29/03/2015
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[Lermandie-Asterie] Première rencontre diplomatique entre la Lermandie et l'Asterie

LermandieAsterie

Première rencontre diplomatique entre la Lermandie et l'Asterie



En ce jour du 11 juillet 2013, dans le Palais Présidentiel situé dans la capitale Bradis dans le Quartier de la Vieille-Ville, les membres du personnel de l'administration présidentielle de la République de Lermandie préparent la Salle Concorde, salle où aura lieu la discussion diplomatique entre le Président de la République Michel Duval et la délégation diplomatique de l’Union confédérale d'Astérie.

Salle Concorde

Dans son bureau présidentiel appelé aussi le Bureau Dorée, le Président Duval continue de relire le résumé sur l’Union confédérale d'Astérie, un pays très particulier sur le continent aleucien. Néanmoins, cela permettra de pouvoir obtenir des renseignements officiels sur les relations diplomatiques qu'entretient l’Asterie sur des pays auxquelles la République de Lermandie jugé peu démocratique.
En effet, le Président Duval souhaite éviter des ingérences étrangères trop importantes en Lermandie, notamment des pays non-démocratique en Eurysie, via l’Asterie.
Mais malgré la rencontre imminente, la délégation asterienne n’a que peu préciser les motifs de la rencontre durant les échanges diplomatiques avec la Ministre des Affaires Etrangères de la République de Lermandie Nicole Johnson.

Néanmoins, pour le Président de la République de Lermandie, il est important que la République de Lermandie puisse obtenir un accord de coopération avec l’Asterie dans le but de pouvoir connecter de manière continue par voies terrestres la Fédération de Sterus via l’Union confédérale d'Astérie en passant la Grande République de Westalia.

Dès que le Président Duval apprend de sa secrétaire que la délégation asterienne va arriver dans une dizaine de minutes, le Président Duval sort de son bureau pour se rendre devant la porte d’entrée du Palais Présidentielle destinée à la dépose des diplomates par la voiture. Il est suivi par madame Christine Renauld, la future ambassadrice et représentante de la République de Lermandie en Astérie.
Et jusqu’à ce que les deux voitures de cette délégation diplomatique, sous escorte des membres de la Police Nationale, arrive au Palais Présidentiel, le Président se rappelle que la discussion aura lieu dans la Salle Concorde et non dans le Bureau Dorée par précaution en raison d’un nombre relativement important des membres du personnel diplomatique de l’Union confédérale d'Astérie.
Cinq diplomates avaient été choisis pour représenter l'Union lors de ce tour d'Aleucie. Germina Fontecchio était originaire de Cibe, et membre active du parti régional "Cibe Libertaire", en lutte constante contre les catholiques traditionalistes résolus à faire tomber le régime socialiste. Armando Delgadre, lui, venait de Lurie : réputé pour son éloquence, le jeune homme de 28 ans participait là à sa première rencontre diplomatique. François Lamoniale, lothafrancien âgé de 65 ans, traînait derrière lui une expérience politique hors du commun, et était un atout essentiel dans la promotion des intérêts astériens dans le monde. Quant à Hermione Gzatzigue, jeune femme brillante de 23 ans, originaire des fins fonds montagneux du Pays d'Ustel, avait su se démarquer certes par sa beauté naturelle, mais surtout par la sympathie et la générosité qu'elle dégageait : personne ne peux croire qu'une personne qui la déteste existe. Enfin, Jacques Delorde, pur produit de la capitale Liatina, dégageait une aura austère, lui qui avait pourtant su enthousiasmer les foules lors des débuts de sa carrière. Cependant son expérience en matière de diplomatie était incomparable.

Les cinq compères, qui avaient travaillé pendant des mois ensembles pour préparer ce voyage, se connaissait très bien. Ils arrivèrent devant le palais dans deux voitures. La première était conduite par une chauffeur lermandienne ; la seconde était conduite par Jacques lui-même : il n'avait jamais accepté que quelqu'un conduise pour lui, ce n'est pas aujourd'hui que ça allait commencer.

En arrivant devant le Président, Hermione s'exprima :

Monsieur, c'est un honneur de se retrouver ici. Prendre contact avec nos voisins devenait indispensable ; nous vous suivons dans votre salle.

