Posté le : 21 avr. 2024 à 10:36:40
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Missive exceptionnel intergouvernemental à destination du ministère de l'économie Lermandien
Excellence, j'ai eu la récente tache de vous transmettre en tant que nation responsable de la prospection de ressources sous marines sur votre sol. Le rapport établit par l'ANTS sur vos ressources sous maritimes. Ce rapport s'inscrit dans une suite d'études réalisées par les membres de la dite entreprise ANTS. Ce rapport fut établi selon les règles et disposition du traité signé par les deux acteurs que sont le Stérus et la Lérmandie. La véracité de ce rapport est certifiée par le gouvernement Stérusien. Ainsi toute contestation de la part d'un tiers dans le but de nuire aux relations Stéruso-Lermandienne, ou dans le but de causer la nullité du traité en vigueur, sera considéré comme un acte d'hostilité à l'encontre du gouvernement et donc de l'état de Stérus. C'est pourquoi Monsieur le ministre de l'Économie de Lermandie nous vous demandons de ne pas transmettre ce rapport à d'autres états avant sa divulgation dans la presse. Voici donc la copie conforme du rapport que nous avons reçus le 14/05/2013 à 18 H et 12 minutes.
Direction Génrale de l'ANTS a écrit :
Rapport des prospections menées dans le cadre du traité du 29/03/2013 entre l'ANTS de Stérus et le BEPAL de Lermandie
Sommaire du rapport
- Introduction
-Elaboration des prospections
-Résultats des prospections
-Examen de l'impact de l'extraction des dites ressources
-Elaboration des méthodes de construction des infrastructures d'exploitation
- Examen de l'impact environnementale de construction d'infrastructure
-conclusion du rapport
Introduction du rapport
Dans le cadre du traité en vigueur entre la Fédération de Stérus et la Lermandie, notre société a procédé à une inspection détaillée et qualitative du littoral lermandie. Le but étant in fine de parvenir a trouver des ressources pétrolière, de gaz ou bien d'hydrocarbures. Et de procéder à l'élaboration de construction d'infrastructure étant dans la capacité d'exploiter ces ressources. Avec pour consigne de respecter les normes environnementales du pays. Nous avons donc utilisé des moyens conséquents, car la mobilisation de tel moyens de recherches est extrêmement coûteux. Mais étant donné le caractère exceptionnel de cette mission nous avons décidé d'allouer un fort pourcentage de notre budget dans ce contrat. Vous trouverez donc dans ce rapport toutes les étapes par lesquelles nos experts sont passés pour parvenir a la rédaction finale de ce rapport. Ce rapport détaillé est l'œuvre unique de l'entreprise Stérusienne l'ANTS.
Elaboration des inspections
Le littoral Lermandien s'étant sur une surface d'environ 2235 de kilomètres, il à donc été nécessaire de diviser de façon significative cet espace. Le littoral en sa définition est "la bande de terre constituant la zone comprise entre une étendue maritime et la terre ferme, le continent, ou l'arrière-pays." Ainsi, selon la définition, nous devrions pouvoir exploiter des sous-terrains non-maritimes. Mais selon le traité nous avions comme obligation de ne pas quitter l'espace maritime. Nous avons donc établi une fourchette d'inspection.(Étant donné qu'il n'existe aucune reconnaissance internationale de ZEE, nous ne pouvons nous y soumettre.). La fourchette s'établit donc d'une zone d'inspection allant de 100 mètres des cotes à 30 kilomètres établissant à environ 67 000 kilomètres carrés de cote a inspecter. Nous avons séparé en 6 espaces ;
- Le 1er espace correspond aux 5 premiers kilomètres des cotes Lermandienne donc de 100 mètres a 5 kilomètres.
- Le 2e espace correspond aux 5 kilomètres suivants du 5e aux 10 kilomètres.
- Le 3e espace correspond du kilomètre 10 au kilomètre 15.
- Le 4e espace correspond du kilomètre 15 au kilomètre 20.
- Le 5e espace correspond du kilomètre 20 au kilomètre 25.
- Le 6e espace correspond du kilomètre 25 au kilomètre 30.
