11/11/2014
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[ARCHIVE][Cellule de Crise] Tensions à la frontière Tansko-Rimaurienne

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Cette Cellule de Crise a pour but de faciliter les discussions entre l'Etat de Rimaurie et la République Fédérale de Tanska concernant la situation à leur frontière commune.

En espérant que la paix triomphera face à la haine.
L'ouverture de la cellule de crise a été accueillie avec une forme de prudence mais aussi d'un vraisemblable souci de calmer l'affaire, tout comme le renvoi du 2e escadron blindé dans ses bases. Compte-tenu de l'urgence de l'affaire, le ministre des Affaires étrangères, Mar Loftsson avait été envoyé en urgence. Si l'affaire devait s'étaler, se serait un membre du cabinet qui remplacerait le ministre. Les affaires urgentes, ça n'était pas ce qui manquait pour la République.
Merci au Gouvernement de la République Fédérale de Tanska d'avoir accepté de participer à cette cellule de crise sur la frontière Tansko-Rimaurienne.

Pour apaiser les tensions grandissante entre nos deux pays, nous pensons que chacun devrait commencer par définir clairement ses revendications afin d'éliminer définitivement les éventuelles malentendus ou incompréhensions au sujet de cette crise et de faciliter la mise en place d'un accord commun favorable à nos deux nations.

Les revendications de l'Etat de Rimaurie sont :
  • Le retrait de toutes les unités militaires des deux côtés de la frontière.
  • La création d'un passeport reconnu dans nos deux états afin de réglementer et de mieux surveiller les migrations frontalières.
  • La promesse que nos deux gouvernements n'interviendront plus dans les affaires internes de nos Etats respectifs.
  • La promesse que la République Fédérale de Tanska ne soutiendra jamais les mouvement Communistes ou Royalistes Rimauriens de quelque façon que ce soit.

Nous attendons vos revendications afin que nous puissions discuter d'un compromis satisfaisant pour tout les deux.
Le ministre écouté attentivement les propositions de ces interloctuteurs rimauriens avant de prendre la parole d'un ton posé.

Mar Loftsson a écrit :Nous comptions nous aussi vous proposer de mettre en avant un nombre d'éléments si cela peut nous éviter quelques mauvaises compréhensions et interprétations de nos attentes légitimes.

L'orientation extérieure de la politique tanskienne est tournée vers un ensemble de points cruciaux et essentiels à comprendre. Le premier, est sans doute le plus important, est le respect de l'Etat de droit dans ce qu'il a de plus fondamental. Nous considérons différemment l'ensemble des nations de cette planète, qu'ils nous soient proches ou éloignés par la culture, l'histoire ou la géographie, avant tout selon la protection égale en vertu de la loi et la prévention d'un usage arbitraire du pouvoir envers les citoyens dont fait preuve l'autorité dirigeante du pays. Nous nous attachons à nous rapprocher de tout état garantissant la protection et le respect des droits civils les plus fondamentaux de même que les libertés. Le droit de vivre ou, pour me faire plus clair, l'absence de peine de mort en est une pierre angulaire. Sa présence ne nous empêchera pas de nouer des relations mais ne permettra jamais d'atteindre avec nous une relation plus intime à l'instar de celle que nous avons avec Caratrad ou Teyla par exemple.

Il va de soit, de part la nature de la civilisation et des humanités, que cette orientation nous amène forcément à nous tourner davantage vers des régimes démocratiques qui sont les seuls à être les plus à même de parvenir à l'Etat de droit pour leur population, et ceux peu importe qu'ils élisent un président, comme nous, ou qu'ils aient un monarque tant que les institutions suivent cette ligne cardinale.

L'autre aspect singulier est celui de la stabilité. Il ne contreviendra pas au premier point mais il est une obligation pour parvenir au calme et à l'exercice plein et entier de la garantie et du respect des droits civils pour les civils, tanskiens ou non. C'est cette stabilité et cet accent mis sur le respect de droits humains qui nous a poussé, à l'été 2012, à demander à l'OND de fournir un mandat d'intervention humanitaire pour intervenir dans la guerre civile au Valkoïnenland avec l'accord du gouvernement central qui avait, et a toujours, failli à sa tâche fondamentale d'assurer la protection de ses populations civiles.

