Activités étrangères en Estado de Guadaires

Activités étrangères au Estado de Guadaires
Ce topic est ouvert à tous les joueurs possédant un pays validé. Vous pouvez publier ici les RP concernant les activités menées par vos ressortissants au Estado de Guadaires. Ceux-ci vous permettront d’accroître l'influence potentielle de votre pays sur les territoires locaux. Veillez toutefois à ce que vos écrits restent conformes au background développé par le joueur de l'Estado de Guadaires, sinon quoi ils pourraient être invalidés.

Ministère des Affaires Étrangères de la République de Faurnité

À l’intention de l’Estado de Guadaires. Le 30/05/2013

Bonjour,

Je suis le représentant de l’État à l’international et je suis ministre des affaires étrangères, Victor Andersen, je vous contacte au nom du président de la République de Faurnité mais aussi au nom du peule Faurnitien.

Je vous contacte car j’aimerais ouvrir une diplomatie commerciale avec votre nation. Nous sommes des pays qui commencent leurs développement économique. Je peux vous aider à construire une flotte navale afin de sécuriser vos cotes.
Nous allons ouvrir dans 2 à 3 jours, une troisième industrie militaire qui nous permettra de lancer une production de navires dédiés à la vente.
Nous fixerons un prix d’achat en points de développement. En fonction de ce que vous voulez commander (avec le niveau de recherche qui nous est en capacité de produire). Nous avons pu constater que vous aviez déjà connu la guerre, ce que nous ne connaissons pas.

Si vous êtes intéressés, regarder dans notre forum, le marché des navires. Une liste des navires y seront inscrits avec un prix en points de développement.

De plus, je propose d’installer une ambassade dans nos pays respectifs afin que nos pays puissent être amis.
Nous pouvons aussi vous aider en cas de conflit en vous envoyant du matériel militaire (navires ou armes) louable ou achetable.
Cependant, aucunes unités ne seront envoyées sauf si la Faurnité est aggressée.

Qu’en pensez vous ?

Merci à vous et en espérant bientôt vous revoir,

Ministre représentant de la Faurnité et des affaires étrangères, Victor Andersen

Ministère des Affaires Étrangères de Faurnité

À l’intention de l’Estado de Guadaires

Bonjour à vous,

En tant que représentant de l’État à l’international et en tant que ministre des affaires étrangères, moi, Victor Andersen, je vous réponds au nom du président de la République mais aussi au nom du peule Faurnitien.

Je vous contacte pour vous annoncer que l’ambassade pour votre nation a été inauguré hier par moi même. De plus, Julie Mirmet est en chemin pour votre nation en tant qu’ambassadrice de la Faurnité.

Les récents événements terroristes qui ont frappés la Faurnité nous a renforcé l’idée d’ouvrir une voie diplomatique importante avec les nations du monde.

Merci à vous et en espérant bientôt vous revoir,

Ministre représentant de la Faurnité et des affaires étrangères, Victor Andersen

Projet: Conférence de Velcal
Pour la formation d'une ligue de défense de nos intérêts communs

"A toutes les forces de bonne volonté en ce continent et du reste de ce monde, j'en appelle à toutes les nations libres et désireuses de le rester, du danger que représente ces choses qui composent notre paysage politique eurysien actuel. Ces organisations supra-nationales qui défigurent le sens du mot "souveraineté" et qui se servent de tout leur poids pour interférer dans l'existence de ceux ne désirant que la tranquillité d'âme, d'esprit, et dont l'unique volonté est d'exister dans la paix de leur foyer, sans que l'on ait à les invectiver de vivre d'une mauvaise manière. Que ces Hommes soient libres de vivre selon leurs valeurs et conscience propre, c'est là mon seul désir. La Grande République de Velsna sera toujours l'ennemie de toutes les volontés d'hégémonie d'un petit groupe de nations, quelle que soit les valeurs dont ces dernières se targuent ou les convictions politiques qu'elles brandissent. Cela n'a toujours et éternellement que la même finalité: une hégémonie politique, économique, culturelle ou les trois à la fois. Je suis de ces hommes qui estime que c'est la seule volonté d'un peuple qui est légitime à la direction qu'il prendra: si celui-ci désire la démocratie, que l'on ait pas à lui imposer par les armes, et il en va de même avec le communisme et tous les régimes ne mettant pas en péril le droit de leurs voisins à faire de même. OND, Liberaltern, ONC...ce sont là des appellations différentes pour une même méthode de terreur et de pression politique sur les petits, les faibles et les nations isolées. Le seul horizon politique auquel ces nations ont le droit est le suivant: quand est-ce que notre tour sera venu d'être la cible d'une intervention criminelle d'une armée qui causera bien davantage de mal que de bien à notre patrie ? Alors que le sens de l'Histoire devrait être dédié aux particularismes et à l'exception que représente chacun d'entre nous, nous nous complaisons à éterniser un monde ne nous laissons d'autre choix que la conformité. La conformité ou la disparition, tels sont les deux seuls choix de ces nations.

