les côtés de la tête, avec une ficelle entourant l'arrière. On peut parfois voir un bandeau similaire entourer le cône lui-même. Une fleur de lotus se déploie sur le devant du bandeau, ou sort parfois de l'avant du bandeau ou du cône lui-même.
Les femmes portant les cônes portent souvent une longue robe translucide comme la kalasaris ou similaire avec un pli de la robe drapé sur l'épaule gauche. En termes de coloration, la robe ressemble souvent au cône lui-même, comme une forme d'harmonisation visuel. Traditionnellement, la jupe de la robe est blanche tandis que la partie supérieure est de couleur orange ou ambre même si de nombreuse couleurs sont possibles. Des lignes et des gribouillis distincts sont parfois peints à travers la partie orange et sur les bras de la femme, et le bas de la partie orange se termine souvent par un motif strié qui semble se fondre dans la partie blanche de la robe (même principe pour les autres couleurs).

Vie quotidienne, pilosité et épilation :



Pour les Kjhemetous l’épilation est depuis longtemps très rependue pour les hommes et femmes, plus précisément depuis les anciens empire de l'antiquité, cela a représenter philosophiquement l’humanité par opposition à l’animalité symbolisée par les poils, hormis cette dimension philosophique c’est aussi une pratique hygiénique pour combattre les poux et autres parasites.
Toutefois il est vrai que depuis la deuxième moitié du 17siècle lors de la cinquième période intermédiaire, l’influence étrangère et commercial a permis des changements de mentalité sur la pilosité qui est devenu progressivement assez populaire et ceux encore aujourd’hui sans toutefois que l’épilation devienne marginal.

Pour les prêtres du culte impérial la question de l’épilation n’a absolument pas bougé et ne ce pose pas, ceux-ci homme ou femme s’épilent intégralement même les cils et les sourcils (que les autres personnes conservent.) car l’épilation intégral est vu comme un signe de pureté chez les prêtres au seins des temples et sanctuaires.
Pour les cheveux la règle est plus souple car c’est avant tout la règle du temple/sanctuaire qui dicte ou nom des coiffures spécifiques dans ce cas les hommes et femmes portent les mêmes coiffures qui sont imposé, à défaut de précision des temples et sanctuaires c'est généralement des coiffures classiques qui sont porté ou alors des cheveux entièrement rasé.

Les fêtes Kjhemetous et culte :



Fête

Les rassemblements communautaires pour le culte ont lieu pendant les nombreuses fêtes, le reste du temps cela est plus individuel ou en groupe plus ou moins important (exemple type des activités sportives) souvent encadré par les prêtres et prêtresses.
Comme les Kjhemetous accordent une grande importance à la joie de vivre contrairement à leurs stéréotypes, il y a beaucoup de fête tout au long de l’année. Celle-ci sont nommé/connus sous le nom de heb permettant aux gens de faire l'expérience intime du dieu concerné, de le remercier pour les cadeaux/bénédiction qu’il a offerts et de lui demander des faveurs divine.
Ainsi le but de la plupart des fêtes sont de permettre au peuple de voir les dieux de ses propres yeux entre offrande et amusement.
Aussi Il y a des images particulières des dieux qui sont parfois transportées dans des sanctuaires portables en étant sorties des sanctuaires des temples et transportées dans les rues voir même qui naviguent sur l’Iteru.
Tout un tas d’arrêts pour les dieux sont érigées dans les différentes villes de l’empire pour servir d’étapes pour les processions et féstivités, certain point d’étape peuvent et sont d’ailleurs devenu permanent (par exemple XXX). Lors de ces fêtes, des oracles sont réalisés, des images des divinités se déplace dans certaines directions pour indiquer des réponses négatives ou positives aux questions posées par les fidèles et divers tatouage peuvent être effectuer afin de porter chance ou de bénir, comme être féconde ou être en bonne santé.
Comme cité, les fêtes au sein du Kjhemet peuvent être complexe et souvent grandiose avec beaucoup d’intermédiaire et de moyen investie. Ces rassemblements publics contribuent également à maintenir la structure de croyance de la culture en ce sens que tous les participants sont encouragés dans la compréhension traditionnelle du fonctionnement du monde : par la volonté des dieux telle qu’interprétée par les prêtres et mise en œuvre par Pharaon.
Le maintient de la culture et des structures des croyances est d’autant plus important que les minorités religieuse n’ont jamais été aussi nombreuse avec 25 % de la population en 2011 qui ne croient pas au culte impérial, toutefois cela n’empêche pas ces minorités de participé aux festivités (pour la plupart).

Bien que les gens peuvent se rendre dans les complexes de temples pour offrir des sacrifices, offrandes, recevoir diverses forme d’aide et faire des demandes, ils n’entrent pas dans le temple pour prier directement (comme le font les monothéiste). D’ailleurs les gens ordinaires sont autorisés à entrer dans la cour du complexe des temples, mais pas à l’intérieur (sauf dans de rare occasions) et surtout pas en présence du dieu, une divinité vivant notamment dans la statue abritée dans le sanctuaire intérieur du temple de ce dieu. De fait, les gens pratiquent leurs propres rituels privés en communication avec les dieux mais que collectivement les occasion d’adorer les dieux sont lors des fêtes ou des compétitions sportives.
Les Kjhemetous célèbrent donc chaque année des fêtes nationales et locales. Ces fêtes sont nombreuses car celle-ci sont lié au calendrier agricole, aux événement dynastique dont les années de règne, aux divinités du culte impérial égyptiens/Kjhemetous qui comportent des rites plus ou moins complexe pratiqués en secret dans les temples et des manifestations publiques mimées commémorant les hauts faits des dieux comme la passion d’Osiris, la quête d’Isis ou les luttes opposants Seth et Horus.
Dans tout les cas qu’elles soient nationales ou locales, les fêtes donnent lieu à de nombreux jours chômés et peuvent durer plusieurs jours. Ces fêtes et festivals sont très importants car marquent la progression de l’année qui est notée sur le bâton du temps par le dieu Thot et l’année se termine par la même célébration que celle par laquelle elle avait commencer, cela souligne ainsi la nature cyclique et éternelle de la vie qui est une valeur chère à la civilisation Kjhemetous
Également, ces cérémonies sont importante en servant de manifestations du divin dans l’existence humaine et, en tant telles, tissent un modèle de vie pour le peuple Kjhemetous. Également les festivals religieux actualisent constamment les croyances en plus de célébrations sociales.
Les fêtes ramènent donc le passé dans le présent, élevant le peuple vers le divin et au niveau le plus simple et sont des moments où le peuple peut se détendre et s’amuser (danser, boire, faire du sport, échanger, séduire,etc...). Le grand nombre de ces fêtes dans le calendrier kjhemetous est un marqueur de la valeur de la culture accorder à la joie de vivre et la forme la plus courante de son expression collective.

Langues


langue impérial egyptienne


Langue impérial égyptienne/Kjhemetous :



L'égyptien ancien est la langue national parlée dans l’Empire pharaonique du Kjhemet et écrite au moyen des hiéroglyphes, par simplification on peut aussi la nommer la langue Kjhemetous . Aujourd'hui encore, elle est une des langue les plus ancienne du monde mais qui a su évoluer, ce réformé et ce maintenir tout au long de l'histoire même si l’égyptien ancien est très attaché à L’empire culturellement parlant.
Apparue à la fin du IVe millénaire avant notre ère en Ta-chemou/Haute-Kjhemet, l'écriture hiéroglyphique est également toujours utilisée jusqu’à aujourd’hui, au 21ème siècle, soit pendant plus de cinq mille cinq-cents ans.
L'écriture égyptienne a été datée d'environ -3200/-3400 avant notre ère. Ces premiers textes sont généralement regroupés sous le terme général de textes « archaïques egyptien/Kjhemetous ».
L'écriture hiéroglyphique est attestée dès le IVe millénaire avant notre ère : la plus ancienne inscription a été découverte sur une tombe dans l'antique site d'Abydos et remonte aux années 3250/3200 avant notre ère, c'est-à-dire simultanément à l'apparition des caractères cunéiformes . Elle est également employée depuis plus de 5 500 ans même si évidemment l'écriture a évoluer depuis l'antiquité, avec d'ailleurs plusieurs type d'écriture au cours de son histoire

L'égyptien antique/Kjhemetous est classé comme étant une langue chamito-sémitique, dont la syntaxe, la forme des pronoms et terminaisons pronominales ainsi que certains mots de vocabulaire, déchiffrés grâce aux hiéroglyphes se rapprochent des langues berbères, sémitiques et relativement au couchites. Plusieurs linguistes ont remarqué la similarité (plus ou moins direct) entre différentes langues du continent Afaréens. Par exemple, plusieurs auteurs du XIXe siècle nommèrent cette relation chamito-sémitique, chamite pour les langues berbères et sémitique pour les langues telles que l'hébreu, l'arabe ou l'araméen. Plus tard viendront s'ajouter les langues couchitiques.
Les caractéristiques typologiques sont : morphologie fusionnelle, racines lexicales consonantiques, une série de consonnes emphatiques, un système à trois voyelles /a i u/, suffixe féminin nominal *-à, nominale m, adjectivale *-i.

L'évolution de la langue égyptienne sur plus de 5 500 ans peut se découper en 9 grandes périodes qui sont identifiées par des particularités phonologiques, grammaticales, lexicales et orthographiques :

  • l'égyptien dit de « la première phase » :
-l'égyptien archaïque, langue pratiquée durant la période prédynastique égyptienne et la période thinite ;
-le vieil égyptien, langue pratiquée durant l'Ancien Empire et la Première Période intermédiaire ;
-le moyen égyptien, langue pratiquée durant le Moyen Empire et la Deuxième Période intermédiaire, qui représente l'égyptien « classique ».

  • l'égyptien dit de « la deuxième phase » :
-le néo-égyptien, langue pratiquée durant le Nouvel Empire et la Troisième Période intermédiaire ;
-le démotique de la Basse époque ;
-le copte, attesté dès le iie siècle et encore parlé aujourd'hui notamment par les paysans, tout en étant assez attaché au chrétiens et grec. Il reste la langue liturgique de l'Église copte.

