21/02/2015
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Encyclopédie de l’Administration Militaire du Gradenbourg (AMG)



Cette encyclopédie a pour butte à présenter de manière détaillée l’Administration Militaire du Gradenbourg sous tout les angles possible, économique, géographique, historique, politique, etc..


Généralités

Histoire

Géographie

Culture

Politique

Économie
773

Généralité (chiffres de 2012)



Nom officiel : Administration militaire de Gradenbourg
Nom courant : Gradenbourg
Gentilé : Gradenbourgeois/Gradenbourgeoise

Inspirations culturelles : Germanique/Raskenois, massif du Wetterstein
Situation géographique :
Gradenbourg

Langue(s) officielle(s) : Allemand
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Français

Drapeau :
Drapeau

Devise officielle :

Der Mann ist ein Speer, der Berg sein Schild.
Vom höchsten Gipfel bis zum Fluss XXXXX ist der Gradenburg die Stadtmauer von Rasken

ou

L'homme est une lance, la montagne, son bouclier.
Du plus haut sommet jusqu'au fleuve XXXXX, le Gradenbourg est le rempart de Rasken.

Hymne officiel :
Monnaie nationale : Sleck (1 sleck = 2 dollars)

Capitale : Camps Rammstein

Population : 2 015 000
Superficie : 14 781km2
Densité de population : 136,3 habitants au km²

PIB : 5 000 000 000 sleck ( 10 000 000 000$)
PIB par habitant : 2 481 sleck par habitants ( 4 952 dollars)
5639

Histoire du Gradenbourg



Au cours de son histoire le Gradenbourg a était frappé par de nombreux événement qui ont à tour de rôle changé la face de cette région la plus récente et la plus marquante étant l’invasion Raskenoise de 1994. L’histoire de la petite région du Gradenbourg est fortement liée à son voisin Rasken comme vous pourrez le voire par la suite.

???? → 1916
1916 → 1951
En 1916, la république de Brod Flor était en place depuis maintenant plus de 70 ans, mais celle-ci commençait déjà à montrer des signes de fatigue. En effet, depuis quelques années et avec d'autres nations, elle avait entamé une course à l'armement frénétique, mais cette course commençait à peser lourdement sur l’économie du pays. La situation économique se détériorant progressivement, une part croissante de travailleurs commença à aller voir dans les pays limitrophes si les opportunités économiques n'étaient pas meilleures. L’une des destinations qui fut privilégiée fut la région du Gradenbourg dans la Confédération de Kresetchnie. Cette région était particulièrement connue pour son industrie charbonnière particulièrement prolifique, avec des gisements facilement accessibles, du charbon de bonne qualité et des usines de traitement particulièrement modernes.

En plus de l’industrie charbonnière particulièrement développée qui attira bon nombre de travailleurs Raskenois, un élément qui poussa le gouvernement Gradenbourgeois à accepter les travailleurs Raskenois était qu’ils étaient particulièrement bien formés. Bien que la situation économique de la république de Brod Flor fût de plus en plus désastreuse, les formations d’ingénieurs, d’ouvriers de mine, etc., étaient réputées pour être d’une grande qualité. Dans cette vague de travailleurs qualifiés, le Gradenbourg vit l’opportunité de se développer économiquement. Pour attirer encore plus de travailleurs, le gouvernement Gradenbourgeois mit en place des systèmes d’incitation (aides au logement, regroupement familial, etc.).

Les années passèrent et la population du Gradenbourg augmenta progressivement de 300 000 habitants en 1916 à près de 500 000 au début de 1951. En réalité, la population n’avait grimpé que de 50 000 habitants ; les 150 000 restants étaient constitués de Raskenois ou de descendants de Raskenois. Bien que la région fût très peu propice à l’agriculture, l’immense manne économique que les travailleurs Raskenois avaient permis de créer faisait que le Gradenbourg avait largement de quoi acheter toutes ses denrées alimentaires à l’étranger.

