25/02/2015
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Nationalibus stirpe foro valorem

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Nationalibus stirpe foro valorem

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C'est dans ce bâtiment qu'ont lieux les plus grandes opérations boursières du pays.




Ici seront répertoriés toutes les entreprises et sociétés Stérusiennes de chaque domaine selon le format suivant :


Création :

Dates clés :

Fondateurs :

Forme juridique :

Action :

Slogan :

Siège social :

Direction :

Actionnaires :

Produits :

Sociétés méres :

Activité :

Effectif :


Elle appartiennent au NSFV (Nationalibus stirpe foro valorem) qui rassemble les plus grandes entreprises du pays toutes catégories industrielles confondues.
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ANTS


Création : 16/03/1997

Dates clés : 16/.31997

Fondateurs : Miranda Ceprus

Forme juridique : Incorporation

Action :
ANTS Valorem ( ANTS V)

Slogan : NTM (Nous transformons le monde)

Siège social : Barba (Stérus)

Direction : Miranda Ceprus

Actionnaires : Miranda Céprus 85%, Léon Ceprus 10%, Fédération de Stérus 5%

Produits : Pétrole, Gaz, Hydrocarbure

Sociétés méres : ANTS

Activité : Pétrole, Gaz, Hydrocarbure. Prospection de ressources sous marines, maritimes, sous terraines et terrestres. Construction d'infrastructure d'exploitation des ressources sous marines, maritimes, sous terraines et terrestres.

Effectif : 2 000 - 3 000 employés
18976
CAXTA


Création : 01/05/1843

Dates clés :
28/09/1949 (devient la première société spécialisé dans la création de vêtements de luxe)

Fondateurs : Monoclior Caxta

Forme juridique : Société anonyme

Action : Caxta Valorem

Slogan : Vivre à travers son style

Siège social : Barba (Stérus)

Direction : Coriolanus Caxta

Actionnaires : Coriolanus Caxta 100 %

Produits : malles, sacs et bagages, ceintures, lunettes, montres, souliers, joaillerie, mode, prêt-à-porter masculin et féminin, parfums.

Sociétés mères : Unione et liberta

Activité : Vêtements de luxe, maroquinerie de luxe, joaillerie, parfumerie etc...

Effectif : 5 000 employés environ.






Biographie




.
Monoclior Caxta est un révolutionnaire pas comme les autres. S'il en possède certains traits - regard intense, barbe de bandit, tempérament fougueux -, son inclination pour une extravagance tout impériale, qui le porte au rang des hédonistes les plus accomplis du monde de la mode, suffit à souligner l'aspect contradictoire d'une telle comparaison. Au départ, le nom de Caxta évoque plutot un mode de vie Ancien Régime sous l'empire de Stérus. Mais peu d'événements sont moins prévisibles qu'une révolution et, sur ce terrain, Monoclior n'a rien à envier à Gabrielle Millenia, Cristiano Harnepus, Serena Fiducial, Hernesto Dingono ou Ilio Justurio, outsiders étrangers au monde de la mode, surgis de nulle part pour en réécrire l'histoire.

Pour lui, « un créateur de mode se doit d'enfreindre les règles et de renverser les barrières ». Et c'est en empruntant cette voie qu'il enrichit la mode d'une nouvelle grammaire, comme l'ont fait avant lui Gabrielle, Ilio et toutes ces figures qui ont su s'éloigner des chemins balisés et faire briller leur œuvre d'un éclat subversif.Chez Monoclior, la subversion drapée d'humour et généreuse d'esprit embrasse à pleine bouche la corporalité et la sexualité. Il teste avec bonheur les limites du goût, mettant au passage le snobisme de ses détracteurs à nu.

Monoclior a le défi joyeux. Omnivore, il assimile la culture la plus élitiste comme la plus populaire, incorporant simultanément la rigueur du classicisme, les mosaïques byzantines, l'art Renaissance, l'opéra et le ballet, autant que les excès d'une pop rococo et les scoops des tabloïds. Amoureux sans complexe de la célébrité, il courtise les stars du cinéma comme du rock qui le lui rendent bien, des Presidents de république à la famille consulaire. Toutes ces qualités font de Monoclior concurrence seulement par une vieille connaissance, Lucia ferdina la dame Loyale d'un monde de la mode que les années d'aprés empire ont vu se transformer en cirque planétaire.

Sans surprise, les controverses pleuvent. À l'entendre marteler que « la seule chose vraiment choquante, dans la vie, c'est la violence », on entrevoit la vigueur des critiques qui n'ont jamais manqué d'accueillir son travail. Nul, cependant, ne peut imaginer à quel point son propos est prémonitoire. En aout 1967, après avoir présenté une collection haute couture inhabituellement sombre et solennelle à Barba, il regagne la Casa patriae , sa demeure dans le Catloma, pour s'y reposer. C'est sur les marches du perron qu'il est abattu, le matin du 21 aout, par un tueur à la chaîne. Monoclior avait cinquante ans.

