Royaume fédéral de Charlésie
Généralités :
Aperçu du pays :
1. Balenie (francophone accent québecois)
2. Verdagne (normanophone et francophone accent québecois)
3. Fluminie (francophone)
4. Vivalie (italophone)
5. Garauvie (francophone)
6. Rozère (francophone)
7. Miljoie (francophone)
8. Harponge (francophone)
9. Carninjou (francophone)
La Charlésie est un pays qui veut la liberté de ses citoyens associée à l'ordre dans le pays, et la paix dans le monde à son échelle. Les cours d'eau seront la principale base des habitats et de l’économie. Comme le royaume est fédéral, ses provinces sont fortes, respectées et peuvent avoir leurs propres lois mais jurent de ne pas se séparer les unes des autres, de ne pas séparer de l’ensemble des provinces qu'est la "Nation". La Charlésie n'a pas vocation de devenir un empire, ni de faire des guerres. Tous les efforts militaires seront consacrés à la défense du pays. La décentralisation et la mise en valeur des territoires sont très importantes. Il y a 9 "provinces" (ou régions) qui sont : la Fluminie (région de fleuves et de plaine), la Vivalie (italophone), la Rozère (la moins peuplée, région de pampa et de terres arides), La Verdagne (région de bocages et de vergers), la Gar-Auvie (collines voire montagnes inspirée de l'Auvergne), le Carninjou, la Balenie (le plus au sud), l'Harponge (marais salant et plaine côtières), et le Miljoie.
Depuis, ces colons ont donc formé la Charlésie. En arrivant, ils voulurent choisir un roi qu'ils aimeraient, ils ont choisi Charolùs "Vielle lance" qui s'était distingué durant l’expédition et faisait preuve de respect vis-à-vis des adversaires. Il a aussi été choisi, car il était capable de fédérer les divers colons dans l'amour et le respect. la Nation était alors formée ! La "Charlésie" du nom des descendants de Charolùs Vielle lance qui modernisèrent leur nom en "Charles". Ils y avait sur ces terres que peu d'indigènes (à peine un million), ils ont été laissé dans leur coins ou se sont assimilés. Deux tribus ont été identifiées : les "maïbo" et les "huri" mais (encore une fois) ils restent très minoritaires. Leurs descendants se retrouvent principalement en Verdagne, en Rozère ou en Carninjou actuellement. Les pères Lamarque et Robercœur passèrent toute leur carrière à évangéliser ces tribus ce qui réussi pour la moitié de chacune. Les premiers arrivants (colons) n'étaient pas très nombreux (environ 3 millions), mais au fur-et-à-mesure, le pays se développant économiquement, les rois successifs, les institutions nationales et de provinces mirent leurs efforts dans le développement de la culture issue des divers inspirations précédemment citées. La paix étant trouvée dans le pays, la Nation souhaite maintenant en faire profiter ses voisins. Il n'y eut que vers le début-milieu du 19ème siècle une querelle entre les "ordonistes" qui souhaitent des mesures d'ordre très poussées et les "gilaudins" qui étaient attaché aux notions de liberté, de citoyen, de démocratie, de patrie et de fédéralisme. C'est en 1795 qu'émergèrent ces deux camps. A la suite de cette querelle qui dura jusqu'en 1875, le groupe "conservateur" émergea entre les deux, devint plus important puis majoritaire. Ils voulaient calmer les choses, garder certains acquis et avoir un équilibre. Ils souhaitaient - et ont - réorienté la politique toujours vers la gloire du pays et la paix tout en faisant des compromis entre les gilaudins et les ordonistes.
De 1845 à 1895, le pays vis une période de développement économique fort avec notamment la création d'un réseau de voies ferrées.
En 1967 les Gilaudins lancent la "Nouvelle Charte des Institutions Charlésiennes" dans un esprit de modernité tout en redécouvrant un esprit fédéraliste. La charte prônait la liberté et la démocratie. Parmi ces "chartistes" il y avait plusieurs tendance (qui ne seront pas détaillées ici). Les conservateurs et le roi acceptèrent cette charte car (en enlevant quelques lignes) il n'y voyait rien de contraire à la continuité nationale et royale. Suite à cela les ordonistes et gilaudins les plus radicaux se manifestèrent. Si il y eut beaucoup de débat il y eût aussi des tentatives de séparatisme (comme la République Sociale de Vivalie qui n’exista qu'un jour) et des affrontements (dont deux armés). Cette querelle était surnommée "l’insupportable" car elle était assez complexe et semblait ne jamais finir. Elle se clôtura pourtant en 1980 par un épuisement des différents camps. A ce moment, un homme politique indépendant du nom de Marc Ferrano s'imposa. Cette même année, il fit un long discours qui rappelait toute l'histoire du pays et combien il faut parfois oublier ses projets susceptibles de diviser car "ensemble nous formons une équipe " disait-il.
Donc à partir de 1980 il y eut la "politique Ferrano" qui fît une réactualisation ou un "rafraîchissement" de la plus part des institutions. Dans un esprit d'union, de corporatisme, d'agrarisme et en reprenant (en partie) la "Nouvelle Charte" de 1967 chère aux Gilaudins. Cette politique donna un peu plus de pouvoir au roi en prônant la "monarchie populaire" (sans culte de la personnalité). Au fait, concrètement, Marc Ferrano travailla avec des démocrates de tout bords et des proches du rois afin d'être en bon accord avec ce dernier. En 1981 un ami de Ferrano eut l'idée d'organiser des échanges (qui peuvent passer à la télévision) entre des parlementaires de tous bords. Marc Ferrano meurt en 2007, son action contribue à la stabilité politique du pays.
