09/08/2014
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MINISTÈRE DES SPORTS

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L'Épopée des Sables

photo une des course

L'Épopée des Sables, l'un des sports les plus mythiques du royaume d'Esmea, est une course de dromadaire qui suscite l'admiration et l'excitation de tous les passionnés de compétition et de traditions ancestrales. Organisée quatre fois par an, à chaque solstice, cette course emblématique réunit les meilleurs dromadaires et leurs jockeys talentueux pour une compétition palpitante au cœur des vastes étendues désertiques d'Esmea.
Faits importants à savoir sur ce sport souvent mâle compris des étrangers :
-Une tradition millénaire : La course de dromadaire remonte à plusieurs siècles dans l'histoire du royaume d'Esmea. Elle est ancrée dans les traditions et la culture Saharis locales, symbolisant la rapidité, la résilience et l'endurance des dromadaires, ces majestueux animaux qui ont joué un rôle essentiel dans la vie nomade des populations de la région d'Iondalbon et d'Esmea.
-La grandeur des solstices et équinoxes : La tenue de la compétition à chaque solstice ajoute une dimension spirituelle et mystique à l'événement. Les dromadaires se lancent dans la course au moment précis où le soleil atteint son point le plus élevé dans le ciel le jour le plus long (20,21 juin) et au derniers rayons du soleil le jour le plus cours(21,22 décembre), et le matin du 20mars et du 22 septembre créant une atmosphère unique où l'harmonie entre l'homme, l'animal et la nature est célébrée.
-Du spectacle tous au long de la course :La course se déroule habituellement sur un parcours compris entre 1,5 et 8 km. Les dromadaires peuvent atteindre en course la vitesse maximum de 65 km/h pendant une courte durée et maintenir une vitesse de 40 km/h pendant une heure.
-course sans chameliers : Sur toutes les courses de dromadaires organisées, 87% cours sans chamelier sur sont dos, ce dernier ne fait que toiletter, nourrir, mettre à l'aise l'animal et mettre la bannière ou la couleur de son propriétaire, qui à 68% sont issu du palais royale ou au alentours de la même sphère sociaux.
-Bien plus qu'une course : Cette course est bien plus qu'un évènement sportif, des mariages, alliances entre familles, rencontre entre les partis de la familles royale ou même création de conflit, Drama et autre sont au rendez-vous ou chaque déplacement, mots ou mouvement des personnalités publics est scruter.
public course
Ce qui c'est passer à la derniers course
Le roi malade et la princesse Freydja à son chevet, les personnes du palais les plus importants à être présent étaient la princesse Khadija( cousine éloigné de Freydja) son frère Mohammed, la princesse Laila( sœur du roi) et bien sur le prince Yell (frère du roi) et sa femme Dalla. Chaque camps à ses propre couleurs pour identifier l'identité des dromadaires pendant la course. Laila décida de représenter les couleurs de sont frère le roi (les couleurs du royaume d'Esmea) avec l'accord de se dernier et sa fille, ce qui ne réjouie point son frère Yell qui été sensé représenter les couleurs du royaume. Il se contenta des ses couleur et celles de sa femme qui, après avoir fini la course derrière, tacla le fait que Freydja utilise l maladie de sont propre père pour éviter la vue de son propre peuple ne serait ce qu'une journée. Elle corrigera ses propos après son retour au palais expliquant que c'était sous le coup de la course et n'a eu aucune conséquence par la suite. Certain y ont vue un coup de faiblesse de la royauté.freydja
Freydja qui répond au critiques une semaine après
Dalla
Dalla Starfist à l'annonce des couleurs avant la course
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Course Hippiques

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Introduction

Dans le Royaume d'Esmea, la cité de Rimjida brille de tous ses feux lorsqu'il s'agit de courses hippiques. C'est ici que se déroule la prestigieuse Course des Rois, une compétition équestre qui attire les regards du monde entier depuis 2004. Avec un prix record de 20 millions, cette course est l'une des plus richement dotées de la planète, faisant de Rimjida un lieu incontournable pour les amateurs de sport équestre. Au cœur de la ville, l'hippodrome du roi Vikar se déploie majestueusement. Son tracé en forme d'ovale, mariant habilement pelouse et sable rappelant les couleur du royaume, est baigné d'une lumière éclatante projetée par d'immenses projecteurs. C'est là que se noue l'histoire millénaire de l'équitation dans le Royaume d'Esmea. Les ancêtres de ce royaume, tel le roi Hamid, ont su démontrer leur maîtrise équestre sur les champs de bataille. Aujourd'hui, c'est le prince Yell qui préside le Jockey Club d'Esmea, perpétuant ainsi la passion équestre au plus haut niveau.
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L'hippodrome

