27/03/2015
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Activités étrangères en Poëtoscovie

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Activités étrangères en Poëtoscovie

Ce topic est ouvert à tous les joueurs possédant un pays validé. Vous pouvez publier ici les RP concernant les activités menées par vos ressortissants en Poëtoscovie. Ceux-ci vous permettront d’accroître l'influence potentielle de votre pays sur les territoires locaux. Veillez toutefois à ce que vos écrits restent conformes au background développé par le joueur de la Poëtoscovie, sinon quoi ils pourraient être invalidés.


Personnages immunisés contre les tentatives d'assassinat :
(Rappel des règles)
  • Jolan Sandro, Président de Poëtoscovie
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29 avril 2013, aux larges des côtes de la Vélèsie, un voilier s'approche et fait retentir des sons impies. Les pieux habitants des villages touchés par cette horreur s'empressent de se boucher les oreilles et d'aller voir les autorités de l'Ordre. Considérant la violation des lois vélèsiennes et de l'espace maritime du pays, la marine déploya trois vedettes qui procédèrent à l'encerclement du navire. Les marins dessus sautèrent et s'éloignèrent sur un débris de bateau. Les autorités ne les poursuivirent pas et coulèrent simplement le petit voilier.
https://i.pinimg.com/564x/1a/2b/84/1a2b8471cd33af26e6f2fa5b2c01417a.jpg



Note manuscrite de l'ambassadeur vélèsien : a écrit :
Salutation, je vous prie d'excuser mon départ précipité, cependant des affaires personnelles de la plus haute importance m'ont rappelé en mes terres. Je vous assure que je serai de retour ou remplacé dans les plus brefs délais.

Cordialement.
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Nous sommes le 20/05/2013 ,
après avoir pris la mer à Port-Maxwell et traversant l'Ouest de l'Aleucie , nous accostâmes finalement en Poetoscovie après 6 jours de croisière dans la mystérieuse mer et nous arrivâmes au port ,moi Peter Kane avec Zico Krasnodar , Sergio Marquina et Jean Ferrera . Nous attendons encore qu'un représentant de la Poetoscovie viennent nous accueillir d'après les dires de ce cher Xander Shakira mais c'est un soulagement pour nous d'être enfin arrivé à destination . Nous fûmes bien conduit et nous vîmes le bateau repartir vers le Yorkshing .
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07 janvier 2014 - Arrivée en Poëtoscovie



Photo
La délégation jashurienne envoyée en Poëtoscovie



L’arrivée des neufs juristes choisis par le Cercle Supérieur pour représenter la Troisième République du Jashuria lors du groupe de travail mené par la Poëtoscovie sur les droits des étrangers fut relativement discrète. Le pays d’accueil cherchait à développer depuis quelques temps une coopération internationale sur les droits des étrangers dans le monde, ce qui avait attiré l’attention du Cercle Supérieur de la Troisième République du Jashuria, en tout cas suffisamment pour que le d’ordinaire très occupé Cercle Supérieur désigne plusieurs avocats spécialisés pour aller en Poëtoscovie. La Poëtoscovie était aux yeux du Jashuria un pays de peu d’intérêt jusqu’à présent. Situé à l’extrème nord du Nazum, le pays avait brillé par ses bourdes diplomatiques répétées, mais jamais malveillantes à l’égard du Jashuria. Si ces bévues avaient particulièrement agacé les Jashuriens à la tête de l’Etat, ces derniers savaient mettre de côté leur agacement pour travailler de manière efficace avec ce voisin lointain.

Les frais de déplacement et d’hébergement avaient été payés par le pays d’accueil, ce qui était la moindre des choses. Le Cercle Supérieur avait envoyé une délégation de spécialistes volontaires pour cet échange qui s’avérait des plus prometteurs et intéressait le Jashuria au premier plan. En effet, le pays s’était considérablement ouvert avec les Accords de Sokcho et ouvrait ses frontières à de nombreux pays de par le monde. L’arrivée sur le marché jashurien de nombreux travailleurs étrangers dans un contexte de boom économique sans précédent était une aubaine dont le pays cherchait à profiter, tout en évitant que des tensions se créent entre les nouveaux arrivants et les locaux. L’intégration avait été la priorité des autorités jashuriennes désireuses de faire en sorte que leur modèle devienne un cadre commun pour les nouveaux arrivants.

La délégation jashurienne était composée principalement de juristes spécialisés dans le droit des étrangers et de responsables des politiques d’intégration au sein du Jashuria. Au nombre de huit, ces spécialistes venaient principalement des zones les plus sujettes à l’immigration, notamment des Etats d’Agartha ou d’Azur, où la pression démographique était plus forte, grâce à l’essor économique des mégalopoles.