Bien sûr, Monoclior ne vient pas de nulle part. Son frère Fabio, et son fils Coriolanus et lui sont nés Sebeda du Monthor du sud, port situé à l'extrême sud de la grand république autonome. Comptant parmi les premières colonies des péres fondateurs, venu du sud ouest de l'eurysie, Sebeda - nommé Magnat temporalis par les Romaniques était autrefois le centre névralgique, économique et politique de la région. Par la suite, l'équilibre des pouvoirs se décalant vers le nord, le passage du temps s'est ajouté à l'isolement géographique pour faire de la ville un trou perdu dont le seul lien terrestre avec le reste de la fédération a consisté, jusqu'en 1946, en une simple route à une voie. Le Monthor du sud, certes, est d'une beauté naturelle et sauvage. Y brille ce soleil perpétuel dont le sud du pays a le secret, et les magnatias qui bordent le front de mer embaument de leur parfum doux et sensuel la promenade du soir des habitants de Sebeda. Mais la région entière passe pour indécrottablement provinciale aux yeux des Stérusiens, et les rares films des plus grandes productions projetés dans les trés rares cinémas du coin n'offrent qu'une maigre compensation à l'ennui des CAXTA. Ces distractions, entrouvrant des fenêtres sur des mondes autres, ont cependant pu nourrir les envies d'évasion du jeune rêveur qu'est Monoclior.

Peut-être comprend-il alors que passer de l'autre côté du miroir nécessite de l'entêtement et... un certain iconoclasme. L'iconoclasme, Monoclior l'a dans le sang. Très jeune, son grand-père maternel, Matenorio (en mémoire duquel il a été prénommé), rejoint le parti imperalis, ancêtre du parti traditionnaliste stérusien. Un tel penchant pour la politique impérial a de quoi scandaliser la république plutot social du ùmonthor du sud. Les deux homonymes partagent un don pour la provocation. Et Coriolanus fera preuve, son tour venu, d'un goût affirmé pour les extrêmes. L'histoire des CAXTA possède une indéniable dimension opératique, de leurs débuts modestes dans le monthor du sud aux glorieux sommets d'un empire mondial de la mode, de la mort de Monoclior au baptême du feu de Coriolanus a qui, lui succédant, ajoute au drame une coda de rédemption et de renaissance

- séquelle contemporaine d'une saga familiale du Quattrocento, digne des Carmieni ou des Bertinzlli. Monoclior, comme ses illustres prédécesseurs, commandite suffisamment de portraits aux plus grands artistes pour immortaliser ses proches et se célébrer lui-même. « Ce qu'il y a de bien, avec la famille, dit-il volontiers, c'est que se disputer a six heures du soir n'a jamais empêché de partager un bon diner à huit heures. »

Monoclior incarne l'idée selon laquelle toute création est, d'une manière ou d'une autre, autobiographique: un temps retrouvé, une forme de thérapie, l'exorcisme de vieux démons. Son père, Lino, est vendeur d'électroménager; sa mère, Charmina, styliste réputée à la tête d'un studio de quarante-cinq couturières, possède également une boutique où sont vendues ses créations. Son fils, peu attiré par les études, fuit le collège pour se réfugier dans son atelier, et y apprend en observant.

Après avoir arrêté l'école, il se met au service de celle qui « se signe toujours avant de commencer ses découpes ». Le couturier chérit tout particulièrement certains souvenirs, comme celui où il revoit sa mère draper une dénommée Signora dipeperoni dans du velours noir. « Maintenant, elle va raccourcir l'avant, laisser plus long derrière et transgresser les règles, faire quelque chose d'audacieux. »

Ce sont de tels gestes que lui-même entend perpétuer au long de sa carrière.

En janvier 1989, lorsqu'il décide de lancer sa propre collection de haute couture, il l'intitule « Atelier ». Il explique alors avoir choisi ce nom pour se démarquer d'un certain nombre d'habitudes aussi ancrées que des traditions. « Je trouve assez ridicule de se déplacer en Concorde et de fabriquer des tenues à la manière du xixe siècle. » Mais on peut aussi voir dans ce titre un somptueux hommage au creuset que constitua, pour lui, l'atelier de sa mère.

Avide d'expériences et de sensations, Monoclio trouve l'inspiration partout.