C'est pourquoi, en vertu de l'état politique désastreux d'un monde partagé entre des organisations au but noble, mais dont la finalité est mortifère, que nous annonçons le présent projet validé par le Sénat des Mille de la Grande République de Velsna: à savoir la mise en place d'une Ligue d’États souverains et indépendants, dont le seul et unique but sera la préservation de leur indépendance à tout prix. Notre organisation ne sera pas une union économique, ni même une union politique ou culturelle artificielle et dont les contraintes seraient bien trop nombreuses à notre goût. Il ne s'agira pas là non plus de nous affilier à raison d'une idéologie commune, car nous n'avons que faire que de la manière dont vous concevez votre monde. Il ne s'agira en réalité là que de deux choses: un pacte défensif commun, et uniquement dans ce cas de figure, et la mise en place d'un marché de l'armement interne à tarifs préférentiels. Ni plus, ni moins, car nous pensons qu'il n'y a guère meilleure organisation supra-nationale que celle que l'on voit le moins souvent.

En vertu de ces principes que l'on pourrait qualifier à juste titre de minimaliste, nous n’exigerons des futurs intéressés que deux choses:
- De ne faire partie d'aucune des trois organisations suivantes: ONC, OND ou Internationale Libertaire.
- De respecter votre engagement vis à vis de ce pacte de défense, qui mettra en jeu nos paroles et notre dignité."


- Matteo DiGrassi, Sénateur des Mille de la Grande République de Velsna, Maître du Bureau de l'Arsenal, vainqueur des achosiens et des landrins, restituteur du Sénat




Si vous êtes intéressés par ce projet, veuillez remplir ce formulaire dans l'éventualité d'une conférence qui se tiendra en la cité de Velcal, en Grande République de Velsna:

[b]Entité participante (nom complet du pays):[/b]
[b]Nom du représentant ou de la représentante:[/b]
[b]Observations personnelles et attendus de cette future organisation:[/b]

𝑪𝒐𝒎𝒎𝒖𝒏𝒊𝒒𝒖𝒆 𝒅𝒆 𝒍’𝑨𝑳𝑪𝑶
𝐼𝑛𝑞𝑢𝑖𝑒𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑟𝑒𝑐𝑢𝑙 𝑑𝑒𝑠 𝑙𝑖𝑏𝑒𝑟𝑡𝑒𝑠

En cette fin d’année 2015, nous ne pouvons que constater avec horreur l’effondrement, l’inquiétant recul des libertés de navigation, mises à mal par une fièvre spoliatrice - n’ayons pas peur des mots - qui prétend faire de la mer le territoire privé de quelques uns. L’association pour la libre circulation sur les océans, monument du droit maritime et garant des intérêts de ceux qui, avec courage et passion, empruntent la voie des océans et connaissent sa nature, rappelle ici l’essentiel, le fondamental, qui doit guider l’humanité dans le regard qu’elle porte sur l’onde : la mer n’est pas un territoire.

Le 16 des mois d’octobre et de novembre de cette année. À un mois d’intervalle seulement, deux preuves éclatantes de la westphalisation des océans. Ces deux événements, de gravité bien différente mais de nature étonnamment semblables, sont des symptômes de la maladie territoriale qui frappe le monde dans cette décennie 2010. De plus en plus, les États s’approprient des « territoires maritimes » où, non content de détenir les ressources naturelles, parfois même halieutiques, qu’ils renferment, ils croient pouvoir y faire appliquer la loi du continent. Laissez-nous dire aux responsables politiques que ce n’est pas de notre goût.

Le premier des deux événements, par l’ordre chronologique, ne relève pas vraiment de cette folie, dans la mesure où l’État de Guadaires n’entend pas s’approprier la mer Leucytalée. Mais depuis le 16 octobre 2015, l’intégralité de la marine de ce pays s’est approprié le détroit de Cerbesse et y conduit des contrôles. La mer n’est pas l’espace des armées, et les bâtiments qui y font commerce ne peuvent se plier à ce genre de caprices sur l’ensemble du globe ! Ce n’est pas à dire que les douanes ne peuvent intervenir en mer - elles le doivent au contraire. Mais ce genre d’opération dépasse les limites acceptables. L’ALCO demande donc instamment au gouvernement guadamos, et au nom des professionnels du secteur maritime qu’elle représente, de mettre fin à cette pratique au plus vite, ou au moins à fournir un agenda clair avec une perspective fixée de fin pour cette mission. Nous espérons que l’Etat guadamos conservera de bonne relation avec le secteur du transport maritime.