  • -l'égyptien dit de « la troisième phase » 
-l’égyptien classique ;
-l’égyptien néo-classique ;
-L’égyptien antique moderne ; la forme actuel réformé de l'égyptien antique/Kjhemetous qui d'une certaine manière compile tout ces phase et les évolutions linguistiques lié aux technologie et aux influences étrangère

Sports


sport

Importance du sport :



Le sport dans l’empire pharaonique du Kjhemet occupe une part importante des loisirs de la population Kjhemetous de tout age et ceux depuis depuis l’antiquité, les activité sportives ont bien évidement évoluer en parallèle de l’histoire du pays et des innovations technologique mais la ligne directrices sportive au sein de l’empire est rester la même.
Car bien que la société kjhemetous soient souvent décrites comme obsédés par la mort et la morosité , la réalité est tout autre, en effet la population apprécient en fait beaucoup la vie et la culture national reflète la croyance dans l’existence comme un voyage éternel empreint de magie. La vie et ce qui l’accompagne a toujours été considéré un cadeau des dieux et l’on attend des gens qu’ils profitent de ce cadeau aussi pleinement que possible.

Ainsi que ce soit dans les recherche archéologiques, les inscriptions en tout genre, les œuvres d’art, la publicité ou divers objets ont toujours montrer clairement que la vie des Kjhemetous consiste à profiter de la vie et à faire en sorte que le temps passé sur terre soit digne d’une vie éternelle, continuation de la vie terrestre. Par conséquent l’une des façons dont le peuple poursuit cet objectif est familière a tous société moderne ou non : par le biais des sports et des jeux.

Le sport occupe donc au Kjhemet une part importante des loisirs dont ceux des plus jeunes même avec l’apparition des technologie moderne. Cette importance est retrouvé dès l’antiquité comme en témoignent de nombreux exemples avec des décorations de tombes, des vases, ostraca, ect…
Bien que certaines activités comme les activités martiales ont soient plutôt réservées aux aristocrates, il n’empêche que les gens de toutes classes s’adonnent à une multitude de sport
(Bien entendu, aucun sport est totalement hermétique surtout aujourd’hui).

Dès leur plus jeune âge, les Kjhemetous de toutes les classes sociales passent beaucoup de temps à l'extérieur. D’ailleurs, les œuvres d'art et les inscriptions, ainsi que les lettres, fournissent des exemples d'enfants jouant dans la cour ou dans la rue dès leur plus jeune âge, en conséquence certaine rue sont encore « envahie » d’enfant en train de jouer.
Les garçons et les filles sont la plupart du temps nus de leur naissance à l'âge de la puberté, la société ne ce soucie vraiment du sexe des individus qu’à partir de la puberté. Dans la société, on pense qu'une enfance saine conduit à devenir un adulte sain et productif de la communauté bien que, en contradiction apparente avec cette valeur ; les riches prêtres, les scribes et les administrateurs sont fréquemment représentés en surpoids. (caricatural de ces statuts)
Pourtant, l'athlétisme et la forme physique font partie intégrante de la vie des Kjhemetous de toutes les époques. Les sports fait partie du couronnement des Empereurs, des célébrations des victoires militaires, des cérémonies religieuses et des festivals, tandis que les jeux sont également manifestement un passe-temps populaire

Il est vraie que traditionnellement, les garçons et les filles ne jouaient pas la plupart du temps ensemble, les différents sports qu'ils pratiquent reflètent les valeurs attendues des deux sexes : on voit souvent les garçons lutter, ramer, boxer ou pratiquer des sports d'équipe compétitifs comme le hockey sur gazon pour la virilité et la force, tandis que les filles sont représentées en train de jongler, de faire de la gymnastique ou de la danse pour la sensualité et la féminité. Par contre, Les filles et les garçons apprennent à nager dès leur plus jeune âge ainsi qu’à faire du bateau.
Il est de tradition que les hommes aiment regarder les compétitions de danse gymnastique féminine, les concours de beauté, la natation et l'aviron comme ils le font aujourd'hui. Il est aussi de tradition que les femmes aiment à regarder les compétitions de lutte, de rame, de boxe ou des sports d'équipe compétitifs.
Toutefois, aujourd’hui les différents sports ont évoluer en même temps que la sociétés et sont donc ouvert aux deux sexe et les différentes activité sportives sont unisexe même si certain sport sont dominé par l’un au l’autre sexe. Par exemple, la gymnastique et la danse sont encore dominé par les femmes tandis que la lutte et la boxes le sont pour les hommes .
En contre exemple, on peut citer le danseur Ataiuhi ou le le gymnaste Amenkemhasurara et la lutteuse Amunnebkettoti ou la boxeuse Nefertari

Beaucoup de ces activités récréatives sont les mêmes que celles de nos jours et elles sont pratiquées plus ou moins de la même manière. La forme physique est une partie importante de la vie des Kjhemetous et les sports les aident à conserver leur santé et leur vigueur. Ces sports et ces jeux reflétaient les valeurs de la culture dans la mesure où ils étaient évidemment amusants mais ils contribuaient également au bien-être général.

Les activités sportives sont bien entendus suivie de compétitions, depuis l’antiquité la tradition des compétitions était effectuer à travers au moins des activités uni-disciplinaire mais pas de l’envergure des jeux olympiques, pour les voir apparaître dans le pays il faudra attendre entre le 13ème et le 14ème siècle grâce à l’influence des grecs/hélénes d’Eurysie. Aujourd’hui les deux sont toujours effectuer, avec une plus grande fréquence pour les compétitions uni-disciplinaire.

Le sport, les nobles et les pharaons :



sport et aristocrate

Le peuple et la société sont très emprunt d’activité sportive les pharaons et la famille impérial n’échappe pas à la règle. Certains pharaons sont célèbres pour leurs exploits sportifs qui grandissaient leur aura et plus encore leur dimension divine, en particulier Amenhotep II. Dans La civilisation du Kjhemet antique, les historiens raconte que, jeune prince très athlétique, le futur pharaon était capable de bander son arc au point que les flèches « traversaient de part en part des saumons de cuivre épais de six centimètres ; les pointes dépassaient la cible de vingt centimètres ». Amateur de chevaux, il réalisait également des performances en attelage.
Également, Ramsès III était un très bon chasseur et qui était représenter chassant sur son char et qui aimait la chasse dangereuse ou intensif contre les hippopotames ou les lions par exemple
Enfin, Ramsès II était également connu pour être un bon pratiquant pluridisciplinaire en étant un archer et un chasseur émérite qui s'est maintenu en bonne forme physique tout au long de sa très longue vie.

La forme physique est considérée comme si importante pour un pharaon qu'une partie du festival Heb-Sed, organisé après les trente premières années du règne d'un roi pour le rajeunir, se concentre sur sa capacité à effectuer un parcours et à s'engager dans différentes tâches le long du chemin y compris son habileté au tir à l'arc, aussi il ne faut pas oublier que le pharaon est un chef de guerre et à ce titre, il doit s'entraîner. Il doit manifesté sa vigueur et combattre "les animaux maléfiques" et montrer sa vigueur guerrière . Les princes sont toujours encouragés à faire régulièrement de l'exercice, surtout depuis Nouvel Empire, car traditionnellement on attendait d'eux qu'ils mènent l'armée au combat.
La 64ème dynastie même pendant les temps troublée n’ont pas échapper à cette tradition de la santé et de l’activité sportive, aujourd’hui même les souverains sont des sportifs :
La pharaonne Akarkhenthas V est une excellente nageuse et une bonne haltérophile
Son époux, le pharaon Ramsès XXI est réputée pour son art de la lutte et son athlétisme
La co-régente Astaretenbeh V excelle dans le tir à l’arc et à l’aviron

Les nobles pratiquent souvent la chasse pour se divertir. La plus périlleuse d'entre elles était la chasse à l'hippopotame. Il est possible de chasser aussi le lion, le taureau sauvage, l'antilope. Chez la noblesses les activités martiales ont longtemps préfiguré sur les autres sports, souvent pour suivre la tendance des pharaons sans toutefois enlever le mérite que la noblesse s'investisse encore aujourd'hui beaucoup dans le sport que ce soit directement ou financièrement.
Aujourd'hui la fin des privilèges associé aux classes social (à l'exception des pharaons bien entendu) ont fait que les nobles sont très mélanger aux sport dis classique/populaire même si certain sport comme le tir à l'arc ou le golf ont encore une aura de noblesse auquel les différentes familles nobles sont quasi "automatiquement dirigé"
Enfin, la noblesse ne se contente pas de pratiquer des sports mais, comme tout le monde, elle aime les regarder. Parmi les sports nautiques les plus populaires figure le tir à la corde, dans lequel deux personnes dans un petit bateau défient les eaux de L'Iteru. Les compétitions d'aviron et de natation, ainsi que la lutte et le lancer du javelot, sont des sports tout aussi populaires auprès des spectateurs.

