- Nom officiel de la société : Thylacine Corporation™:
- Forme juridique : société anonyme à capitaux privés
- Cotée en bourse : Oui
- Date de création : 1955
- Adresse de son siège social : 76B, Hellige Johannes den evangeliske Gate, Pembertøn
- Secteur d’activités : Pharmacie, dispositifs médicaux, immunothérapie, génétique, bio-ingénierie, virologie
- Nombre de salariés : 68 000
- Présence à l’international : Sa filiale pharmaceutique vends des produits à travers tous les pays du monde, ses sites de productions et de recherche et développements sont essentiellement situés en Eurysie, en Aleucie, et Paltoterra
- Chiffre d’affaires annuel : ₭ 2 900 000 000 en 2005
- PDG si applicable : Jürgen Applewhite
- Contacter la société : direction@thylacine-corp.upl
- Site internet : www.thylacine-corp.upl
- Projet en cours ou prévus : Centre d’essais et recherches biologiques au Pontarbello. Centre d’études cliniques et d’innovation génétique dans les Communes du Grand Kah
Le siège social de la T-corp, ultra-moderne. Ses sous-sols sont sur 3 niveaux et compteraient des laboratoires parmi les plus avancés technologiquement dans le domaine de la génomique.
Description et histoire de l’entreprise
Ce groupe pharmaceutique s'est spécialisé dans les biotechnologies innovantes et les manipulations génétiques. Son excentrique et fantasque fondateur, le Dr Walther Applewhite, biologiste de formation, qui s'est fait connaître par ses déclarations tonitruantes en annonçant vouloir ressusciter et repeupler la terre des créatures et espèces animales disparues et éteinte depuis longtemps. Le nom de la compagnie est celui d'une espèce de canidé exterminé par la main de l'homme, le Thylacine, animal endémique de nord-aleucie que M. Applewhite nourrissait l'espoir de ressusciter. Malheureusement il est décédé en 1994 sans avoir vu achever son objectif. Et c’est son fils, Jürgen Applewhite qui a repris les rênes de l’entreprise paternelle, bien décidé à poursuivre l’œuvre de la vie son père.
Il fait acquisition de la compagnie Dodgeson Radiogenics™ en 1996, et lance l’analyseur de la chimie du sang T-C-100 ainsi que le test Dragonfly, un essai radio-immunologique révolutionnaire permettant de détecter l’hépatite dans le sérum. Cela marque le commencement de l’activité de diagnostic moderne dont la Thylacine Corporation est l’un des leaders mondiaux.
En 1999 la Thylacine Corp est homologuée par les autorités sanitaires des nations unies pour l’homologation de leurs premiers essais en thérapie génique.
2001 marque un véritable tournant dans l’entreprise, seulement après 2 années de recherches et développpement, la Thylacine Corp , lance une nouvelle filiale, BioSteriGenetics™, destinée à créer des médicaments de nouvelles générations, issues des dernières innovations en bio-ingéniérie. Le premier anticorps monoclonal entièrement humain sera commercialisé sous le nom de Xenivens® . Il deviendra par la suite le produit pharmaceutique le plus vendu au monde, prescrit dans le cadre de traitement de très nombreuses maladies dites orphelines
Le Xenivens®, nom commercial de l'un des produit injectable le plus prescrit au monde, succès phare de la marque.
Ce succès scientifique et commercial marque le début d'une nouvelle ère pour la compagnie, qui poursuit par ailleurs toujours son rêve de recréer en laboratoire et à partir de tissus d’ADN remarquablement conservés le fameux loup marsupial du Lofoten.
Et ce que beaucoup considéraient alors comme une très couteuse et invraisemblable chimère devient une réalité en 2006. Jürgen Applewhite est alors au sommet de sa gloire, car ses équipes de généticien ont réussi cette formidable prouesse scientifique et technologique au sein de son laboratoire dernier cri, situé dans une des communes du Grand Kah, réveillant ainsi les fantasmes et les craintes autour de la puissance du génie génétique, et ses infinies possibilités.