La légende CAXTA veut que Chamina ait habillé les « professionnelles » de Sebeda, qui impressionnaient son fils par l'impudence de leur style: leurs jupes crayon, leur amour de la couleur, les broderies d'or et les pierres colorées qui enjolivaient leurs tenues. Plus tard, lors de sa première visite à Leonis, en 1946, il s'éprend de la manière dont s'accoutrent les gamins des environs, « combinant des éléments romantiques avec du cuir et des chaines ». De retour au monthor, il s'inspire de ce mélange dans une collection qu'il dessine pour Beclio.

C'est son premier grand succès.

Braver l'orthodoxie, telle est la voie des iconoclastes. Monoclior aime détonner, depuis ses debuts, quand son recours à l'asymétrie témoigne déja de son affection pour l'imperfection intentionnelle. Après avoir joué des connotations punks du cuir et des chaines, il en adopte bientôt la dimension SM. Au début des années 1990, son flirt avec le bondage - il sangle les corps de ses mannequins - donne lieu à la plus controversée de ses propositions. Celle-ci est assez éloignée de ce que l'on appelle habituellement « haute couture », et beaucoup lui en tiennent alors rigueur. Avoir réussi à introduire des éléments aussi inattendus dans le vocabulaire de la mode n'est pas le moindre de ses exploits. Ses créations ne brillent pas par leur subtilité? Qu'importe : les cuirs aux reflets sensuels, les imprimés de soie tape-a-l'œil, les pièces savamment brodées de toiles de grand peintre et de couvertures de grands magasines n'en accèdent pas moins au statut de nouveaux classiques.

Son arme secrète réside dans sa maîtrise des savoir-faire de la mode.

L'incontournable Christina Felice, de Rocolo "grand magazine de mode du pays), peut ainsi écrire qu'elle n'a jamais vu quiconque arranger une robe aussi adroitement ni aussi rapidement que lui, c'est-à-dire comme seuls les vrais couturiers savent le faire. Lui aime dire qu'il a acquis cette technique toute particulière en observant le travail de Chamina auprès de ses clientes. Mais le tombé ne fait pas tout, il y a aussi la coupe - et l'innovation constante. La quintessence de CAXTA, on la trouve dans un tissu onduleux en maille de métal alliant art et technologie. S'inspirant des gants portés par les bouchers, Monoclior crée, avec l'aide d'un artisan eurysien, une maille suffisamment fine pour draper le corps, et consistante pour conserver sa forme.

L'effet en est sculptural, à la fois classique et avant-gardiste. La matière s'ancre dans un passé lointain pour anticiper un monde nouveau.

Le logo de CAXTA représente la tête du lion de némée,de la mythologie romanique/héllénique dont les cheveux sont une criniére et dont le regard change les hommes en cadavre ambulant. Son lion, Monoclior le trouve en 1961 sur le heurtoir de la porte cochère du palazzo de la montagna Riclés, à Yan, devenu par la suite sa propre maison et le siège de son entreprise. Cette figure - classique, séductrice, mortelle -, outre qu'elle lui rappelle les temples romanique du monthor du sud, apparaît immédiatement au jeune créateur comme la déclaration d'intention idéale. Il lui incorpore par la suite d'autres motifs classiques, telle la frise héllénique que l'on retrouve sur tant de vêtements CAXTA. Ajoutez à cela des notions de peintures , les prostituées de Sebeda et le plastique de la couture pop la plus futuriste, et vous obtiendrez le monstre du Frankenstein de la mode qu'est Monoclior.

Le créateur prend la tête d'une longue lignée d'artistes qui, chacune et chacun à sa manière, tissent en retour un lien tout particulier avec lui.

Bien avant d'accéder aux sphères de la haute couture en 1969, il voit plus de vingt expositions muséales lui être consacrées. Collaborant avec des théâtres, des opéras et des compagnies de danse partout à travers le monde, il se compare volontiers à l'un de ses célèbres compatriotes, le fondateur Enrico cornogelio qui, comme lui, a su « traverser et mélanger les cultures ». Son processus créatif distille des références éclectiques, allant du chorégraphe Jean Duchardin au dramaturge Pierre mimai en passant par l'écrivain Gerard deuxpardeux ou le photographe Francois poland.

Ce dernier nous ramène a l'atelier de Chiamena, lieu séminal s'il en fut. Monoclior, adolescent, trainant dans le studio, feuillette des magazines de mode et tombe sur les clichés du photographe Galine Nilega. Le gamin adore ces images, au point qu'au moment de lancer sa propre marque, il dépense l'intégralité du budget communication prévu en engageant Galine pour sa première campagne publicitaire, en 1959. La relation entre le photographe et CAXTA va durer vingt ans. « Il faut maîtriser ses classiques avant de pouvoir se lancer dans les trucs vraiment marrants », observe le jeune Monoclior avec lucidité. Et en effet, si les premières campagnes signées

Galine Nilega reflètent ce que les tenues peuvent avoir de plus classiquement discret, Monockior se lance rapidement dans les « trucs vraiment marrants », le langage photographique de Galine évoluant tout au long des années 1960 pour aboutir aux splendides enchevêtrements polymorphes d'hommes et de femmes de leurs dernières campagnes. D'un érotisme sauvage propre à repousser les limites de la bienséance, ces publicités incrustent dans l'imagination populaire l'idée d'une mode CAXTA effrontée, charnelle et auréolée de scandale.