Il y a donc aujourd'hui une égalité sportive total pour toute les classes social même pour la famille impérial car même si elle est très protégé elle effectue ces activité sportives comme tout le monde et même si c'est plus compliqué pour les pharaons à organisé c'est tout à fait possible

les dieux et le sport :



Les dieux sont également présents dans la plupart des rencontres sportives et les épreuves diverse comme l’athlétisme, qui fait souvent partie des cérémonies et des festivals religieux. Les participants peuvent mètre en scène des batailles fictives entre les disciples d'Horus et de Seth pour commémorer la victoire d'Horus et le triomphe de l'ordre sur le chaos
Un autre exemple est la mise en scène de la bataille journalière entre Amon-Rê sur sa barque solaire et Apophis le serpent destructeur pour symboliser la victoire de la vie et du jour sur la destruction et la nuit . Ces jeux incorporent de nombreux sports que les Égyptiens pratiquaient régulièrement.
le sport notamment durant les festivité et cérémonies sont donc des occasions d'honorer les dieux, le sport étant accompagné d'offrande diverse. Généralement plus la festivité est grande et importante plus les offrandes et représentations sportives le sont aussi.
Toutefois, pour les familles plus modeste ou des activités sportives à des échelles beaucoup plus réduite comme dans la rue des prières, des petites offrande ou de petite mise en scène sont suffisante pour honorer et satisfaire les dieux.
Rappelons que les dieux vont toujours préférer la sincérité d'une offrande ou d'une action pour les honorer à une offrande luxueuse mais sans volonté

les Sports les plus populaire :



danse

Athlétisme : la course à pied est très pratiquée en raison de sa simplicité et son efficacité, diverse course plus ou moins longue peuventt être organisé. Il y a notamment une course de deux fois cinquante kilomètres entre Memphis et l’oasis de Fayoum et retour dont les coureurs mettent environ huit heures pour effectuer ce trajet ., cette course avait ainsi lieu sous la XXVe dynastie et ce perpétue encore aujourd’hui.
Bien sur des courses sont aussi organisé à l’échelle local ou régional. L’athlétisme permet aussi aux membres de la famille impérial et aux pharaons d’être en meilleurs santé et plus flexible avec une image symbolique comme celle du Heb Sed
Les « sous catégorie » de l’athlétisme et ses variantes sont aussi présent comme le saut qui est un sport facile et pratiqué de toutes sortes courts, longs hauts et autres ou le marathon.

La Boxe : les anciens Kjhemetous ont été des pionniers dans ce sport, si originellement elle était pratiqué par les jeunes et l’armée en vue de divers entraînement afin de les former et les entretenir en vue de défendre le pays, aujourd’hui bine qu’encore pratiqué par l’armée elle est devenu un sport civil populaire pouvant être pratiqué par le plus grand monde même si la majorité de ses pratiquants soient des hommes

Course et course de chars : Bien que les chars ont été conçus pour la guerre, ceux-ci ont rapidement été détourner pour des pratiques sportives comme le tir à l’arc ou les course de char. Quand l’utilisation militaire des chars est devenu désuète les courses de sont intensifié jusqu’à devenir une tradition populaire (encore aujourd’hui) et un signe de richesse notable.
D’autre course sont encoure pratiqué comme celles équestres ou automobiles qui sont devenu tous aussi populaire et marqueur de modernité.

L’assaut au bâton : ce sport de combat est très populaire surtout durant l’antiquité (semblable aux Tahtib arabe), ce sport est aussi associer à de la lutte et une danse martial. Cette pratique festive villageoise est aussi une cérémonie culturelle où les gagnants de ce sport-spectacle montrent leur virilité pour séduire les femmes ou inversement si c’est une femme.

L’escrime : l’escrime peut être vue comme une variante qui est plus codifié et « gracieuse » de l’assaut au bâton, au départ ce sport était pratiqué au bâton mais est c’est modernisé avec des épées et des poignards. Les escrimeurs évitent les coups de l’adversaire au moyen de courroies liées autour du bras gauche, les participants peuvent être deux ou avec deux équipes.
Cette pratique notamment celle au bâton est restée longtemps une activité encore observable dans les villages et même les quartiers populaires en ayant toutefois gagné ses lettres de noblesses.

Le lancer de javelot : parmi les sports les plus populaires, il est apprécier par le mélange de technique et de force qu’il faut employer

Les sports nautique : malgré la dominance du désert, la présence de l’Iteru et des quelques oasis a développé divers sports nautique dont la natation qui est de loin le sport favori des Kjhemetous à la fois par pratique sportive et aussi pour se rafraîchir. Si pendant longtemps la pratique à certain endroit pouvait être dangereuse à cause des crocodiles ou des hippopotames, l’augmentation de la présence humaines le long de l’Iteru et la surveillance/protection accrue de ces animaux ont drastiquement réduit le danger de la natation
D’autre sport nautique sont aussi très populaire comme l’aviron, la pêche ou la rame, seul ou en équipe

Le Tir à l’arc : ce sport était parmi les jeux les plus couramment pratiqués par les princes, empereurs et nobles. Si celui-ci est encore très pratiqué, il c’est toutefois démocratisé même si les nobles, princes et pharaons sont encore attaché à ce sport.

Le hockey sur gazon : il est comme le foot un sport très populaire dans les deux sens du terme car il est simple et peut ce jouer très facilement en équipe, traditionnellement est pratiqué par deux équipes opposées à l'aide de branches de palmier coupées et façonnées avec des extrémités incurvées et une balle faite d'un centre de papyrus recouvert de tissu ou de peau d'animal . Bien sur il est tout à fait possible d’avoir des matériaux moderne synthétique pour jouer à ce jeux.
Par sa popularité de nombreux spectateurs aiment à regarder ce sport que ce soit en compétition ou simplement dans la rue.

Lutte : la lutte est une pratique très ancienne car un premier manuel technique de lutte a été retrouver sur un relief d’une sépulture de la Vème dynastie. Cette pratique sportive est le combat de deux personne, corps à corps, chacun des adversaires cherchant à vaincre l’autre par des actions techniques et tactiques en employant aussi tout son potentiel physique et psychique.
Les deux joueurs lancent les mains gaauches et tirent le cou de l’adversaire par la main droite, le match se décide en faisant toucher les mains, le cou ou la tête du vaincu au sol.
Comme le tir à l’arc la lutte est considéré comme un grand sport.

Haltérophilie : si l’haltérophilie ou la musculation ne sont pas les sports les plus répandus, il reste relativement populaire. Les poids traditionnel étaient des sacs de sable portés par les athlètes, ce qui peut encore être pratiqué surtout pour les festivités ou compétitions. Même si la modernité des poids ont pris le dessus, ce qui a largement améliorer la discipline.

Le jonglage : Les compétitions de jonglage utilisent le même type de balles (avec la même variante moderne) que le hockey sur gazon, mais plus petites et parfois teintées de couleurs différentes.
Le jonglages est particulièrement apprécier que ce soit dans la rue ou dans des festivité

la gymnastique et les acrobaties : ces deux sports sont apprécier pour leur légèreté et agilité notamment jouer par les jeunes hommes et femmes. Ces pratiques sportives peuvent aussi être apprécier pour leurs sensualité voir leur érotisme, plus particulièrement dans les bordels, bar ou harem.

Prêtres et prêtresses du culte impérial


prêtre

Généralités et fonction :



Dans la pensée du peuple du Kjhemet, les dieux façonnent la Terre et y établissent un ordre harmonieux a savoir la Maât permettant au miracle de la vie de s'accomplir jour après jour. C'est au seul pharaon, descendant des dieux, que revient la tâche d'assurer la pérennité de cette harmonie et de combattre les forces du Mal qui cherchent continuellement à la briser. Pharaon est le seul intermédiaire entre les divinités et les mortels. L'entretien de l'harmonie divine exigeant de nombreux cultes journaliers à travers tout l'Empire du kjhemet, le pharaon ne peut en assurer seul l'exécution matérielle partout et tout le temps. C'est là le rôle fondamental du prêtre : suppléer Pharaon dans l'exécution matérielle des rites quotidiens.
les prêtres sont vus comme des fonctionnaires tellement leurs présences sont dans tous les domaines sociaux, administratifs et politiques.

Pharaon est aussi un des premiers à s'inquiéter du sens de ses rêves (du point de vue personnel ou pour la nation). Il confie donc à un Cheri-hebet (pretre-lecteur), personnage très important, leur interprétation qui peut déterminer la politique de l'État. Ce principe est toujours fonctionnel mais est plus symbolique aujourd'hui.

La hiérarchie au sein du culte et des prêtres :



Pharaon en plus de son titre héréditaire est la première des prêtres/prêtresses au sein de l'empire. A ce titre, il nomme les dirigeants des grands sanctuaires (car il faut contrôler ce clergé puissant et leurs charge) et si ceci ne respecte pas leur charge ou n'ont pas les critères requis la pharaonne peut les démettre de leurs fonctions, voir lancé un procès en cas de manquements graves. Néanmoins, ce clergé est très hiérarchisé les autres prêtres plus en dessous dans la hiérarchie sont nommés par leurs pairs et les hauts fonctionnaires.

Leur fonction étant très importante et/ou prestigieuse, le prêtre nouvellement investi doit justifier de solides connaissances théologiques, médicales et astronomiques (par concours, examens, etc.) enfin le prêtre ne doit pas avoir de casier judiciaire dans le cas contraire sa demande sera automatiquement rejeté, mais le prêtre peut faire une demande expresse au pharaon qui peut lui accorder une grâce.
Grâce à leur bibliothèque, les temples sont aussi des lieux de connaissance. En contrepartie, en présidant les temples, veillant à la célébration du rituel quotidien, administrant les terres du dieu, les prêtres forment dans la société pharaonique une caste privilégiée, soigneusement hiérarchisée.

(a completer)

Les Rituels :



Les prêtres commencent leur journée de culte par un bain matinal purificateur. Puis ils se dirigent en procession vers le cœur du temple pour réveiller le dieu qui sommeille dans l'obscurité du sanctuaire.

Sous la conduite du grand prêtre associé, le rituel commence au moment où le soleil paraît à l'horizon. Il faut d'abord briser le cachet d'argile qui scelle la porte chaque soir, avant d'ouvrir ses battants. Le grand prêtre lève ses mains vers la statue pour « rendre son âme » au dieu et prononce une formule consacrée : « Éveille-toi, grand dieu, éveille-toi en paix ! ». On dispose alors devant le dieu les offrandes de nourriture qui lui ont été préparées : pain, oignons, salades, viande de bœuf, bière et vin, etc... Lorsque le dieu a consommé la matière invisible des aliments, ceux-ci sont répartis entre les autres dieux du temple, puis consommés par les prêtres.