Ensuite ces mêmes espaces, on était divisé en carrés de 5 km2. Soit 13 400 parcelles en tout. Étant donné qu'il était trop complexe de détailler ici le contenu des sous-sol des 13 400 parcelles il fut décidé que pour des raisons de logistique le rapport se ferait sur les 6 espaces qui seront eux même divisés 2 menant a 12 zones d'inspection au total. Pour ces 12 zones, nous avons déployé une véritable armée de chercheurs. Nous avons loué à des industries privées des sous-marins de petites tailles et des bateaux construits expressément pour la recherche. Le gouvernement Stérusien a également financé à hauteur de 50 % les besoins en matériels. Les recherches se faisaient en trois méthodes. Premièrement, un robot sous-marin était envoyé dans les profondeurs pour y faire des prélèvements. Dans le cadre de l'article 9 du traité avec la Lermandie cette méthode fut largement contrôlée et réduite. En deuxième possibilité, il y avait une étude approfondie de la composition de l'eau aux différents pallié maritime. Ensuite, venait la possibilité des câbles sous-marins, étendus sur plusieurs dizaines de kilomètres équipés de système appelés hydrophone capable d'identifier les mouvements et contenants des sous-sols maritimes. Encore une fois, les câbles furent en premier lieu rénovés et rajeunis afin de les rendre le plus léger possible pour ne pas détruire les fonds marins. Grace a une technologie de pointe, nous sommes parvenus à rapidement identifier plusieurs zones suspectés de posséder des réserves de ressources
Résultat detaillé de la prospection espaces par espace
1er espace du kilomètre 0.100 au kilomètre 5.
Première moitié de 0.100 a 2.5 kilomètres
Les résultats des prélèvements et recherches ont rendus ceci :
Présence d'atomes composés exclusivement de carbone et d'hydrogène : OUI
Quantité d'hydrocarbures exploitable dans la zone : 0.0001 %
Possibilité d'exploitation : NON
Pour rappel la présence d'hydrocarbure et donc de pétrole et de gaz s'identifie par la présence d'atomes composés exclusivement de carbone et d'hydrogénes.
Deuxième moitié de 2.5 kilomètre à 5 kilomètres
Les résultats des prélèvements et des recherches ont rendus ceci :
Présence d'atomes exclusivement composés de carbone et d'hydrogènes : OUI
Quantité d'hydrocarbure exploitable dans la zone : 0.01%
Possibilité d'exploitation : NON
L'espace numéro 1 est donc déclaré comme non exploitables en matières de Pétrole et de GAZ.
2eme Espace, du kilomètre 5 au kilomètre 10.
Première moitié du kilomètre 5 au kilomètre 7.5
Les résultats des prélèvements et des recherches ont rendus ceci :
Présence d'atomes exclusivement composés de Carbone et d'hydrogènes : OUI
Quantité d'hydrocarbures exploitable dans la zone : 39 %
Possibilité d'exploitation : OUI
Deuxième moitié allant du kilomètre 7.5 au kilomètre 10.
Les résultats des prélèvements et des recherches ont rendus ceci :
Présence d'atomes exclusivement composé de carbone et d'hydrogènes : OUI
Quantité d'hydrocarbure exploitable dans la zone : 43%
Possibilité d'exploitation : OUI
L'espace numéro 2 est considéré comme exploitable. Les recherches ont permis d'identifier des réserves conséquentes de gaz dans les sous-sols. Trois réserves de 2 millions de mètres cube de gaz ont été identifiées par nos capteurs. Ils se trouvent sur les côtes ouest à environ 8 et 9 kilomètres des cotes. Leur emplacement exact, vous serez fourni en amont.
3-ème espace du kilomètre 10 au kilomètre 15
Première moitié allant du kilomètre 10 au kilomètre 12.5
Présence d'atomes exclusivement composé de carbone et d'hydrogènes : OUI
Quantité d'hydrocarbures exploitable dans la zone : 29 %
Possibilité d'exploitation : OUI
Deuxième moitié allant du kilomètre 12.5 au kilomètre 15.
Présence d'atomes exclusivement composé de carbone et d'hydrogènes : OUI
Quantité d'hydrocarbures exploitable dans la zone : 35 %
Possibilité d'exploitation : OUI
L'espace numéro 3 est considéré comme exploitable. Les recherches ont permis d'identifier une réserve d'hydrocarbures, massivement pétrolier. Selon nos recherches, on pourrait estimer la réserve à un équivalent de plusieurs millions de barils allant de 200 à 500 millions. De plus profondes analyses pourraient déterminer le nombre exact. Ce qui en fait une immense réserve. Nous avons également pu constater des réserves de Gaz à cet endroit, minime, mais qui pourrait faire l'objet d'une exploitation, car concentrant tout de même 5 milles a 10 milles mètres cube. On peut donc imaginer une double exploitation. Mais autant prévenir qu'aucune plateforme ne sera construite pour exploiter seulement 5 à 10 milles mètres cubes de ressources gazières.