L'hippodrome de Rimjida est bien plus qu'une simple enceinte sportive, c'est un véritable lieu de rendez-vous où les émotions sont à leur comble. Les 15 000 sièges de la tribune offrent une vue imprenable sur le circuit et la ligne d'arrivée, tandis que des écrans géants plongent les spectateurs au cœur de l'action, dévoilant chaque détail des courses et les performances des chevaux et des jockeys. Sur le tableau des scores, les résultats s'affichent en temps réel, permettant à tous de suivre les rebondissements de chaque instant. Les amateurs de sensations fortes peuvent opter pour une place près du circuit pour s'imprégner de l'effervescence ambiante, tandis que le café de la grande tribune offre des collations savoureuses et un restaurant gastronomique propose une vue panoramique sur l'ensemble du champ de courses.
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La Coupe Royale d'Esmea n'est pas seulement une compétition équestre, c'est un événement d'exception qui transcende les frontières. Les meilleurs jockeys, les écuries les plus prestigieuses et les chevaux les plus talentueux se retrouvent ici pour se mesurer dans des courses palpitantes. Cette compétition de renom contribue à la renommée du Royaume d'Esmea dans le domaine de l'hippisme, attirant des passionnés venus du monde entier pour vivre des moments uniques empreints d'excitation et de fascination. Rimjida, ville vibrante au rythme des sabots, est une destination de choix pour tous les amoureux de chevaux et de courses en quête et bien plus de moments inoubliables.
Rimjida

faits divers

L'évasion du cheval de course "Mystique" : En 2007, Le jour de la Coupe Royale d'Esmea, une situation hors du commun s'est produite lorsque le cheval de course bien-aimé "Mystique" s'est échappé de son enclos. Une course effrénée s'est alors engagée pour le retrouver, impliquant des jockeys, des entraîneurs et même des spectateurs. Finalement, après une heure de recherche intense, "Mystique" a été retrouvé sain et sauf, ajoutant une dose d'excitation supplémentaire à la compétition.
Les tenues excentriques des spectateurs :Depuis 2009, La Coupe Royale d'Esmea est également célèbre pour attirer des spectateurs arborant des tenues excentriques et élégantes. Des chapeaux extravagants, des robes colorées et des costumes thématiques ornent les tribunes, créant un véritable spectacle visuel. Les fashionistas rivalisent d'originalité pour se démarquer et remporter le titre de "meilleure tenue de la Coupe Royale".
Les records battus : Lors de la dernière édition de la Coupe Royale d'Esmea, plusieurs records ont été battus. Le jockey "Foudre Noir" a réalisé le temps le plus rapide de l'histoire de la course, établissant un nouveau record. De plus, l'écurie "Éclipse" a remporté le plus grand nombre de victoires consécutives, surpassant ainsi les exploits précédents de l'écurie "Point du jour" . Ces performances exceptionnelles ont marqué l'histoire de la compétition et ont suscité l'admiration des amateurs de courses hippiques.
chevale arabe
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Fauconnerie

Ragig
Un homme vêtu d'une élégante djellaba blanche, coiffé d'un chèche à carreaux rouges et blancs, se dresse fièrement au milieu du Sahra du Royaume d'Esmea. Sur son poignet repose un majestueux faucon, symbole emblématique de la tradition intemporelle de la fauconnerie qui imprègne la culture esméenne. L'art ancestral de la fauconnerie a profondément marqué le tissu social et l'identité de ce royaume. "Autrefois utilisé pour la chasse, le faucon est aujourd'hui un véritable passe-temps", explique Ragig Almouslim, Directeur des opérations de l'agence de voyage et de tourisme esmean. "Les Esméens qui possèdent des faucons en sont extrêmement fiers, car ces magnifiques créatures possèdent des qualités exceptionnelles."