Lorsque le prêtre accomplit ces gestes, c'est en fait Pharaon, et toute le Kjhemet derrière lui, qui se fait alors l'entier serviteur du dieu. Qu'il soit prêtre, ou qu'il s'agisse du Pharaon en personne, l'officiant se tient debout devant l'autel, les pieds nus afin de ne pas souiller les lieux de ses semelles. Il tient le sceptre kherep de consécration, la massue hedj, qui est traditionnelle dans ce genre de cérémonie, et étend la main au-dessus des offrandes. L'habillage et l'onction succèdent au déjeuner.
Important, en partant, on balaie les traces de pas sur le sol et tout ce qui pourrait salir le temple.

À cette cérémonie quotidienne viennent s'ajouter deux autres rendez-vous avec le dieu, le midi et le soir. Mais on se contente là de gestes rituels, aspersions d'eau et fumigations d'encens, à l'extérieur du sanctuaire : il faut honorer le dieu, mais sans le déranger dans sa méditation.
Il faut bien sur noter que ces rituels sont la base pour honorer convenablement les dieux, certains rituels étant plus complexe ou long en fonction des exigences du dieu concerné

Sociétés


Nudité

La nudité, norme social et sans tabou :



Dans la société de l’empire pharaonique du Kjhemet, un certain nombre de tabou sont soit limité soit sont inexistant. Pour des société étrangère ou conservatrice, cela peut paraître pour certain étonnant voir pour d’autre choquant. Ainsi, parmi ces tabou on peut citer la nudité qui est la norme pour les hommes et les femmes de l’ensemble des classes social, bien sur la nudité n’est pas tout le temps en toute circonstances.
Plus précieusement les travailleurs ayant besoin de liberté de mouvement n’ont aucune restriction concernant les vêtements et la nudité comme par exemple les agriculteurs ou les maçons et pour les artistes pendant les festivités comme les musiciens, danseurs et acrobates.
A l’inverse ceux-qui non pas de « nécessité » peuvent tout de même affiché de la nudité plus ou moins importante, cela relève de l’envie de chacun ainsi on peut tout à fait croiser des nobles ou des fonctionnaires habiller en Kalasaris (robe extrêmement fine et moulante) pour les femmes ou avec de simple pagne pour les hommes.

D’ailleurs, comme la société Kjhemetous est très ancienne celle-ci est apparue avant les religions monothéistes et donc le principe de « péché originel » concernant la nudité et l’exposition du corps. Les vêtements étant souvent collant/moulant et transparent n’ont pas pour fonction de cacher le corps mais de protéger du soleil ou des piqûres d’insectes.
La femme Kjhemetous est réputé "mince et sensuelle et que celle-ci aime se promener la poitrine au vent, vêtue d'une robe semi-transparente"

Toutefois, il est vrai que la qualité des vêtements et leur épaisseurs joue un rôle dans l’image de la réussite social même si l’industrialisation a permis de grandement réduire les coûts de production, ainsi il n’est pas rare pour les personnes des classes moyennes et supérieurs de porter des vêtements en lin (qui est le textile le plus utilisé et apprécier dans l’empire du Kjhemet) qui sont de plus en plus fins et/ou ouvrager selon l’élévation social ou la richesse de la personne jusqu’à être totalement transparents. Comme il n’y a aucune obligation stylistique et vestimentaire on peut retrouver à l’inverse des gens aisé et noble avec des vêtements simple qui sont ample et des plus modestes avec des vêtements très fin ou en partie dénudé

Cette mode vestimentaire s'applique aussi à ceux du Pharaon, de son conjoint ainsi que leur entourage divers dont les autres membres de la famille impérial ou les servants.
Des inscriptions en tout genre et de divers époque attestent qu’un certain nombre de Pharaon, leurs conjoints et leurs enfants restaient couramment, par exemple, le Pharaon Akhouthotep, son épouse Ensémekhtouès et leurs enfants restaient couramment nus à l’intérieur du palais impérial et dans les jardins : ils attribuaient à la nudité une valeur spirituelle importante et des bienfaits pour leur santé. Les personnages officiels, l'entourage de la famille impérial ainsi que leurs serviteurs, pouvaient faire de même.

Si cette coutume a été successivement supprimée et réhabilitée par les différentes familles Impérial jusqu'à que progressivement elle ne soit plus remis en cause dans son existence , aujourd’hui elle vie encore de beau jour au 21ème siècle sous la 64ème dynastie.

D’autre part, il est de coutume pour les enfants de rester nus ou avec des vêtements très léger comme de simple pagne jusqu’à la puberté et ceux quel que soit leur milieu social. Le foyer familial étant un lieu ou les restriction vestimentaire sont absente donc on peut y être nus, en partie dénudé ou habiller peut importe l’âge ou le sexe. Rappelons que les vêtements sont originellement prévue comme outil de protection et par conséquent que la nudité est normal et sans tabou.

Culturellement, l’art Kjhemetous nous présente les robes très ajustées, qu’elles soient suspendues à l’aide de bretelles ou enroulées c’est-à-dire drapées, alors qu’elles sont amples et laissent une belle liberté de mouvement. La robe est assez étroite, collante même, sorte de sarrau de toile unie blanche ou écru.
Pour finir, il serait très réducteur de représenter la société Kjhemetous que par le seul prisme de la nudité car toute personne à le choix de se vêtir comme il veut (a quelque exception près) et même si la nudité est très présente dans toute les sphère de la société sans aucun problème/sans tabou, la population aime tout autant la mode vestimentaire (le lin du Kjhemet est particulièrement réputé pour sa qualité) qu'elle soit courte, longue, ample, décoré, sombre, etc... ainsi que les bijoux et autre accessoire.

Le harem, prestige et stéréotypes :



Ipet-Nésout

Les harems présent dans l’Empire pharaonique du Kjhemet est bien plus complexe ancien et approfondie, qui ne ressemble que peut au harem « classique dont l’image nous vient des stéréotypes, de la littératures et des harems orientaux ou du moins d’autre société.
Certes, pour le pharaons, le harem fût pendant longtemps le lieu de résidences des « époux/épouse diplomatique ». En effet, les pharaons pouvait imposer aux rois sous alliance de lui donner leur fille ou fils aînée en tant qu’épouse ou époux (sans toutefois qu’il n'y ait eu de d'obligation de réciprocité). Si bien sur aujourd’hui ces harems d’épouses et époux diplomatiques impérial ont évoluer cela correspond aujourd’hui plus à la belle famille et au conjoint secondaire, sans que cela ne soit imposé mais reste prestigieux pour les kjhemetous.

Dans l'empire du Kjhemet, le harem est appelé L’ipèt-nésout, et est le lieu où résident les membres de la famille dont la belle famille, des épouses et époux, les enfants, cousins, favoris, domestiques. Encore aujourd'hui, au Kjhemet, tous peuvent avoir un Ipèt-nésout homme ou femme et de toute classe social même si l’Ipèt-nésout du Pharaon est bien plus prestigieux et important ainsi qu’au sein de la famille impérial. D’ailleurs la proportion d’ipèt-nésout est souvent plus élevé chez les classes aisée.
La question du harem et sa suppression c'est déjà posé, rarement mais tout de même notamment vis a vis du droit de l'individu et de sa liberté toutefois à chaque occasion ni la jurisprudence ni le peuple par référendum n'ont voulu la suppression des Ipèt-nésout même si des encadrement ont été fixés afin d'interdire les abus.

Il n’est pas seulement un lieu de plaisir, mais également un lieu de pouvoir, d’éducation et de détente où les activités peuvent être légion. Ainsi on peut tout autant ce détendre via des discussions, des danses et festivités familial que d’être un lieu de plaisir sexuel ou érotique ou bien d’éducation et de philosophies, etc...
Historiquement, d’ailleurs ce fût un lieu ou les concubines/concubins (notamment de classe social plus basse ou défavorisé) ont put rivalisé d’adresse pour étendre leurs prérogatives et essayer de placer leurs enfants à des postes plus ou moins important, sans toutefois avoir disparus légalement parlant cette pratique a fortement diminuer aujourd’hui.
En effet si ces rivalités existent toujours aujourd’hui cela est devenu assez minime grâce à la fin des privilèges (dans leurs globalités, la famille impérial étant un bon exemple d’exception majeur) qui à permis une meilleur considération « populaire » qui ne nécessite plus d’avoir autant d’intrigue, le simple fait d’être dans un Ipèt-nésout peut être une marque de prestige et ou les enfants sont à égalité (en principe).

Contrairement aux harems « classique » le harem du Kjhemet est un lieu ouvert où les membres reçoivent de la visite, pratiquent l’artisanat ou autre, ce divertir ou peuvent travailler/ce déplacé librement et éduquer les jeunes enfants. L’Ipèt-nésout de pharaon est d’ailleurs un atelier de tissage/textile de très haute qualité, très réputé est très bien vue dans la société ainsi que d'être un lieu où la philosophie et les arts en tout genre sont très apprécier.
Autre précision, au Kjhemet il n’existe pas un mais des harems en fonction des statuts avec des tailles variables. Pour les pharaon le principal se trouve toujours attenant au palais impérial du souverain en exercice avec également plusieurs autres de taille variable.
A titre d’exemple, le Fayoum par son cadre verdoyant est un terrain propice pour ces établissements et où les harems du Fayoum sont réputé pour être en partie une « maison de retraite » pour les grands-mère et autre personne âgée (notamment des gens aisées et de la noblesses).

Si originellement les ipèt-nésout étaient fortement privilégié pour les Hommes (bien qu’il existe d’ancien contre exemple féminin fameux) ce qui fait que les membres/concubines étaient largement des femmes si ont excepte les enfants et l’administration des ipèt-nésout était gérer exclusivement par des hommes. Toutefois, L’évolution social et des mentalité a permis assez tôt historiquement de faire évoluer les ipèt-nésout ce qui fait que encore aujourd'hui les postes sont unisexe que ce soit pour les membres ou l’administration.

Composition de l'ipèt-nésout Pharaonique :

La Hemet nesout ouret/le Hemet nesout bity ouret : que l'on peut traduire par grands époux et grande épouse impérial
le ou la supérieur du harem,
les époux/épouses secondaire
Les Khékérout-Nésout/ Khékérout-Nésout bity : : que l'on peut traduire par "les ornements du Pharaon" et "les ornements de la Pharaonne" qui corresponds au favoris
Les néférout/néferouti : que l'on peut traduire par les beautés

Pour les autres harems la compostions est la même, simplement les rappels des pharaon sont enlevé et remplacé par la personne exemple : la Hemet nesout ouret de X, les Khékérout-Nésout bity de Y.

