21/02/2015
08:25:45
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[OILP] Observatoire International de la Liberté de la Presse |.gouv/obs|

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L’Observatoire International de la Liberté de la Presse est une création du ministère de la Culture et des Médias de la République Sociale du Prodnov. Il a vocation à produire des rapports synthétiques et sourcés sur l'état de la liberté de la presse au Prodnov et à l'international, à destination des nations du reste du monde afin de les inciter à évaluer la qualité de la pluralité d'opinion chez eux et promouvoir la liberté d'expression de la presse d'opposition.

Il s'agit d'un travail de lobbying politique assumé et transparent, soucieux de la factualité et de la restitution chronologique des événements. Le propre de l'idéologie est de falsifier le réel : pour la combattre, la vérité est une arme de subversion massive !

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Международная обсерватория свободы прессы
Observatoire International de la Liberté de la Presse
4313
Rapport n°1 : évolution des thèmes et de la pluralité d'opinion au Prodnov
Typologie et tendances des articles parus en République Sociale du Prodnov, en République de Galkovine et en République de Peprolov :


Légende typologie :

Sont catégorisés Science / Militaire / Innovation les articles de journaux traitant de la Recherche et développement en sciences (naturelles et humaines) et les progrès et actualités militaires. Cette catégorie vise à représenter l'angle sous lequel les progrès du pays sont rapportés au grand public et s'ils promeuvent la recherche pour la recherche, ou à des fins de propagande nationale.

Sont catégorisés Actualités intérieures les actualités traitant de la situation politique, sociale et économique du pays. Cette catégorie vise à représenter l'angle sous lequel l'actualité nationale est rapportée au grand public et si celle-ci promeut une vision gouvernementale et/ou idéologique des événements.

Sont catégorisés International les actualités traitant de la situation géopolitique internationale et la position du pays par rapport à celle-ci. Cette catégorie vise à représenter l'angle sous lequel les événements à l'étranger sont rapportés au grand public et si ceux-ci promeuvent une vision biaisée et/ou idéologique des événements.


Sont catégorisés Nationalistes les articles de presse émis par des journaux d'Etat et ou embrassant ouvertement le point de vue du régime et ou en relayant la parole d'officiels sans faire valoir de point de vue critique ou nuancé. La presse nationaliste se caractérise par un vocabulaire mélioratif ou ne mettant en avant que les aspects positifs d'une politique ou d'un événement, encourageant une vision tendanciellement biaisée positivement de l'état du pays. Les articles catégorisés nationalistes ne relèvent pas forcément de la propagande mais leur sureprésentation est un indice fort d'une presse sous contrôle ou s'auto-censurant.

Sont catégorisés Neutres les articles de presse présentant, dans la mesure du possible, une information strictement factuelle ou donnant la parole aux différents points de vue en présence. Elle traite l'actualité avec un vocabulaire neutre et, si elle peut prendre en charge une démarche pédagogique, celle-ci ne doit pas aller uniquement dans le sens de la vulgarisation du projet gouvernemental. La classification "neutre" est sujette à controverse en raison du caractère intrinsèquement conservateur de la neutralité journalistique. L'OILP a tendance, en cas de doute, à y ranger des articles pouvant, selon certains point de vue, laisser transparaître un léger tropisme gouvernemental.

Sont catégorisés Critiques / d'opposition les articles de presse émis par des journaux dont la ligne éditoriale s'oppose ouvertement au gouvernement et ou à l'idéologie prônée par le régime, donnant la parole uniquement aux oppositions politiques ou exprimant un point de vue ouvertement critique sur l'action du gouvernement. Y sont par ailleurs classifiés des articles non spécifiquement à charge mais relatant des drames ou des événements malheureux d'origine naturelle ou accidentelle pouvant porter atteinte à l'image du pays.

Les drames nationaux de type attentat ou crime sont quant à eux catégorisés en fonction de l'interprétation politique que l'article en fait.