Ces éléments avancés, je vais maintenant avancer nos points.

Tout d'abord, nous sommes aussi favorable au retrait de forces militaires des deux côtés. La Garde Fédérale n'étant pas une entité militaire fédérale à proprement parlé, et n'étant pas doté de capacités de combat, nous ne l'inclurons pas la dedans. Ensuite, nous revendiquons le droit de pouvoir accueillir sous statut de réfugié politique tout citoyen rimaurien qui le souhaiterait. Enfin, et ce sera notre dernière demande, que tout citoyen condamné à mort bénéficie immédiatement d'un exil politique en Tanska et il sera évidemment interdit de retour sur votre territoire pour votre sécurité.

Il va de soit que nous n'avons aucun intérêt à soutenir un mouvement armé à nos frontières, cela déstabiliserait grandement nos populations.
Après avoir écouté Mar Loftsson, Ministre des Affaires étrangères et des Droits humains de la République Fédérale de Tanska, le Chef Suprême Friedrich Sattler prend la parole.

Friedrich Sattler a écrit :Nous tenons tout d'abord à ce que la République Fédérale de Tanska apprenne que la stabilité est justement l'objectif principal de l'Etat de Rimaurie depuis près de cinquante ans et que cette stabilité requière de faire des choix durs mais réfléchi comme la peine de mort, que vous considérez comme le retrait du droit à la vie mais que nous voyons comme le retrait de la possibilité de tuer et de détruire. Contrairement à ce que vous avez pu avancer, nous ne massacrons pas notre peuple sans distinction comme des animaux dans un abattoir, les citoyens que nous condamnons à mort sont des criminels avérés dont la survie ne ferait que déstabiliser notre pays déjà fragile. De plus, la fermeture des frontières n'avait pas pour objectif de retirer le droit de circulation au peuple Rimaurien mais d'empêcher ses pires représentants de fuir la Justice qu'ils méritent.

Nous sommes en guerre et la victoire nécessite des sacrifices. Aujourd'hui, c'est nous qui avons le choix difficile mais nécessaire de ce que nous sommes près à sacrifier pour que la majorité survive.

Son discours terminé, le Chef Suprême se rassoit et laisse la parole au Ministre des Affaires Etrangères, Emanuel Wölfflin.

Emanuel Wölfflin a écrit :Le Gouvernement de l'Etat de Rimaurie annonce que la demande de la République Fédérale de Tanska d'obtenir le droit d'accueillir tout citoyen Rimaurien qui le souhaiterait a été acceptée sous la condition de la création du passeport Tansko-Rimaurien précédemment mentionné et de la possibilité pour l'Etat de Rimaurie d'établir des contrôles à la frontière afin de débusquer tout citoyen recherché par la Justice. Les citoyens sans casier judiciaire ou, dans le cas contraire, ayant purgés toutes leurs peines intégralement seront évidemment libre de passer après vérification de leurs marchandises ou objets personnelles.

Il n'est en revanche pas question que des citoyens Rimauriens condamnés par la Justice puissent éviter leur peine en bénéficiant de l'asile politique de la République Fédérale de Tanska. Le Gouvernement de l'Etat de Rimaurie ne changera pas sa position à ce sujet.

Nous espérons que le Gouvernement de la République Fédérale de Tanska comprendra nos positions.
Mar Loftsson a écrit :Le retrait de la possibilité de tuer ou de détruire, comme vous l'appelez, ne peut lui-même passé par le fait de tuer. Je ne peux faire plus clair comme contradiction. Tanska n'avance pas que vous abattiez des citoyens rimauriens comme de vulgaires animaux, nous avançons que chaque pays qui pratique la peine de mort, à grande échelle ou à moindre échelle, par pendaison, par peloton, chaise électrique, piqure ou tout autre formule, ne fait que traiter ses citoyens selon deux niveaux. Ceux qui ont le droit de vivre, et ceux qui ne l'ont pas.