Espace numéro 4 allant du kilomètre 15 au kilomètre 20.
pour la première moitié du kilomètre 15 au kilomètre 17.5
Présence d'atomes exclusivement composé de carbone et d'hydrogènes : OUI
Quantité d'hydrocarbures exploitable dans la zone : 7%
Possibilité d'exploitation : OUI/NON
Deuxième moitié allant du kilomètre 17.5 au kilomètre 20
Présence d'atomes exclusivement composé de carbone et d'hydrogènes : OUI
Quantité d'hydrocarbures exploitable dans la zone : 9%
Possibilité d'exploitation : OUI/NON
L'ANTS à titre de constructeur ne conseillera pas le développement d'infrastructure conséquentes dans cet espace-ci. Cependant, il en va de la décision Lermandienne de décider si oui ou sinon la zone mérite d'être exploité ou non. Sachant que la quantité d'hydrocarbure disponible est d'environ 1 à 2 millions de barils de pétrole et 50 a 60 milles mètre cube de gaz. La construction peut être envisagée, mais seulement a cours termes, les zones serons assez rapidement vidés des ressources.
Espace 5, allant du kilomètre 20 au kilomètre 25.
Première moitié du kilomètre 20 au kilomètre 22.5
Présence d'atomes exclusivement composé de carbone et d'hydrogènes : OUI
Quantité d'hydrocarbures exploitable dans la zone : 2%
Possibilité d'exploitation : NON
Deuxième partie de l'espace 5, du kilomètre 22.5 au kilomètre 25.
Présence d'atomes exclusivement composés de carbone et d'hydrogènes : OUI
Quantité d'hydrocarbure exploitable dans la zone : 19%
Possibilités d'exploitation : OUI
Dans ce cas de figure, seul la deuxième zone de l'espace numéro 5 sera exploitée. Les réserves de Gaze y sont estimées à 2 millions de mètres cube et 200 a 300 millions de barils de pétrole. Ce qui est en fait une zone non négligeable dans la quantité de pétrole qui sera extrait.
Espace 6 allant du kilomètre 25 au Kilomètre 30
Première moitie du kilomètre 25 au kilomètre 27.5
Présence d'atomes exclusivement composés de carbone et d'hydrogènes : oui
Quantité d'hydrocarbures exploitable dans la zone : 65 %
Possibilité d'exploitation : OUI
Deuxième moitié de l'espace 6, allant du kilomètre 27.5 au kilomètre 30.
Présence d'atomes exclusivement composés de carbone et d'hydrogènes : OUI
Quantité d'hydrocarbures exploitable dans la zone : 59 %
Possibilité d'exploitation : OUI
Ici, on parle de la plus grande réserve des cotes Lermandienne, on estime entre 8 milliards et 10 milliards de barils la quantité présente dans cet espace. On peut imaginer que c'est ici que serons concentrés les efforts d'exploitation sous-marine. On a aussi pu identifier 5 zones importantes de réserves de gaz qui unit représentent entre 10 et 15 millions de mètres cube.
On peut donc si on assemble tout cela présager que l'exploitation de ses ressources va largement pouvoir profiter aux autorités Lermandienne. Pour des précisions plus géographiques, la majorité des réserves se trouvaient sur la cote ouest de la Lermandie, mais sur la cote Est, ce sont principalement les réserves de gaz qui ont pu être identifié surtout de l'espace numéro 2. Nous avons également au niveau de l'espace numéro 6 quelques doutes sur les réelles capacités d'exploitation. Car une des zones qui renferme le pétrole est à cheval sur les cotes Lermandienne et Westalienne.