Progressivement, cette image se diffracte sur tous les défilés de Monoclior.

Le mannequinat de magazine et celui des podiums appartenaient à deux mondes distincts jusqu'à ce que le couturier fasse voler ces barrières en éclats. Il est encouragé en cela par Coriolanus et Ginega Nilega qui supposent, non sans raison, que faire défiler des figures déjà rendues célèbres par la presse permettra à CAXTA d'obtenir de celle-ci une meilleure couverture. « Il nous a vraiment fallu beaucoup insister pour convaincre Monoclior, dira plus tard Corionalus. L'un des gros problèmes était censé venir du fait que ces filles marchaient différemment. Tout le monde pensait que ce serait rédhibitoire. En réalité, cela a eu pour effet de transformer la mode - ces mannequins dont la démarche même affichait leur singularité, leur pouvoir, leur assurance. »

Après CAXTA, les tops n'ont plus rien à voir avec les modèles d'avant CAXTA.

La collaboration d'une poignée de créateurs, de photographes, de mannequins et de rédactrices en chef fait émerger dans l'industrie de la mode une distribution comparable à celle du cinéma classique stérusien et aussi international, sous la houlette du bouillonnant Monoclior. L'histoire retient un moment d'apothéose : le 7 mars 1971, un quartet compose du top des tops - les « supermodels », celles que l'on désigne par leur prenom, Christina, Mélania , Naomia, Cathérina ! - parcourt, bras dessus, bras dessous, le podium CAXTA sur l'hymne national stérusien et les chants romaniques d'épqoue, reprenant en chair et en os la vidéo du clip tourné six mois plus tôt. La réaction des médias ne se fait pas attendre,

Monoclior retient la leçon du pouvoir de la renommée - Coriolanus, lui non plus, ne l'oubliera pas. L'alliage qu'il a mis au point entre la maison et les célébrités fait considérablement monter la température dans le milieu. Honorées par les CAXTA,
les stars figurent au premier rang des défilés, à Barba, et se pressent pour figurer dans les campagnes publicitaires successivement signées par les chouchous de la maison - outre Nilega , Stibis Alexandria, Brucios Dessaniolli, Mario Testiculo.

1974 est une année faste. Chrstina Ferdanouillis, femme-trophée au bras de Francis Froccio, apparaît à l'avant-première du dernier film de son compagnon dans une robe de CAXTA que des épingles à nourrice dorées peinent à maintenir en place.C'est le chaos. 1975 est encore plus riche: Lunella immortalise une des plus grandes stars de la chanson stérusienne étonnamment sage pour la collection printemps/été à Mar-a-Lago, et Nilega photographie parmis les plus grands acteurs et Claudia shiffa nus, jouant les Adam et Eve pour la ligne d'articles de maison, une assiette en porcelaine de plusieurs siécle leur tenant lieu de feuille de vigne. Corionalus est à l'origine de ces coups, dont les visuels réapparaîtront souvent au fil de la publication des somptueux livres-objets qui jalonnent habilement l'élaboration de l'image de la marque. « Si j'ai une voix, c'est la leur, dit volontiers Monoclior de sa coterie de photographes. Les gens sont plus nombreux à s'offrir les livres photo que les vêtements CAXTA.»

CAXTA connaît un âge d'or, tout comme la mode dans son ensemble.Pour autant, le secteur évolue. Des créateurs comme Léon harrdenbourg et Mélania Racca mettent en avant une esthétique davantage tournée vers le minimalisme et privilégient une approche plus cérébrale de la sexualité, tandis que Tomio Desfontaines et Charles guion travaillent, chacun dans son registre, à redéfinir l'extravagance.Au milieu des années 1970, alors qu'il lutte contre un cancer, Monoclior est assez fin pour repérer les dernières tendances de la mode, ce qui lui permet d'être à nouveau d'attaque pour reprendre les rênes de la marque. « Au début de ma carrière, l'ascension était extrêmement difficile, livre-t-il dans un témoignage poignant.

