Informations Générales
Nom officiel : Fédération du Sterus
Nom courant : Sterus
Langue(s) : La langue commune a l’ensemble des habitants de la Fédération est le français, il est parlé par 100 % de la population et est reconnu dans chaque république comme tel. Le Latin et l’italien son les deux autres langues reconnues comme officielles. Elles sont respectivement parlées par 95 % et 88 % de la population. Elles ne sont pas reconnues comme langues officielles dans toutes les républiques autonomes. La république de l'indiam ne reconnais par exemple pas l’italien comme langue officielle, car le pourcentage de locuteur italophone est le plus faible du pays. Il est dans la nature des Sterusiens de maîtriser plusieurs langues et notamment celles de leurs ancêtres. Ainsi, 3 autres langues sont reconnues dans d’autres républiques et donc au niveau fédéral. Ces langues n’ont cependant aucune existence officielle pour le gouvernement fédéral. Il s’agit de l’espagnol (parlé par environ 22 % de la population), le portugais (parlé par environ 11 % de la population) et le roumain (parlé par environ 1 % de la population). À l’âge de 20 ans prés de 90 %, des Sterusiens sont trilingues, et 60 % quadrilingues. Le système éducatif Sterusien facilite largement cette moyenne, puisque dans l’ensemble des républiques, la moitié des cours sont enseignés en latin ou en italien, et dans certaines républiques ou dans la capitale barba, ce sont les 3 langues officielles qui sont enseignées du primaire jusqu’aux études supérieures.
Le consul lui s’exprime toujours en français et ne peut selon le protocole entretenir de conversations dans une autre langue, car cela empêcherait ceux qui ne la connaissent pas de comprendre. En revanche selon les règles de chaque république, les gouvernements locaux peuvent ou non organiser des débats dans plusieurs langues. Seul la république de l'indiam peut laisser ses officiels s'exprimer dans une autre langue que les langues officielles?
Devise officielle : Veni, vedi, vici.
Cette devise est inscrite sur tous les bâtiments officiels du pays et sur l’ensemble des courriers officiel envoyés par le gouvernement. Elle rappelle au peuple, aux dirigeants, aux alliés et aux ennemis de notre pays que nous avons vaincu dans le passé, et que nous vaincrons dans le futur par la seule force de nos convictions et de notre histoire.
Le drapeau :
En premier lieu, les gens ont souvent tendance à penser que le rouge représente le sang coulé de nos soldats ou ceux des gladiateurs. Mais en réalité, le rouge représente l’empire du passé. Le laurier représente l’empereur aujourd’hui le consul qui possède tout deux un couronne de laurier pour les mariages. Les deux aigles représente les deux faces de Sterus, catholique ou romanique. Le lion représente la supériorité, la force d’esprit et le courage du peuple. Enfin, les objets représentent le catholicisme.
Les Républiques autonomes.
La superficie totale de toutes les régions réunis est de 871 615 km2
En 1648 trois navires, accostent sur les cotes d’une nouvelle terre semblant dépourvues de présence humaine. Ces trois navires n’arborent aucun pavillon et ne sont pas remplis de guerriers ou de marchands, mais de multiples familles. Ils appartiennent à une communauté peu connue d’Eurysie, cette communauté a comme mode de vie celui de vénérer et de reproduire les coutumes de l’antiquité romaine. Parmi eux, il existe tout de même une nuance sur les croyances, certains sont favorable aux croyances religieuses romaine polythéiste quand d’autre sont favorables aux croyances d’après J.-C. et donc a une religion catholique Romaine.
Cette division n’était en aucun cas un problème pour les prémisses de cette colonisation, chaque genre de croyance vivait selon son culte sans poser de problèmes à l’autre. 100 ans plus tard après des années de migrations la population totale de cette colonie pu atteindre le million d’habitants. Avec ce million d’habitants le mélange de culture entre ceux que l’on appelle les Romanique (pro mythologie romaine et antiquité romaine) et les catholiques romain commençait à créer quelques tensions. En 1786 l’inauguration de la première cathédrale a Barba (la capitale) lança les Romanique dans une lutte sans merci pour stopper ce qu’ils appelaient « Le coup d’état des catholiques », Armes à la main ils entrèrent dans la cathédrale pendant la première messe et tirèrent dans la foule sans distinction d’âge ou de sexe. La riposte des catholiques eu lieu deux semaines plus tard avec le massacre de « Blinium » (petit village en périphérie) ou les catholiques ont en pleine nuit envahis et tués tous les romaniques du village.
L’empereur de l’époque « Achilleus Montogo » organisa une grande réunion pour y rassembler tous les chefs spirituels du pays. Il fut décider de diviser l’état en 11 républiques autonomes qui grâce à leur autonomie pourraient convenir d’une religion dominante dans chaque région. Il y a 5 républiques Romanique et 5 républiques catholiques, la dernière étant la capitale Barba qui est sous un régime spécial puisque considérée comme a 50 % Romanique et à 50 % catholique. Depuis ce moment-là, le pays vit dans une relative paix avec peu de débordements enregistré chaque année. Il existe cependant un mouvement considéré comme Terroriste qui agis toujours dans la république Romanique de Bernium dans le nord du pays.