L’autre cas, en revanche, est d’une gravité toute autre. Depuis le 16 novembre 2015, c’est-à-dire ce jour, la République de Poëtoscovie a revendiqué ce que son gouvernement qualifie insidieusement de « Zone économique exclusive ». Mais les acteurs du secteur maritime ne s’y tromperont pas, n’en déplaise aux accapareurs. Une nouvelle fois, dans la continuité de cette fièvre qui semble se propager chez les dirigeants de ce monde, on voudrait nous faire croire que les États auraient des droits politiques dans de tels espaces. Or les fameuses « ZEE », qui font florès chez ces nationalistes et n’ont - rappelons-le - pas rencontré de grande légitimité à la Conférence de Roune sur le droit de la mer, ne concernent en théorie que la propriété des ressources situées sur l’eau, dans l’eau et dans les fonds marins. En aucun cas l’Etat détenteur de ces droits ne peut faire appliquer sa loi sur ces espaces : nous le revendiquons, ces espaces sont des zones de mer libre. La marine poëtosovienne n’a aucun droit dessus. Nous la sommons, au nom des professionnels du secteur que nous représentons, de renoncer à cette folie. Le cas contraire, l’ALCO se verra contrainte de réfléchir à des sanctions pour riposter à ces mesures injustes et illégitimes qui tendent à territorialiser ce qui ne peut l’être.

L’ALCO voudrait enfin encourager les autres gouvernements à ne pas se leurrer, à assurer leurs rôles de gardiens du libre commerce et à renoncer à la propriété des océans, dans l’intérêt de ceux qui font de la mer leur gagne-pain et sont au contact des flots.

Le président,
Henri Cassenta

Nouvelle épidémie de ZEEite aigüe dans le monde, l'Estado de Guadaires frappé de plein fouet !

Tel une horloge parfaitement aiguillée, chaque année les maux de l'être humain réapparaissent soudainement afin de causer du tord aux individus, des maux tel que la grippe aviaire, les épidémies de rougeole, les GPT félines, et plus récemment les Z.E.E. Pour ceux qui ne sont pas adeptes des acronymes du domaine médical cela signifie "Zone exclusive économique" et contrairement à ce que le nom laisse présager n'a rien à voir avec de l'économie et tient plus de la maladie psychologique qu'autre chose. Après tout comment pourrait-on appeler autrement la chose en sachant que certaines esprits habiles s'arrogent le droit de se déclarer comme part de leur patrimoine tout un pan entier de l'océan et ce souvent bien loin des côtes, ce sans aucune concertations avec le voisinage quitte à déborder chez leurs voisins voir même jusque dans leurs ports si l'on en croit certaines cartes ! Mais nous allons y venir.

Un peu d'actualité récentes, en fin d'année dernière, l'Estado de Guadaires, pays du sud de l'Eurysie voisin de la métropole Listonienne, bordant l'ouest du golfe d'Evasie et occupant la péninsule côté eurysien du détroit de Leucytalée, révèle dans les articles de presse public qu'un nouveau projet de loi est à l'étude. En théorie rien de choquant, c'est là le processus normal de toute démocratie saine qui opère, sauf que ladite loi en elle même est insolite de part son contenue. Vous l'aurez compris, c'est cette même loi qui doit mettre en place, aux yeux du gouvernement de Guadaires tout du moins, la fameuse "Z.E.E" du pays, à ceci près que celle ci dispose même de trois strates, la classique avec tout ce que cela implique à savoir uniquement le Guadaires dans ces eaux et personne de non autorisé d'autres, la seconde nommée Z.M.P pour zone maritime partagée qui est selon le contenu de la loi accessible aux pays proches, comprendre ceux à moins de 500 km du Guadaires. Et enfin, en troisième une Zone de contrôle qui implique des contrôles de navires par la Marine Guadamos, point là aussi très problématique dans la mesure où cette dite zone, non contente d'impliquer les zones "revendiquées" de la mer déjà contestable, s'étend à l'ensemble du détroit de Leucytalée et si l'on en croit les cartes fournis, jusqu'aux aux jouxtant les côtes Fortunéennes voir même le port de Grieta lui même.