Note analytique a écrit :
  • Le passage à la République Sociale du Prodnov a vu la presse prodnovienne se concentrer d'avantage sur l'actualité étrangère et, pour des raisons évidentes, l'entrée en guerre du pays a mené à une augmentation significative des articles de presse traitant des sujets militaires.
  • Contrairement à nos prévisions, l'actualité militaire est principalement traitée sous un angle neutre ou critique. Au contraire, l'actualité étrangère se démarque par un tropisme nationaliste. Ces différences s'expliquent peut-être en raison des pertes humaines et destruction matérielles liées au conflit, relativisant le triomphalisme de la presse pro-régime, au contraire des progrès sur la scène internationale qui sont, eux, célébrés.
  • Le Prodnov se démarque par une presse relativement équilibrée, en particulier sur les questions d'actualités intérieure qui polarisent moins et sont d'avantages traitées par la presse neutre.
  • L'existence d'une pluralité de journaux, dont certains d'obédience communiste bien que critiques du régime garantit la pluralité de représentation des opinions dans les médias.
  • Le nombre d'articles traitant de l'actualité intérieure au Prodnov a diminué, faisant craindre une moindre documentation ou un désintérêt des Prodnovien pour l'actualité de leur pays. L'OILP se permet de recommander au ministère de la Culture et des Médias de mettre en place des incitations pour garantir la bonne information du peuple quant aux questions de politique intérieure. Une trop grande focalisation sur la politique étrangère pouvant mener à une moindre considération des progrès réalisés par le gouvernement pour la reconstruction du pays.
6433
Rapport n°2 : cartographie comparée de l'état de la presse dans le monde
Typologie et tendances des articles parus au sein des principales puissances économiques mondiales :


Légende typologie :

Voir typologie du rapport n°1.

Note : l'étude ne prend en compte que la presse nationale et non régionale (exception faite du Prodnov où la presse nationale a changé d'échelle après la réunification des deux oblasts).


Note analytique a écrit :
  • Alguarena : championne de la propagande de guerre. Comme on pouvait l'attendre de la part d'un pays ouvertement impérialiste et d'extrême droite, la presse alguarenos est très majoritairement pro-régime. Les articles traitant de l'actualité internationale et des questions militaires sont tendanciellement soit neutres, soit vantent les mérites du pays ou des résultats de son gouvernement. La presse spécialisée dans l'armement, notamment, embrasse à plus de 80% le point de vue de l'armée dont elle se fait le relais sans critique. Une tendance d'autant plus marquée depuis 2009 où 100% des articles de presse portant sur la question militaire ont fait la promotion de l'Alguarena et de ses technologies. Malgré la présence de la fédération dans plusieurs conflits à travers le monde, ces sujets ne sont jamais évoqués de manière critique. A l'heure actuelle, il est réaliste de conclure que la liberté d'expression est déficiente en Alguarena, probablement en raison de la collusion entre les magnats de la presse et le pouvoir et d'une forte auto-censure des médias sur les enjeux de géopolitiques.

  • République Sociale du Prodnov : voir rapport n°1.

  • Pharois Merirosvo : une presse parfaitement équilibrée. Articles critiques, neutres et pro-gouvernement se cotoient à parts égales. La grande quantité d'articles classés neutres, bien que traitant de sujet polémiques, est dû à la coexistence quasi systématique de plusieurs opinions dans les colonnes de la presse pharoise, sans que celle-ci prenne particulièrement parti pour un camp ou pour l'autre. Malgré une pluralité de journaux, les grands titres de presse tels que Le Journal de Pharot ou le Papillon occupent plus des deux tiers des ventes sur le territoire Pharois. Les inclinaisons libertaires et anti-Etat de la nation pirate tendent à rendre l'angle critique vis-à-vis du gouvernement plus courant et les articles de presse sans nuances sont rares, exception faite des questions militaires où la presse critique mainstream se fait plus discrète. Probablement en raison des potentielles pressions liées à la place qu'occupe le complexe militaro-industriel pharois dans l'imaginaire culturel du pays. La puissance des équipages pirates et les conflits dans lesquels s'est engagé le Pharois depuis 2007 expliquent aussi les difficultés à montrer l'industrie de la défense sous un angle complètement critique.