Aujourd’hui les croyances religieuses ne sont plus aussi importantes que dans le passé, mais chaque république garde tout de même la volonté de rester pro Romanique ou pro catholique. A l’échelle fédérale, aucune des deux religions n’est reconnue comme religion d’état.
De 1700 à 1907 Sterus était à l’effigie de ses croyances un empire expansionniste basé sur la conquête de territoire. Mais en 1907 après la mort de l’empereur Aoutenemus (11/09/1831-02/01/1907), sans héritiers une période de prés de 5 mois sans dirigeants et une crise économique d’ampleur dans le pays. Une révolte éclata, l’ensemble du peuple Romanique et Catholiques se réunirent pour réclamer le retour d’un empereur sur le trône par peur de la famine. Mais aucun sénateur ne parvint à faire ressortir une tête du lot. À l’époque, pour destituer l’empereur, il fallait un accord unanime du sénat puis ensuite un referendum. De même, il fallait pour qu’une personne prenne ce poste que tous les sénateurs soient unanimes, ce qui était évidemment impossible. Alors après cette fois plus d’un an sans gouvernement et une famine inédite dans le pays, le 18 janvier 1908 un groupe armé pénétra l’enceinte du sénat et exécuta tous les membres dedans, les gouverneurs de chaque république furent emmenés devant un tribunal et jugés pour avoir laissé le peuple mourir de faim, c’était prés de 4 millions de personnes qui ont perdu la vie en moins d’un an du a cette famine. Comme les sénateurs, les gouverneurs furent tous exécuter. Après cela, un collège de citoyens se réunit pour former un nouveau gouvernement basé sur celui de l’Ancien Régime ; un sénat, des gouverneurs et un dirigeant. Cette fois en modifiant les textes pour permettre une plus large manœuvre du sénat et des gouverneurs pour que même en cas de manque de chef d’Etat le pays puisse toujours vivre.
Histoire coloniale:
Initialement, les premiers colons étaient quasiment sûrs de ne pas avoir identifié de présence humaine sur l’ensemble de leur colonie. Mais avec les expansions au fils des années de multiples villages indigènes furent découvert plus profondément dans les terres. Les premières rencontres furent assez violentes, les chefs indigènes n’étant pas prêt à voir débarquer à leurs portes des centaines d’hommes venus d’ailleurs. Et qui de plus se permettent de chasser et de cultiver impunément sans respect des zones sacrés ou de la nature. Il y eut pendant très longtemps une croyance chez les indigènes qui disait que ceux venus de la mer étaient en réalité des démons venus châtier les péchés. Les premiers villages furent vidés de leurs hommes par la politique violente de Sterus qui consistait à tuer les hommes et à forcer les femmes et enfants à fuir la région. Mais âpres plusieurs décennies de colonisations, le 13 juillet 1696 les colons eurent connaissance qu’a une centaine de kilomètres de là se trouvait un très grand empire indigène « Le Kaztok ». Ce grand empire avait entendu parler des agissements de ses démons venus de la mer. Le roi Kaztok envoya un contingent militaire de plusieurs dizaines de milliers de soldats pour massacrer les démons. Les colons en large infériorité numérique décidée d’opter pour une tactique militaire contraire à celles de leurs coutumes « l’attaque en traître ». Ils se positionnèrent dans la forêt, armées de mousquets, de canons, mais également de bout de tissu ou de vêtements porté par les gens malades de la colonie. Une fois que l’armée indigène passa sur cette route le piège se referma, les colons ouvrèrent le feu depuis la forêt d’abord en batterie de canons puis a l’arme à feu. Ce fut un impressionnant carnage auquel très peu d’indigènes survécurent. Les quelques survivants furent attrapé et contraint de rentrer chez eux munis des vêtements contaminés. Le plus gros carnage survint après, quand les microbes qui étaient sur ces vêtements se rependirent dans tout l’empire, c’est près de 90 % de la population qui fut tué (les indigènes n’ayant pas les mêmes défenses immunitaires que les eurysiens). Au total dans la guerre de colonisation, c’est près de 2000 colons qui perdurent la vie contre prés de 4 millions d’indigènes. Le devoir de mémoire n’a jamais été fait à Sterus, il n’existe aucune excuse officielle, aucune réserve indigène ou quoi que ce soit dans ce genre. L’état s’est emparé du territoire il y a 400 ans et en a fait une terre presque Eurysienne. Bien sur des descendants d’indigènes vivent dans la fédération, mais ils vivent comme des Sterusiens normaux et sont une très petite minorité.
