14/07/2014
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enciclopédia nacional da região de Goa



Présentation général :




Nom officiel : Estado Novo Lusitano e Mestiço da Oriental Goa
Nom courant : Estado Novo de Goa (ENG)
Régime politique : république unitaire et parlementaire à partie unique, surnommé "la Troisième République" depuis 1930

Gentilé : les femmes sont appelés Mestiço Goensa, les hommes sont appelés Mestiço Goense
Langue(s) officielle(s) : Goanais/Portugais
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : langue Hindi ainsi que les multitude de langues "indiennes"

Drapeau :
Drapeau

Signification du drapeau :

l'orange : cette couleur était très populaire parmi la population local et les anciens royaume hindous avant 1522, aujourd'hui cela représente les origines et les influences des hindous sur la nation
le vert : cette couleur représente à la fois les origines lusitanienne car le vert est une couleur populaire chez les lusophones et elle représente l'espoir ainsi que la chance.
l'armoirie : l'armoirie lusitanienne est à la fois un ancien symbole de la Companhia de Dragões Fuzileiros da Vanguarda et aussi le symbole d'une nation ayant comme cœur les origines lusophones mais qui se sont métisser avec les population locales au nom d'un avenir en commun

Devise officielle : Deus, Mestiço, Pátria e Familia « Dieu, métisse, Patrie et Famille »
Hymne officiel :

constitution républicaine actuelle : 1930

Monnaie nationale : Escudo Rupia

Capitale : Nova Goa

Population : 15 155 676 habitants (11/08/2013)

densité : 33 habitants au km²

Superficie : 455 021 km2

Produit intérieur brut national : 30 000 000 000 $ (11/08/2013)
Produit intérieur brut par habitants : 1 966 $ (11/08/2013)
croissance du PIB : 4% (11/08/2013)

Indice de fécondité: 4 enfants par femme en moyenne
Espérance de vie : 72,5 pour les femmes et 70,8 ans pour les Hommes
Taux d'alphabétisation: 86%

Politique et institutions


L’Estado novo de Goa est une république unitaire et parlementaire à partie unique sous dictature/pouvoir autoritaire depuis 1930. (surnommé la Troisième République)

Bien que le pays soit une république en fait et en droit avec un président de la République et un président du Conseil des ministres dont dépend le reste du gouvernement ainsi qu’un pouvoir parlementaire bicaméral avec une chambre haute et une chambre basse, tout en ayant des élections parlementaires régulières. En réalité, l’Estado Novo de Goa et son pouvoir politique reposent d’abord sur une constitution très favorable élaborée en 1929 publié au journal officiel national et approuvé en 1930 plus tard grâce à un plébiscite national que l’on peut, plus rapproché en réalité d’un référendum.

La population ayant voté favorablement à cette nouvelle constitution dans l’espoir de stabiliser l’économie et la politique (y compris avec un conservatisme catholique) qui était déjà en difficulté durant la première république de 1905 ainsi que de sauvegardé les institutions républicaines qui désormais étaient devenues la norme pour la majorité de la population.

Cette constitution est importante pour le pouvoir, car elle commence par exposer l’idéologie du régime (qui reste une république) en définissant le territoire de L’Estado Novo dans le sens d’une unité total et indissociable entre les Lusitaniens « de souche », les métisses et les hindous autochtones. Puis dans une reprise des doctrine social religieuse qui comprend une élévation des individus avec leurs droits et leurs responsabilités envers les familles, les corporations, les collectivités locales et enfin l’État.
Il y a certes une déclaration des droits, mais la Constitution prévoit aussi des « lois spéciales » pour en régir l'exercice. Cette constitution, établie sous la "deuxième république, est toujours en vigueur, mais un certain nombre de projets politiques veut la réviser pour la remettre au goût du jour.

En parallèle, cette Constitution entérine le régime de parti unique instauré en 1930, fondé sur l'Union nationale de Goa (UNG). L'Assemblée nationale est élue sur un système de liste unique et comprend 260 membres.
À ses côtés, existe la Chambre corporative, qui est toutefois à vocation consultative (son rôle se bornant à exprimer des opinions sur les projets de loi avant que l'Assemblée nationale n'en débatte), qui réunit des élus locaux et des représentants du monde administratif, moral, culturel et économique avec 200 membres.

Les fonctions de chef de l'État reviennent au président de la République, élu pour sept ans au suffrage universel direct. Il est assisté par le Conseil d'État. Tandis que la direction du gouvernement revient au président du Conseil des ministres
En principe, le président de la République dispose de pouvoirs étendus : il nomme et révoque librement le président du Conseil (et les ministres sur la proposition de celui-ci), peut s'adresser à l'Assemblée nationale par des messages, la dissoudre et le gouvernement n'est responsable que devant lui.
Dans la pratique, toutefois, le pouvoir se concentre entre les mains du président du Conseil des ministres (même si les deux institutions sont très souvent en accord entre eux).

L’Estado Novo de goa peut largement être considéré comme un « État corporatiste », se définissant officiellement comme une « République corporative », en raison de la forme républicaine du gouvernement et de son aspect normatif doctrinaire et corporatiste.
Cela se reflète dans son appareil législatif et social à intégration verticale (qui décrit un mode de propriété et de contrôle regroupant sous une seule autorité les divers stades de production et distribution concernant un type de biens ou services.). Par contre, depuis un bon moment le corporatisme devient de plus en plus compliqué à mettre en place et le pouvoir cherche à moderniser le système économique que ce soit avec ou sans corporatisme.

Ainsi cette intégration ce reflète dans la Constitution, l'Institut national du travail (Instituto do Trabalho Nacional), et un nombre important d'institutions publiques comme la Chambre des corporations (Câmara Corporativa), le ministère des Corporations (ministério das Corporações), l'Institut national du travail et de la sécurité sociale (Instituto Nacional do Trabalho e Previdência), les syndicats nationaux de droit public, les organisations patronales (regroupées sous l'entité du Grémio nacional), les maisons du peuple, les maisons de pêcheurs, ainsi que diverses commissions de réglementation.
En bref, l'économie et contrôlé et encadré à travers tout les métiers dans le pays

Toutefois, il est important de noter que depuis les années 2000 il y a une forte volonté de réforme ainsi que de démocratisation et de libéralisme économique que ce soit dans la population ou des autorité politiques comprenant les plus jeunes. Il y a donc une fracture de plus en plus grande entre les plus conservateur et dur du régime (souvent les plus anciens) avec les plus libéraux et réformateur du régime. Tout cela se mélange dans ce qui semblerait être un essoufflement important et historique du régime.
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