Mais cette situation changea radicalement en 1951, car cette date marque le début de la guerre civile dans la république de Brod Flor, plus tard renommée Rasken.

1951 → 1994
Avec le début de la guerre civile dans la république de Brod Flor, le flux de personnes en provenance de la république qui fuyaient les combats ne fit qu’augmenter, cependant il n’augmenta pas tout de suite. Les combats étant au début plutôt lointains. Cependant, on sait que cinq ans après le début de la guerre civile en 1956, la population était passée de 500 000 habitants à plus de 1,4 million.

Au début, la petite république du Gradenbourg tenta d’apporter son soutien aux réfugiés. Grâce à l'afflux précédent de travailleurs et à la croissance économique qui s’en suivit, le Gradenbourg avait pu constituer une petite trésorerie pouvant être utilisée en cas de force majeure. Cette trésorerie se révéla fort utile les premières années : construction de camps de réfugiés, achats massifs de nourriture et d’eau, etc. Cependant, cette trésorerie n’était pas éternelle et, couplée au fait que le nombre de réfugiés était de plus en plus important, elle s’épuisait progressivement.

Bien sûr, le gouvernement Gradenbourgeois tenta de fournir du travail aux réfugiés afin qu'ils participent à l’économie du pays. Cependant, il y en avait trop. Habitué à une population active de moins de 300 000 personnes, le Gradenbourg devait maintenant trouver du travail pour plus d’un million de personnes, et ce chiffre ne faisait qu’augmenter de jour en jour, de mois en mois.

Cette situation perdura jusqu’en 1961, date à laquelle la situation se dégrada. Les caisses étaient vides, l’économie ralentissait, et surtout aucune aide du gouvernement central n'était en vue, une aide qui aurait été très précieuse. En moins d’un an, la famine commença à s’installer, la précarité qui était déjà présente explosa. Mais en 1962, une lueur d’espoir apparut. Une aide, enfin, allait arriver, mais étrangement, elle ne venait pas du gouvernement central, mais de Rasken, alors toujours en guerre contre la république de Brod Flor. Cependant, la situation était suffisamment stable pour que les chefs de Rasken puissent se permettre d’envoyer de l’aide.

Le matin du 14 avril, quelle ne fut pas la surprise des habitants quand ils virent des camions militaires de l’armée Raskenoise arriver dans la capitale du Gradenbourg, Brugberg. À peine arrivés, ceux-ci commencèrent à décharger des provisions.

Cette situation perdura après la fin de la guerre civile opposant la république de Brod Flor à Rasken. Car même si les combats avaient cessé, la population du Gradenbourg était passée de 500 000 habitants à près de 3,6 millions, soit beaucoup trop par rapport à ce que pouvait supporter le pays. Cependant, cette population ne resta pas à 3,6 millions. Une fois la fin de la guerre civile, de grands mouvements de population débutèrent. Ceux qui avaient fui la guerre civile en trouvant refuge au Gradenbourg entamèrent maintenant leur retour vers leur pays. Ainsi, de 3,6 millions, la population passa à 830 000 habitants en 1980.

Cette période allant de 1951 à 1976 marqua fortement les Gradenbourgeois, mais pas pour les raisons auxquelles on s’attendrait. Ce qui les marqua le plus fut l’absence totale de réaction du gouvernement central et l’aide que Rasken arriva à apporter alors que le pays était encore en guerre. Cela fit que même bien des années après, le peuple Gradenbourgeois était très Raskénophile et assez anti-Hotsalien. Ce qui fit que dans les années qui suivirent le retour des Raskenois chez eux, le Gradenbourg stoppa quasiment intégralement ses échanges économiques avec le reste de la Kresetchnie. Par exemple, avant, le Gradenbourg vendait quasiment intégralement son charbon aux aciéries Hotsaliennes. Après, le Gradenbourg vendait intégralement son charbon à Rasken.

Cette amitié entre le Gradenbourg et Rasken eut un impact certain pendant les événements de 1994.

