11/05/2017
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1 MARS 1932-2012 | Célébration de 80 années de révolution socialiste !

Affiche suprême
Affiche


À ANSLAV (aéroport)

7h : Les 80 drapeaux rouges des années de révolution son déployés à l'Aéroport International Anslav-Union.
Le président de l'Union, accompagné des Commisaires du Peuple de l'Union, assiste à l'atterrissage de l'avion présidentiel.
Duquel descendent quelques minutes plus tard, le Premier ministre du Prodnov, Malyshev Alexei Stanislavovich, suivi de Loginov Artemiy Victorovich, le ministre des Relations extérieures, Opokin Yakov Vladislavovich, le ministre de l’intérieur, Krivkova Celestyna Fyodorovna, la ministre de la culture, et dix-huit autres représentants de la République sociale du Prodnov.
Les embrassades chaleureuses entre les différents commissaires et ministres s'enchaînent dans un esprit socialiste et communiste d'union. Les hymnes des deux patries socialistes communistes retentissent alors au déploiement solennel du drapeau prodnovien sur l'aéroport, au côté du drapeau de l'Union.
7h30 : Arrive quelques minutes plus tard l'avion de la représentation gallésante : le Secrétaire Général du Parti Communiste Gallèsant, suivi du ministre gallèsant délégué aux solidarités et de cinq représentants volontaires du bureau politique du parti, sont accueillis aussi chaleureusement par le président et les représentants translaviques et prodnoviens. Le drapeau gallèsant, accompagné d'un second drapeau de la CCPT, est alors à son tour déployé, accompagné des hymnes du duché et de l'Union.
8h00 : L'avion de la Nation Communiste de Loduarie arrive alors devant ce grand groupe, représentant de nations libres et indépendantes. D'y descend alors le Secrétaire Général de la Nation Communiste de Loduarie, Geraert-Wojtkowiak Lorenzo, accompagné de ving-neuf collègues. La grosse soixante-dizaine d'individus se saluent, et encore, l'hymne loduarien retentit à la levée du drapeau national sur l'aéroport, au côté d'un troisième drapeau de l'hymne de l'Union.
8h45 : Arrive alors le dernier avion : celui de notre cher voisin, l'éternelle République hellénoïde. Le Pontife Valentinos Comakos (des Affaires étrangères), sort de l'avion accompagné de la dizaine de représentants hellénoïdes, dans toute la gloire de la république. Accueillis comme leurs antécédents, l'hymne de l'Eternelle s'élève en même temps que son drapeau et de celui de l'Union.

9h15 : La centaine d'individus écoute alors le discours du président de l'Union, Pietr Vadovsky, monté à la tribune installée sur le tarmac :

"Représentants, citoyens responsables, je vous salue.
En ce jour de révolution, vos nations ont répondu, curieuses et amies, à l'invitation ouverte que la Translavya a adressé au monde. Quoi de plus paisible que des volontaires sous nos drapeaux. L'Union des Républiques Socialistes de Translavya, salue votre venue, et vous offre ce spectacle glorieux, qu'est la vie révolutionnaire des Translaviques, et de l'union des républiques en lesquelles, et en laquelle, ils se sont constitués, pour le progrès, et l'avenir."



À ANAPOL (port)