L'administration de l'Ipèt-nésout :

le/la imy-r pr Ipèt-Nésout: qui est le ou la chef de l'administration du harem
le tnw nfrw wabt Ipèt-Nésout : qui est l'adjoint/l'adjointe de l'administration du harem
Les sesh iryt per-aat : qui sont les scribes du harem qui comprend le sesh iryt per-aat en nesut, traduit par le "sribe de la porte du harem"
Les Shemay (dont le « gardien des portes »), ; qui sont les gardes dont le Shemay iryt, traduit par le "gardien des portes"
Les Kherpu : qui sont les domestiques

Armée


comémoration militaire

Le métier de soldat n'est pas très populaire au Kjhemet et ceux depuis l'antiquité. Les Kjhemetous sont plutôt paysans, ouvriers, commerçant ou intellectuel que soldat. Mais pour défendre les récoltes de L'Iteru et l'ensemble du territoire impérial les Kjhemetou sont près à prendre les armes contre toute attaque ou invasion extérieur. D'ailleurs l'Empire du Kjhemet a crée très tôt une armée qui deviendra vite une armée de métier, qui est une constante toujours d'actualité. Ce professionnalisme de l'armée fait qu'a défaut d'être crainte elle est tout de même très respecté
Egalement à partir de la XVIIIe dynastie, l'armée enrôle des étrangers dans ses rangs (surtout en temps de guerre), les mercenaires ou les soldats étrangers représente certes une minorité des soldats mais une minorité non négligeable au sein de l'armée.

Concernant les secteurs de l'armée :
-Les soldats de l'infanterie sont appelés « swtyw », littéralement « les (fantassins) en vie de l'armée » ou encore « swtyw wbn m h'gt m'hw », « les (fantassins) en vie de l'armée aux grandes victoires ». Toutefois, le fantassin en lui-même s'appelle "shwti"
-De leur coté Les conducteur de char et plus globalement de véhicule blindé sont appelés "heri sha".
-Pour le domaine de l'aviation les pilotes militaires sont appelé "ḫer-ḥr ỉwꜣ"
-Pour le domaine maritime, les marins militaires sont appelé "šsp hsỉrtyw".
-En complément les auxiliaire de l'armée s'appelle "medjay"

concernant les grade de commandement :
-l'amiral s'appelle "imy-ra masha eny itru"
-le grade de commandant "tha yahtu"
-le grade de grand commandant s'appelle "yahtu ra Kherp"
-le grade de général s'appelle " Sesheshu ra masha"
-le grade de général en chef "imy-ra masha wer"

Composante de l'être et transmission funéraire 1/2


Être

I-Introduction de l'Etre

Selon les Kjhemetous, la composition de l'être humain dépasse la simple dualité entre le corps/djet et l'âme/kha. Chaque individu compte en lui une dizaine de composantes matérielles et immatérielles qui l'intègrent dans la sphère terrestre du sensible (Le sensible est un concept de philosophie qui désigne ce qui est susceptible d’être perçu par les sens. Plus largement, le sensible est l’ensemble des impressions et des représentations obtenue par les sens. ) et dans la sphère impalpable des dieux et ancêtres.
Après la mort, grâce à ses composantes éthérées, l'individu peut espérer une survie posthume dans la tombe et une existence immortelle auprès des puissances surnaturelles qui règlent les phénomènes cosmiques. La conservation du souffle de vie ânkh est cependant conditionnée par le respect, la vie durant, des principes de la Maât (Vérité-Justice-Ordre) et par la maîtrise efficace de la magie-Heka (dieu de la magie). Cette dernière est à la fois une puissance intérieure et un savoir livresque qui permettent aux humains de s'assimiler aux dieux.
Les Kjhemetous n'ont pas à ce jour établi de liste canonique des différentes composantes de l'être. De plus, ils n'ont guère disserté à leurs propos pour les définir. Toutefois, les textes funéraires possèdent de nombreuse allusions à leur sujet et leur analyse minutieuse permet de les appréhender. Pour un kjhemetous, il est primordial de conserver l'intégrité de l'être après la mort, ce qui explique les rites de la momification (le corps est utilisé dans l’au-dela).
Le corps physique, soumis à la décrépitude de la vieillesse, est rendu inaltérable après la mort par le processus de la momification. Le terme djet désigne le corps mais aussi ses représentations en images peintes ou sculptées. Le cœur haty et ib est le siège de la personnalité, de la mémoire et de la conscience. Cet organe est symboliquement évalué à l'aune de la maât sur la balance du tribunal d'Osiris. Le ren est le nom, une partie primordiale de l'être car sans nom, il n'y a plus d'être. D'ailleurs l'effacement du nom est un grand châtiment qui condamne magiquement les criminels à la damnation et à l'oubli (pire que la mort pour un Kjhemetou). Le ka est l'énergie vitale et un double spirituel qui naît en même temps que l'humain. Le ka survit dans la tombe après la mort grâce au culte funéraire et aux livraisons d'offrandes alimentaires. Le ba, improprement traduit par âme, est un principe spirituel qui prend son envol à la mort du défunt. Cette composante représente l'énergie de déplacement, de dialogue et de transformation inhérente à chaque individu. Le shout ou khaïbit est l'ombre. Un défunt n'est complet que s'il dispose d'elle à l'instar de son ba. Enfin, plus qu'une composante, l'akh est un état d'être, celui du mort qualifié de bienheureux qui a atteint le statut de puissance spirituelle supérieure, lumineuse et efficace.

En bref, pour les Kjhemetous l'être est complexe et extrêmement important celui-ci dois posséder tout ses composantes afin qu'in individus puissent accédé à la vie éternel ou plutôt la continuation de la vie dans l'au-delà.

L'individu s'inscrit donc dans son environnement par un réseau complexe de composantes matérielles et immatérielles. Ces différents aspects de la personnalité sont autant de moyens de communication qui tissent des liens entre le monde sensible (terre) et le monde invisible (ciel et inframonde) ; entre le monde des humains et le monde mythique des dieux et défunts. Cette conception étant naturel pour les Kjhemetous, personne n'a disserter sur les composantes humaines dans un traité moral. Aussi, l'approche de l'analyse sur l'Homme n'est possible que par la lecture attentive et comparée des corpus religieux que sont les Textes des pyramides, les Textes des sarcophages et le Livre des Morts. Les concepts du ba et du ka sont toujours les plus connus.
La civilisation kjhemetous qui s'étale sur près de cinquante-cinq siècles, depuis la fin de la Préhistoire et jusqu’à aujourd’hui au 21ème siècle. Durant cette très longue période, la pensée religieuse n'a pas été statique et a connu de nombreuses inflexions et reformulations. La réforme amarnienne (ou atonienne) menée par le pharaon Akhenaton et les réformes de la régence des cultes sont les plus fameuse. D'autres, sans doute moins spectaculaires mais tout aussi fondamentales, ont posé leurs jalons comme l'introduction des cultes solaires et osiriens, la prédominance amonienne, la diabolisation séthienne, etc. Les aspects de la personnalité individuelle ont eux aussi connu des redéfinitions.
Dans l'Ancien Empire, le ka tient une place essentielle dans la survie post-mortem des élites. Après l'effondrement de la toute-puissance impérial sous la Première Période intermédiaire, la composante du ba, d'abord réservée aux dieux et à pharaon, se diffuse dans le milieu des courtisans. Au Nouvel Empire, la thématique du ba et de ses voyages mystiques tient une place de choix. Enfin, on peut citer la régence des cultes qui a permis une démocratisation de l'instruction des composantes religieuses dans de très nombreux domaine dont celle des composantes de l'être.

La littérature et les liturgies funéraires sont les textes où s'expriment le plus communément les aspects et les composantes de la personne. Dans la mort, les différentes composantes se dissocient et le rituel funéraire vise à les rassembler afin d'assurer leur survie et immortalité. Outre le ba et le ka, les sources kjhemetous mentionnent le corps, le nom, le cœur, l'ombre et l'akh.
À partir de la période ramesside qui correspond au XIX et XXème dynastie, apparaît dans l'iconographie des tombes et sarcophages une scène où le défunt est en adoration devant les quatre enfants d'Horus. Sous l'apparence de dieux anthropomorphes, ils viennent à lui et, de leurs mains, il reçoit son cœur, son ba, son ka et son corps momifié. En guise d'exemple, dans la tombe du maire Amenemhat Amset apporte le cœur, Hâpi le ba, Douamoutef le ka et Kébehsénouf la momie. Plus tôt, sous la XVIIIe dynastie, dans la tombe du percepteur Amenemhat, quatorze composantes sont présentées ; le ba, l'ib/coeur, l'akh, la dépouille, l'ombre/shout, la stèle-aha, la tombe, le destin-shaï, la durée de vie-ahaou, la naissance-meskhenet, la dalle d'offrandes-aba, le développement-renenet, le dieu façonneur personnel-Khénémou et les formes d'apparition-khépérou. À la Basse époque, une formule visant à reconstituer la personnalité du défunt est très fréquemment inscrite sur les sarcophages au niveau de la poitrine. Huit composantes sont énumérées ; le ba, le cœur-ib, le cœur-haty, le corps-djet, le ka, la dépouille/djet, l'ombre/shout et la Sah/momie :

« Ô toi qui emmènes les baou et tranches les ombres, ô vous, dieux, seigneurs des têtes des vivants, puissiez-vous amener son ba à Osiris Khentimenty, puissiez-vous l'unir à son corps-djet, que son cœur se réjouisse ! Que son ba vienne à son corps et à son cœur, que son ba se pose sur son corps et sur son cœur. Amenez-le-lui, dieux qui êtes dans le château du benben à Héliopolis, aux côtés de Shou, fils d'Atoum. Qu'il ait son cœur-ib comme Rê, qu'il ait son cœur-haty comme Khépri. Pureté à ton ka, à ton corps-djet, à ton ba, à ta dépouille, à ton ombre, à ta momie vénérable, Osiris Khentimenty ! »
-Formule pour amener l'âme au corps.