Le Jashuria espérait que ces rencontres se solderaient positivement. Le pays était conscient que la Poëtoscovie cherchait à mettre en place un Tribunal International. Si le Jashuria n’en avait cure, il était cependant important de constater que le pays mettait les bouchées doubles en matière de droit international et qu’il y avait là matière à s’informer.

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Typhon : Le Vent de la Liberté
Article original de l'Incendie

[ACTUALITÉS INTERNATIONALES]

10 mars 2014 – Poëtoscovie : assassinat de l’économie, assassinat de la démocratie

Jolan Sandro, président de la Poëtoscovie, un pays lointain du Nord-Nazum qui a bien fait parler de lui récemment, vient d’annoncer qu’il allait se faire couronner tsar prochainement. Une information qui inquiète tous les milieux, wanmiriens d’une part, mais aussi socialistes et défenseurs de la démocratie à l’échelle mondiale d’autre part.
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I – Assassinat de la démocratie

Le 14 février 2014, un référendum se tient en Poëtoscovie afin de déterminer si Jolan Sandro, président du pays, allait devenir tsar. Celui-ci n’est que la suite logique d’un mouvement lancé dans les mois, voire années, qui ont précédés, et qui visait à réduire au silence la démocratie poëtoscovienne pour y substituer un pouvoir autoritaire et répressif.

En effet, la Constitution avait déjà été modifiée préalablement par le président, selon une version qui lui permettrait de se présenter à nouveau aux élections et qui lui donnerait plus de pouvoirs. Il invoquait à ce moment là les déboires diplomatiques du pays sur la scène internationale pour justifier sa prise de pouvoir. Il faut en effet rappeler que la Poëtoscovie s’est jusqu’ici illustrée de par le monde comme une nation fantasque et grandiloquente, mais dont les fières déclarations et menaces, semblables aux grognements d’un chien, n’allaient pas plus loin que la déclaration de principe. L’incident avec la Fédération de Sterus l’a d’ailleurs bien montré, avec une escalade des tensions inutiles et preuve de l’incompétence poëtoscovienne. Par ailleurs, le pays souhaitait mettre en place un Tribunal International (qu’il dominerait à tous points de vue) afin de lui permettre de juger les personnalités étrangères qui ne lui plairaient pas. Puis, face au rejet de la scène internationale, le pays aurait, dans un sursaut d’hypocrisie, déclaré que le « monde n’était pas prêt pour la justice ». Ironique pour un pays en train de détruire sa justice pour la remplacer par un régime autoritaire.

Cela s’est vu lorsque Sébastien Tesson, dirigeant du parti Lovecraftien, avait été arrêté sous le motif fallacieux de « crime contre l’Humanité », seul prétexte trouvé par un dirigeant despotique pour museler l’opposition. Le siège du parti avait d’ailleurs mis été à sac, et des « preuves » avaient été trouvées. Il ne fait aucun doute que toutes les preuves en question sont des pièces montées destinées à manipuler l’opinion publique.

Puis, un scandale avait éclaté, le président – même pas encore tsar – ayant utilisé l’argent du contribuable pour ériger une statue à son honneur. Une marque de sa campagne de propagande d’une part, et de la mégalomanie du dictateur en puissance, incapable d’attendre de dominer le pays pour se montrer à chaque coin de rue. Le tout s’est terminé par la destitution de tous les ministres, le pouvoir se concentrant entre les seules mains de Jolan Sandro, lequel a, bien évidemment, refusé toutes les rencontres avec la presse. Puis, le référendum a été annoncé, ultime façon de contourner la volonté des représentants de peuple, pour pouvoir manipuler plus facilement les résultats.

Le référendum, donc, aurait été approuvé à plus de 68 pourcents par la population. Le tout, avec un taux de participation record de 98 pourcents. Ces résultats, dignes des pires dictatures, sont sans appel : les scrutins ont été truqués. Jamais une population libre ne choisirait de son plein gré d’entrer dans un régime oppressif et de perdre ses droits les plus fondamentaux. Ainsi, il ne fait aucun doute que Jolan Sandro et les siens ont manipulés les résultats pour qu’ils leurs soient favorables. Surtout quand on sait que des vidéos du tsar nu avec une putain circulent sur les réseaux...

II – Assassinat de l’économie

En parallèle de ces actions liberticides, dictatoriales et antidémocratiques, Jolan Sandro a également orchestré l’assassinat de l’économie libre de Poëtoscovie. Partout, les grands comme les petites entreprises sont contraintes de se soumettre au nouveau despote (sûrement pas éclairé) du pays. Récemment, le PDG de Mars Ultor a, comme l’ont retranscris les médias sans y trouver quoi que ce soit à redire (encore un acte de censure de la part du gouvernement) été obligé de signer un décret anti-constitutionnel sous la menace. Ce décret prévoyait, entre autres, d’empêcher la relocalisation d’usines par l’entreprise, et de déposséder de leurs droits de direction le PDG et le conseil d’administration de l’entreprise, le tout au seul profit de Jolan Sandro. Car malgré les déclarations faites comme quoi cela serait pour le "bien public", l’on sait tous que cet argent servira à construire des statues pour alimenter la mégalomanie du tyran.