Aujourd'hui, il est tout aussi difficile d'être au sommet. Tout ce que je veux, cest y rester. I'm still standing - je suis toujours là. » Sa dernière collection haute couture donne à jamais la preuve de sa résilience.La nouvelle de son assassinat provoque, dans le monde de la pop, un cataclysme sans équivalent depuis la mort de deux jeunes acteurs, dix-sept ans plus tôt. Coriolanus, dont nul ne soupçonne le manque d'assurance et la fragilité, franchit quant à lui le seuil d'un enfer tout particulier. « Le jour où Monoclior a été abattu, je suis morte moi aussi, et il m'a fallu renaître », dira-t-il plus tard. Une renaissance dans la douleur.

Coriolanus hérite naturellement du rôle de son frère. En tant que figure de proue et visage de la marque, elle occupe peut-être une place plus importante encore, dans la mesure où tout son look fait déjà d'elle l'incarnation ultime de CAXTA. Mais plus qu'un emblème, la maison veut voir en elle une figure salvatrice. une attente à laquelle elle ne sait pas répondre, Il lui faut alors se rendre à l'évidence: « On me demandait de renvoyer l'image de l'homme fort et puissante que je ne suis pas. » A-t-elle le choix? Dans un rebondissement tout borgien, a légué la moitié de la société à sa nièce Carla, ce qui place Coriolanus dans l'épineuse position de devoir protéger un double héritage, la succession de son frère et le patrimoine de sa fille. Le tout, en affrontant ses problèmes personnels. « Ça n'a pas été facile de croire ni en moi, ni en l'avenir., L'image même de Caxta n'est pas sans ajouter à ces difficultés, ses attaches pop l'ancrant tellement dans son époque qu'ils menacent de l'y retenir. Aussi Coriolanus, dont le mot d'ordre a toujours été modernissimo, se trouve désormais confrontée à l'inimaginable : que cette image soit désormais obsolète. Monoclior lui-même a semblé se débattre contre une telle perspective, assimilant dans sa dernière collection quelque chose du minimalisme strict et monochrome qui gagnait du terrain dans la mode de l'époque. Il faut attendre encore quelques années pour que Coriolanus se sente prêt à suivre cette balise lancée par son frère des 1977.

Outre son deuil, il lui faut d'abord affronter son addiction à la drogue.

Coriolanus, l'esprit embrouillé, se persuade qu'il doit absolument coller aux codes de la maison, sans quoi le monde le décrétera finie. Tout le monde, autour de lui, semble savoir mieux que lui ce que « CAXTA » veut dire. Il leur donne tort avec la tenue décolletée à imprimé jungle arborée par la femme du consum à la cérémonie d'ouverture des jeux d'été de 1990, et dont l'impact médiatique atteint des sommets que seules surpassent encore les épingles à nourrice dorées d'Erika Klein (a moins que le pic ne soit atteint le jour où la femme du consul "Lan Hactoria" offre à la robe une seconde apparition pour le final retentissant du défilé Printemps 2020).

Mais le pire reste à venir avec 1994, annus horribilis qui voit les ennuis se multiplier pour Coriolanus : l'entreprise perd sa direction exclusivement familiale, le défilé haute couture automne/hiver est reporté, et lui-même doit se résoudre à accepter une cure de désintoxication trop longtemps reportée. « J'avais des problèmes, et quand tu as des problèmes, rien, autour de toi, ne semble pouvoir être resolu », expliquera-t-il plus tard.

Même dans ses heures les plus sombres, Coriolanus ne se départ pas de ses atouts: un solide sens de l'humour et un pragmatisme à toute épreuve. Il ne sollicite aucune compassion pour avoir repris les rênes de Caxta, préférant se fier à l'honnêteté des critiques. Et c'est ainsi qu'avec sobriété, elle trace petit à petit la voie qui lui est propre dans le monde de la mode.

«Je n'aime pas les comparaisons, dit-il. Je veux être CAXTA, pas Coriolanus ou Monoclior. » Sous la houlette de son frère, la marque incarnait un classicisme opulent et transgressif; Coriolanus, pour sa part, joue sur l'instant présent, s'emparant avec une curiosité vorace d'un monde ébranlé par les bouleversements technologiques et l'équilibre changeant des pouvoirs.

« Le futur appartient aux audacieux », affirme le créateur avec l'assurance qu'il s'est découverte. Si sa signature se distingue de celle de son frère par un trait, c'est avant tout celui d'une silhouette nettement dessinée, incarnation de l'empouvoirement dont il se pose en ambassadeur. Par là, il assume sereinement de se lancer dans la direction que l'ultime collection de Monoclior avait esquissée. Pour le printemps 2016, dans une proposition relevant du manifeste de mode d'excellence, il fait défiler un régiment de jeunes modèles - à moins qu'il ne s'agisse de militantes - en camouflage et tons kaki. « CAXTA, ce ne sont pas les imprimés », insiste-t-elle à son tour, à l'encontre des clichés concernant la marque « CAXTA, c'est la coupe. Les coupes de Monoclior étaient impeccables. »