Ces composants sont toujours énuméré dans les cadres funéraires actuel même si il peut y avoir des différences, absences ou des différences d'écritures. Tous sont valide tant qu'il y a une référence direct ou indirect à d'autre notion similaire.

II-Ankh, le souffle de vie

La notion de vie est restituée dans l'écriture hiéroglyphique par le phonogramme ânkh. L'objet représenté par ce sigle n'est pas clairement identifié mais l'élément central est un nœud. Diverses propositions ont été avancées ; boucle de sandale, ceinture, étui pénien, vertèbre de bovidé, encolure d'un vêtement, etc (l'important étant plus la symbolique que le réalisme) .Ce sigle sert à écrire le verbe « vivre » et le substantif « vie ». Tout au long de la civilisation Kjhemetous, l’ânkh est représenté tenu dans les mains des divinités ou offert au Pharaon présenté à ses narines en tant que « souffle de vie ». Cette vie est le pouvoir bénéfique du soleil et de l'eau. Aussi, dans de nombreuses scènes, les rayons solaires ou les filets d'eau sont représentés par une enfilade de sigles ânkh. À l'époque amarnienne, les rayons du dieu Aton, le disque solaire, se terminent par des petites mains offrant la vie à Akhenaton.
Une des plus anciennes représentations du symbole ânkh est un plateau d'offrande de l'époque protodynastique (fin du IVe millénaire av. J.-C.). Le plateau rectangulaire associe le sigle du Ka figuré par deux bras repliés qui tiennent un nœud ânkh. Dans cet artéfact sont ainsi associés l'idée de la vie et le principe qui permet son entretien, à savoir la force contenue dans les nourritures et les boissons du quoitidien. Un exemple est issue de l’Enseignement pour Mérikarê (rédigé vers -2100}) qui inculque que le dieu créateur a établi l'univers et le souffle de vie pour le genre humain :
« Les hommes, troupeaux de Dieu, ont été bien pourvus. Il a fait le ciel et la terre à leur intention, puis il a repoussé le Vorace des Eaux. Il a fait l'air pour vivifier leur narine, car ils sont ses images, issues de ses chairs. Il brille dans le ciel à leur intention, il fait pour eux la végétation et les animaux, les oiseaux et les poissons, pour les nourrir. »
— Enseignement pour Mérikarê (extrait).


III-Heka,le pouvoir "magique"

La magie-heka peut à la fois être considérée comme une force capable d'influer sur le cours des événements et comme une composante de l'être humain, si le terme magique peut tourner au ridicule il faut plus voir cela comme de la magie au sens de théologique et est pris très au serieux par les Kjhemetous.
Dans les conceptions les plus archaïques (période prédynastique) comme l'Hymne cannibalen, la heka "se matérialise quelque part dans le ventre, et le pharaon, tel un ogre effroyable, dépèce puis mange dieux et hommes pour s'en emparer au cours d'un cérémonial funeste".
Dans les textes funéraires ultérieurs, cette vision de la magie se perpétue en étant présentée comme une sorte de nourriture ou puissance vitale que quatre terribles crocodiles cherchent à dérober au défunt. Cette puissance est personnifiée par le dieu Heka qui, d'après le mythe solaire, se tient aux côtés d'Atoum-Rê (variante postérieur d'Amon-Rê) lorsqu'il enclenche le processus de la création du Monde.

L’Enseignement pour Mérikarê  livre une définition égyptienne de la heka, qui est une sorte de testament politique et moral d'un pharaon pour son héritiers, en rapportant qu'elle est un don du créateur pour les Hommes ; « il a fait pour eux la magie comme arme pour repousser le coup de ce qui advient, ce à quoi on doit veiller de nuit comme de jour ». L'histoire de la civilisation Kjhemetous et la pratique de la "magie" n'est pas le fait d'individus isolés mais un effort étatique destiné à protéger le pharaon et son Empire de ses ennemis visibles et invisibles. Dans les temples, chaque geste cultuel, chaque offrande aux dieux est un acte "magique" visant à protéger le pays et à assurer sa prospérité.
Les magiciens (bien que le terme seul soit réducteur) les plus fameux sont des prêtres et des lettrés formés au sein des temples et au service de la population. La magie et la médecine qu'ils pratiquent sont avant tout une science sacré livresque consignée dans des recueils de formules divers. Pour chaque cas traité, après analyse de la situation, le praticien explique le mal au patient puis lui vient en secours en appliquant à la lettre la formule la plus adaptée. Ainsi, le rituel magique, qui mêle paroles comme des incantations, imprécations ou menaces et gestes comme des préparation de remèdes, d'onguents et de philtres, intègre l'individu en souffrance dans un cadre mythique où le mal trouve immanquablement une heureuse résolution ; la nature et les dieux étant en profonde interdépendance.

IV- La Maat, la vérité/l'ordre/la justice

Avec une existence longue de plus de cinquante-cinq siècle, le pouvoir pharaonique s'est résolu à promouvoir la recherche de la prospérité, le partage des responsabilités et la résolution des conflits sur la base de l'équité. En tant que premier et plus grand des prêtres de l'Empire, Pharaon est le nécessaire intercesseur entre les vivants et les puissances surnaturelles que sont les Netjerou. Par des rituels magico-religieux exercés dans les temples, son rôle fondamental est d'organiser et de contrôler ces puissances invisibles pour le plein bénéfice de l'humanité. Ce système s'augmente de la croyance en l'immortalité de l'essence humaine du Ka, ba et Akh et du jeu de la Maât comme facteur de l'équilibre cosmique et social de la création.
Dans l'iconographie, la Maât est personnifiée sous les traits d'une déesse jeune femme avec une plume d'autruche comme insigne sur la tête. Elle représente l'ordre, la vie, la justice, la paix, la vérité, la prospérité. Son exact antagoniste est le dieu isefet qui est le désordre, l'injustice, le chaos, le mensonge, la prévarication.
Dès les Textes des pyramides, le rôle assigné à Pharaon est « d'amener la Maât et de repousser isefet ». L'action impérial est par conséquent double car d'une part gouverner et organiser l'empire pharaonique avec rectitude et, d'autre part, combattre les forces hostiles, sources des plus flagrantes iniquités. Nombre de textes exposent les droits et devoirs de chacun selon les préceptes de la Maât.
Par exemple L'Enseignement de Ptahhotep, l'un des plus fameux, expose, tel un code de bonne conduite, le comportement idéal du dignitaire ; se conformer à la hiérarchie, se conduire de manière responsable en société et en privé, être ouvert aux aspirations des autres qu'il soit riche ou pauvre et juger équitablement dans la cour de justice. Ces mêmes textes insistent sur le fait que tout manquement à la Maât mérite un châtiment approprié. Au cours de la vie, bonnes actions et fautes s'additionnent et se compensent.

Selon les principes d'une justice immanente et rétributive, si un individu échappe à la justice terrestre, il sera immanquablement châtié dans l'au-delà. Inversement, le sage incompris des hommes sera nécessairement récompensé par les dieux du tribunal d'Osiris. La plume de la Maât permettant de juger via une balance si le cœur d'un défunt est pur ou non, si le cœur est plus lourd il est dévoré si il est plus léger que la plume alors le défunt pourra accéder à l'au-delà

V-Le Djet,corps

Djet

Les kjhemetous dès les plus ancienne époque de l'empire considère que le corps humain est constitué de deux éléments fondamentaux. Les « éléments durs » issus de la semence du père et les « éléments mous » issus du lait de la mère. Cette théorie anatomique est le plus clairement exposée dans un passage du Papyrus Jumilhac : « Quant à ses chairs et à sa peau, sa mère les a créées avec son lait ; quant à ses os, ils existent grâce à la semence de son père24 ».
Des allusions à cette théorie se rencontre dans les papyrus médicaux mais aussi dans les corpus religieux comme le Textes des pyramides, Textes des sarcophages et le Livre des Morts. Les éléments provenant du père sont l'ossature, les dents, les ongles, les cheveux et les poils. Les éléments hérités de la mère sont les chairs, la peau, les organes internes du tronc et les conduits-métou (vaisseaux sanguins, ligaments, muscles).
Les Kjhemetous ont d'ailleurs supposé que les os paternels étaient les réservoirs du sperme. En étant issu des os, et plus particulièrement de la colonne vertébrale, la semence paternelle dans le ventre de la mère assure à l'enfant à naître le développement de ses éléments "durs". Le lait maternel forme les chairs molles. Il devait être considéré comme une dissolution des chairs maternelles qui se reconstituaient de nouveau autour de l'ossature de l'enfant.
De la qualité du lait maternel dépend le sexe de l'enfant. Dans la médecine, les conduits-métou jouent un grand rôle. Ils transportent les flux vitaux que sont le sang et le souffle de vie et assurent donc la mobilité corporelle. Un corps en bonne santé et vivant est celui dont « les chairs sont fermes et les conduits souples »
Si la science a permis de mieux connaître la procréation et l'anatomie humaine et donc de rendre caduc ces théories, il reste que cela reste dans le folklore populaire mais sans aucune application réelle.