Durant toute cette réunion, la presse n’a pas eu le droit d’interroger les participants, étant refoulée derrière des vitres insonorisées. Encore une fois, le tsar refuse d’avoir à justifier ses actes (injustifiables) devant les médias. La presse, encore muselée, a d’ailleurs déclaré que le Tsar « confirm[ait] sa supériorité sur l'ensemble des autres grands du pays », et que cela était un « symbole fort pour l'ensemble des investisseurs de la nation », lesquels n’avaient plus pour choix que de « suivre ou mourir ». Une situation catastrophique et qui confirme toutes les craintes : la Poëtoscovie est désormais dirigée par un tyran concentrant en ses mains tous les pouvoirs.

Madame Sieto Xiu Mei, actuellement représentante du Partait Sosialis Wanmiria à l’Union Internationale du Communisme et du Socialisme, nous dit que ceci « l’inquiète au plus haut point » et que de ce fait « elle se demande si la Poëtoscovie a encore sa place dans une organisation prônant les droits humains », alors que Jolan Sandro a tout fait pour les réduire au maximum.

Vive la liberté ! Mort à l'Empereur - au Tsar - et à toute forme de dictature ! Vive la liberté !

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Note aux lecteurs :Ceci est un extrait d'un article du journal "Typhon : Le Vent de la Liberté" tel qu'entendu lors d'une lecture publique à Aaethalio. Cette lecture étant effectuée par une personne tierce à la rédaction, ses propos peuvent ne pas correspondre au texte original rédigé par le journal et en déformer le contenu. Nous vous conseillons donc de ne pas prendre ces informations au pied de la lettre, et vous invitons à la prudence.
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Lettre du Chef d'Etat Major des Armées du Wazackstan au Ministère des Armées de l'Etat de Poëtoscovie
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A l'attention de :
  • Ministère des Armées de l'Etat de Poëtoscovie,
  • Monsieur Jolan Sandros, Premier Tsar de Poëtoscovie.


  • Bonjour, Madame, Monsieur,
    Moi, Stan Mikolov serait votre intermédiaire avec le Chef d'Etat Major des Armées du Wazackstan.

    Nous avons bien réceptionné votre demande officielle et vous donnons la permission pour toutes les missions en lien avec la lutte contre les mercenaires des Faucons de l'Ombre. Le Wazackstan reconnait l'urgence des décisions et autorise les armées des pays engagés à réagir sans autorisation préalable (exceptant les cas jugés comme pouvant nuire gravement dans un délai immédiat à l'intégrité territoriale du Wazackstan).

    L'Armée du Wazackstan vous attend à la Caserne Militaire Centrale de Zarovka. Votre armée expéditrice y sera logée, nourrie et votre matériel militaire pourra y être ravitaillé en carburant.

    Pour toutes demandes, nous restons à votre disponibilité.

    En espérant que cette lutte nous verra tous sortir victorieux.

    Veuillez Madame, Monsieur, croire en l'expression de notre plus haute considération.

    HRP Nous vous invitons à rédiger les rapports de guerre et l'ensemble du RP dans la section des combats ici. Merci :) (je suis un peu pointilleux)
    0
    Message secretInformation secrète réservée aux personnes autorisées
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    Une réunion plutôt innatendue

    Poignée de mains


    Retranscription écrite de la réunion entre Jolan Sandro, Président de la République de Poëtoscovie et l'ambassadeur wazack en Poëtoscovie, Migueil Stranov.


    Un beau lundi matin à huit heure, Monsieur l'ambassadeur wazack se rendit de bonne humeur au palais Présidentiel du président de la République de Poëtoscovie. A sa main une feuille de papier contenant un discours. Les écritures étant illisibles il est à se demander si ce papier ait vraiment une utilité.
    Après avoir attendu quelques minutes dans le hall d'accueil du palais, le président Jolan Sandro reçut Monsieur Migueil Stranov, ambassadeur wazack en Poëtoscovie pour un échange de courte durée.

    Après s'être serrer la main Migueil Stranov commença à dérouler son discours flatteur.

    - Migueil Stranov : Mes salutations Monsieur le Président. Aujourd'hui, je suis en votre compagnie pour discuter d'un sujet très important. Sachant d'avance que vous êtes fortement occupé à préparer l'organisation du Tribunal International et à gouverner la République, notre échange sera concis. Nous ne nous écarterons pas du sujet, qui est de toute évidence, le soutien indiscutable de la République de Poëtoscovie envers le Wazackstan.

    - Jolan Sandro : Votre prise de contact rapide me tient extrêmement à cœur. Qu'avez vous donc de si précieux à me dire ?