Et c'est ainsi qu'à sa façon, Coriolanus referme la boucle en devenant le patriarche de son mode. La relève de Chiamena est assurée. « Cela me semble d'autant plus naturel que ma mère la fait avant moi », reconnait-il. Si le sentiment de sa propre valeur a été durement gagné, il vient à point dans l'épilogue lyrique du drame CAXTA. Coriolanus fait renouer la maison avec le triomphe lorsque, au printemps 2008, il convoque ouvertement le passé dans un hommage à Monoclior, quarante ans après la mort de celui-ci. Entre ses mains, la collection n'en reste pas moins contemporaine, auréolant Caxta d'un cachet intemporel. Sans peur, ni pour lui ni pour elle.Une image de Coriolanus s'impose, vivace, saisie au cours d'une interview donnée à la fin des années 2000: il y pioche une cigarette dans son étui incrusté de bijoux en murmurant « Mourir, renaitre, mourir, renaitre. »Puis, frottant une allumette: « C'est l'histoire de ma vie. »

CAXTA, éternel.
629
Gorgonzo


Arrete de regarder mes entreprises


Création : 17/03/1919

Dates clés :

17/03/1919 création

25/01/1952, établissement dans la capitale Barba

14/11/1995 intègre la NSFV

Fondateurs : Michele Gorgonzola

Forme juridique : Société anonyme

Action :
Lonzolo Valorem

Slogan : Sii felice di essere grassa!

Siège social : Barba (Stérus)

Direction : Gabriela Gorgonzola

Actionnaires : Famille Gorgonzola 70%, Karl Veincher 20%, Sorio Beinomio 10%

Produits : Nourritures, Boisson

Sociétés mères : Gorgonzola corporation

Activité : Grande chaine de restauration spécialisé dans la gastronomie Stérusienne alliant raffinement et nourriture accessible.

Effectif : 15 000 - 20 000 employés

Spécialités : Lapin au vin, Cote de boeuf de Barba , Burger de mouton, etc...
554
Nozamano Banque et Assurances


Création : 14/.06/1941

Dates clés :

14/06/1941 - création

09/11/1988 - L'entreprise change de Nom est devient Nozamano après que Luisa Nozamano née Ferrandino hérite de l'entreprise.

14/03/2000 - devient plus grandes banque du pays.


Fondateurs : Matéo Ferrandino

Forme juridique : société anonyme

Action : Nozamano valorem

Slogan : L'argent est un bonheur

Siège social : Barba (Stérus)

Direction : Luisa Nozamano

Actionnaires : Famille Nozamano 41% , Famille Ferrandino 40% , Fédération de Sterus 19%

Produits : Gestions des bien financiers

Sociétés mères : Nozamano Assurances

Activité : Banques et assurances

Effectif : 5 000 employés
653
Beclio


Création : 15/05/1588

Dates clés :

15/05/1688 - création première boutique alimentaire dans petit village de Okleam

01/01/1859 - Ouverture du second magasin à Okleam

14/1/1909 - Ouverture de 2 nouveaux magasins a Barba cette fois

06/11/1998 - Deviens plus grande chaine de magasins de grandes distribution du pays.

Fondateurs : Emile Beclio

Forme juridique : Société par action simplifiées.

Action : Beclio Valorem

Slogan : Le prix du bon

Siège social : Okleam (Nouvelle-sicile)

Direction :
Léna Gorgione

Actionnaires : Famille Gorgione 54%, Fédération de Stérus 46%

Produits : nourriture, breuvages, alcool, vêtements, produits d'hygiènes, produits de beautés, végétaux etc.

Sociétés mères : Inexistante

Activité : Commerce de grande distribution

Effectif : 30 000 employés
786
Silverlight

Création : 12 aout 1943

Dates clés :


12 aout 1943 = création

03 Février 1951 = Premiere marque a organiser une course automobile avec des véhicules spécialement construits pour la course

3 septembre 1951 devient la premiere marque a remporter ce qui deviendra plus tard la plus grande compétition automobile du pays la T1

19 mai 1971 = entrée en bourse

1er janvier 2010 = Son nouveau model est considéré comme le plus chére ou un des plus chére au monde.

Fondateurs : Carlos Silverlight

Forme juridique : société par action

Action : Silverlight valorem

Slogan : Siamo tutti una Silverlight

Siège social :
Barba

Direction : Matéo Silvelight

Actionnaires : Famille Silverlight 100 %

Produits : Voiture, voiture de courses, voiture de luxe, vétements de la marque de voiture, bijoux et goodies en rapport avec la marque.