Examen de l'impact de l'extraction des dites ressources
L'Activité, humaine a toujours joué un rôle important sur la biodiversité des écosystèmes, on le sait l'homme passe souvent plus son temps à détruire la nature qu'à la protéger. Mais ainsi, quels sont les impacts sur l'environnement de l'exploitation de ces ressources et quels moyens sont mis en œuvre pour améliorer cela ?
l'impact :
Premièrement, c'est une perte de la biodiversité dans sa globalité, les animaux qui se trouvent dans les fonds marins, sont généralement des espèces lentes et avec un mécanisme génétique très lent et donc un système de reproduction et une croissance majoritairement lente. En raison de l'obscurité et du manque de nourriture abondante. Ainsi, le fait d'aggraver leurs conditions de vie peut directement menacer l'existence de certaines espèces dans les sols exploités. De même souvent les espèces présente dans ces endroits a de fortes exploitations, finissent très souvent pars quitter la zone, et probablement sans jamais y revenir. Ainsi, les prédateurs manquent de proie et s'en vont également. C'est donc toute la chaîne alimentaire, et toute la biodiversité qui se voit menacée par l'arrivée de ces énormes infrastructures.
De même que les matériaux et bâtiments utilisés par les humains, ils sont source de bruit, de pollution de mouvements incessant qui perturbe l'équilibre des animaux marins. Sans oublier les polluants que rejette dans l'eau toutes les infrastructures.
Mais alors quels sont les remèdes ?
Et bien l'ANTS s'est creusé la tête pendant des mois pour parvenir à mettre en place un plan respectueux de l'environnement. Premièrement, chaque bâtiment utilisé devra être à 100 % alimenté par une énergie verte. Les plateformes d'exploitation, elles auront un système d'envoi de signaux sonores considéré comme apaisant pour la faune. De même que les câbles, tuyaux qui descendront dans les sous-sols seront équipé de capteur pour trouver la zone la moins habitée du lieu. Et enfin, les plateformes et les câbles seront équipés de système antibruit.
Élaboration des méthodes de construction des infrastructures d'exploitation
Avant le début de chaque plateforme, il a fallu faire des repérages et des prélèvements météorologiques dans le but de pouvoir construire la plateforme avec les matériaux les plus adaptés aux différentes conditions. Une fois, cela fait les usines Stérusienne et Lermandienne ont tournées à plein régime dans le but de concevoir et des rassembler les matériaux utiles dans l'exploitation.
Méthode de Fonctionnement
Une plateforme pétrolière se divise en deux parties :
les « topsides » : composé de modules généralement préfrabriqués, ils correspondent à la partie utile au-dessus de la surface.
la « structure porteuse » : en treillis tubulaire métallique (assemblage de tubes métalliques formant une triangulation), en colonnes de béton ou encore sous la forme de barge flottante dans le cas d’une FPSO (Floating Production Storage and Offloading), elle sert à maintenir la partie utile au-dessus de l'eau.
Une unité de traitement sépare et traite les composants récoltés (pétrole, gaz, eau) avant qu’ils soient transportés par pipeline ou par tanker vers une raffinerie.
Le derrick est le point le plus haut d’une plateforme de forage. Cette tour métallique, dans la phase de forage, permet de soutenir une très longue tige au bout de laquelle se trouve une mèche de forage, le trépan. Cette tige est rallongée au fur et à mesure que le trépan broie les différentes couches de roche du sous-sol pour atteindre le gisement de pétrole.
Les tiges peuvent s'enfoncer et pénétrer jusqu’à des profondeurs de 3 ou 4 kilomètres pour atteindre des réservoirs de quelques mètres d’épaisseur seulement comme chez les humains. La précision de l’impact est donc exceptionnelle. Lorsqu’il est nécessaire de creuser un autre puits pour récupérer ou injecter des fluides, le derrick est déplacé sur la plateforme et un nouveau forage est entrepris.
Il permet aussi de forer à l’horizontale, à l’aide d’une tête de forage rotative permettant d’incliner progressivement la courbe opérée par la tige. Ce type de forage permet d’exploiter ainsi des surfaces de plusieurs kilomètres carrés depuis la plateforme sans avoir à se déplacer à la verticale des gisements.
Au-delà de 300 m de profondeur, l'exploitation ne se fait plus avec des plateformes fixes mais avec des installations flottantes.
Conclusion
À travers ce rapport, l'ANTS a tenté de détailler au mieux possible la mission de prospection de ressources en hydrocarbures. Nous avons pu détailler nos méthodes de fonctionnement grâce notamment à nos systèmes dernières génération, nous avons pu vous présenter et positionner de façon plutôt précise l'emplacement des zones les plus densément composé de ressources en hydrocarbures sans oublier l'impact environnemental de ceux-ci, puis enfin nous put vous expliquer comment nos plateformes étaient conçues, quels sont leurs méthodes de fonctionnement et comme vont-elles réagir en milieux marins.