    - Comme vous le savez nos nations ont établi officiellement des relations diplomatiques depuis peu, bien avant la candidature du Wazackstan à l'Union Internationale du Communisme et du Socialisme (UICS). Votre soutien, le seul que nous avions reçu dans cette organisation internationale, nous a fortement touché, alors même que nos pays n'avaient entamer aucune discussion. Le Gouvernement mais également le peuple wazack sont entièrement connaissant quant aux efforts que déploient la Poëtoscovie pour rendre nos deux pays alliés. Mais la Poëtoscovie résonne encore plus profondément dans nos cœurs. Votre pays, n'a visiblement jamais douté de la capacité du Wazackstan à se développer, à s'intégrer dans le commerce international, à se faire un nom et une place sur la scène internationale. La Poëtoscovie soutient depuis ses débuts le Wazackstan dans ses représailles contre les mercenaires qui sévissent dans le pays. Vous êtes devenu un soutient indéfectible.

    Mais alors maintenant, nous avons une dette envers vous, d'une somme impayable. Nous sommes entièrement redevables de la Poëtoscovie.

    La Poëtoscovie est un allié majeur pour le Wazackstan et notre coopération - pour le moment culturelle et touristique - promet un avenir radieux pour nos deux Etats. Nous en sommes persuadés. La Poëtoscovie et la Wazackstan pourront à l'avenir, nous l'espérons, concourir à une œuvre commune. Nous pensons dans l'immédiat aux procès que portera le Wazackstan devant le Tribunal International. Un procès historique, potentiellement le premier du Tribunal International, celui qui marquera la puissance de la justice internationale. Il sera l'occasion de montrer notre dévouement à ce principe que chérissent nos deux Etats. L'occasion également de prouver la capacité du Tribunal International à juger, qu'un bon nombre de nations semblent douter. Et peut-être même l'occasion de rassembler un plus grand nombre d'Etats à notre cause, la justice, la paix et la traque contre les crimes impunis.

    La Poëtoscovie est un partenaire de taille pour le Wazackstan. Elle nous a permis de sortir un peu plus de l'isolationnisme. Elle est ainsi la première nation à avoir des liens quotidiens et intenses avec le Wazackstan. L'établssement des ambassades à considérablement favorisé les relations actuelles.

    Je vous annonce alors, qu'aux yeux du Wazackstan, la Poëtoscovie est bien plus qu'un simple État amical. Votre confiance, votre fidélité, votre générosité et votre loyauté envers le Wazackstan sont des sentiments que notre République espère combler à vos yeux. Nous voulons transformer nos relations diplomatiques en partenariats durables, solidaires et intensifs. Nous voulons établir une coopération qui dépasse les simples domaines culturels et touristiques. Nous voulons une collaboration bilatérale dans les domaines militaires, économiques et plus encore politiques. Mais ceux-ci ne s'effectueront bien entendu pas dans l'immédiat. Le temps doit jouer son rôle et nos relations après de longues années de confiance seront dignes des meilleures de ce monde.

    Mais nous avons assez parlé, maintenant place à l'action. Je vous informe alors personnellement des ambitions futures du Wazackstan. Tout d'abord nous voudrions créer un espace de libre circulation des marchandises entre le Wazackstan et la Poëtoscovie. Ainsi une ligne aérienne directe entre la Poëtoscovie et le Wazackstan pourrait être mise en place. Cette mesure favorisera le développement économique. Et si notre association se déroule comme prévu, sans dérive ni trahison, nous envisagerions alors de vous présenter un pacte de non agression comprenant une aide militaire systématique en cas d'attaques de la Poëtoscovie par un Etat étranger.

    Cela fait maintenant une dizaine de minutes que les deux personnalités politiques discutent inlassablement dans le bureau du président de la Poëtoscovie.

    - Et bien voilà, Monsieur le Président. Cet échange amorce une nouvelle ère pour nos relations bilatérales. Cette ère peut être bénéfique ou fâcheuse, mais nous ne l'espérons pas. La République vous enverra prochainement une missive afin de développer nos relations. Quant à cet échange gardons le en mémoire, il marque le commencement ! Sur ces belles paroles, je suis dans l'obligation de vous quitter. La République du Wazackstan vous salue et vous souhaite, à vous et votre peuple, prospérité, paix et justice ! Au revoir, monsieur !