Et voilà où nous en sommes aujourd'hui. Le pays est bien développé et stable. Il peut il y avoir quelques tensions mais elles tendent de plus en plus vers des joutes simplement amicales, car les Charlésiens son conscients qu'ensembles ils peuvent faire de grandes choses. Cependant, il y a toujours des évolutions à faire et nous ne pouvons savoir ce que l'avenir nous réserve. Les habitants de l'ancien pays de Montlaval se sont réfugiés récemment en Charlésie en s’intégrant bien. Ils sont principalement en Verdagne ou en Balenie.
Les catholiques du pays accorde le plus d'importance au côté missionnaire, il partent souvent en mission dans les régions voisines.
Politique et institutions :
La "Démocratopole nationale (ou fédérale)" est un parlement polycaméral qui regroupe :
- L'assemblée fédérale du peuple : des gens du peuples volontaires pour consacrer un peu de temps à la politique, ils ont des convictions et sont là pour représenter le peuple avant tout. Ils sont appelés "démocrates". Ils votent les lois et amènent des conseillers au roi. Cette chambre est renouvelées tout les cinq ans.
- La chambre fédérale des corporations qui vote les lois concernant les métiers ou certaines lois concernant plus largement l'économique et le social.
- Le Rassemblent national des citoyens : regroupe exceptionnellement (sur décision du roi appuyé par ses conseillers) tous les citoyens du pays qui le souhaite pour discuter d'une loi ou d'un sujet national.
- Le Sénat : les sénateurs sont des professionnels du législatif. Ils contrôlent les lois et veillent au bon fonctionnement de la démocratopole. Cette chambre est renouvelée tous les dix ans mais un sénateur peut perdre son siège sur décision du conseil des sages (ou du roi appuyé de ses conseillers) pour une raison légitime (crime ou atteinte aux valeurs).
Ces deux dernières chambres décrites en italiques sont peu consultés et leur utilité est maintenant remise en question. Quoiqu'il arrive, le pouvoir législatif appartient à l'assemblée fédérale du peuple qui a toujours le dernier mot.
En lien avec le "Palais royal" :
- Les conseillers du roi ils jouent un rôle important dans la politique intérieure mais surtout ont le devoir de conseiller le roi. Ce sont les mieux placé pour ces deux tâches car ils viennent du peuple. Ils sont issus des différents groupes politiques majoritaires de l'assemblée fédérale ("conservateurs", "ordonistes" , "gilaudins" ou autres). Ils représentent les sensibilités politiques du peuple.
"Palais royal" :
- Un conseil de ministres qui aident le roi dans des domaines comme la diplomatie.
- Le roi, enfin, est populaire et à le titre de "bien-aimé", il doit aimer le peuple. Les faits historiques, le destins ou le peuple l'a mis en place. Il est roi à vie (sauf s'il souhaite démissionner, ce qui n'est jamais prévu) le roi jure de toujours aller dans un intérêt national. Et le plus important : il incarne l'unité du pays au-dessus de toute division, ce qui est très cher aux Charlésiens. "unir les Charlésiens dans l'amour du roi". Cependant le culte de la personnalité n'est pas dans les valeurs du pays. Le roi sera toujours très humble. Si le roi meurt, toutes les institutions se concertent pour arriver à un consensus et prendre une décision. Le nouveau roi peut venir de la noblesse, ou du peuple mais il doit avoir fait ses preuves et toujours être populaire et incarner l'unité du pays, ce peut tout-à-fait être une reine.
Il y a aussi un "conseil des sages" :
Réuni sept personnes à vie qui doivent êtres catholiques ou du moins attachés à une religions ou des principes moraux forts. Cependant ce sont toujours des laïcs. Ils doivent êtres très humbles, sincères et n'avoir aucune ambition de grandeur. Ils veillent à ce que les institutions soient toujours bonnes et aillent dans le sens du bien et de la morale, ce sont des philosophes ou des théologiens. Ils n'ont aucune influence sur la politique. Ils n'interviennent que s'ils constatent que les institutions se retournent contre le bien et la morale.
Il y a aussi aussi les chambres provinciales de : la "paysannerie" et celle des "métiers et de l'artisanat" qui est plus importante. Cette dernière regroupe les représentant des corporations.
D'autre institutions sont présentes au niveau "provincial" :
- Palais ducal
- Assemblée populaire provinciale
- Charles le Bien-aimé (le roi)
- Élie Frioche (leader gilaudin au DN)
- Cléante Dêbastions (leader conservateur au DN)
- Flamme Rocheville (leader ordoniste au DN)
- Berenicia Dista (artiste chanteuse)
- Hermine de Valcom (ministre de l’intérieur)
- Gaston Santo-Michele (ministre de la défense)
- Béfane Sterne (présentateur télé)
- Alexandre Belin (compositeur de muisque classique)
- Eric Harpé (biologiste, connu pour ses travaux sur la classification des espèces)
- Marc Ferrano (homme politique indépendant)
- "La tranquillité"
- "La Charlésie nouvelle"
- "Provincialement vôtre"
- "Pays d'artisans"
- "Hauts les cœurs"
- "Arts Charlésiens"
- "Belle Charlésie"
- "Courrier paysan"
- "Le patriote"