1994 →1995
1994 →????
42

Géographie (Informations de 2012)



Gradenbourg
38

Culture (Informations de 2012)



Gradenbourg
40

Politique (Informations de 2012)



Gradenbourg
6326

Économie du Gradenbourg (Information de 2012





Le meilleur adjectif pour qualifier l’économie du Gradenbourg est "anecdotique" et fortement dépendante du secteur primaire. Comme vous pouvez le voir ci-dessus, le secteur primaire domine largement avec près de 8,16 milliards d’euros de PIB, représentant à lui seul près de 63,1% de l’économie Gradenbourgeoise. À l’inverse, le secteur tertiaire est quasiment inexistant, avec 150 millions d’euros de PIB, soit seulement 1,2%.

Détails de l’économie du Gradenbourg
Secteur Primaire
Charbon : avec une production annuelle de 33,3 millions de tonnes, ce secteur génère un PIB de 5 milliards d’euros.

Gaz : avec une production annuelle de 250 millions de m³, ce secteur génère un PIB de 300 millions d’euros.

Fer : avec une production annuelle de 4,38 millions de tonnes, ce secteur génère un PIB de 657 millions d’euros.

Bauxite : avec une production annuelle de 438 000 tonnes, ce secteur génère un PIB de 15,3 millions d’euros.

Manganèse : avec une production annuelle de 131 400 tonnes, ce secteur génère un PIB de 187 millions d’euros.

Titane : avec une production annuelle de 43 800 tonnes, ce secteur génère un PIB de 209,802 millions d’euros.

Zirconium : avec une production annuelle de 4 380 tonnes, ce secteur génère un PIB de 100,74 millions d’euros.

Céréales : avec une production annuelle de 3 millions de tonnes, ce secteur génère un PIB de 858 millions d’euros.

Raisin : avec une production annuelle de 107 283 tonnes, ce secteur génère un PIB de 49,35 millions d’euros.

Légumes : avec une production annuelle de 194 444 tonnes, ce secteur génère un PIB de 350 millions d’euros.

Poisson : avec une production annuelle de 3 137 tonnes, ce secteur génère un PIB de 48 millions d’euros.

Phosphore : avec une production annuelle de 1,4 million de tonnes, ce secteur génère un PIB de 392 millions d’euros.

En tout, le secteur primaire génère un PIB de 8,165 milliards d’euros.


Secteur Secondaire

Électricité : avec une production annuelle de 10 TWh, ce secteur génère un PIB de 450 millions d’euros.

Acier : avec une production annuelle de 912 500 tonnes, ce secteur génère un PIB de 812,125 millions d’euros.

Aluminium : avec une production annuelle de 438 000 tonnes, ce secteur génère un PIB de 219 millions d’euros.

Vins : ce secteur génère un PIB de 392 millions d’euros.

Superphosphate simple : avec une production annuelle de 2 millions de tonnes, ce secteur génère un PIB de 840 millions d’euros.

Phosphate monoammonique : avec une production annuelle de 1,15 million de tonnes, ce secteur génère un PIB de 934 millions d’euros.

Phosphate diammonique : avec une production annuelle de 833 333 tonnes, ce secteur génère un PIB de 625 millions d’euros.

Ciment : avec une production annuelle de 4 millions de tonnes, ce secteur génère un PIB de 400 millions d’euros.

BTP : ce secteur génère un PIB de 350 millions d’euros.

En tout, le secteur secondaire génère un PIB de 4,63 milliards d’euros.

Cependant, bien que cette économie soit anecdotique aujourd’hui, il y a 20 ans, elle était inexistante. En effet, alors qu’aujourd’hui, le PIB du Gradenbourg avoisine les 13 milliards d’euros, avant 1994, il tutoyait à peine les 2,5 milliards d’euros, provenant à 95% du charbon.

Cette évolution spectaculaire en 20 ans représente une croissance de près de 10% chaque année depuis que le Gradenbourg est sous tutelle Raskenoise. Quoi qu’en disent ses détracteurs, cette mise sous tutelle en 1994 a eu beaucoup d’effets bénéfiques pour le Gradenbourg et son économie, mais revenons au début.