    Migueil Stranov s'en allait aussi rapidement que personne ne le vit sortir.
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    Flora était une femme qui comme toute personne issue des écoles supérieures de la capitale de Stérus était d’un savoir être et d’un chic rarement égalable. Vêtu des vêtements de luxe des meilleurs couturiers de sa grande nation. Elle commença à s’habiller pour se rendre au QG de sa rédaction à Hernani centre, mais Flora était une journaliste en terre pas forcément amicale. C’était avant tout une femme qui vivait pour son métier. Alors lorsqu’elle vue dans l’angle de l’appartement de Piotr son bureau, le bureau du porte-parole d’un gouvernement autrefois ennemi, l’idée, ce fut de plus en plus oppressante. Si Flora ouvrait ces tiroirs, si Flora parvenait à dérober des informations rare alors elle serait accueillie à son retour comme une déesse romanique. Elle regarda le bureau pendant de longues minutes. Et si finalement tout cela était un test ? Ici dans cet appartement, celui du porte-parole du gouvernement, si jamais c’était ça qui était attendu, que Flora fouille. Les idées allaient trop vite dans son cerveau, son cœur s’emballait face au pouvoir qu’elle pouvait à présent détenir. Mais au même moment, Flora se rappela malgré tout les minutes qu’elle avait passées avec Piotr hier, finalement, c’était un homme bien, elle ne le connaissait pas plus que ça, mais il s’était porté convenablement avec elle. Si Flora venait à ouvrir ces tiroirs et finalement à ne pas respecter la confiance qu’il lui avait donné alors elle perdrait tout sens de l’honneur. Flora était une romanique et une romanique ne se bat qu’à la loyal, la mesquinerie et le fait de profiter de la confiance des autres serait finalement une plus lourde perte morale qu’un honneur de rapporter des documents classifiés. Elle récupère ses sacs rangea le désordre qu’elle aurait pu créer en se préparant et ouvrit la porte. Elle recula finalement à la recherche d’un stylo et d’une feuille de papier sur laquelle elle écrit, « je suis partie travailler, je te laisse mon numéro, rappel moi. »

    Le soir même, lorsque Flora sortit du bâtiment quelle qualifiée d’abomination architecturale, elle reçut un message d’un numéro encore non répertorié.

    « Je t’attends au même endroit qu’hier. »

    Flora ne put s’empêcher à ce moment-là de lâcher un sourire, contente de pouvoir enfin ne plus se considérer seul dans cette ville géante digne des romans dystopiques les plus improbables qu’elle avait eu l’audace de lire. En soit c’était très paradoxal cette vision de la Poetoscovie. Sur certains points, les Sterusiens avaient raison, l’architecture de la ville en faisant une suite de bâtiments triste et peu chaleureux à la différence de l’architecture antique des villes Sterusiennes. Mais la Poetoscovie avait un autre charme, un charme plus réservé et sûrement moins outrageant que les Barbéens, mais un charme raffiné. Piotr était de ceux-là. Il avait su par sa simple bien séance charmer la jeune Sterusienne. L’habitude de Flora était de voir des Sterusiens toujours bien habillé d’un professionnalisme rare durant les heures de travail et les moments importants, mais qui ne remettaient que très rarement en question leurs décisions et/ou attitudes. Alors se retrouver face à Piotr ce fruit d’une éducation particulièrement socialiste et axée sur un régime à l’aspect dictatorial pour un Sterusiens ignorant des lois Poetoscovienne. Flora était particulièrement attirée par Piotr, cet homme, ah cet homme, elle ne pouvait s’empêcher de sourires lorsqu’elle repensait à lui. Elle ne savait pas ce qu’elle aimait le plus chez lui, son aspect intello chic ou les courbures que dessine son corps et qui promette la sculpture d’un véritable dieu antique. Une fois sur place, elle le chercha du regard avant de croiser le sien au fond du café, elle s’approcha et remarqua encore là à quel point cet homme dépassait les attentes qu’elle s’était faite des Poetoscovien, un homme galant, séduisant, intelligent et surtout très chic dans un style malgré tout simple. Elle s’approcha pour lui faire la bise comme le font les barbaéens, ason contact elle pu sentir la chaleur de son corps, le contact de sa peau à la sienne fut une première entre les deux « amis », c’était le premier vrai contact physique entre eux et il ne déplut pas à la jeune fille. 
    Ils passèrent tellement de temps ensemble que la nuit commençait à tombe, Piotr regarda Flora

    « Il fait nuit et tu n’es pas encore saoule voilà un événement rare pour une Stérusienne ».

    Flora ne put s’empêcher d’esquisser un sourire et répondit

    « Encore plus rare qu’un Poétoscovien honnête, c’est dire ».

    Les deux amis rigolèrent et poursuivirent leur soirée en marchant dans la rue. Flora voulait à tout prix questionner Piotr sur les questions qu’elle se posait.

    « Piotr, tu es porte parole du gouvernement, je suis journaliste. Et pour autant, tu m’as quand même laissé seul chez-toi, et si j’avais fouillé ? Si la maintenant, j’avais remis à l’ambassade Stérusienne une copie de tous les documents que j’avais trouvé ? Je ne sais pas, est ce que tu es imprudent ou beaucoup trop confiant ? Je n’arrive pas à cerner ? »

    Piotr baissa la tête et répliqua.

