Presse satyrique et parodique

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La Galloulèse décide d'ouvrir ses Hungers Games aux Teylais !

C'est dans une ambiance joyeuse et de fête que le Galloulèse surprend les esprits les plus compétitifs et sportifs de Teyla et du Duché de Galloulèse. Le ministère des Affaires étrangères gallèsant tease la conférence en annonçant aux journalistes des annonces pouvant réconcilier les Teylais avec la mort et avec la Loduarie Communiste. On est confiant du côté de la Galloulèse quant à sa puissance de persuasion. Les journalistes sont, eux aussi, enthousiasme, après toutes les tentatives de réconciliation entre le Royaume de Teyla et Loduarie qui ont lamentablement échoué, l'espoir est aussi présent chez les journalistes. « J'ai hâte, je suis à l'avant-poste de l'histoire, en tant que journaliste sur les réseaux sociaux, c'est inespéré, je n'ai pas ma carte de presse, journaliste indépendant, je suis parti de rien, rendez-vous compte ». Nous dit cette journaliste indépendante. Elle n'est pas la seule à être joyeuses de participer à ce moment d'histoire, quand le ministre entre dans la salle, tous les journalistes se lèvent et chantent en russe : "Gloire au leader Lorenzo".

La conférence de presse commence sur des remerciements adressés à la Loduarie Communiste pour avoir proposé à la Galloulèse son programme pour la paix par la peur proposé par Lorenzo depuis son arrivé au pouvoir. Mais le temps des annonces tant attendu par l'assistance est arrivé, le ministère des Affaires Etrangères parle et tout le monde l'écoute. La soixantième édition des Hungers-Games de la Galloulèse sera ouverte aux Teylais. Un acte qu'il qualifie nécessaire pour satisfaire les envies de chacun. Ne manquant pas d'humanité, le ministre a avoué, que le duché réfléchit pour élargir les Hungers Games aux membres de l'Organisation des Nations Démocratiques ainsi que la mise à dispositions des moyens de transports adéquats. Un vent de conversation envahit la salle, mais disparaît assez vite. L'annonce surprend les journalistes présents dans la salle.

Les journalistes ne sont pas les seuls à être surpris. Le gouvernement teylais est, lui aussi, très surpris par la main tendue par les autorités du Duché. Néanmoins, le Royaume reste perplexe devant cette proposition. Ce conseiller nous explique : « C'est une bonne offre, mais nous, on voulait une chambre de huit mètres carrés pour nos sportifs et nos champions. Ce qui donne un avantage certain sur les sportifs qui dorment à l'extérieur. Mais à Teyla, on ne perd pas espoir facilement ! On est en contact permanent avec le Duché pour voir ce qui peut être fait. Certains parlent de logement étudiant, ce qui pourrait être pire…» Nous dit, le conseiller rempli d'espoir tout en étant dépité.

Dans les chancelleries des états-membres de l'Organisation des Nations Démocratiques, on est dubitatif. Certains membres y voient une arnaque, quand d'autres y voient une mesure qui ne changera rien. Toutefois, du côté du Royaume de Teyla, on prend le pouls de ses partenaires avec attention. Par exemple, on offre un menu typique de la République de Miridian aux tanskiens et aux représentants de la République Faravavienne.

Pour rappel, lors de la précédente édition, c'est Lorenzo en personne qui a remporté l'édition devant des téléspectateurs conquis par la prestation du leader légitime de la Loduarie Communiste. Il totalise six victoires, les six dernières victoires. Pour montrer son amabilité diplomatique, le leader communiste pourrait ne pas participer à la prochaine édition, dans laquelle les teylais feront donc leur entrée. Une entrée attendue par la communauté internationale et les téléspectateurs du monde entier !

Un homme dit Saint-Marquise, une enquête ouverte !