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Germina Fontecchio lors d'un meeting en Cibe


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Armando Delgrade, luttant pour la reconnaissance des droits LGBT dans le monde, en plus de son job de diplomate

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François Lamoniale, il y a 3 ans, lors d'un débat politique

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Hermione Gzatzigue, dont les parents sont originaires du Southland, à la Chambre Régionale d'Ustel.

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Jacques Delorde, réputé pour n'être jamais content, ainsi que pour sa célèbre réplique : "L'Union, c'est moi !"
Après avoir écouté Mme Gzatzigue, le Président Duval se met à parler.

Michel Duval: “Mesdames, Messieurs, je vous souhaite la bienvenue en Lermandie. J'espère que vous avez fait un bon voyage.”

Le Président Duval serra alors les mains de chaques représentants astériens. Et le Président Duval constata que l’un des représentants astérien, M. Jacques Delorde, a une tête qui ferait fuir les personnes les plus sympathiques d’Aleucie, voire même de la planète. Le Président Duval se demande alors la raison pour laquelle ce diplomate faisait en Lermandie. En fait, il se demande si ce diplomate n’est pas un membre de la famille de M. Lucas Bouffard, Président du Parti Socialiste en Lermandie.

Michel Duval: “Mesdames, Messieurs. Je vous prie de me suivre. Je vous emmène dans la Salle Concorde dans ma résidence. De cette façon, nous allons pouvoir discuter sur les raisons de votre venue.”

Le Président Duval, accompagné de Christine Renauld, guide les membres de la diplomatie astérienne dans le Palais Présidentiel. En traversant la résidence du Président Duval, les membres de la diplomatie passent par un couloir où figure les 18 anciens chef d’Etat de la Lermandie, y compris le portrait du premier Président de la République de Lermandie, Philippe Palmes.

Phillipe Palmes
Portrait de Philippe Palmes, premier Président de la République de la République de Lermandie

Après que la délégation diplomatique astérienne et le Président Duval (ainsi que Christine Renauld) soient entrés dans la Salle Concorde, ces derniers s’installent sur les fauteuils confortables datant du 18e siècle autour d’une table avec divers rafraîchissements.

Salle Concorde
La Salle Concorde

Michel Duval: “Mesdames, Messieurs, nous pouvons commencer le dialogue officiel entre nos deux pays.”
Jacques Delorde s'apprêta à commencer, mais Armando le stoppa net. Inutile de déclencher une guerre tout de suite.

Il y a de nombreux sujets que nous voudrions aborder. A commencer par la conférence de Barba, à laquelle vous participez. De sources sûre, nous comprenons pourquoi nous n'y avons pas été convié, et il n'avons nullement été vexé. Mais vous comprendrez sans doute que lorsque tous nos voisins des alentours se réunissent, nous voulons savoir de près ou de loin de quoi il s'agit ? Alors, êtes-vous en mesure de nous expliquer en quelques mots son intérêt ?

Jacques marmonna :

Grmmlbbbbm.
Après avoir écouté attentivement le représentant Delgado, le Président Duval tenta de comprendre ce que souhaitait dire le représentant Delorde. Il se demanda vraiment pourquoi ce représentant faisait en Lermandie s’il n’était jamais content.
Mais quelques secondes plus tard, le Président Duval s’exprima:


Michel Duval: "M. Delgado, ne voyez en aucun cas une menace vis à vis de l'existence de l’ASEA (Alliance pour la Sécurité Économique Aleucienne). Il ne s'agit que d’une alliance économique, scientifique, culturelle et sécuritaire entre la République de Lermandie, la Grande République de Westalia (notre allié historique), la Fédération de Sterus (un de nos principaux partenaires commerciaux) et l’Union des Cités d’Akaltie (un de nos partenaires dans le domaine de la science.
D’ailleurs, concernant le domaine sécuritaire, il ne s’agit que d’une alliance militaire à nature DEFENSIVE. En effet, bien que nous, nations aleucienne, habitions sur l’un des continents les plus calme de cette bonne vieille planète, nous sommes malgré tout conscient qu’un simple État devenue vulnérable face à divers agents perturbateurs tel que le terrorisme peux devenir un facteur déstabilisateur sur notre continent. Le cas de l’Etat Fédérale de Yorkshing en est un exemple.
Et l’ASEA n’interdit absolument pas de pratiquer la diplomatie avec d’autres régimes politiques.
Bref, l’ASEA est une grande alliance dédiée aux nations démocratiques mais qui ne vise pas à faire concurrence à la Coopération Aleucienne des Nations."
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