    « Je ne fréquente pas les voleuses, alors si j’avais ne serais qu’une seconde douter de ta sincérité et de ton honnêteté, je t’aurais calmement raccompagné chez toi. Et de toute manière, les documents confidentiels ne se trouvent certainement pas à disposition du premier cambrioleur sur mon bureau. D’autant que j'ai une ennemie à la nation qui rôde autour de moi » ajouta il en souriant.

    Le moment qu’ils étaient en train de vivre était très spécial, ils se regardaient, mais sans rien dire, seul le sourire affiché sur leur visage trahissait le silence de ce moment. Après quelques minutes qui ne parurent en réalité que quelques secondes. Flora dans un élan de courage proposa à Piotr de monter avec elle dans son appartement. Non pas sans une certaine excitation celui-ci n’hésita pas une seconde et se rendit avec elle dans son domicile.
    Lorsqu’il pénétra l’appartement, Piotr pu y découvrir un environnement typiquement Stérusien au milieu de cette ville industrielle. L’appartement était saturé de plante, de statut représentant des dieux antique, l’odeur d’encens pu trahir les croyances Romanique de Flora. Un tableau représentant un combat à mort de gladiateur, un autre illustrant une orgie mondaine en plein cœur d’un palais somptueux. Aucun doute, Flora était une pure Barbéenne. Un digne fruit issu de ce que les Stérusiens appellles eux même, la ville de la déchéance.

    Flora, tu ne trouves pas que cette décoration est un peu clichée ?

    Bien sûr, mais les clichés ont toujours une part de vérité non.

    Et cet encens, c’est tout de même fort non ?

    Oui, un peu, je savais qu’il y avait des chances qu’on soit la ce soir, alors j’en ai fait brûler pas mal.

    Exprès pour moi ? Cet encens a des vertus d’apaisement ? De chance ou que sais je ?

    Non, il est aphrodisiaque.


    Après ces mots, Flora regarda en souriant Piotr, surpris par cette réponse, Piotr ne savait quoi dire. Pour un poétoscovien voir une femme aussi ouvertement explicite sur ses intentions était particulièrement spécial. Il savait que les Stérusiennes avaient la réputation de ne pas attendre la galanterie pour passer à la gâterie. Mais il n’en avait jamais à proprement vu les effets. Globalement, ce n’était pas réservé aux femmes, la fédération était un pays globalement connu pour sa sexualité débridé que ce soit les hommes ou les femmes.
    Flora ne voulant pas particulièrement tourner autour de pots et se rapprocha de Piotr. L’atmosphère était particulièrement chaude. Les bougies qui éclairaient ce salon assez sombre, cette odeur d’encens qui semblait envoûter les deux futurs amants. En l’espace de quelques minutes, l’acte charnel était à son apothéose. Et ce n’est qu’une dizaine de minutes plus tard que celui-ci fut achevé dans un big bang de plaisir de bruit.
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    Première partie d'une conversation téléphonique entre Jolan Sandro, tsar de la République de Poëtoscovie et Itotia Netzli, première ministre de l'Union des Cités d'Akaltie.


    Jolan Sandro : Bonsoir chère homologue. Comment allez-vous ? Je me permets de vous appeler afin d'échanger de divers points de la diplomatie internationale voyez-vous.

    Itotia Neztli : Bonsoir, je me porte bien, je vous remercie de vous en inquiéter. J'espère qu'il en va de même pour vous. Je suis évidemment d'accord pour que nous échangions quelques temps.

    Jolan Sandro : Fort bien. Voyez-vous, depuis quelques temps il se passe des choses peu ordinaires sur la scène internationale. En effet, vous n'êtes pas sans savoir que l'Antegrad se trouve en rivalité avec plusieurs puissances. Tout cela ne regardait pas la Poëtoscovie jusqu'à ce que la nation décide de faire appel à la Société du Marché d'Influence, société déclarée en Poëtoscovie. J'aimerais donc savoir votre version des faits, même partisane, car je sais que vous avez vos propres idées de ce conflit qui s'étend déjà à petite échelle.

    Itotia Neztli : Du point de vue de mon pays, l'Antegrad a connu des troubles causés par un évènement venant d'un de nos alliés, mais dont nous ne comptions pas nous mêler. Des citoyens se sont retrouvés maltraités par les forces de l'ordre anteriènes, et nous avons commencé à regarder la situation de plus près. Nous avons "seulement" interdit le survol de notre espace aérien par des avions venant de ce pays et demandé des réparations financières et excuses publiques à leur gouvernement pour nos concitoyens. Ils ont alors décidé de couper tout contact diplomatique avec nous en forçant la fermeture de notre ambassade sur leur sol, alors que nous ne souhaiterions jamais une telle chose, de la même manière que votre service diplomatique lors de la crise avec le Sterus, dont vous aviez maintenu la représentation à Hernani-Centre. Il va sans dire que l'ASEA toute entière est concernée désormais, et que ces actes ne resteront pas impunis.