Le Djet est la composante la plus tangible de l'individu. Dans la pensée funéraire, le corps reste l'élément premier car de sa bonne conservation dépend le devenir post mortem du défunt (rappelons que le corps est réutilisé dans l'au-delà). Lors du processus de l'embaumement, dont la durée idéale est de soixante-dix jours, le corps accède à sa forme éternelle, la Sah/momie.
La momification permet de transformer le corps humain corruptible en un corps divin inaltérable désigné sous le terme djet. Ce mot désigne à la fois le corps physique d'une personne et la forme corporelle d'un dieu, à savoir ses images, ses représentations et ses statues. La conservation du corps passe donc, d'une manière conjointe, par la momification et par la confection de corps de substitution que sont les statues et les représentations murales dans les chapelles funéraires.
Le mot djet étant aussi attaché aux notions de jeunesse et d'éternité, le défunt apparaît alors le plus souvent dans la force de l'âge avant que la vieillesse ne vienne à flétrir son apparence physique (en parallèle de la jeunesse éternel). Durant la vie, le cœur et le liquide sanguin assurent la liaison entre les différents membres. Avec la vieillesse, le cœur se fatigue et le corps perd donc de sa vigueur. À la mort, le cœur cesse de battre et le corps va ce désintégré.
Dans la Mythologie, la désintégration du corps est évoquée par le démembrement en quatorze lambeaux du corps d'Osiris par Seth (qui fut réunit par Isis puis ressuscité). Chaque défunt étant assimilé à Osiris, chaque momification est un processus de recomposition du corps dépecé et chaque momie devient la figure du dieu Osiris.

VI-l'Haty, le coeur

La langue de l'égyptien ancien dispose de deux mots pour désigner le « cœur » ; l'un est le ib, l'autre le haty. Si au cours de l'évolution de la langue, le second a évincé le premier. Dans l'écriture, les deux mots sont représentés par le signe hiéroglyphique d'un cœur de brebis, vu en coupe, avec les points d'attache des veines et des artères.. Le haty est le cœur proprement dit, tandis que le ib est l'ensemble des autres organes situés dans le thorax et le ventre (la cavité-shet des textes Kjhemetous). Par rapport aux conceptions anatomiques contemporaines, l'intérieur-ib est mal délimité. Sa masse principale comprend les organes du foie, des poumons, de la rate et des autres viscères abdominaux. Il se poursuit dans le reste du corps par tous les conduits creux qui apportent le sang et le souffle vital aux membres. Selon les conceptions médicales du Traité du cœur transcrit sur le Papyrus Ebers et daté de la XVIIIe dynastie, le cœur-haty et l'intérieur-ib entretiennent d'étroites relations et toute atteinte sur l'un a des répercussions sur l'autre.
Cependant, l'idée de maladie se rapporte principalement à un dérangement de l'intérieur-ib, perçu comme un trouble de l'état général. Le cœur-haty peut aussi être atteint en répondant mal aux directives de l'intérieur-ib ou en étant dérangé par une affection. Pour les médecins égyptiens (ancien), le cœur-haty est un organe qui peut se déplacer dans le corps, mais qui doit impérativement rester à sa place, bien fixé à sa base : ses déplacements sont des troubles que l'on doit apprendre à connaître et à diagnostiquer en tâtant le pouls
Toutefois, le terme ib est aujourd'hui bien plus symbolique qu'autre chose car la médecine est bien plus complexe et connaît largement mieux les maladies et le corps humain mais les conceptions anatomiques contemporaines ont gardé le terme haty pour le cœur proprement dit, quand les religieux et les textes en tout genre (non médical) utilise encore haty[b] et ib[/b] dans la conceptions traditionnel.

Le cœur est le foyer de la vie/vitalité. Selon les Kjhemetous, tant que le cœur-haty fait circuler le sang et le souffle vital dans l'organisme, les différents membres sont vivants et connectés entre eux. La défaillance cardiaque est l'image même de la cessation de la vie. En tant que dieu mort, Osiris est Ouredj-ib « Celui au cœur immobile ». Pour le ranimer, de nombreux textes funéraires indiquent qu'il faut lui restituer son intérieur-ib. Lors de la momification, le cœur-haty reste en place dans le corps, tandis que l'intérieur-ib est prélevé et déposé dans quatre vases canopes.
Symboliquement, la restitution du cœur-ib est assignée aux divinités féminines que sont Nout, la déesse céleste et les sœurs Isis et Nephtys. Dans le Livre des Morts, plusieurs formules ont pour but de garantir au défunt le retour de son cœur.
En quelques occurrences, l'illustration du chapitre 26 montre Anubis, le dieu de la momification, rendre le cœur au défunt en le lui faisant boire tel un remède vivificateur. Le dieu se tient debout devant la momie et porte le cœur à la bouche du mort. D'après le chapitre 151, c'est le mort lui-même qui part à la recherche de ses organes internes. Il doit se rendre dans une maison où sont conservés les cœurs

Dans l'au-delà, le cœur permet au mort de conserver son individualité et de se souvenir de sa vie terrestre. Lors de son passage dans le tribunal d'Osiris, le défunt est jugé de ses actes par une assemblée de quarante-deux juges. Pendant que son cœur est placé sur une balance face à une représentation de Maât, la déesse de la justice et de l'harmonie, le défunt énumère deux listes de quarante-deux fautes qu'il proclame n'avoir pas commis. D'après les chapitres 30A et 30B du Livre des Morts, le plus grand risque pour le défunt est de voir son cœur se désolidariser de lui, tel un témoin à charge.
Ce que le défunt proclame, le cœur doit le confirmer sinon il est accusé d'avoir mentie. La dissociation du cœur est une atteinte mortelle car le défunt se voit condamné à la damnation en étant dévoré par la monstrueuse Ammit/Ammoût, un être hybride mêlant les aspects du crocodile, du lion et de l'hippopotame.
Un exemple est présent dans la scène de la pesée du cœur du papyrus d'Ani, le défunt et son épouse, habillés en blanc, se tiennent respectueusement devant la balance constituée par une colonne et un fléau. À droite, Anubis inspecte la bonne régularité du pesage. À gauche figurent différentes composantes de la personnalité du défunt. Le cœur est déposé sur le plateau de pesée. Le dieu Shaï personnifie la durée de vie impartie au défunt tandis que les déesses Rénénet et Meskhenet symbolisent son destin et sa naissance. Au-dessus d'elles, se tient l'« âme-Ba » d'Ani, sous la forme d'un oiseau à tête humaine perché sur une chapelle. Le dernier symbole est le meskhen ou « brique de la naissance », un rectangle noir muni d'une tête féminine, autre représentation de la déesse Meskhenet et figuration des dispositions innées attribuées au défunt

VII-le Ren, nom

Au Kjhemet le choix du Ren est beaucoup plus important que dans de nombreuse civilisation ainsi dans les énumérations, le ren, le « nom », figure souvent à côté du ba, du Djet et de Shout. D'ailleurs sur les monuments, le nom du pharaon remplace souvent sa représentation physique.
Des courtisans peuvent ainsi être montré en prière devant l'empereur ou devant son nom inséré dans un cartouche ou dans un serekh. En exemple, sur un fragment du temple de Seth de la ville de Noubt, le dieu offre la vie-Ânkh et la puissance-Ouas au nom de Thoutmôsis Ier. Une décoration du char de Thoutmôsis IV montre, non pas le pharaon, mais son nom dans un cartouche muni d'une tête de faucon et de deux mains en train d'assommer des ennemis avec une massue.
Le ren est une composante essentielle de l'être pour la simple raison que le nom permet d'appeler quelqu'un et donc d'avoir un moyen d'action sur lui. Un individu est très vulnérable par son nom. La pratique de la "magie" repose sur l'utilisation bénéfique ou maléfique du nom de la personne visée. Dans les rituels d'envoûtement, la destruction symbolique du nom revient à détruire l'être même de son possesseur, fut-il un dieu (c'est pour cela que l'effacement des nom des tombes est pire que la mort). Au contraire, si un "magicien" est incapable de nommer un individu, il ne peut rien espérer de son rituel magique. Chaque dieu porte une infinité de noms mais son vrai nom, son nom secret, est caché de tous.
Un mythe rapporte cependant qu'Isis, par ruse, réussit à connaître le nom secret de Rê, le maître de l'univers, afin d'avoir pouvoir sur la création entière. Le nom n'est pas qu'une entité abstraite. On peut le matérialiser en l'écrivant et le faire disparaître en l'effaçant. Les martèlements du nom d'Akhenaton par ses successeurs sont bien connus.
Dans le droit, les criminels peuvent être condamné à changer de nom en se voyant affublé d'un « mauvais nom », un nom infamant. Les cas les plus fameux, sont les condamnations des conspirateurs qui ont participé à l'assassinat de Ramsès III. Dans les transcriptions judiciaires, les criminels ne sont plus connus que par leurs mauvais noms ; Pabakamen « Le serviteur aveugle », Parâkamenef « Rê l'aveugle », Binemouast « Le mauvais dans Thèbes » .
Si cela peut paraître fantasque, c'est toujours une sanction judicaire dans le droit du Kjhemet qui est toujours pris au sérieux.

Au moment de la naissance, chaque Kjhemetous reçoit un ou deux noms (trois étant rare), attribués généralement par la mère ; d'où l'expression renef en moutef « son nom de sa mère ». Les noms Kjhemetous ont un sens immédiatement compréhensible par les locuteurs de la langue égyptienne antique.
On peut lister, quelques noms qui évoquent les mots de la mère juste après l'accouchement : Ikh « Qu'est-ce ? », Néfernen « C'est-beau-ça ! », Oursou « Il-est-grand », d'autres tentait de passer outre la forte mortalité infantile (qui a fortement diminuit aujourd'hui mais reste dans l'imaginaire collectif  : Senebsoumay « Il-est-en-bonne-santé-dans-ma-main », Djedamonioufankh « Amon-a-dit-qu'il-vivra », Diamoniaout « Qu'Amon-donne-la-vieillesse ». Certains noms évoquent le jour de la naissance ou qu'une divinité était alors à l'honneur : Sepenabed « Le-don-du-sixième-mois », Horemheb « Horus-est-en-fête », Amonherkhenyt « Amon-est-transporté-en-barque ». Lorsqu'un enfant tarde à venir, les parents s'adressent à une divinité pour provoquer une conception. Ce fait est alors rappelé dans le nom de l'enfant : Debehenithaenmout « C'est-à-Mout-que-j'ai-demandé-un-rejeton », Saousir « Fils-d'Osiris », Satptah « Fille-de-Ptah ».