Nous ne nions pas qu'il y ai des menaces pour la société, nous même en avons et en avons connu davantage. Ce que nous avançons, c'est que cela n'est que le parangon de la faillite de la justice et de la faillite d'un Etat. La pratique de la peine de mort, Monsieur, n'est sans doute pas digne de votre Etat, elle n'est pas, elle n'est plus digne de la civilisation. Le seul résultat auquel conduisent les recherches de criminologie sont sans appels, il n'y a aucun lien entre la peine de mort et la baisse de la criminalité . Non, le seul lien est celui d'un Etat, d'une Justice, qui se retrouvant mise au pied du mur de son échec, mise au pied du mur de son incapacité à fournir une justice équitable à tous, qui n'implique nullement l'absence de sanction, bien au contraire, s'en réduit à son action la plus barbare, à son choix le plus faible, celui de tuer.

Peut-on prétendre que la présence d'hommes et de femmes, hier condamné à mort mais aujourd'hui à perpétuité, dans des prisons tanskiennes accentue la menace qu'ils font peser sur la société ? Aucunement. Il en va de même dans tous les pays du monde. La peine de mort a une signification politique. Il suffit de regarder les régimes de ce monde pour s'en rendre compte. Son abolition appartient à la civilisation et à l'avenir, sa présence à la barbarie et au passé.

La victoire nécessite des sacrifices, oui. Mais elle ne doit en aucun cas soustraire la justice à ses fondamentaux, et dans ceux-ci il n'y a le respect de la vie. Une justice qui en temps de guerre, là où elle doit démontrer qu'elle sera équitable pour ses citoyens sans être laxiste nous nous entendons, se permet de tuer, est une justice qui tuera en temps de paix. Et cette justice là n'en sera pas une ni aujourd'hui en guerre, ni demain en paix.

Pour toutes ses raisons, et sans aujourd'hui vous obliger à abolir la peine de mort, et sans méconnaître les crimes qui ont pu être commis par des rimauriens en votre pays, nous ne pourrons toutefois tolérer que ces derniers soient soustrait à la justice, à la condamnation si un procès juste et équitable les condamne, mais pas à la mort. Pour toute ses raisons, nous ne reviendrons pas sur notre demande d'exil politique, qui ne signifie pas liberté absolue, d'individus condamnés à mort.

Sur les propos de monsieur Wölfflin désormais, un passeport national reconnu de part et d'autres peut être pensé. Il me semble difficile d'imaginer demander à des Tanskiens de se doter d'un second passeport dans l'unique cas du franchissement d'une unique frontière. Pour être plus direct, nous n'en cernons pas bien l'intérêt. SI nous venions à faire un passeport tansko-rimaurien avec chacun de nos voisins, nos citoyens devraient en avoir 5 différents, minimum.
Friedrich Sattler a écrit :Vous dites que nous traitons nos citoyens selon deux niveaux : ceux qui ont le droit de vivre et ceux qui ne l’ont pas. Maintenant nous vous demanderons pourquoi un citoyen qui ne respecte pas la loi aurait les même droits qu'un citoyen qui les respecte ? Qu'y t-il de différent entre un citoyen condamné à une mort rapide et un citoyen condamné à être définitivement privé de sa liberté le conduisant à une mort lente, douloureuse et solitaire ? Vous me répondrez peut-être que les criminels Tanskiens condamnés à la prison à perpétuités sont bien traités mais , dans ce cas, pourquoi logez vous et nourrissez vous, à vos frais, des criminels sans aucun intérêt pour la société tout en forçant le reste de vos citoyens à travailler pour gagner leur vie ? Vous en avez peut-être les moyens, nous pas.

Vous dites qu'il n'y a aucun lien entre la peine de mort et la baisse de la criminalité. C'est peut-être vrai. En revanche, il est tout aussi vrai que le taux de récidive chez les condamnés à mort est d’exactement 0%, ce qui est bien moins que chez les condamnés à perpétuités qui, dans un pays instable comme le notre, peuvent compter sur de nombreux alliés pour les libérer, mettant ainsi en danger la vie des gardiens et des autres détenus et leur donnant la possibilité de commettre de nouveaux crimes.

