11/05/2017
16:13:00
Index du forum Continents Aleucie Sterus

Bureau des services de renseignement intérieur et extérieur

Voir fiche pays Voir sur la carte
1513
Image

Services de renseignements Stérusiens



Les différents services des renseignements Stérusien

Renseignements intérieur :


Le BLT ( Bureau de lutte contre le terrorisme) est une section des services de renseignement intérieur du pays. Ici, seront recensés toutes les organisations et/ou groupes terroristes reconnus comme tel par le gouvernement. Le nom, les dirigeants, le lieu d'implantation et les faits d'armes y seront renseignés. Sterus étant un état dans lequel plusieurs organisations terroristes sont implantées, il est important de pouvoir les identifier.

Le BRE (Bureau de renseignement étranger) est une section des services de renseignement intérieur du pays. Cette section agis dans le contre espionnage, ils sont spécialisé dans le repérage, l'arrestation l'enlèvement et l'exécution des agents de renseignement étrangers présents sur le sol Stérusiens. Ils sont également responsable de l'arrestation des agent doubles Stérusiens qui trahissent leur patrie.


Renseignement extérieurs :

Le BITE (Bureau d'investigation en territoire ennemis) est une section des renseignements extérieurs de la fédération. Il est spécialement habilité à mener des recherches et des investigations en toute discrétion dans les territoire hostiles à la fédération. Le bureau est capable de mener des recherches, procéder à des exécutions et organiser des enlèvements.

Le DA (département d'action) est une section des services de renseignement étranger Stérusiens. C'est le bras armée des services opérationnels extérieurs. Il sont habilité à mener des opérations de grandes envergures partout ou il le faut. Ils peuvent organiser des enlévement de masse, des éxecutions de masse, des attaques terroriste, des prises d'otage et mener des assauts sur tout type de cible.
5331
Bureau de lutte contre le terrorisme




Cet article détaillera la plus grande organisation terroriste présente sur le sol Sterusien ainsi que toutes les informations nécessaires. Le bureau Fédérale rappelle à ses concitoyens que ce recensement n'est pas là pour glorifier des actes barbare, mais pour ne jamais oublier qui sont les ennemis de notre pays et pourquoi il faut les combattre. Nous rappelons également que dans notre grande nation, toute appartenance à un groupe terroriste ou tout lien avec un groupe terroriste est un crime passible de la peine Capitale. Si vous rencontrez des individus susceptibles de se radicaliser ou tenant des propos de glorification ou de tolérance d'actes terroristes contactez immédiatement les forces de police. En cas de non-dénonciations, vous serez considéré comme complice et donc condamné.


Création : le groupe Catholique et combattant (CEC) est issu de l’organisation « catholiques fiers et assumés », créée par Joseph Leondebert, en tant qu’organisation destinée à financer le développement de la religion catholique dans les républiques Romaniques. Le CEC est fondé par Hélène Gorme et quelques autres catholiques extrémistes en 1968. Jusqu’en 1991, Le CEC est basé au Monthor du Nord, date à laquelle H.Gorme relocalise le groupe au Bernium tout en conservant des bureaux dans différents endroits du pays. De 1991 à 2002, Le CEC est dirigé depuis le Monthor du Nord par H.Gorme, sous la protection des gouvernements pro catholique de la république du Monthor du Nord. En 1999, le CEC rejoint le "mouvement catholique" dirigé par Pierre de Vire. Le CEC connaît sa « période de gloire » entre 1999 et 2008. Il connaît ensuite un passage à vide jusqu’en 2009 avec la chute du gouvernement catholique extrémiste du Monthor du Nord. Entre 2009 et 2010, Le CEC se redresse et intensifie ses activités au Bernium et dans l'ensemble de la Fédération de Sterus et cible à nouveau les Romaniques. Affaiblis depuis fin 2010 par les multiples arrestations, exécutions et enlèvement de ses principaux cadres ainsi que par la destruction de son matériel le CEC est aujourd'hui dans une très grande difficulté et ne contrôle aucun territoire.

Revendication : Le CEC prône l’établissement de régimes monarchique catholiques dans les républiques du pays et une interdiction de toute autre forme de religion.