Alors à ce moment là en fin d'année, la chose n'était encore qu'un projet de loi, et peu en avaient pensaient grand cas, dissipant la possibilité de son adoption comme des fariboles fantasques même si certains à la simple vue de la chose avaient grincé des dents à l'époque. Le président de l'ALCO en Gallouèse avait déjà via une tribune à l'époque dénoncé la chose et appelé à un rétropédalage. Mais voilà qu'arrivé à la seconde moitié de février dernier, coup de théâtre, le parlement Guadamos vote à une majorité écrasante, 580 voix contre 147, l'établissement de cette Z.E.E, ou Z.M.E si l'on reprend la terminologie de l'état eurysien mais qui, ne nous y trompons pas, reprend les mêmes codes que les précédents projets nommés ainsi par le passé.

Officiellement le gouvernement Fortunéen ne s'est pas exprimé sur la chose, même si notre Sérénissime République est pleinement concernée par la situation, car comme nous le mentionnons la Zone de contrôle de ladite loin impliquant la marine Guadamos englobe jusqu'aux eaux de Grieta de l'autre côté du détroit Leucytaléen, côté afaréen. Il est possible qu'en coulisse des tractations aient lieu ou soit préparé afin d'aborder la question, cela reste une grande inconnue à l'heure actuelle. Toutefois à titre informel il apparaît clairement que des dents grincent là encore et peut être même avec plus d'entrain que l'année dernière. En effet des officiers anonymes d'Il Estado da Màr ont fait part à nos journalistes que l'amirauté n'entendait pas que l'on "Marche impunément" sur les pieds de Fortuna dans son arrière cour. Un exécutant della Torre Bianca, anonyme lui aussi, nous a quand à lui partagé qu'aucune reconnaissance de cette "honteuse tentative de privatisation" du détroit n'était à l'ordre du jour. Il Signore Bernardo Ricardo Lévérini, le célèbre philosophe régulièrement invité sur le plateau de Dom Altarini dans son émission de l'heure des comptes à quand à lui estimé que l'existence de cette Z.M.E était nulle et non avenue.

Des avis qui se recoupent en somme, et qui trouvent aussi écho et soutient dans des endroits insoupçonné, il apparaît en effet que le gouvernement Teylais, dont l'on connaît la proximité de la Reine Catherine III avec le Doge Sérénissime, ne reconnaisse pas la Z.M.E Guadamos ce au nom de principes de Liberté de circulation mais aussi de par l'existence d'un Traité liant le royaume à la république de Velsna et dont un article implique la non reconnaissance des Z.E.E ou tout ce qui y ressemble. L'Empire Listonien non en reste et lui aussi concerné cette fois ci via sa métropole par les revendications Guadamos a aussi annoncé cette fois ci clairement ne pas reconnaître cette Z.M.E, dénonçant une tentative de spoliation des zones de pêches et d'accaparation des flux à travers le détroit qui de surcroît par la simple position de la première strate de la zone perturberaient la libre circulation à travers la région, obligeant à d'absurde détours et à l'accroissement des coûts proportionnellement.

Pour ce qui est du reste nos équipes se sont rendus sur le terrain, à Grieta afin notamment d'aller collecter les avis de monsieur tout le monde, là bas aussi les gens sont unanimes. Fernando, fils, petit fils et descendant d'une lignée de pêcheur nous a accordé quelques instants d'interview que nous vous retranscrivons.

Journaliste - << Du coup Fernando, le Guadaires a mis en place une loi promulguant l'établissement d'une Z.M.E, revendiquant entre autre l'exploitation de miles nautiques entiers, et à établit si l'on en croit cette loi une zone de contrôle qui signifierait la mise en place de potentiels contrôles par la marine Guadamos de toute embarcation transitant dans la région, vous en aviez entendu parler ? >>

Fernando - << Oui. J'ai vu passer ça aux infos hier, le Lévérini a fait tout un flan sur internet. >>

Journaliste - << Tout un flan ? Vous voulez dire que cette affaire n'a que peu d'importance pour vous ? >>

Fernando - << Ouaip. M'en fiche. Les autres aussi d'ailleurs, jusqu'au vieux Renato, le briscard a quatre-vingt balais et a déjà prit le temps de mettre des autocollant d'insultes pour les gugus de l'autre côté du détroit sur son chalutier. >>

Journaliste - << Un peu osé. Vous n'avez donc pas peur des potentiels contrôles ou des conséquences imposée par la marine Guadamos ? >>