Réfléchissez : si nous exécutons un rebelle meurtrier, il y'aura au moins deux victimes : un innocent et un criminel. Si nous le condamnons à la prison à perpétuité, ses alliés le libérons et il recommencera ses crimes, il y'aura au moins deux victimes : deux innocents. Nos décisions sont mathématiques, les votre sont prises par le cœur mais, dans un pays en guerre, il n'y a pas de place pour les sentiments.

Notre Justice est certes dure mais ce n'est pas par choix, c'est par nécessité.

Le Chef Suprême se rassoit sous les applaudissements des responsables Rimauriens et laisse la parole au Ministre des Affaires Etrangères.

Emanuel Wölfflin a écrit :Après concertation, le Gouvernement de l'Etat de Rimaurie a conclu que l'exil de certains citoyens Rimauriens condamnés à la perpétuité dans des prisons Tanskienne pourrait éventuellement être tolérée à la condition qu'ils restent soumis à la Justice Rimaurienne et donc que leur peine ne puisse être révisée par la Justice Tanskienne. Nous restons cependant fermement opposés à l'exil de condamnés à mort mais promettons que, si le Gouvernement Tanskien accepte nos conditions, notre Justice n'aura plus besoin d'être aussi dure, permettant une diminution des exécutions.

Nous avons également, au vu de l’impossibilité pour la République Fédérale de Tanska de mettre en place un passeport Tansko-Rimaurien, consenti à la reconnaissance mutuelle du passeport Tanskien et du futur passeport Rimaurien dont la distribution pourra, sauf objection de votre part, être lancée à la conclusion de cette Cellule de Crise.
Mar Loftsson a écrit :La réponse à votre première question est simple. Tous les hommes naissent et demeurent égaux en droit. Si ils ne les respectent pas, c'est à la justice de se charger de d'appliquer la loi et à l'Etat de chercher à corriger le tir. Quant à la mort rapide, elle ne permet nullement d'éviter de potentielles et probables erreurs de jugements. Une justice expéditive n'a jamais, n'est pas, et ne sera jamais une réelle justice pas plus qu'elle ne sera juste pas plus qu'elle ne dissuadera. Condamner à mort un citoyen pour un crime commis ne l'empêchera pas de vouloir le commettre. Bien au contraire, cela l'encouragera à faire ce qu'il aurait fait avec une folie telle que la condamnation à mort qu'il devra affronter lui apparaît alors comme le dernier de ses problèmes voir, pire encore, comme une tentative de finir sa vie, après les crimes commis, par un pied de nez envers un pays incapable de s'en occuper, voilà ce que c'est.

Si le taux de récidive chez les condamnés à mort est de zéro, le taux de passage à l'acte sur des crimes passibles de la peine de mort ne diminue pas par rapport à d'autres pays. Vous pointez la stabilité comme une lacune à votre pays. Permettez moi de vous indiquer que condamner à mort des individus qui ne reconnaissaient déjà pas votre justice ne fera qu'entraîner davantage de détermination dans la lutte qu'ils mènent, sachant que la mort les guette et que cette même menace de condamnation ne les arrêtera en rien dans leur quête. En d'autres termes, cela encourage à la folie des actions, à l'acharnement, au même niveau de violence de leur côté, à l'absence même de toute volonté d'appliquer une justice de leur côté. Tout cela n'entraîne qu'un long puit de violence où chacun se refuse à en sortir. Partout où la peine de mort est appliquée, la barbarie domine, partout où elle est abolie, la civilisation règne. Dans une imperfection et une constante évolution, certes, mais cela n'en reste pas moins incontestable. Mais ce n'est pas à nous de vous imposer la justice, l'humanité et la civilisation. Tôt ou tard, elle reviendra.