  • Péronas : un pays tourné sur lui-même. La presse du Péronas est l'une des plus diversifiée au monde avec de nombres titres de journaux critiques et un traitement de l'actualité, y compris dans ses drames, sans concessions ni langue de bois. La presse tend néanmoins à se focaliser sur la situation politique et économique intérieure du pays, s'intéressant relativement peu à l'actualité internationale en dehors des compétitions sportives. La presse se montre régulièrement critique ou neutre vis-à-vis de ses gouvernements successifs, une qualité malheureusement dû à l'instabilité de ces derniers et les nombreux scandales ayant émaillé la vie politique du Péronas depuis 2008. Tout comme au Pharois, les journaux libres ont à plusieurs reprises contribué à révéler des scandales de politiques intérieures et jouent un rôle marqué de contre pouvoir.

  • Althalj : une presse libre mais idéologiquement biaisée. L'Althalj se démarque par la quasi absence de presse critique du régime ou de l'idéologie politique du pays. Ses journaux, pourtant libres et diversifiés, relaient de manière assez systématique le point de vue du gouvernement, n'hésitant pas à prendre position en faveur de ce-dernier ou pour souligner de manière méliorative les qualités imputables aux Qari, les dirigeantes du pays. Cette absence notable de presse critique s'explique probablement par l'absence d'institutions réellement démocratiques en Althalj, ainsi qu'un contexte géopolitique émaillé de crises et de journaux particulièrement biaisés culturellement. La presse althaljir parle aux citoyen(nes) de l'Althalj et cherche à se faire comprendre des pays étrangers sans renier ses particularismes culturels marqués. Cette dimension pédagogique imprègne systématiquement la presse althaljir qui se démarque par ailleurs par ses analyses chiffrées et sourcées de la situation géopolitique internationale, saluées par la critique, mais dont le bilan tend toujours à appuyer les positions officielles du régime. L'originalité de ces positions (antimilitariste, anti-vente d'arme, antiraciste, etc.) peut être un facteur d'explication quant à l'absence de véritable critique de fond des institutions par la presse. Les rares cas d'articles à charge se contentent de déplorer le manque de moyens militaires du pays.

  • Grand Kah : tension entre vulgarisation et jargonnage. Marquée par plusieurs conflits et une situation de tension intense avec son voisin alguaranos, la presse kah-tanaise se révèle assez nationaliste sur les questions militaires et internationales. Au même titre que la presse althaljir, elle se démarque par de forts biais culturels et une tendance au pédagogisme qu'on comprend destiné aux lecteurs étrangers et qui cherche à vulgariser la position de l'Union sur des questions complexes. La pluralité des titres de presse mineurs dans le pays pourrait expliquer la tendance aux journaux nationaux à produire d'avantage d'articles macropolitiques et macroéconomiques. Le Grand Kah met de manière régulière en avant ses progrès économiques et/ou militaires à l'international, tout en se laissant à l'occasion des tribunes plus neutres pour sa presse d'opposition. Marqué par un débat démocratique intense, les questions traitées dans la presse kah-tanaise sont principalement de nature politique et se destinent soit à un lectorat national cherchant à se tenir au courant des controverses intérieures au pays, soit à un lectorat étranger auquel les titres de presse offrent une lecture plus balisée et donc moins nuancée des positions de l'Union.

  • Canta : fierté culturelle au risque de la bien-pensance. La presse cantaise, bien qu'assez peu critique de son gouvernement, se démarque des autres en se concentrant assez peu sur les questions internationales et mettant en exergue les succès du pays. La peopolisation de la vie politique du Canta donne le sentiment d'avoir parfois affaire à une presse de propagande, bien que le ton léger et les sujets abordés, principalement artistiques et culturels, participent à diminuer cette impression. La presse cantaise relaie des événements principalement locaux ou liés à la stricte défense de son territoire national sans prétendre à avoir une incidence sur les questions géopolitiques internationales. Focalisée à petite échelle, elle est à l'image du pays : joyeuse, bienveillante et riche. Toutefois, le faible nombre d'articles critiques ou donnant voix à l'opposition laisse entrevoir une vie politique plus verrouillée qu'il n'y parait, où la bonhomie de la politique intérieure ringardise et marginalise les critiques, au risque de créer des effets délétères pour la liberté d'expression et de conscience à moyens termes.
05/09/2012
Ajouts d'analystes étrangers a écrit :
  • Gallouèse : On constate d'abord que la presse gallèsante s'intéresse surtout aux affaires intérieures. Cela peut s'expliquer par la place prépondérante de la presse régionale. Certains titres comme L'Ahaot ou Le Petit Francien rivalisent avec la presse nationale. Ensuite, le faible nombre d'article nationalistes. La presse gallèsante est avant tout sensationnaliste et apprécie notamment les procès en inconstances auprès d'un gouvernement en place depuis moult années. Mais la plupart des articles demeurent neutres, non pas qu'ils détiennent la vérité absolue mais plutôt qu'ils laissent la paroles à différents groupes, en général trois : le gouvernement (en général attaqué par), des opposants, et des analystes qui sont souvent critiques envers les deux camps. En Gallouèse, la presse est subventionné par un institut dédié : l'Institut National de l'Information Publique (INIP) qui détient notamment la première chaîne télévisée TVG. Son impact reste limité sur le contenu. Il provoque surtout un biais de propagande envers la maison ducale, qui n'est jamais attaquée. C'est aussi cela qui se cache derrière le faible nombre d'articles nationalistes : une révolution récente (24 ans) menée par l'actuel souverain empêche toute remise en cause du système dans la presse. Les politiques qui font tourner ce système sont eux bien attaqués. Enfin, sur les sujets internationaux, un point de vue centré sur la démocratie libéral peut être adopté (cf article sur le Communaterra), mais c'est surtout la politique étrangère du gouvernement qui est pointée du doigt. La liberté de la presse est garantie.