    Jolan Sandro : Et que sous-entendez-vous par "ces actes ne resteront pas impunis" ? Faites-vous allusion à des opérations militaires ? Des tentatives d'influence ?

    Itotia Neztli : Malheureusement, nos gouvernements n'étant pas alliés, je ne puis vous en dire plus sur ce point. Ce serait rompre un secret d'État et trahir la confiance du reste de l'ASEA.

    Jolan Sandro : Je vais vous le dire : la Poëtoscovie ne s'est pas forgée d'avis là-dessus. Toutefois, la demande de l'Antegrad de renforcer nos liens diplomatique est, dans ce contexte, un élément nous ammenant à nous poser des questions. Je ne suis ni là pour vous sermonner, ni là pour vous dire quoi faire. Je suis là comme représentant d'une nation qui a pour unique souhait le bien-être de ses habitants et, plus largement, de l'humanité toute entière. C'est donc pour cela que je vous posais la question.

    Itotia Neztli : Oui je ne vous en tiendrai pas rigueur, ne vous en faites pas.

    Jolan Sandro : Ne pensez-vous tout de même pas qu'il serait préférable, ainsi que l'avait fait la Poëtoscovie, annoncer une fin de toute hostilité dans l'objectif premier de revenir à un État de stabilité ?

    Itotia Neztli : Bien que vous ayez raison, la machine parlementaire est déjà lancée depuis trop longtemps pour être interrompue, et l'ASEA se doit de toutes façons de préserver sa crédibilité et sa réputation. Se laisser insulter de la sorte par un État non-démocratique serait un véritable déshonneur pour l'organisation. Nous ne comptons de toute façon pas déclencher de guerres.

    Jolan Sandro : En faisant cela, en jouant à l'escalade de la violence, n'avez-vous pas peur, au lieu même de "préserver" une forme de crédibilité, de la voir être anéantie justement pour vous être comporté comme l'élève de maternelle de la scène internationale ? Car ce n'est pas la première fois que l'excès dément la réputation de mesure que vous aimez abusivement vous donner. Cela fut avec la Poëtoscovie qui, elle, eut la grandeure d'âme de s'excuser, or je ne pense pas que ces excuses aient portées à notre nation à une position de faiblesse : bien au contraire c'est la puissance d'une diplomatie sans faille qui a été révélée, et au même moment on pouvait lire dans la presse que l'ASEA était ridiculisée. Bien évidemment ces vieilles excuses n'étaient ni sincères ni même ne faisaient état de quelque forme de vertue, mais elles étaient et c'était là tout la démonstration d'une maturité en terme de politique internationale. Je vous le dis de vous à moi, dans un échange privé, mais quand comptez-vous faire grandir cette organisation qui, ayant un immense potentiel et un avenir assurée, se voit ralentie par des erreurs que vous refusez de voir ?

    Itotia Neztli : L'Akaltie n'est que l'un des nombreux États-membres de l'ASEA. Bien que nous ne nous fassions pas imposer de décisions, toutes ne nous reviennent pas. Il est évident que la voie de la désescalade paraît la plus "mature" comme vous le dites -même si je ne suis pas certaine que cet adjectif puisse s'appliquer à l'échelle d'un pays ou d'un organisme international- mais nous ne causerons normalement rien de trop grave ni de décès. Ce n'est pas dans nos objectifs, nous ne recherchons que la justice, et, comme évoqué, la crédibilité de notre alliance.

    Jolan Sandro : Vous recherchez la Justice, et pourtant vous admettez qu'il y a ici des fautes diplomatiques dont la première a été commise par l'un de vos alliés. La moindre des choses ne serait-elle pas de s'excuser à sa place, quitte à entrer en désentente futile ? Jusqu'où va donc la loyauté dans l'ASEA ? Vous comprendrez évidemment qu'il s'agit d'une forme d'incohérence. Vous souhaitez des excuses publiques sans en donner alors même que vous êtes en tort et que vous le savez. Imaginez deux secondes que les rôles soient inversés. Imaginez être une nation isolée diplomatiquement et qui subie une erreur manifeste, une erreur incontestable de la part d'un membre d'une organisation qui se croit tout permis justement parce qu'il figure parmi l'une des organisations actuellement en ascension. Comment auriez-vous réagit ? Imaginez maintenant que l'organisation demande des excuses publiques pour avoir dit que la nation ayant fait le faux pas se croit tout permis. Comment agiriez-vous ? Comment agiriez-vous en apprenant que cette organisation à un plan contre vous, pour "ne pas rester impuni" selon vous propres termes alors que vous êtes, à l'origine, la seule et unique victime, indépendant de ce que vous ayez pu faire entre-temps ? Vous savez, être dans une organisation en pleine ascension implique des responsabilités. La Poëtoscovie l'a elle-même été, et a pris son courage à deux mains en expliquant publiquement ce qui n'allait pas au sein de l'UICS. Je ne souhaite pas vous séduire en vous disant m'opposer aux communistes, mais comprenez simplement qu'il est de votre droit et presque de votre devoir de suivre vos convitions plutôt que celles d'une organisation sourde à toute critique extérieure. Imaginez que d'autres pays soient comme vous et n'osent pas réagir ? Il serait tout de même dommage de persécuter un pays innocent par manque de communication ou d'humanité.