C'est un drame qui a touché le petit village si paisible de Roche-Sur-Mer-Blanche. Le crime qui s'abat sur le village est recensé dans un bar à huit heures du matin, alors que la journée commence à peine. Le suspect, âgé de cinquante ans, bien connu du village, entre dans le bar à sept heures trente comme à son habitude. Il dit bonjour à Didier et Bernard, le dernier étant gérant du bar. Il commande un café, là encore comme d'habitude. L'homme parle et est cohérent selon les témoins sur place. Mais c'est vingt minutes plus tard que tout va dérailler et s'enchaîner au détriment des victimes. La serveuse, toujours soucieuse de l'actualité, aurait dit à Bernard : tu as vu la UNE de ce matin ? Elle parle de Sainte-Marquise. Jusqu'ici rien d'inhabituel, mais étonnamment le quinquagénaire, commence à faire un enchaînement de vanne vaseuse. "Pas si sainte que ça la Marquise". Plusieurs clients regardent l'homme dériver lentement en public. Puis à huit heures, quinquagénaires aurait balancé quelque chose du style "De toute façon Saint-marquise ça sonne mieux que Sainte-marquise".

Ni une ! Ni Deux ! Un mouvement de panique embrasse le bar, les clients se bousculent pour quitter le bar, le gérant et la serveuse se retranchent sous le comptoir et appellent la police. Dix minutes plus tard, la police Royale encercle le bar, les issues sont barricadées par les forces de l'ordre. Le suspect, qu'on nommera Ben, ne comprend pas sur le coup de telles réactions. Il ne se rend pas compte de ce qu'il vient de faire assurément. Toutefois, les policiers et les démineurs gardent leur professionnalisme. Ils font sauter en prévention le bar du village, sans avoir pu évacuer le gérant et la serveuse. Des victimes qui s'ajoutent sur la longue liste des victimes de la longue liste de noms de pays pas pratique.

Un ex-ami de Ben présent lors du drame nous raconte : « On aurait dû s'en douter, des signes de la folie étaient visibles dès qu'il est arrivé. Il n'a pas serré la main de tous les clients comparés à d'habitude. Puis il a fait des vannes qu'il n'aurait jamais osé faire ça sans cette foutue folie ! Je suis persuadé qu'il est devenu fou en regardant L'Heure des Comptes. J'en connais deux anciens du village qui sont devenus fous comme ça. Après, il a dit Saint-marquise, c'est incohérent, ça ne veut rien dire ! S'exclame-t-il. Forcément marquise, c'est féminin, donc on dit Sainte, mais lui, il trouve ça incohérent ? Qu'il nous explique cela. Enfin, maintenant, il pourra plus » dit-il en se retournant vers les débris du bar qui a subi une explosion contrôlée selon les services de déminage.

Le combat du gouvernement pour qu'on respecte Sainte-Marquise est total, il a lancé une brigade spécialisée dans la lutte contre les personnes osant dire Saint-Marquise, qu'importe la raison. C'est le fer de lance de la nouvelle politique du gouvernement décrite comme proche des teylais par l'entourage du Premier ministre Teylais. Plus de dix personnes ont été condamnées pour ce crime depuis deux ans de dur labeur pour les forces de polices du pays. Concernant le drame qui touche le petit village de Roche-Sur-Mer-Blanche, le ministre de l'Intérieur a annoncé la mise d'une cellule psychologique pour les victimes présentes et toujours vivantes, il a adressé ses condoléances aux familles du gérant du bar et de la serveuse. De plus, une enquête est ouverte pour comprendre les raisons qui ont provoqué le drame, a indiqué l'intérieur.

Pour rappel, une pétition pour que Saint-marquise soit renommé Sainte-Marquise officiellement par les autorités de Saint-marquise existe sur Change.org.tey. La pétition en ligne depuis une semaine a reçu plus de trois millions de signatures.

Drame : Un diplomate sylvois enfermé dans une rencontre avec Rasken !

