Adhésion à l'Organisation des Nations Démocratiques

Adhérer à l'Organisation des Nations Démocratiques


Deux textes fondateurs régissent l'Organisation des Nations Démocratiques. L'un des textes institue une alliance militaire et l'autre texte institue les organisations nécessaires pour régir les institutions permettant un dialogue entre les états-membres. Les états voulant adhérer à l'OND peuvent adhérer à l'un des deux traités ou aux deux traités.

Toutefois si la nation souhaite adhérer à la charte défensive :
Les parties peuvent, par accord majoritaire, inviter à accéder a la Charte tout autre Etat du monde susceptible de favoriser le développement des principes de la présente Charte et de contribuer à la sécurité régionale et globale. Tout Etat ainsi invité peut devenir partie de la Charte en déposant son instrument d'accession auprès des gouvernements du Conseil de la présente Charte. Celui-ci informera chacune des parties du dépôt de chaque instrument d'accession.

Si la nation souhaite adhérer à la charte instituant les institutions permettant un dialogue :
Les partis peuvent, par accord au deux tiers, inviter tout Etat susceptible de favoriser le développement des principes du présent Traité et de contribuer à la paix. Tout Etat ainsi invité peut devenir partie au traité en déposant son dossier d'accession auprès du gouvernement du Royaume de Teyla. Celui-ci informera chacune des parties du dépôt de chaque instrument d'accession.

Un vote sera organisé sur toute demande d’adhésion à l’Organisation des Nations Démocratiques deux mois après son dossier d’admission transmis. Le vote requiert les deux-tiers

En vertu de l'article 1 de la charte de l'Organisation des Nations Démocratiques, le Royaume de Teyla porte à l'attention des états-membres que la Confédération Royale Fédérale et Septentrionale de Kölisburg a déposé un dossier d'adhésion aux deux chartes de l'Organisation des Nations Démocratiques. La Confédération tient à rappeler que, selon elle, la reconnaissance des Z.E.E est nécessaire uniquement pour les relations bilatérales et ne gênera pas les communications au sein de l'Organisation des Nations Démocratiques. Elle souhaite transmettre au membre le document suivant :



LETTRE DE SON ALTESSE ROYALE
DAUPHIN DE KÖLISBURG
Pays démocratiques, membres de l'Organisation des Nations Démocratiques, délégués à l'Organisation,

Il est bon de voir qu'au travers des décennies quelques réfractaires ont sur garder la flamme de la liberté et la conscience de vivre dans un état correct malgré la guerre, la faim et le chaos. Depuis plusieurs décennies, quelques pays réfractaires n'ont pas succomber à la tentation du totalitarisme, de la dictature ou encore de la haine de ses propres citoyens. Si la démocratie est pour certains quelque chose de dépasser et de lointain, Kölisburg tout entier constate avec fierté et presque la larme à l'oeil que rien n'est perdu. Grâce à la fondation de l'Organisation des Nations Démocratiques, Kölisburg qui est une confédération fortement attachée aux valeurs démocratiques, aux valeurs humaines ainsi qu'au respect des droits fondamentaux que la démocratie tient encore à coeur à beaucoup. Vous, pays démocratiques, qui êtes les précurseurs d'une décennie puissante qui fera rayonner la démocratie sur toutes les mers et toutes les terres du monde ne craignez pas la guerre et ceux qui veulent vous en décourager. Politiquement, je vois l'Organisation des Nations Démocratiques comme une ère nouvelle dans l'affirmation des droits fondamentaux et comme un signal fort envoyé à tous les citoyens victimes du totalitarisme et des dictatures. Ce signal, il leur dit "Ne craignez pas, rien n'est fait". C'est avec beaucoup d'honneur que j'ai appris que Kölisburg tout entier avait formulé le souhait d'intégrer l'Organisation des Nations Démocratiques. Bien que Kölisburg s'inscrive dans une longue lignée de période tumultueuses et de troubles quant aux instabilités politiques qu'elle a traversée, elle a toujours su préserver des valeurs démocratiques au péril parfois de sa survie. Je suis aussi fier d'être l'héritier d'une Confédération sur laquelle je vais un jour régner qui, par ses citoyens, s'expriment très souvent et jamais assez sur le vaste sujet du respect des droits humains. Je suis aussi honoré de voir que les citoyens kolisiens n'ont pas peur d'aller confronter ceux qui ne les respectent pas. Évidemment, je suis très fier de faire partie d'une famille prestigieuse qui a lutée pendant plusieurs générations pour conserver ces valeurs.

Ainsi, Kölisburg se porte candidate pour entrer dans l'Organisation des Nations Démocratiques à juste titre et je n'ai pas l'intention de m'y opposer. Kölisburg a fait ses preuves en matière de démocratie et de respect des droits humains fondamentaux alors je n'ai pas à lui faire la morale. Cependant, récemment, la Confédération par ses élus à exprimer sa volonté de faire elle aussi respecter ses droits et notamment sur son territoire maritime en établissement une Zone Économique Exclusive. Si beaucoup de pays dont probablement les vôtres n'ont pas comprit cette idée, il est peut-être temps que vous ayez toutes les clefs en mains pour comprendre. Kölisburg n'a jamais eu de prétentions territoriales ou économiques cependant, elle a toujours été très attachée à son patrimoine maritime et la préservation de ses espaces. La Confédération étant composée de quatre pays membres à savoir la Monarchie Populaire de Drock, la Monarchie Militaire de Littarg, la Monarchie Constitutionnelle de Palargue ainsi que la Monarchie Constitutionnelle de Prismurgue, est répartie sur quatre territoires et si ils ne sont pas séparés par la terre, ils le sont par la mer. D'un côté, je comprends l'envie de l'état de Drock d'où je suis né d'établie une Z.E.E car ils ont une ville pirate qui ne se privent pas pour venir dévaster le territoire maritime alentour. L'état de Littarg quant à lui possède un patrimoine maritime et faune maritime exceptionnelle qu'il faut à tout prix protéger du commerce mondial et de ses ravages. L'état de Palargue possède lui aussi une très belle façade et des ressources importantes et parfois précieuses il est donc évident qu'ils veulent s'assurer qu'il n'y est pas un amas gigantesque de navires venant polluer le paysage. Enfin, l'état de Prismurgue quant-à-lui est en Manche Blanche et ayant pu voir ces dernières années une route commerciale maritime s'y créer, je comprends et soutien leur envie de ne pas voir leur état et leurs eaux devenir un parking géant où il faudrait faire escale. Voici donc les raisons de mon soutien aux citoyens kolisiens sur l'application de cette Zone Économique Exclusive. La décision gouvernementale de n'engager des relations diplomatiques qu'à la condition qu'elle soit reconnue n'engage que le gouvernement et ayant été nommé par la volonté souveraine des kolisiens, le gouvernement confédéral mène la politique qu'il désire.

Pour que vive la démocratie,

WILHEM III DE DROCK