Fernando - << Non. Qu'est-ce qu'ils vont faire de toutes façon ? Nous tirer dessus ? Même les Listoniens oseraient pas, car ils savent très bien qu'au moindre coup de canon tiré, Deria se ramène dans l'heure depuis Léandra avec sa flotte pour transformer Listonia en terrain vague. Vous pensez bien que à partir de là ce sont pas des guignols en costard, qui ont gobés les conneries des Kollisiens et des Poéto je sais pas quoi, et leurs chiens chiens de marins d'eau douce qui vont nous faire peur. >>

Journaliste - << Donc en soit rien n'a changé pour vous, vous allez continuer comme si rien n'était arrivé ? >>

Fernando - << Tout juste mon gars, on va continuer à pêcher et naviguer comme le faisaient nos pères, grands pères et les leurs. Si les Guadamos sont pas contents, qu'ils aillent se faire foutre. Ici on est à Grieta, le plus grand Port de ce côté ci de l'Afarée, là où des milliers d'explorateurs et des millions de navires sont partis à l'aventure. Là où partent des millions de lyres chaque année pour entretenir les docks militaires. Alors croit bien que les gradés de l'Académie hésiteront pas un seul instant à se servir de leurs gros jouets si ils ont pas leur sole meunière au diner. >>

Vous l'aurez donc compris cher lecteurs, même parmi les citoyens ordinaires, les avis sont tranchés, et tranchants d'ailleurs.

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Privatisations : tout doit disparaître !
Jouez, vous gagnerez peut-être !


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Initiative de la grande migration, s'expatrier à Velsna: pensez-y
Perspectives professionnelles, économiques et familiales



Cela pourrait être vous...(pas le chien hein)
Économie dynamique, vie culturelle bouillonnante, perspectives sans fin...notre cité s’enorgueillit de sa superbe et de son développement...mais à quoi bon profiter de la richesse si ce n'est pas pour la partager, et en faire profiter le reste de l'univers. C'est dans cette optique qu'a été créer "l'initiative de la grande migration", dont le nom fait écho aux différents grands mouvements d'installation leucytalienne dont notre cité a été marquée durant toute son Histoire. Conformément à sa tradition d’accueil, notre cité se fait donc la chantre d'une nouvelle "grande migration", avec tous les avantages offerts par le Gouvernement communal, et les perspectives que cela apporte.

Notre cité peine à suivre le rythme de son succès, et a un grand besoin de tout le génie que l'humanité est prête à lui offrir afin de relever les nouveaux grands défis du siècle à venir. Il n'y a pas de profils privilégiés, et chaque expérience, chaque nom, chaque histoire sera une richesse de plus à ajouter au grand livre de la cité.

Parmi les avantages mis en avant par cette initiative, les petits plats ont été mis dans les grands, que ce soit par nos partenaires publics ou privés, qui se sont assurés par une bonne concorde de toutes ces choses qui pourraient vous manquer dans votre patrie d'origine:
- Une sécurité de l'emploi et un chômage quasi inexistant.
- Une procédure d'immigration et un trajet entièrement réglé par nos partenaires publics et privés.
- Un accès à la citoyenneté facilité, avec un examen possiblement accessible un an à peine après votre arrivée (sous réserve de casier judiciaire vierge).
- La possibilité de choisir votre future cité de résidence parmi celles qui se sont joint à cette initiative.
- Une allocation consacrée à chaque nouvel arrivant pour une durée de trois mois, afin d'établir les fondation d'un projet familial et professionnel en toute sérénité.
- Un accès à la propriété facilité par un corpus de lois permissives concernant le parc immobilier velsnien.

Si vous êtes prêts à vous embarquer dans une grande aventure à nos côtés, vous pouvez dés à présent remplir ce court formulaire, afin que nous puissions traiter votre demande au plus vite. (à livrer à l'adresse suivante)


[center]Formulaire d'inscription de la Grande Migration [/center]

[b]Pays de résidence actuel:[/b]
[b]Nombre d'individus impliqués dans "la Grande Migration":[/b]
[b]Niveau de revenu estimé (choisir entre une fourchette basse, moyenne ou haute):[/b]
[b]Niveau de qualification estimé (choisir entre capital professionnel faible (aucun diplôme), moyen (niveau bac) ou élevé (Bac +3 ou plus):[/b]
[b]Cités de résidence sélectionnées (HRP, regardez la carte):[/b]
[b]Vos citoyens ont-ils déjà une maîtrise du velsnien standard/fortunéen ou une autre langue italophone:[/b] OUI/NON

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