    Suite de la conversation -> ici.
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    Contexte : la Poëtoscovie et le Diambée échangent des ambassades. Durant ce temps, le monde est crispé autour des événements qui anniment les différentes puissances ascendantes. D'un côté le Diambée, accusé de crimes contre l'Humanité. De l'autre côté une coalition de nations prêtes à intervenir clandestinement. La Poëtoscovie, elle, condamne effectivement les agissements du Diambée et se positionne comme seule intermédiaire entre les pays prêts à en découdre et celle fragilisée par l'influence extérieure.
    L'ambassadeur de Poëtoscovie : Monsieur le Ministre, je suis le nouvel Ambassadeur Poëtoscovien sur votre territoire. Je suis enchanté de faire votre connaissance. J'espère que nous pourrons avancer proptement afin d'éviter de devoir en venir aux actes clandestins qui mobiliseraient inutilement, et il faut être sincère, des hommes et des moyens dans toutes les parties de ce conflit international.
    Charles Sikoya : enchanter Monsieur l’Ambassadeur, Le Diambée est un pays qui privilégie la voie du dialogue et de la diplomatie, et je suis certain que nos discussions permettront d’éviter tout recours à des actions clandestine qui pourraient perturber inutilement la stabilité internationale.Nous esperons trouver une solutions avec vous
    L'ambassadeur de Poëtoscovie : Évidemment et nous partageons au moins cela. Premièrement, je souhaitais aborder avec vous ce qui est au coeur des multiples tensions autour de votre nation, voulez-vous ? Êtes-vous conscient d'avoir commis des actes s'apparentant à des crimes contre l'Humanité ?
    Charles Sikoya : Nous acceptons évidemment de parler autour des différentes tensions envers notre pays c'est pour ça que nous somme là.Nous assumons aussi que des crimes envers l'humanité ont été commis mais non de notre faute simplement que nous sommes pas intervenue pour stopper et arrêter cela.
    L'ambassadeur de Poëtoscovie : Pourtant, à la lecture des communiqués de presse gouvernementaux et des articles de presse de votre pays, tout semble indiquer que l'État était au coeur du génocide. Qu'avez-vous à répondre à ceux qui feraient circuler ce genre d'informations ? Des sanctions vont-elles être prises à l'encontre des auteurs du génocide ?
    Charles Sikoya : Nous n'avons rien a repondre ,c'est journaliste font leur travail .Pour les sanctions nous en reflechissant encore mais ce n'est pas notre priorité car pour l'instant notre pays et menacer de nombreuses puissance Eurysienne et nous sommes impuissant face à cela.
    L'ambassadeur de Poëtoscovie : Vous reconnaissez que des crimes contre l'Humanité ont été commis. Ne pensez-vous pas que ce serait donc logiquement à l'Humanité de les juger ? Comptez-vous oui ou non, Monsieur le Ministre, déposer un dossier auprès du Tribunal International ?
    Charles Sikoya : Oui ce serait logique mais comme déjà dit cela est pas notre priorités pour l'instant,bien évidemment que après nous les condamnerons.Nous pensons que ouvrir un dossier aux tribunal internationale serait une bonne solution mais nous nous en sommes pas sur du tout sur.
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    Flora et Piotr



    Message tout juste arrivant le 9 septembre

    Flora a écrit :Piotr mon Piotr, quelle peine me traverse le corps quand ce matin à mon réveil je vois ce message de ta part. Il est vrai que mes réponse se font parfois longues à arrivée. Mais ici je dois faire attention, mes liens avec toi ne sont pas si discret que ca et de nombreuses personnes pourraient vouloir me voir tomber. J'éprouve beaucoup de sentiments à ton égard mon Piotr, laisse moi encore un peu de temps et je viendrais te rejoindre. Ton corps et tes lèvres me manquent mon Piotr.


    Ta fleurs du lotus
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    >> Message entrant

    >>> Communication de l'État-major de l'armée de Napalawie
    > Nous avons bien reçu votre requête. Manœuvre validée. Vos navires peuvent accoster.
    > Comme prévu, nos hommes attendent sur le quai.

    >> Communication terminée
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    Frédéric Gustafen

    Aux questions les réponses furent apportées...

    Interview de Frédéric Gustafen
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