Dirigé par : depuis la mort de Hélène Gorme en 2002, Le CEC est dirigé par Pierre De Vire. Né le 11 juin 1961 à Siule, près de Barba, au sein d’une famille bourgeoise, Piere De Vire devient Juge pour enfants. Il intègre le groupe « catholiques fiers et assumés » dès l’âge de 15 ans. Impliqué dans l’assassinat, en 1981, du président du Catloma Francus Hollandus, il est emprisonné pendant trois ans puis parvient à rejoindre le Monthor Du Nord, la Lombamie et enfin le Bernium au milieu des années 1990. Il rencontre alors Hélène Gorme. Il séjourne en Gaellus au début des années 1990 et est arrêté en Lombamie en 1996, alors qu’il recrutait des combattants pour combattre au Bernium. En 1998, le gouvernement fédéral le met sur « liste noire » pour avoir soutenu les attentats contre les temples Romain du Bernium et de Catloma. Devenu le bras droit de H.Gorme, il est également son mari. Annoncé mort en 2002, puis en 2007, il se cacherait dans la région montagneuse située le long de la frontière entre le Bernium et la nouvelle Sicile.

Zones de présence : le CEC commande ses troupes depuis les zones au nord-ouest du Bernium, à la frontière avec la nouvelle Sicile, sous la protection des autoproclamés "croisés". Le CEC entretient des relations avec d’autres groupes armés dans le pays et vise les intérêts des Romanique et des institutions hostiles à ses revendications.

Faits d’armes marquants : 06 novembre 1995 : 5 soldats Bernumien et 2 Siciliens sont tués dans un attentat à la voiture piégée à Omeous (frontière entre le Bernium et la nouvelle Sicile). 25 juin 2001 : 19 Romaniques tués dans un attentat au camion piégé à l’entrée de la base Fédéral de Klome (Bernium). 7 août 1998 : explosion d'un camion piégé devant le ministère de l'Intérieur en pleine nuit, ni mort ni blessés ne sont a déplorer. 12 février 2000 : 17 marins tués dans l'explosion d'un navire de pêche, les pêcheurs a bord sont tous décédés, l'attaque devait initialement visait un navire de la police du Bernium situé a proximité du bateau . 12 octobre 2002 : 297 morts, dont de nombreux touristes étrangers, dans un attentat à la voiture piégée contre un temple de Barba . 12 juillet 2003 : 21 morts dont 15 journalistes dans un double attentat suicide contre l'agence de presse de la république du Bernium. 16 mai 2003 : 45 morts (dont 12 kamikazes) lors de 2 attentats quasi-simultanés dans 3 avions transportant des marchandises à destination de lieux de cultes romanique et/ou à destination du palais du consul et du sénat. 07 mai 2003 : 63 morts dans un attentat à la voiture piégée contre deux commissariats de la capitale du Bernium, le centre d'opération de l'agence nationale de sécurité et d'une banque dirigée par un militant Romanique. 10 janvier 2006 : 141 morts et près de 2.000 blessés dans une série d’attentats visant plusieurs trains dans quatre gares du Bernium. 7 juillet 2006 : 56 morts (dont 4 kamikazes) lors de quatre attentats suicides dans le métro de la capitale Barba. 23 juillet 2006 : 68 morts dans des attentats suicides contre des lieux touristiques de la capitale de Catloma. 14 août 2006 plus de 400 morts dans quatre attentats au camion piégé contre des rassemblements religieux Romanique dans les temples du dieu Mars. 17 janvier 2007 : 19 morts, dont sept assaillants lors de l’attaque de la banque centrale de Sterus a Barba. 20 septembre 2007 10 morts dans un attentat suicide au camion piégé contre un bar gay de la capitale de Catloma. 13 mai 2008, 98 morts lors d’une attaque de kamikazes au milieu d’un groupe d’élèves policiers dans l'état du Monthor du Sud. 21 mai 2010 : près de 700 soldats Sterusiens tués et 34 kamikazes dans un attentat suicide , lors d’un défilé militaire en l'honneur du 1er consul. Ce qui reste à ce jour le dernier attentat commis par le groupe terroriste sur le sol Sterusien, mais qui est également le plus meurtrier que le pays n'ait jamais connu.




Bureau de lutte contre le terrorisme
22 octobre 2016


**Non utilisable en RP**

Le centre des services de renseignement Stérusien reçoit des informations sur une opération clandestine de catégorie « divinum iudicium », autrement dit seules trois personnes sont au courant du contenu de ce dossier (le Consul, le Magistrat des armées, le Chef des services de renseignement). Il n’est consultable que par voie d’identification de classe « eximia », ce qui signifie que seul le Consul détient la capacité de déclassifier ou d’autoriser la consultation de ce dossier.