Sociétés méres : Silverlight corporation

Activité : Automobiles, goodies, Ecurie de T1

Effectif : 5 000 employés
966
Respion


Création : 21/05/1998

Dates clés :

21/05/1998 - Création

14/09/2003 - Rachat par Ernesto Respion

17/01/1008 - entrée en bourse

12/06/2013 - plus grande entreprise de son secteur

Fondateurs : Miléne Omega

Forme juridique : société par action simplifiées

Action : Valorem Tutiti

Slogan : N'existe à l'heure actuelle aucun slogan officiel de connu ou de répertorié

Siège social : Barba, dans la république de Barba à Stérus

Direction : Ernesto Respion

Actionnaires : Ernesto Respion 47 %, Julian Guriola 39 %, Narcissa Pétrones 14 %

Produits : Téléphone, Tablette, Ordinateur, PC portable, Ecouteur, casque, service de streaming, jeux vidéo.

Sociétés mères : Respion corporation

Activité : Respion vends et proposes a l'achat des appareils de communication dernières génération ainsi que des PC ou autre, de même particulièrement performant grâce aux toutes dernières technologies. Il offre également la possibilité d'avoir accès a des services de streaming de haute qualité et enfin des jeux vidéos.(Cette dernière étant règlementée pars le gouvernement Stérusiens)

Effectif : 5 à 10 milles employés dans la Fédération de Stérus.
573
Kresh


Création : 12/05/1958

Dates clés :

13/02/1961 : Ouverture deuxième concessions automobile

26/11/1969 : La marque se diversifie et initie les débuts des deux roues

03/03/1974 : première participation a une course de T1 au grand prix des Phrates

12/01/1984 : intégration a la bourse pour la première fois.

Fondateurs : Léonard Kresh

Forme juridique : société par actions simplifiées

Action : Kresh and cie valorem

Slogan : Plus c'est vite plus c'est bon

Siège social : Barba (Stérus)

Direction : Oscar Kresh

Actionnaires : Famille Kresh 100 % des actions

Produits : Voitures, moto, camion, monoplace de T1

Sociétés méres : Kresh and cie

Activité : Automobiles, écurie de T1

Effectif : 5 000 employés
459
Airectionem

Création : 12/ 01/1978

Dates clés :

12/01/1978 - Création

15/05/1980 - entrée a la bourse

Fondateurs :
Patricio Serinetem

Forme juridique : Société anonyme

Action : Airectionem Valorem

Slogan : S'envoyer en l'air est une mission

Siège social : Barba (Sterus)

Direction : Patricio Serinetem

Actionnaires :
Fédération de Stérus 51% , Patricio Serinetem 49 %

Produits : Aéronautique, avion, materiaux aériens

Sociétés mères : Corporation Serinetem

Activité : Construction d'avion, de matériaux aériens, de fusée.

Effectif : 30 000 employés
347
Arts des autres temps



Création : 01/02/03

Dates clés :

Fondateurs : Christine Harius

Forme juridique : société anonyme

Action : Arts valorem

Slogan : C'est dans les vieux pots qu'on fait les meilleures confitures

Siège social : Barba (Stérus)

Direction : Christine Harius

Actionnaires : Cheistine Harius 100 %

Produits :
Oeuvres d'art

Sociétés méres : il y en a pas

Activité : vente d'oeuvre d'art

Effectif : 1000 employés
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COGNITIO



Création : 1er Mars 2001

Dates clés :

- 1er mars 2001 = création

- 12 juin 2008 rachat par le groupe CELATUM

- 18 aout 2010 = entre au nationalibus stirpe foro valorem

Fondateurs : Ernesto Sazenav

Forme juridique :
société par action simplifiées

Action : Agence de renseignement autosuffisante

Slogan : Donne ta langue au chat avant qu'il ne te la coupe.

Siège social : Barba

Direction : Harissa Lopiones

Actionnaires : Fédération de Stérus 38%, groupe CELATUM 30%, famille Sazenav 20 %, propriétaire indépendant 12%.

Produits : Compte rendu de mission.

Sociétés méres : Sazenav Ifios

Activité : Opération de renseignement, opération d'exécutions, opération de sabotage...

Effectif : Inconnu

Présence à l'internationale connue : Fédération d'Antegrad, Transernikse

Zones d'opérations potentielles : Poétoscovie, Diambée, Karty, Antérinie,

[b]Méthodes de fonctionnement :
Recoivent une demande d'enquéte de la part d'un état puis ;

- Enquête par le biais d'informateur
- Enquéte par le biais d'utilisation d'outils informatiques
- Enquéte par interrogatoire
- Enquété par moyens visuel ou auditif
- Organisation d'assassinat
- Organisation d'enlèvement
- Organisation de sabotage
- Organisation d'attentat
- Organisation de coup d'état/chute de gouvernement
- Formation militaire




[/b]
Cette société de renseignement n'est pas reconnue comme tel pars les citoyens, cependant elle est connue comme une société de frabrication et de vente de vin Stérusien.
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Don Miguel


Stérus royaume de la bouffe


Création : 2001

Dates clés :

2001 création de 50 fast food dans l'ensemble de la fédération

2005 ouverture d'une centaine de restaurants supplémentaires.