Le Centre d'Etudes Cliniques et d'Innovation Génétique se trouvant sur une île isolée et excentrée de l'archipel des Communes du Grand Kah
Léo, le premier mammifère d'importance à avoir été recréé en laboratoire à partir d'ADN ancien. Le Loup Marsupial du Lofoten, ou Thylacine, est conservé dans un enclos spécial au sein du périmètre du laboratoire de recherche de la compagnie au Grand Kah. Son ADN serait pur à 99,7%, les manques dans la séquence ayant été comblés avec de l'ADN de Wombat, son plus proche parent sur le plan génomique. L'animal serait toujours en vie mais présenterais des carences de synthétisation protéiques, rendant l'introduction de l'espèce dans son milieu naturel impossible.
Mais le grand public connaît davantage et surtout la Thylacine Corporation pour les très nombreux produits pharmaceutiques et les dispositifs médicaux que la compagnie fabrique et distribue partout dans le monde. Vaccins, sérums, médicaments, implants, dispositif d'augmentation bionique, anti-cancéreux, et thérapies géniques en tout genre, tel est l'éventail du catalogue de produits fournit par la Thylacine Corporation. Mais beaucoup d'enquêtes et d'investigations indépendantes ont mis en lumière une toute autre image bien moins reluisante de l'entreprise, qui fabriquerait en réalité dans ses laboratoires, hors de la juridiction lofotène assez stricte en matière d'éthique, des armes biologiques, des virus synthétiques, et ferait également des tests et essais illégaux sur du matériel humain (organes et tissus prélevés sur des prisonniers ou des volontaires en échange de sommes d'argent importante), voir des essais cliniques sur des êtres humains, consentants ou non, dans une absence totale de respect des règles éthiques et de protocoles scientifiques réglementaires. Mais toutes ces rumeurs et polémiques n'ont jamais entamé la détermination de son dirigeant, ni la confiance de ses actionnaires par ailleurs, la T-Corp, son surnom dans le milieu, est la deuxième capitalisation boursière des Provinces-Unies.
La recherche et l'innovation demande parfois de sortir des sentiers battus et d'emprunter des voies moins conventionnelles. Les employés de la T-Corp signent une clause de confidentialité, et très rares sont ceux qui acceptent de témoigner sur les activités et expérience qui se déroulent dans les installations et facilités ultra-secrètes de la compagnie
La Thylacine Corp fabrique la plupart des neuroleptiques et benzodiazépines utilisés dans le traitement des affections psychiatriques et neurologiques. Ces puissants médicaments ont été l’objet de plusieurs enquêtes, notamment la très célèbre affaire de la Neuroglobuzoline®, dont certains effets secondaires étaient impressionnant : développement anormal de la portée rétinienne, hypertrophie de la masse musculaire, augmentation significative des réflexes et des mécanismes cognitifs. Celle que l'on appelé la "pilule du superhéros" a fini par se voir retirer son autorisation de mise sur le marché après qu'un recours en class action devant les Tribunaux ait décidé de suspendre temporairement sa commercialisation. La Neuroglobuzoline®, a finit par être classée comme substance psychotrope et psycho-active, mutagène et repro-toxique, et fut définitivement interdite, et les stocks détruits.
Quelques exemplaires s'échangeraient toujours au marché noir et dans la plus grande clandestinité, certains cachets atteindraient des sommes pharaoniques.
Mais tout cela n'entama en rien la détermination de son CEO, Jürgen Applewhite, convaincu que la génétique sauvera l'humanité d'elle même pour citer ses propres mots. Ce dernier est par ailleurs aussi connu pour répéter inlassablement son expression favorite : "J'ai dépensé sans compter" symbolisant à lui seul tous les excès et excentricité du patron de la Thylacine Corporation. C'est toutefois grâce à son impulsion et à sa vision industrielle sur le long terme que le nom de sa société est désormais connu et rayonne à l'international.