  • Caratrad : La liberté de la presse en Caratrad est garantie par la loi. Néanmoins, si certains pourraient considérer le fait que la principale société de diffusion soit une agence du service public comme un manquement à la liberté de la presse, il s'avère dans les fait que la RBCN n'hésite pas à critiquer le gouvernement caratradien, en particulier sur sa gestion interne.


01/12/2012
Ajouts d'analystes étrangers a écrit :
  • Saint-Marquise :La presse Saint-Marquoise ("Journal Saint-Marquois, TSM NEWS et journaux locaux) est protégé par le Premier Amendement de la Constitution de la République de Saint-Marquise. La presse est considéré comme une forme de liberté d'expression aux yeux des citoyens qui la lisent. Le gouvernement saint-marquois n'a aucun pouvoir sur cette liberté acquise depuis l'établissement de la Constitution. La presse Saint-Marquoise se veut être un point culminant écrit pour la culture, la politique et les informations de la nation.

  • Velsna : Ces chiffres laissent transparaître plusieurs choses:
  • - Si la presse est libre en théorie, les médias publics n'existent pas, ce qui rend le terme de "média neutre" très discutable. Ont été classés comme "neutres" les articles de LegislaTV, qui s'apparente à une chaîne d'information parlementaire, mais qui dans les faits est la propriété du Groupe DiGrassi. De plus, la plupart des médias privés sont détenus par des grands groupes d’intérêt, parfois même par des sénateurs. En effet, les sénateurs les plus influents disposent bien souvent de leurs propres relais d'information. Les petits médias indépendants existent, le "Velsna Libéré" est l'un d'entre eux et a été comptabilisé dans l'opposition.
    - En second lieu, les informations sur les domaines de la technologie et de l'armée sont inexistantes. L'armée velsnienne apparaît comme étant très opaque sur les informations qu'elles diffuse.
    - Le Nationalisme est historiquement assez peu présent au sein d'un pays qui n'a pas les caractéristiques d'un État-nation mais d'une cité-Etat.