Le choix du nom peut aussi être inspiré par la place de l'enfant dans la famille ou dans son lignage : Sennou « Le-deuxième », Khemetnou « Le-troisième », etc. D'autres atteste la croyance en la réincarnation : Senetites « La-sœur-de-son-père », Itseni « Le-père-de-mon-époux ». Cette même croyance fait qu'un nom passe d'une génération à l'autre, de père en fils, de mère en fille ou en reprenant le nom des aïeux.
Au cours de sa vie, l'individu peut se voir gratifier d'un surnom plus ou moins familier inspiré par son physique ou son caractère : Id « Le-sourd », Tabinet « La-mauvaise » ; par son origine géographique : Pen-Mennéfer « Celui-de-Memphis », Iam « L'asiatique » ; par son statut social ou son métier : Paqer « Le-vagabond », Paheripedjet « Le-chef-des-archers » ; ou pour des raisons purement personnel ou familial : Seshen « Le-lotus », Miou « Le-chat »

La variété de nom est infini pour définir un Kjhemetous et même si les nom de famille ne sont pas obligatoire, des diminutifs/qualificatifs peuvent être attribuer pour avoir le rôle de nom de famille notamment pour l'administration. Par exemple "époux de...X" ou "fils de....X"

VIII-Le KA, force vital

Ka

Le Ka est une composante immatérielle des dieux et des Hommes, toutefois, cette notion n'a pas d'équivalent dans les autres langues contemporaines. Pour la représentation du Ka certaines scènes où l'on voit le dieu bélier Khnoum façonner conjointement le prince impérial et son ka sur son tour de potier. Visuellement le prince et son ka ont l'air de véritables jumeaux ; le ka n'étant distingué que par le signe hiéroglyphique des deux bras levés qu'il porte sur sa tête. Lorsque le ka du pharaon régnant est représenté, il est le plus souvent figuré comme un petit homme vêtu d'un pagne debout derrière l’empereur. Dans une main, le ka tient une plume d'autruche symbole de la déesse Maât et du dieu Shou (respectivement les personnifications de l'harmonie cosmique et du souffle vital). Dans l'autre main, le ka tient un long bâton surmonté par la tête du pharaon. Sur la tête du Ka, le sigle hiéroglyphique des deux bras pliés à angle droit enserre le serekh (palais stylisé) dans lequel est inscrit le Nom d'Horus, un des cinq éléments de la titulature impérial.
Ces représentations sont retrouver a des âges plus ou moins anciens comme ceux en ronde-bosse d'un ka impérial qui nous est parvenu via la statue en bois du ka de Aoutibrê Hor de la XIIIe dynastie, celle-ci haute de 1,70 m, la statue apparaît complètement nue, debout et dans l'attitude de la marche. Elle conserve les traces de son collier, d'une ceinture et d'un pagne, tandis que les mains tiennent un spectres et un bâton.

Le Ka est une notion complexe à laquelle il est impossible de donner une définition homogène. Pour les Kjhemetous, le ka est, entre autres, la vitalité d'un être, à savoir la faculté d'accomplir tous les actes de la vie. Le pluriel du mot, Kaou, désigne les aliments solides ou liquides qui permettent l'entretien de la vie. Le ka est donc aussi une notion qui englobe le « bien-être » et la « santé » de manière globale. Un exemple simple est lorsque les Kjhemetous trinquent ensemble, la boisson est portée « À ton Ka ! ». D'après une maxime de l'Enseignement de Ptahhotep, se rassembler et manger à une table commune est un rite qui vise à célébrer le Ka Participer à un banquet organisé par un supérieur hiérarchique est une grâce divine et honneur qu'il ne faut pas gâcher par un comportement inadéquat et maladroit.
Dans ce contexte, le ka est une sorte d'énergie qui s'incarne tant dans celui qui reçoit les convives que dans les nourritures qui sont servies. Chaque invité se doit de respecter ce moment de partage en adoptant un comportement respectueux et convivial, tout comportement négatif et disharmonieux serait une « abomination pour le ka ». Aussi, par métonymie, l'expression « C'est un Ka ! » désigne l'homme sage âgé qui a réussi dans la vie ou le jeune homme qui est promis à un bel avenir.
Evidemment le Ka, forme de force vital n'est pas restreint qu'à ce domaine, le contexte apporté peut être apparenté au Ka dans des formes varié.

Si le Ka peut être défini comme une sorte d'esprit double ou comme une énergie vitale, cette composante de la personnalité peut aussi être perçue comme un "principe dynastique" légitimant qui passe du père au fils aîné, son héritier. Cela est bien évidemment très représenté au seins de la famille impérial même si n'importe qui peut utilisé cette composante successoral . Le sigle hiéroglyphique se présente comme deux bras dressés vers le haut. Il faut cependant le voir comme deux bras tendus vers l'avant pour étreindre et embrasser quelqu'un. Le ka est le symbole des liens inter-générationnels qui subsistent par delà la mort grâce au culte funéraire.

Les expressions « aller à son ka » et « être réuni à son ka » sont des euphémismes qui servent à désigner la mort. L'existence humaine n'est possible que si le corps et le ka sont intimement liés. Or, la mort disloque cette union. Privé de sa force vitale, le corps se désagrège en se putréfiant (à défaut de l'âme, de la force vital, etc....). Privé de corps, le ka n'en reste pas moins une force latente. Cette vitalité ne disparaît pas, mais s'en retourne à ses origines. Le ka passant du père au fils, le dieu créateur est le premier maillon de cette chaîne de transmission. Via les Textes des sarcophages et de manière imagé, un million de ka sont dans la bouche de Rê (chap. 648), signifiant par là qu'il est un réservoir inépuisable de vitalité et de magie créatrice. Un culte funéraire bien organisé permet au défunt de devenir un imakh, un « Vénérable » autorisé à posséder un tombeau monumental.
Ce statut social post-mortem, lui assure de pouvoir évoluer dans le monde des ancêtres et des dieux (toutefois il n'est pas la seul composante de l'évolution dans l'autre monde). Lorsqu'un mort part pour la nécropole, il « va à son ka », c'est-à-dire qu'il retrouve sa part de force vitale. Mais, tout comme les vivants, les ancêtres se doivent d'entretenir leur vitalité en consommant des nourritures. Dans la chapelle qui surmonte le tombeau souterrain, les statues et représentations murales du défunt servent d'intermédiaire. C'est à ces supports immobiles, réceptacles du Ka, que la famille présente les offrandes funéraires. Dans les Textes des pyramides, le prêtre ritualiste décrit l'union du pharaon avec son Ka. Uni avec son « double », le pharaon monte, "tel un dieu", vers les contrées célestes afin de rejoindre le Créateur. Pendant que le prêtre psalmodie son texte sacré, il diffuse de l'encens. Cette fumée parfumée qui monte au ciel est perçue comme le symbole de l'ascension impérial d'un pharaon divinisé bien pourvu de son Ka.

— Formule à réciter quatre fois —
Ne le laisse pas s'en échapper !
Prends garde de ne pas le laisser s'en échapper !
Il est parti, celui qui est parti avec son ka !
Il est parti, Horus, avec son ka !
Il est parti, Seth, avec son ka !
Il est parti, Thot,
— Formule à réciter quatre fois. Encens brûlé — avec son ka !
Il est parti, Dounânouy, avec son ka !
Il est parti, Osiris, avec son ka !
Il est parti, Khenty-irty, avec son ka !
Tu es parti toi aussi avec ton ka !
Ô Ounas, le bras de ton ka est devant toi !
Ô Ounas le bras de ton ka est derrière toi !
Ô Ounas, si je t'ai donné l'Œil d'Horus dont ta face est pourvue,
c'est pour que le parfum de l'Œil d'Horus diffuse vers toi !
Textes des Pyramides du pharaon Ounas, chapitre 2

Dans la pensée Kjhemetous, la mort n'est absolument pas une fin mais un passage/une transition qui conduit d'une existence vers une autre. Tout comme les vivants, les défunts ont des besoins élémentaires à satisfaire : manger, boire, copuler ou s'habiller. Le culte aux ancêtres nécessite d'importants moyens financiers pour assurer le creusement du tombeau, la construction d'une chapelle ainsi que la production et le transport des offrandes. Dans une telle vision, chaque vivant se doit de préparer son existence post mortem afin de ne pas se trouver au dépourvu. Ce fait est d'ailleurs vivement encouragé par les Sages dans leurs nombreux écrits. Dès l'Ancien Empire, ces besoins funéraires ont mené à la formation de structures économiques spécialement dédiées à l'affectation de biens aux défunts. Ces biens sont fournis soit par le pharaon et son administration, soit par des fondations privées, les perou-djet, financées à partir de fonds propres. L'organisation du culte, était à l'origine, est à la charge du fils aîné. Cependant, très vite, l'exercice quotidien du culte a été confié à des prêtres professionnels, les « Serviteurs du ka ». Les modalités du culte et leurs financements sont prévus et organisés d'après un ou plusieurs contrats juridiques conclu du vivant de la personne pour après son décès (comme des testaments). Ces contrats sont mis par écrit mais des personnes (influentes notamment), pour renforcer leur valeur n'hésite pas à les faire figurer sur les parois de leur tombeau.
Un des exemples les plus instructifs sont les dix contrats passés entre le gouverneur Hâpydjéfaï avec son prêtre du ka (sous la XIIe dynastie). La statue de Hâpydjéfaï, en tant que réceptacle du Ka, est le bénéficiaire d'offrandes journalières et annuelles (comme des fêtes funéraires, le nouvel an, des processions, etc.). Les rites sont effectués par les Ouâb, les « prêtres-purs » sous la supervision du prêtre du Ka.

Chose importante à souligner, d'abord ce besoin économique étant très fort les population les plus pauvres ont moins d'exigence de nécropoles, de tombes et d'offrandes que des plus riches. Ces pour cela qu'il y a encore aujourd'hui un barème légal en fonction des tranches de population afin de réguler et surtout contrôler la bonne mise en application des offrandes et des contrats, ce barème s'applique tout autant pour les prêtres, les fondations privées ou l'administrons impérial.
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