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Tifftenberg : Le gouvernement abolit certains marchés.
C'est une annonce inédite de la part du gouvernement de Prismurgue : Certains états considérés comme des ennemis de la liberté par le gouvernement ne sont plus autorisés à vendre leurs produits. Listonie, Okaristan, Tsardom de Samara, Prodnov... C'est une liste d'environs une dizaine de pays qui a été proclamée dans une déclaration officielle du gouverneur de Prismurgue. En effet, le gouvernement composé à majorité de personnalités socialistes à accorder à ses membres les plus libéraux l'interdiction de certains produits.

Cette mesure qui allie protectionnisme étatique et embargo contre des pays jugés comme ennemis de la liberté et notamment d'autres pays pourtant socialistes est une victoire partagée. Pour les élus nationaux socialiste au parlement de Prismurgue, c'est un pas en avant contre la capitalisation des marchés tandis que pour les élus libéraux, bien que la mesure revienne à du protectionnisme, ils sont satisfait de cette interdiction de produits provenant en partie de pays fascistes et/ou socialistes.

Ainsi, cette proclamation du gouvernement qui est pour le moment une simple ordonnance pourrait donner lieu à un vote au parlement de Prismurgue et, celui-ci étant majoritairement composés d'élus socialistes et d'élus libéraux, l'ordonnance gouvernementale pourrait donc donner lieu à une loi. Pour le moment, le gouverneur de Prismurgue n'a pas fait plus de déclaration bien qu'au ministère de l'économie, on ne redoute pas de pénurie de produits puisque ces marchés ne seraient en réalité qu'une petite partie des importations de l'état.

Dans les prochains jours, des manifestations en soutien au gouvernement ayant prit cette décision sont prévues tandis que la popularité du gouverneur grâce à cette décision est en hausse et gagne 2 points notamment dans les sondages.

La campagne : Un retour aux sources?
___Les citoyens de Prismurgue semblent être attirés depuis quelques années vers un retour à la campagne. En effet, si le prix de l'immobilier a baissé dans les villes, à la campagne il ne cesse d'augmenter et pour cause : la demande. Et oui, la demande pour le marché de l'immobilier en campagne augmente et les citoyens de Prismurgue semblent de plus en plus se tourner vers la campagne et son air frais mais alors comment expliquer cela alors qu'il y a encore 50 ans, on assistait à un exode rural? Réponse dans cet article :

___La principale raison derrière ce retour vers les zones rurales semble être une recherche accrue de qualité de vie. Les citoyens de Prismurgue sont fatigués du stress et du rythme parfois beaucoup trop stressant et effréné de la vie urbaine, plus spécialement en ville. Ainsi, ils trouvent dans la campagne une alternative paisible avec une nouvelle mode : Le Out-Town. Entre l'air frais, les espaces verts et un environnement moins pollué, tous ces facteurs favorisent cette mode du "Out-Town" qui signifie littéralement "hors de la ville".

___Paradoxalement, bien que les prix de l'immobilier aient augmenté dans les campagnes, ils restent souvent plus abordables que dans les grandes villes. Jeunes couples, familles ou encore personnes aisées, beaucoup de catégories se retrouvent financièrement dans cette mode ce qui leur permet de bénéficier d'un cadre de vie plus spacieux et agréable avec des prix plus abordables car la vie en campagne outre l'augmentation du prix de l'immobilier reste souvent moins chère. Il y a également un retour aux valeurs traditionnelles et à un mode de vie plus simple qui s'inscrit dans le "Out-Town". Les Prismurgiens redécouvrent ce que leurs parents ou grands-parents vivaient avec l'agriculture, le jardinage, la vie en plein air et la proximité humaine avec les voisins ou les habitants d'un même village. Tout ceci favorise ce nouvel effet de mode et contribue à sa popularité. La vie rurale offre aussi une communauté plus soudée et une proximité humaine que beaucoup trouvent de plus en plus attrayante.

___Les initiatives locales et les politiques de développement rural ont également favorisé ce retour à la campagne. Depuis 2003, on compte au niveau local des investissements à 5 chiffres pour développer l'accès à internet, au travail, à la santé et, donc, plus généralement, à la vie telle qu'elle est en milieu urbain. De plus, les instances locales ont investi beaucoup notamment dans les services publics et le soutien aux entreprises rurales, rendant ces zones plus attractives et vivables. Des programmes incitatifs pour encourager l'installation des jeunes familles et des entrepreneurs dans les zones rurales ont également contribué à cette tendance.

___Enfin, une partie de cette migration vers les zones rurales est motivée par une quête de "quelque chose de différent" de la vie urbaine. Après des années passées à vivre dans des environnements urbains denses et souvent stressants voire même facteurs d'anxiété, de nombreux citoyens de Prismurgue aspirent à une vie plus authentique, plus proche de la nature et moins marquée par le rythme effréné et stressant des grandes villes.

___Ainsi, le retour à la campagne des citoyens de Prismurgue est un phénomène complexe et multifactoriel, marqué par une recherche d'une meilleure qualité de vie et d'une redécouverte des valeurs traditionnelles grâce aux initiatives locales et à ce nouvel effet de mode. Cette tendance pourrait donc remodeler le paysage démographique et économique de Prismurgue dans les années à venir en milieu rural.