5h00 : Le port de la capitale de la République de Romanie est paré, comme toute la ville, de drapeaux rouges et d'éléments à la gloire de la Révolution. Dans le noir du matin, le soleil éclairant encore l'autre bout du monde, un navire pavoisé de symboles communistes accoste. Les projecteurs s'allument : ils illuminent tout le quai sur lequel sont alignés quatre-vingt mâts en haut desquels claquent de gigantesques drapeaux rouges. Une voie dans un haut-parleur, annonce : "Le Secrétaire Général de l'Union Communiste de Zélandia". Descend alors du navire celui-ci, sieur Ewan Finnegan, accompagné de quatres collègues. Le président de la République de Romanie, sieur Gorgov Kievko, accompagné de Feredor Vigorov, Général-directeur de l’Armada de la république, et Vadar Korbatcha, Ambassadeur général de l'Union, accueille chaleureusement les camarades zélandiens. Les hymnes retentissent alors que le corps international se dirige à pied vers le palais de la République faisant face à la mer, accompagné d'agents de sécurité de la Poltsa, et d'officiers de l'Armée Populaire du Dernier Recours.
Le président de la République de Romanie et le Secrétaire Général de l'union zélandienne s'entretiendront l'heure qui suit, avant que celui-ci ne prennent la route au côté des sieurs Vigorov et Korbatcha pour rejoindre Anslav, pour arriver aux portes de la ville en même temps que l'autre corps international, et ainsi prendre part au convoi urbain vers la Supra.
En la cité d'Anslav, des milliers de Translaviques s'amassent autour de la route qu'emprunteront les représentations étrangères pour arriver à la Supra de l'Union (le mot "Supra" désigne à la fois le lieu et l'institution). En effet, après avoir emprunté l'Allée de la Révolution en préparation pour la célébration (donc vide de public), les voitures (à énergie verte) du corps international venu de l'aéroport, et de celui venu d'Anapol, arriveront conjointement à la cité d'Anslav, pour que les délégations puissent rencontrer la Supra de l'Union, et assister au traditionnel "Discours du Président de l'Union aux Hommes Volontaires", que celui-ci adresse aux étrangers tous les 1 mars. Un second discours sera prononcé à destination du peuple révolutionnaire translavique, lors du défilé prévu l'après-midi sur l'Allée de la Révolution.
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SONNERIE

Ouais allo ?
Quoi, qu'est ce qui se passe encore ?
Comment ça, on a deux bougnoules en face de la mairie de Lyonnars ?
Ah, OK, pas des bougnoules, des migrants, OK.
Ouais okay, j'arrive.
M'enfin, ça casse les couilles, j'avais quelque chose de prévu là.
Ouaip, je comprends.
Bon j'arrive, je reprends l'avion, je laisse les autres membres du Parti ici.
Oh oublie pas, demain soirée gros lardon ! Allez, à plus.


Et c'est ainsi que Lorenzo partit de la CCPT. Il avait à faire en Loduarie.
Alors qu'il venait d'atterrir et qu'il n'avait même pas atteint les portes de l'aéroport, le secrétaire général loduarien annonça son départ imminent. Les représentants étrangers et translaviques, outrés, ne le saluèrent pas, et firent comme s'il n'avait même pas été là. Les vingt-neuf loduariens semblèrent se désolidariser aussitôt de cette décision qu'eux-mêmes trouvaient sûrement inappropriée.
La journée, ventée, s'annonçait propice à la diplomatie, bien qu'altérée par la décision du Secrétaire général lodurarien. Les vents soufflaient maintenant fort sur la piste. Un décollage serait risqué.
Le Pontife de Xenios arrivé dans la matinée, fut agréablement satisfait du soin pris par les agents protocolaires de la République de Translavya pour honorer convenablement la bonne entente et la bonne représentation de leur nation voisine, La République Eternelle Hellénoïde.

Le Pontife salua donc les diplomates présents, et entra dans la voiture qui se rendit en cortège jusqu'à la Supra de l'Union.
Regardant par la fenêtre, il ne put s'empêcher de dire à son conseiller...


Eh bien ! Cela ne doit pas être si évident de gouverner un peuple si enthousiaste à l'idée de s'être révolté. Il pourrait leur prendre le goût de recommencer.

Le conseiller acquiesça. Il en profita pour faire un petit rappel des dernières actualités de la République Translavique. Le Pontife finit par répondre...

Bien, ce que le monde a le moins besoin en ce moment, c'est d'une dissémination de l'idéologie fasciste, destructrice pour les libertés et les peuples.
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