Nous sommes favorable à la mesure évoqué sur les rimauriens condamnés souhaitant faire l'exil si elle s'étend à tous les condamnés à des peines en deçà de la peine de mort. La baisse des condamnations à mort est une nouvelle que nous suivrons avec attention soyez en assuré. Quant au passeport Rimaurien à destination des citoyens rimauriens, nous n'avons aucun élément à dire à ce sujet cette question relevant de la politique intérieur de votre Etat.
Après délibération, le Gouvernement de l'Etat de Rimaurie a prit la décision de proposer le traité suivant au Gouvernement de la République Fédérale de Tanska.

Traité d'apaisement Tansko-Rimaurien
Article 1 : Les signataires du traités s'engagent à retirer toutes leurs troupes stationnées à moins de dix kilomètres de la frontière dans un délai de deux semaines après la signature dudit traité.
Article 2 : L'Etat de Rimaurie s'engage à autoriser l'exil en Tanska des criminels Rimauriens condamnés à des peines inférieures à la peine de mort afin de finir de les purger sans possibilité d'acquittement sauf accord mutuel entre les Justices Rimauriennes et Tanskiennes.
Article 3 : L'Etat de Rimaurie s'engage à reconnaître le passeport Tanskien comme valide et inversement.
Article 4 : Les signataires du traité reconnaissent leur souveraineté mutuelle et leur droit à se défendre et promettent de ne pas interférer avec leur politique intérieure.

Le Gouvernement de l'Etat de Rimaurie attend la signature ou les éventuelles objections de la part du Gouvernement de la République Fédérale de Tanska et considérera la signature du présent traité comme un point final à cette crise.

7 Septembre 2013
Le ministre des Affaires étrangères et des Droits humains se retira avec ses conseillers quelques instants pur étudier la proposition du gouvernement de l'Etat de Rimaurie avant de revenir avec une contre proposition. Le droit à la légitime défense d'un Etat étant un socle fondamental indéniable, Mar Loftsson n'a pas jugé nécessaire de revenir sur ce point dans le traité au risque de l'alourdir ou de provoquer une éventuelle mauvaise lecture.


Traité d'apaisement Tansko-Rimaurien

L'Etat de Rimaurie et la République Fédérale de Tanska, ci après dénommés "les Parties",

Désireux de convenir à l'instauration d'un climat bilatéral pacifié et dans le respect des droits humains,

Convaincus que le règlement de différents entre Etats doit passer par la diplomatie,

Ont convenus de ce qui suit :

Article 1 :Les Parties s'engagent à retirer toutes les troupes militaires stationnées à moins de dix kilomètres de la frontière dans un délai de deux semaines après la signature dudit traité.

Article 2: Les Parties reconnaissent leurs souverainetés mutuelles en leurs frontières actuellement reconnues. Les Parties s'engagent à ne pas ingérer dans leurs politiques intérieures respectives.

Article 3 :[/size] L'Etat de Rimaurie s'engage à autoriser l'exil en Tanska des criminels Rimauriens condamnés à des peines inférieures à la peine de mort afin de finir de les purger sans possibilité d'acquittement sauf accord mutuel entre les Justices Rimauriennes et Tanskiennes.

Article 4 :Les Parties s'engagent à reconnaître leurs passeports mutuels. L'obtention de visa d'études, de travail, de résidence ainsi que les contrôles frontaliers et la régulation des intrants et sortants restent sous le contrôle plein et entier des autorités nationales ou déléguées compétentes.

Article 5 : Le présent traité entrera en vigueur dans un partie après sa ratification.

Fait à Prinz-Hahnemann-Stadt, en double exemplaire, les langues tanskienne et allemande font toutes les deux foi
Emanuel Wölfflin a écrit :Le Ministre des Affaires Etrangères de Rimaurie, Emanuel Wölfflin, au nom du Gouvernement de l'Etat de Rimaurie, annonce avoir accepté et signé la proposition de traité du Gouvernement de la République Fédérale de Tanska et promet la ratification et l'application dudit traité dans les plus brefs délais.

Cette Cellule de Crise ayant désormais remplie sa fonction, le Gouvernement de l'Etat de Rimaurie annonce sa fermeture définitive pour le 15 Octobre 2013, sauf si l'un des deux partis émet de nouvelles revendications avant cette date.
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