Introduction

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La chasse au vol avec des faucons est une tradition profondément ancrée dans l'histoire du Royaume d'Esmea depuis des millénaires. Les anciens Sahari et Althaljirs ont laissé des traces de cette pratique qui remontent à plusieurs milliers d'années. Bien que la chasse soit désormais interdite dans certaines Waliyas du Royaume depuis 1919, la fauconnerie continue d'être une passion vivante et un passe-temps populaire parmi les habitants.
La fauconnerie est considérée comme un symbole de prestige et de statut social dans la société nord esméenne. Posséder un faucon est un signe de distinction et de respect, et cela a une importance particulière dans la culture et les traditions du Royaume d'Esmea. Les compétitions de fauconnerie suscitent un grand engouement, où les fauconniers du Royaume se réunissent pour démontrer leurs compétences et rivaliser dans des épreuves de vitesse et d'adresse avec leurs oiseaux de proie.
La fauconnerie esméenne est profondément enracinée dans la société, tant au niveau de la famille royale que des citoyens ordinaires. Les festivals de fauconnerie, tels que le Festival de la Fauconnerie Royale d'Esmea organiser tous les mois de mars, attirent des participants et des visiteurs du monde entier, venus admirer ces magnifiques créatures et célébrer cette tradition ancestrale.
La relation entre les fauconniers et leurs oiseaux est empreinte de respect et d'admiration mutuels. Les faucons esméens sont réputés pour leur intelligence, leur agilité et leur vitesse, ce qui en fait des partenaires précieux pour la chasse et des compagnons respectés. La fauconnerie est un art qui demande patience, compétence et connaissances approfondies des techniques de dressage et de gestion des faucons.
Ainsi, la fauconnerie est bien plus qu'un simple passe-temps ou une tradition au Royaume d'Esmea. C'est une pratique qui incarne la fierté nationale, la préservation du patrimoine culturel et le lien étroit entre l'homme et la nature. La fascination pour ces oiseaux majestueux et la passion pour la fauconnerie continueront de jouer un rôle central dans la culture et l'identité du Royaume d'Esmea.

Évènement

princesse Laila
Le Festival de la Fauconnerie Royale d'Esmea de 2010 à attiré des milliers de fauconniers d'élite venus du Royaume d'Esmea et de la région du Golfe d'Émeraude. L'objectif principal de ces festivals est de mettre en valeur l'identité et le patrimoine esméens, tout en transmettant les traditions culturelles aux nouvelles générations, rappelle la princesse et soeur du roi Laila Stargray lors de sa conférence annuelle traditionnelle, porte-parole de l'événement. Les enchères et les courses de faucons sont les temps forts de ces festivals. «Avec la participation croissante des femmes et l'évolution de la société, la fauconnerie au Royaume d'Esmea ouvre de nouvelles perspectives. Elle offre désormais à chacun la possibilité de se passionner pour cet art noble et de le pratiquer, contribuant ainsi à enrichir le tissu social et culturel du pays» Rajouta t'elle. En plus d'avoir établi un record, le festival de 2009 a également marqué le début d'une nouvelle ère : la fauconnière esmeaenne Laila Stargray en personne est devenue la première femme à y participer. Bien qu'elle ait toujours eu le soutien de son frère le roi et de nièce, elle a dû surmonter de nombreux obstacles dans un sport qui a longtemps été entièrement dominé par les hommes. Mais à une époque où les barrières tombent dans tout le royaume, Laila et son faucon ont pris part au 400 mètres de la compétition DE Kufya derrière l'ancien temple Sahari. Ce faisant, elle a ouvert la voie à une nouvelle génération de fauconnières, qui peuvent enfin envisager de transformer leur passion en profession.
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كرة الجدارية

Mural Ball
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Le Mural Ball (/كرة الجدارية/), ou dans le langage courant simplement (Jidar), est un sport collectif qui se joue avec un ballon sphérique entre deux équipes de cinq joueurs ou joueuses. Elles s'opposent sur un terrain rectangulaire délimité par des murs de 3 à 4 mètres équipé de cerceau circulaire à chaque extrémité. L'objectif est de marquer des points en lançant une balle en cuir à travers le cerceau circulaire adverse plus de fois que l'autre équipe, sans que les joueurs utilisent leurs avants bras.
Le Mural Ball s'est doté en 1899 d'une fédération nationale, la FNM, Pratiqué en 2010 par environ 620 000 de joueurs à travers le royaume, le Mural Ball est le sport le plus populaire dans la majorité des régions. Le calendrier contient en général deux types d'épreuves : celles concernant les choix des joueurs et celles des équipes regroupées. La Coupe National est l'épreuve la plus prestigieuse qui soit. Elle a lieu tous les 2 ans depuis 1905. Pour faire partie des équipes, des systèmes pyramidaux après les épreuves de passages sont au rendez-vous.