  • Shuharr : La presse shuharrie est composée notamment de grandes rédactions disposant d'importants moyens d'enquête, et opérant entre différents gouvernements locaux, ce qui les rends quasiment impossibles à contrôler. L'une des particularités de Shuharri est la présence de rédactions dédiées à l'enquête à l'international. La structure des médias shuhs les rendent relativement indépendants des grandes agences de presse internationale et il est possible que ce soit leurs infos qui soient reprises. Les ressources des journaux sont en général fournies en partie par les ventes de journaux, et en partie par tout un ensemble d'associations et de communautés intéressés par les informations. Les articles sont souvent partagées avec d'autres rédactions avant envoi pour recevoir des corrections, il revient à la rédaction de publier ou non, mais d'autres journaux peuvent critiquer l'article sorti (il existe des rubriques dédiées à ça, et c'est parmi les sujets les plus simples à faire). Les contenus sont souvent politiquement engagés et les journaux shuhs assument souvent des positions claires, la neutralité n'étant pas considéré comme un objectif réaliste, bien que certains articles peuvent apparaître "neutres" vis-à-vis des institutions du pays, ça n'exclut pas l'expression d'un point de vue. Les articles sortent en général en langue shuhe, cantonnaise et arabe, mais la traduction d'articles peut être un enjeu politique majeur. La Cité d'Ilmarde a déjà demandé à la Hohhothaï Post de ne pas traduire un article (parlant de risques d'effondrement de la biodiversité piscicole dans différentes mers) en langue shuhe pour éviter des paniques dans la ville et aux Terres australes, la traduction a malgré tout été faite. Globalement, les trois régions abritent des cultures très différentes, et il faut régulièrement expliquer des concepts philosophiques issues de cultures que d'autres ne peuvent pas comprendre. Ainsi, un article de chez Dazibao comparant les technologies agricoles shuhes et lofotènes à l'exposition universelle se retrouvait à expliquer des points assez philosophiques sur la Nature et l'environnement souhaitable du point de vue d'un eurysien pour expliquer le thème de l'exposition, car c'est une vision du monde peu comprise par le lectorat de l'Enclave volcanique. Le pays dispose également d'un écosystème important de journaux spécialisés et d'édition scientifique, ainsi que de beaucoup d'échanges d'information en ligne.

  • Baerys : La situation de la presse au Royaume Stargray Islamique d'Esmea reflète un équilibre délicat entre diverses perspectives et tendances. Le découpage des articles de journaux en différentes catégories illustre la pluralité des voix qui s'expriment au sein de la société esmeaine. La plupart des journaux sont ouvertement reconnue comme pro- partie islamique ou pro- royaliste ect..... mais cela n'empêche pas l'existence de journaux moins polarisées et plus dans critique neutre des faits. Cependant, puisque la famille royale gouverne le royaume et sont un des symbole du royaume, il est difficile de critiquer à excès ou en toute insouciance directement la famille royale, bien que certains média font l'exception et bases leurs programmes sur ça.

  • Ouliciby : La situation de la presse dans l’Empire démocratique est complexe et sujette à diverses influences. Bien que notre pays aspire à des valeurs démocratiques, la liberté de la presse est souvent restreinte par des réglementations strictes imposées par l’État.
  • En effet, avant d’être publiés, les médias doivent obtenir une validation officielle de l’État, ce qui limite considérablement leur indépendance éditoriale. Cette procédure de validation peut parfois entraîner une autocensure de la part des journalistes et des rédacteurs, qui préfèrent éviter les sujets sensibles ou controversés pour éviter les conflits avec les autorités.
    Cette surveillance étroite de la presse par l’État peut conduire à une certaine uniformité dans le traitement de l’information et à une réduction de la diversité des opinions exprimées. Les médias sont souvent contraints de suivre une ligne éditoriale approuvée par le gouvernement, ce qui limite la capacité des journalistes à exercer leur métier de manière indépendante et critique. Effectivement, la présence dominante de la famille impériale dans le gouvernement de l’Empire démocratique crée un contexte où critiquer ouvertement la famille impériale peut être perçu comme un acte de défiance envers le régime lui-même. Cette situation rend délicate la tâche des médias et des journalistes, qui doivent naviguer avec précaution entre la nécessité d’informer le public et le respect des limites imposées par le pouvoir en place.

  • Sylva : Si la presse sylvoise est libre, l'influence des médias possédés par la noblesse est très marquée, notamment lorsqu'il s'agit de médiatiser des avancées industrielles ou économique. Malgré tout, un groupe de journaux contestataires contrebalance dans une certaine mesure la présentation des nouvelles et assure une certaine nuance. La chose est d'autant plus visible dans les actualités intérieures, permettant de clairement mettre en avant les faiblesses du modèle sociétal sylvois (là où les actualités industrielles vont davantage dans le sens du gouvernement). Les actualités internationales sont par contre assez nationalistes puisque très tournées vers les points négatifs des autres pays (successions de crises de Tcharnovie, méfaits de la Loduarie, gesticulations de Communaterra) ou encore des réussites auprès des alliés (sommet spatial trilatéraln, OND, entente générale).
  • Malgré tout, les traitements neutres et nationalistes sont assez équilibrés, là où l'opposition totale se fait assez rare.
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