Initialement, les premiers adeptes des jeux avaient comme principe de s’emparer de jeunes indigènes de les former et de les lâchers dans les arènes. Cette pratique esclavagiste fut arrêtée par le ministre de la Justice Juliano Mirkium (1767-1803), en 1798 Juliano s’exprima devant le sénat et devant le consul de l’époque "Seleon" (1734-1803) il somma de mettre fin non pas aux combats, mais a l’esclavagisme qu’il jugeait contraire a la foi et contraire au principe des droits humains. Il fallut attendre sa mort pour qu’en son hommage le nouveau consul "Hugostio" (1781-1864) face definitivement arrêter cette pratique.
Ainsi sous Hugostio une nouvelle forme de réglementation pour les arènes eu lieu. Il y avait deux possibilités pour combattre :
- Être un combattant de carrière
- Être un combattant estival
Le combattant de carrière est formé tout au long de sa vie pour se battre dans les arènes, la réglementation d’époque demandait 12 mois d’apprentissage avant de pouvoir pénétrer à l’intérieur. Ensuite, le combattant devait intégrer après son premier combat ce qu’on appelait un Circuinem, ce circuinem était une forme d’agence de gladiateurs qui en fonction des spécificités de chacun leur donnait différents rôles a jouer sur le terrain.
Le combattant Estival lui ne combat qu’une fois par année. Pour pouvoir être jugé apte, il doit remplir un certain nombre de critères.
- Être célibataire
- Ne pas avoir d’enfant
- Être physiquement apte (force)
- Être en capacité de se servir d’une arme
- Être apte psychologiquement
- Ne pas avoir de maladie transmissible
- Être apte à la possibilité de perdre la vie
- Avoir une certaine résistance à la douleur
Ce type de combattant était celui le plus fréquent, généralement un combattant estival ne se battra jamais contre un combattant de carrière. De la même façon un combat estival ne combat en général que contre des animaux.
Aujourd’hui, ces règles ont changées . Dans les républiques catholiques, les combats impliquant des êtres humains sont tout bonnement interdits (sauf pour les combats de boxe). Dans les républiques Romanique les combats impliquant la mort d’un être humains sont autorisés, hormis les combats humains contre humains (combats des gladiateurs). Dans la capitale Barba, il n’existe aucune réglementation, la mort est autorisée dans tous les jeux. En soit seul un abandon ou une grâce du président de séance peut empêcher la mort. Évidemment, les jeux ou la mort est quasi inévitable comme les combats des boxes des règles très strictes encadrent les événements.
Les enfants de moins de 16 ans sont strictement interdits de pénétrer dans une enceinte un soir de combat avec possible mort. Chaque soir d’événement une limite d’âge est imposé et il est impossible de déroger à cette règle. Les combats de gladiateurs sont exclusivement réservés au combattant de carrière. Chaque combattant de carrière doit maintenant non pas apprendre durant 12 mois, mais durant 3 ans. Après ces 3 ans d’entraînement intensif, il peut pénétrer dans l’arène. Les grands soirs de combat un gladiateur peut empocher jusqu’à 150 000 sesterce rien que pour le fait de rentrer dans l’arène (ensuite, il empoche des primes en fonction des événements.). La formation se fait au sein de « l’école nationale des gladiateurs » à Barba.
En moyenne, on dénombre 5 morts par arène par années (il y a 5 arènes à Barba). Les morts dans les autres sports (généralement accidentels) sont en moyenne de 1 morts par arène par an sur l’ensemble du pays. Seule l’année 1961 a vu l’ensemble des participants survivre sur l’ensemble du pays. Généralement, les gens ne meurent pas dans l’arène, mais quelques heures plus tard à l’hôpital.
Sterus est un état attaché à ses valeurs et à ses traditions. Avant tout Sterus, est attaché à l’organisation estivale de ses jeux. Chaque été les habitant de toutes les grandes villes peuvent assister régulièrement à l’organisation de jeux traditionnels antique. Organisation de courses, de combat de boxe, d’athlétisme, de courses de char de chevaux, de combats d’animaux, et même de combat de gladiateurs (Les combats de Gladiateurs ne sont autorisés que dans la grande Arène de la capitale Barba). Les règles dépendent des lois de chaque république. En général les républiques pro catholiques n’autorisent que très peu de débordement ou d’attaque physique trop violente. Dans les républiques Romanique les règles sont les plus souples, toute est quasiment permis. Les combats de gladiateurs y sont eux interdits. En revanche, les combats animaux contre les humains y sont autorisés. Chaque été des morts sont enregistrés dans les arènes romaniques. À Barba, les règles y sont les plus souples, en d’autres termes, il n’existe aucune règle en dehors de celle de gagner. Comme dit précédemment les combats de gladiateurs y sont autorisés et donc qui dit combat de gladiateurs dis parfois, et même souvent, combat à mort. Évidemment, il existe de nombreuses personnes qui protestent et tente de lutter contre ces festivités. Pourtant la population Sterusienne est en grande majorité totalement en accord avec ces pratiques.