Tout commençait bien pour la famille royale et le diplomate sylvois. Ceux-ci avaient fait du voyage à Rasken une priorité, considérant la rencontre comme une importante opportunité diplomatique et économique. En effet, Rasken est le pays de l'or noir, mais aussi un idéal énergétique ayant de multiples connaissances en matière énergétique. C'est alors que le Duché de Sylva se tourne vers ce pays de mille merveilles d'uranium pour son projet futur de construction de centrale nucléaire, mais aussi de retraitement des déchets. Une rencontre diplomatique qui pourrait aboutir sur des accords commerciaux d'importance, tant pour l'avenir énergétique du Duché de Sylva que pour Apex énergie, afin de s'insérer dans les économies de l'Organisation des Nations Démocratiques. Chez Apex energy, on se veut confiant : "On contrôle Rasken, on peut bien contrôler le nucléaire d'un pays étranger et pourquoi pas y mettre des gardes armées", nous dit se conseiller, alors que dans le même temps, tous les candidats pour le titre d'Empereur sont tués devant notre journaliste par le PDG d'Apex Energy lui-même. Du côté de la famille royale sylvoise, les préparatifs pour le voyage se font dans une atmosphère joyeuse, à l'idée de rencontrer une nouvelle culture et de permettre aux habitants du Duché d'obtenir à terme une électricité peu chère. Personne ne semblait être au courant de la tournure qu'allaient prendre les évènements.

Alors que la diplomatie bat son plein et que la rencontre se passe bien pour ces débuts, c'est un évènement qui va bouleverser l'équilibre du temps et de la rencontre. La diplomate sylvoise ose demander l'état de la corruption au sein des institutions de Rasken et plus globalement de la société civile. Une question que la diplomate ne savait pas comme taboue au pays de l'or noir. Une question qu'elle regrettera d'avoir posée. Ainsi, le Président-directeur général d'Apex, alerté par un de ses espions, décide de créer une boucle temporelle autour de la rencontre diplomatique, piégeant au passage le Premier ministre de Rasken, lui aussi coincé dans la boucle temporelle. La famille royale du Duché, avec un manque de chance certain, ne fut pas évacuée à temps. Heureusement, le Duché de Sylva est paré à tous les évènements, dont celui-ci. En attendant de trouver une solution pertinente et scientifique, le Duché peut puiser infiniment dans sa population pour remplacer la duchesse. Coup de chance, il y a de cela trente ans, alors que la duchesse s'ennuyait, elle décida de remplacer toute la population par des "boiderose" et donc des membres de sa famille, un projet qui occupa la duchesse en manque de sensations fortes pendant plusieurs années.

Pour l'heure et en attendant le miracle scientifique, tous les pays du monde ont proposé leur aide pour débloquer la boucle. Même le Communaterra a proposé son aide, dans un geste de paix, en suggérant l'envoi de scientifiques, avant de retirer son offre pour des raisons non encore dévoilées, en dehors d'accuser le Duché d'impérialisme. Quant aux alliés du Duché de Sylva, à savoir l'Organisation des Nations Démocratiques, ils ont proposé la tenue d'une conférence afin de définir un traité sur la reconnaissance ou non des boucles temporelles, l'histoire de trois ans, selon plusieurs conseillers. L'Union Économique Eurysienne propose de créer une guerre civile chez l'Empire Raskenois, qui est membre de l'Union Économique Eurysienne, pour rappel, ainsi qu'une guerre civile à Sylva "parce que c'est toujours efficace une guerre civile". Un argumentaire qui n'est pas passé inaperçu du côté de Velsna, qui soutient l'initiative de l'Union Économique Eurysienne, à condition de s'occuper d'Achos dans le même temps. Qu'en est-il des grandes puissances et des autres organisations internationales ? Tout d'abord, les diplomates Fortunéens en sont venus à répéter en boucle : "Dame Fortune AU SECOURS" à l'Organisation des Nations Commerçantes, face à une boucle temporelle qui surprend tout le monde scientifique. L'Alguarena et le Grand-Kah s'accusent mutuellement d'avoir créé la boucle temporelle, et le Pharois demande de l'or pour intervenir, à un point tel qu'il en devient plus accro que Fortuna.

Face à cet élan mondial, c'est la communauté scientifique qui se montre confiante pour trouver une solution dans les deux mois à venir afin de débloquer la boucle temporelle. Plusieurs grands projets sont en cours dans un élan de compassion unique envers la Duchesse, qui semble attirer les bons sentiments sur elle à l'heure où la communauté internationale se déchire, sauf le Nazum, un continent de paix dont les mangas pour occuper la population montrent leur redoutable efficacité. Une cagnotte pour soutenir le projet teylais visant à aider la Duchesse, qui consiste à commencer un projet qu'il ne finira pas, est disponible en ligne sur le site du ministère de l'Intérieur.