VALKOÏNENLAND : L'opération éclair de l'état.
Le gouverneur a officiellement annoncé la conquête du Valkoïnenland. En effet, depuis plusieurs mois, les États kolisiens se réunissaient pour décider de la décision à prendre avec la région rebelle du Hívtnesland. En guerre depuis déjà plus d'un an, la région a proclamé son indépendance, qui n'a jamais été reconnue par un seul pays. En Kölisburg, avant même qu'il y ait un rapprochement avec le Valkoïnenland via une quelconque rencontre ou bien l'Union Économique Eurysienne, le gouvernement confédéral avait à l'époque déjà exprimé un soutien inconditionnel à ce qu'il appelait le "vrai gouvernement", à savoir le gouvernement de Konungens.

De là, se sont engagées des actions communes des États membres de la Confédération pour bloquer, boycotter et même prévoir une attaque contre la région. Avant tout, il a fallu s'armer. Au travers de plusieurs achats et notamment auprès de l'entreprise kahtanaise Danger Systems, la Confédération a pu commencer, juste après les fêtes de fin d'année, à déplacer ses troupes vers la frontière. Enfin, un missile avait effectivement été aperçu en déplacement depuis une base militaire de Prismurgue vers le front. Ce même missile a été tiré en direction de la capitale régionale.

Mais alors, pourquoi une telle précipitation? Eh bien, si l'assaut a été donné si rapidement, c'est parce qu'en fait l'Organisation des Nations Démocratiques semblait elle aussi être très intéressée par la situation. Que ce soit par volonté de conquête ou bien de pacification, les pays membres ont déclaré lancer une opération d'envergure dans la région. L'opération est cependant très mal vue par l'Union Économique Eurysienne et les États membres de la Confédération. En conférence de presse, pensant que son micro était éteint, on a pu entendre le gouverneur de Drock, Viktor Könrad, déclarer que c'était une "idée débile d'envahir de façon impérialiste un pays quand on se prétend être une organisation de pays démocratiques".

Ainsi, l'opération ne fait pas l'unanimité à l'international. Même la Loduarie communiste a condamné cette invasion. Concernant la conquête du Valkoïnenland, le gouverneur de Prismurgue et, nouvellement en place, Vice-reine de Prismurgue Adelheid de Hasgue ont communément déclaré que le Valkoïnenland, étant un allié de la Confédération, était bien sûr au courant de cette affaire et n'y voyait aucun inconvénient.

DIPLOMATIE : La venue du "Diable rouge" ne fait pas l'unanimité.

Dans le pays, beaucoup lui prête un nombre divers de noms. Mais, il y en a un qui ressort : "Le Diable rouge". Le Diable rouge, c'est "Lorenzo", dirigeant de la Loduarie Communiste. Au sein de la Confédération, ce petit surnom peu affectif a été reprit par beaucoup de personnes dénonçant les actions de la Loduarie Communiste directement pilotée par Lorenzo. Lorenzo, c'est le dirigeant Loduarien. Menant d'une main de fer son pays, il est à l'origine d'au moins une dizaine d'incidents diplomatiques en tout genre à travers le monde. Zladingrad, c'était lui. Le Prodnov et le Kolćovo, encore lui. Port-Hafen...Non, cette fois ce n'était pas lui. En revanche, dans le monde, tout le monde connaît la Loduarie Communiste pour ses actions toujours plus violentes et répressives à l'égard de sa population comme celle des autres dans les pays indirectement dirigés par la Loduarie Communiste. Par exemple, le missile vers la Translavya qui a déclarée la guerre à la Loduarie était en fait Loduarien. Pourtant, il a été tiré depuis l'Oblast de Zladingrad.

Face à tous ces évènements, le Cabinet de la Diplomatie et son chef ont décidés qu'aucun contact ne pourrait être entretenu entre la Loduarie Communiste et Kölisburg mais ça, c'était avant la réforme Wilhem III-1 qui laisse une indépendance diplomatique aux états souverains de Kölisburg. Depuis, le gouverneur a décidé de contacter la Loduarie Communiste et son dirigeant pour organiser une rencontre ce 3 Février prochain. Bien-sûr, ça ne plait à personne. Ni aux citoyens qui défilent quotidiennement dans la rue depuis cette annonce du gouvernement confédéral accordant un soutien au gouverneur, ni au parlement de Prismurgue. En bref, personne ne semble content de voir un dirigeant bafouant tous les droits humains débarquer dans un pays membre d'un confédération qui en fait son combat quotidien.

Hier, le 30 Janvier, des manifestations violentes ont eu lieu entre les forces de l'ordre et les manifestants. On dénombre 34 blessés graves du côté des manifestants sur une foule de 35 000 réunie à Trifftenberg devant le parlement. Ce nombre de manifestants était le plus bas de la semaine puisque nous avons pu observer avant-hier une foule de 94 000 manifestants. En ce 31 Janvier, le nombre de manifestants prévus est de 106 000. Le gouverneur n'a pas encore répondu aux déclarations des élus du parlement lui demandant d'annuler cette rencontre ni à la lettre ouverte de 12 associations des droits humains lui demandant de ne surtout pas établir un dialogue avec le dirigeant de la Loduarien.