2009 La chaine de fast food devient la première à atteindre les 500 restaurants dans la fédération.

2013 La chaine atteint les 1 000 restaurants

Fondateurs : Chaine de magasin Gorgonzo

Forme juridique : société par actions simplifiées

Action : Don Miguel valorem

Slogan : Paste Paste o Paste

Siège social : Barba Stérus

Direction : Miguel Carmico

Actionnaires : Miguel Carmico 30 %, société Gorgonzo 70 %

Produits : fast food, nourriture Stérusiennes, spécialités Stérusiennes.

Sociétés méres : Gorgonzo

Activité : Restauration

Effectif : 45 000


Exemples des spécialité vendus chez Don Miguel


Plats street food

- Pizza (Seulement les spécialités stérusiennes, cependant il est possible dans le cas d'une commande de créer la pizza de son choix)
- Pates Bolognaises en box
- Pates Carbonara en box
- Sandwich Muffuletta
- Tacos Stérusien
- Tamales
- Raviolis frits
- Gorditas
- Quesadillas
- Scacciata
- Tortas
- Enchiladas
- Piadina
- Panzerotti
- Meravigliosa di mare
- Foccaccia
- Arrosticini
- Arancini
- Marranita
- Empenadas
- croquetas

Et plats de street food commun (burger,frites,hots dogs...)

Boissons

- Bière Stérusienne
- Posca
- Eau (Pétillante, plate, avec sirop, limonade)
- Sodas (Venant d'autres états)
- Limoncello
- Spritz
- Tequila
- Mezcal
- Tesguino
- Tepache
- Pulque
- jus d'orange

Toutes les boissons et tous les plats sont des spécialités Stérusiennes. Ou du moins des spécialité d'ailleurs reprises et adaptées à la Stérusienne lors de la colonisation. Souvent ce type de spécialités est réinventé depuis des siècles par les colons qui n'utilisaient pas les produits d'Eurysie mais ceux d'Aleucie.
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Création : 19 mars 1903

Dates clés :

19/03/1903 = création première boutique

23/09/1925 = Création première collection indépendante

12/12/1954 = Léon Poncefior dépasse CAXTA en terme de notoriété et se lance dans le luxe

14/01/1987 = N'est plus en mesure de dépasser CAXTA mais la rejoint pour les semaine de la mode main dans la main

17/11/1987 = entrée en bourse de la Nationalibus stirpe foro valorem

05/09/2001 = essaye de nouveau de dépasser CAXTA pour le chiffre d'affaire annuel mais échoue de très peu


Fondateurs : Léon Poncefior

Forme juridique : Société par action simplifiée

Action : SPES valorem

Slogan : Vestirsi e scopare sono lo stesso piacere

Siège social : Bomeud (Indiam/ Fédération de Stérus)

Direction : Chiodio Poncefior

Actionnaires : Chiodio Poncefior 78% , Gouvernement Stérusien 22%

Produits : Maroquinerie, bijoux de luxe, parfums, vétements de luxe, malles de luxe, sac à main de luxe, ceinture de luxe

Sociétés méres : Poncefior unita

Activité : Vente de vétements de luxe , produit de luxe

Effectif : 14 000 employés
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Création : 19 janvier 1741

Dates clés :

19 janvier 1741 = création première boutique d'accessoire de pêche dans le Catloma

13 janvier 1756 = création d'une seconde boutique à Barba.

28 aout 1886 = Transformation de la première boutique en usine de construction d'accessoire de pêche.

14 novembre 1902 = Les 5 usines de l'organisation se lance dans la construction de bateaux de pêche

26 mai 1950 = Les usine débute la construction de bateau de commerce

juillet 1960 = la société fait ses début dans la construction de grand bateaux de transports et de croisières.



Fondateurs :
Emilio Bersisco

Forme juridique : société par action simplifiée

Action : Bersisco Valorem

Slogan : La pescha, la pescha

Siège social : Sarazina (Catloma, fédération de Stérus)

Direction : Cléhia Bersisco

Actionnaires : famille Bersisco 51%, fédération de Stérus 49 %

Produits : accessoires de péches, bateaux de péches, navires commerciaux, nbateaux de croisiéres, et bateaux de transports

Sociétés méres : Bersisco industry

Activité : construction et vente de navires

Effectif : 35 000
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