Histoire
Le Jidar Ball au Royaume Stargray Islamique d'Esmea puise ses origines dans des traditions sportives mythologiques, évoquant des similitudes avec les jeux de balle au pied du 14eme siècle. À l'instar des jeux pratiqués par les Iondalbonnais et les tribus désertiques, les Esmeans ont cultivé leur propre variante de jeu de balle avec le Jidar Ball, mêlant habilement compétences athlétiques, stratégie tactique, et une profondeur culturelle unique.
Les premières traces du Jidar Ball esmean remontent à des siècles, émergeant des jeux traditionnels pratiqués dans les régions montagneuses du royaume à la frontière avec Althalj. Initialement, le jeu semblait être une compétition spirituelle de deux dieux mythologique esmeans représenter par des personnes colorer au couleurs des dieux qu'elles venèrent , intégrant des éléments de compétition physique et de stratégie dans une atmosphère unique.
Cependant, au fil du temps, le Jidar Ball a évolué pour devenir un sport à part entière, unifiant la population autour de compétitions passionnantes. Les règles strictes et les pénalités rigoureuses ajoutent une dimension stratégique et compétitive au jeu, rappelant les débuts violents de certains jeux médiévaux. Les Esmeans ont adapté cette tradition à leur propre culture, faisant du Jidar Ball un sport populaire non seulement dans les écoles et universités, mais aussi parmi le peuple en gardant le lourd ballon de cuirs. Le jeu a traversé des époques où il était parfois interdit, notamment pour des raisons militaires ou religieuses ( la guerre contre les tribus d'Iondalbon faisait voir le Jidar Ball comme une allégeance à l'ennemi). Malgré sa nature parfois brutale, le Jidar Ball est demeuré populaire, rappelant l'histoire du folk Iondalbonnais.

Les Femmes dans tous sa :
depuis les debuts de la pratiques les femmes ont moins de temps de jeux car moins de déesse que de dieux a defendre et à jouer pour, ce ratio perdure jusqu'au premiers signes d'unifications des peuples en 1821.
Règlements:
Le "Jidar Ball" au Royaume Stargray Islamique d'Esmea est un sport riche en histoire et en tradition, régissant les compétitions à travers des règles strictes et des normes élevées. Voici un aperçu détaillé de ses règlements cruciaux :
  • Composition des équipes : Chaque équipe de "Jidar Ball" est composée de cinq joueurs, soigneusement sélectionnés par les équipes régionaux après les épreuves sélectives pour leur agilité, leur précision et leur esprit d'équipe.
  • Terrain de jeu : Le terrain rectangulaire qui se rapproche des standards d'un terrains de volley est divisé en deux zones égales. Au bout de chaque côté, on trouve le "thorr," un cerceau circulaire positionné à une hauteur spécifique de 3 mètres. Le terrains dois être entourer d'un mur d'un minimum de 3.5 mètre et peut aller jusqu'à 5 mètres.
  • Objectif du jeu : L'objectif principal est de marquer des points en lançant une balle en cuir à travers le cerceau adverse. Chaque panier réussi attribue un nombre de points prédéterminé à l'équipe attaquante. ( tir classique dans le cerceaux = 1point, tir depuis votre côté du terrains = 2points, si la balle rebondie sur un mur avant de passer le cerceaux = +1 point bonus, si la balle passe par le cerceaux sans toucher les bords = +1 point bonus) .
  • Début du match : Le match commence par un tirage au sort pour le choix de côté. La balle est mise au centre et tous les joueurs doivent être coller a leurs mur respectifs, sauf les capitaines d'équipes qui s'avancent à un mètre du mur. Une fois la balle en jeu, les équipes s'affrontent pour la contrôler et marquer des points.
  • Durée du match : Les compétitions de "Jidar Ball" se déroulent en périodes définies, habituellement divisées en quarts -temps. La durée totale est de quartes fois 20 minutes avec des pauses de 5 minutes entre chaque quart de temps, assurant un équilibre entre l'intensité du jeu et l'endurance des joueurs.
  • Fautes et pénalités : Les règles spécifient les comportements interdits, tels que le contact physique excessif et les tirages de maillot de plus de 5 secondes, le blocage sont légales sauf ceux contre le mur, et les déplacements des cinq joueurs au même temps dans le camp adverse est interdis. Les fautes entraînent des pénalités, comme la perte de possession ( fautes tactiques) ou des tirs francs pour l'équipe adverse (fautes physiques).
  • Substitutions : Les équipes ont la possibilité de réaliser des substitutions pendant des arrêts de jeu prévus. Cela permet de maintenir la fraîcheur des joueurs et d'ajuster la stratégie en fonction des circonstances. ( 2 changement par pause possibles, non accumulable).
  • Arbitres

    Sur le terrain du Jidar Ball au Royaume Stargray Islamique d'Esmea, l'application des règlements est confiée à un corps arbitral dont l'organisation s'est solidifiée en 1930. À l'origine, l'arbitrage sur le terrain fut envisagé, avec un deuxième arbitre en tribune pour donner un visions plus claire à l'autre. Toutefois, ce système s'est avéré inefficace, conduisant à des réformes majeures en 1945. Désormais, le "Mouhakim" est positionné sur le devant des tribunes, tandis que une doublette d'arbitres, appelée "visions," est placée derrière les cameras.s
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