En 1994, l’économie du Gradenbourg est en crise, précisément depuis 1991, année où la production de charbon a commencé à décliner après avoir atteint un pic de production annuelle à 15,8 millions de tonnes. Or, le charbon participait à hauteur de 95% de l’économie Gradenbourgeoise. La baisse de la production de charbon entraîna alors une crise économique dans le pays. La seule aide que le Gradenbourg reçut fut celle de Rasken, ce qui, en plus de toutes les précédentes, a grandement contribué à ce que la majorité des Gradenbourgeois soient pro-Rasken. Dès que la crise de 1994 entre Rasken et la Kresetchnie fut terminée et que la mise sous tutelle du Gradenbourg fut actée, Rasken se mit immédiatement au travail. Dans un premier temps, l’objectif de la nouvelle administration fut de moderniser les infrastructures et l’économie déjà en place.

Cela passa d’abord par le plan AIC (Amélioration de l’Industrie Charbonnière). Ce plan, qui s’étala sur 2 ans, de 1995 à 1996, avait pour but de grandement moderniser l’industrie charbonnière du Gradenbourg, qui dépendait encore largement de machines et de méthodes des années 1950. Ce plan modernisa l’ensemble de la filière du charbon au Gradenbourg en apportant les technologies et les méthodes d’extraction/traitement les plus modernes que possédait Rasken. Cette modernisation est la principale cause de l’envolée de la production de 1996 à 1999, avant d’atteindre un plateau aux alentours de 33,3 millions de tonnes de charbon par an, chiffre stable depuis 1999. En plus de cela, un vaste plan de récupération secondaire fut engagé. Ce plan avait pour objectif final de récupérer 100 % du méthane présent dans le charbon (grisou) pour éviter son rejet dans l’atmosphère, mais aussi de valoriser cette ressource supplémentaire afin de créer une source de revenus supplémentaire pour l'AMG.

En parallèle de la modernisation du charbon, un vaste plan de recensement des ressources du sol Gradenbourgeois fut entrepris. Ce plan, qui débuta en 1995, est encore actif de nos jours. Il a permis de mettre au jour deux gisements : un gisement de fer, exploité avec la mine de Wernz dans le nord du pays, et un gisement de phosphore, exploité avec la mine de Spitz dans le sud.

Le gisement de fer découvert en 1998 permit de lancer une industrie métallurgique au Gradenbourg avec les premières aciéries, mais aussi des installations de traitement de bauxite, de manganèse, de titane et de zirconium coproduits dans la mine de fer de Wernz. Le gisement de phosphore, découvert en 2002, a permis de lancer une industrie de l’engrais très florissante, qui s’avéra très utile pour un autre plan lancé par l’AMG en 2008.

En parallèle de ces différents plans, la décision fut prise de subventionner la construction de deux cimenteries (une dans le nord en 1997 et une autre dans le sud en 1998) afin de produire localement les matériaux de construction nécessaires à la reconstruction de l’AMG. Ces deux cimenteries permirent de grandement réduire le chômage de manière locale.

En plus de ces différents plans, la décision fut prise de subventionner abondamment le domaine agricole. L’objectif affiché de l’administration était au minimum de rendre autosuffisant le Gradenbourg dans le domaine alimentaire. Cet objectif fut grandement facilité grâce à la découverte du gisement de phosphore dans le sud, qui permit de produire localement tout l’engrais nécessaire. Cet objectif prit la forme des plans IAG (Indépendance Alimentaire du Gradenbourg). Le premier IAG, en 1997, cibla la production de céréales, puis vint l’IAG 2003, qui avait pour but d’augmenter grandement la production de légumes. En 2007, l’IAG 2007 fut lancé pour cibler la production de poisson, tant de la pêche que de l’aquaculture. Le plan IAG 2007 est le dernier en date à avoir été lancé, mais il devrait être prochainement remplacé par un nouveau plan IAG qui devrait se focaliser sur l’élevage.
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