L’ordre est donné, émanant directement du Consul. L’agent chargé du dossier devient la quatrième et unique personne à être autorisée à toucher aux informations du dossier. Conformément au code d’honneur, elle n’est pas censée en regarder le contenu, simplement modifier les informations (elle est dans l’obligation de consulter les informations qu’elle modifie, cela va de soi).

L’agent a 24 h pour faire exécuter, sans donner d’informations et sans établir de lien entre chaque ordre, les différentes opérations suivantes :
- Supprimer l’ensemble des logs de la mission sur l’ensemble des serveurs.
- Falsifier les journaux de vol de l’ensemble des appareils utilisés (ils ont volé 30 km les 10 derniers jours).
- Falsifier toutes les données émises par les radars stérusiens et les AWACS.
- Toute mention de décollage d’avions, de missions, de préparations d’avions, de missiles produits, de soldats en déploiement en rapport avec cette opération est immédiatement supprimée de toutes les bases de données.
- Tout document du même type, sous format papier ou physique, est totalement détruit.
- Le personnel stérusien mobilisé pour cette opération s’engage à signer un rapport de confidentialité totale.
- Surveillance totale de l’ensemble des soldats ayant participé à l’opération, allant de l’endroit où ils font leur jogging jusqu’aux messages coquins qu’ils envoient à leur maîtresse le soir.
- Une équipe d’exécution des services de renseignement stérusien est déployée en toute confidentialité au sein de la base stérusienne de Transernikse, où sont stationnés les soldats. L’équipe d’exécution est en cellule dormante et ne connaît pas les raisons de son déploiement. Si un soldat parle de l’opération, même à sa femme, l’ordre est clair : exécution pour la sûreté de l’État dans l’heure qui suit.

En parallèle, un document jumeau de celui-ci, portant le même nom, le même code, daté de la même seconde, heure et date que le principal, est créé. Il remplit les informations perçues par les Stérusiens et les Transks, et les falsifie. Selon ce document, un équipage aérien complet a bien décollé de Transernikse ce jour-là, mais n’a pas dépassé les eaux territoriales. De même, il renseigne que des avions radars AWACS stérusiens, qui patrouillaient en eaux internationales, ont capté des explosions et des SOS lancés par des bâtiments étrangers à plusieurs milles marins. Ils décident de rentrer à la base en raison du manque de réponse satellitaire pour avertir d’une situation de détresse en mer.

Deux heures trente plus tard, ils parviennent à entrer en communication avec les opérateurs au sol stérusiens et à avertir d’un problème en mer. Parallèlement, trois destroyers en exercice à 1 000 km sont avertis du danger. Ils ne se déplacent pas, mais attendent de recevoir une réponse satellite (toujours non opérationnelle).

En simultané, cinq avions de chasse stérusiens non armés reçoivent l’ordre de décoller pour se rendre sur zone et rendre compte de la situation. Un avion ravitailleur décollera plusieurs heures plus tard pour les appuyer en cas de nécessité.

La situation sur place est décrite dans le dossier. Ce dossier jumeau prend officiellement la place de l’ancien, que ce soit au niveau militaire, des services de renseignement ou même géopolitique. Ce dossier est le seul qui est transmis aux chefs d’états-majors et aux conseillers militaires.

Le document est uniquement numérique et placé sur une base de données sécurisée et non reliée à l’extérieur, dans des locaux des services de renseignement extérieur. Il est stocké sur un centre de contrôle relié à une intelligence artificielle. Stocké sur des serveurs strictement cryptés, il ne peut être consulté que via un terminal contrôlé.

L’IA, uniquement réservée à ce document, est chargée d’intervenir dessus toutes les trois minutes. À chaque intervalle, elle modifie quelques micro-éléments du dossier. Elle ne répète jamais le même changement et parvient ainsi à faire en sorte que chaque dossier, même s’il n’est modifié que toutes les trois minutes, ne ressemble qu’à 99,9 % aux autres.

Le document étant classé « eximia », son accès est uniquement possible via un code confidentiel, connu seulement du Consul lui-même. À compter du moment où le document est ouvert, téléchargé, consulté ou transféré, l’IA stoppe immédiatement les changements réguliers et envoie à l’ensemble des serveurs de renseignement stérusiens la dernière version du dossier, avec l’heure exacte de l’arrêt de l’IA.

Le dernier et unique dossier retraçant la véracité des événements est envoyé au Palais Consulaire et placé dans le bunker du palais, avec les autres dossiers d’État de classe « eximia ».
Haut de page