21/02/2015
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Note HRPJ’ai décidé de ranger tous mes petits posts “encyclopédiques” (et les futurs) dans un seul et même topic, plutôt que de les laisser éparpiller un peu partout. Ainsi, les posts qui seront déplacés seront mis sous la balise [ignoré] jusqu’à la suppression desdits posts originaux.
Encyclopédie.

CoA
Sceau de la Fédération de Zélandia puis de la Fédération des communes Zélandiennes.

Flag
Drapeau de la Fédération des Communes Zélandiennes.

Civil flag
Drapeau civil et premier drapeau de la Fédération jusqu'à 2011.


Généralités :
Nom officiel : Fédération des Communes Zélandiennes.
Nom courant : Zélandia ou Zélandie en français.
political map
(Vert foncé) territoires fédéraux de la Fédération des Communes Zélandiennes || clique gauche pour agrandir.

Forme de l'État : Fédération de communes libertaires.

Secrétaire Général : Siert Bruggink (M).
Mar Rutte

Inspiration culturelle : le Bénélux ainsi que les mouvements libertaires pour le côté politique.

Capitale(s) : Blankenvoorde comme capitale politique et Amstergraaf comme capitale économique.

Gentilé : Zélandien(ne).

Population : 6 061 853 hbts.

Langues officielles :
  • Zélandien (Frison IRL).
  • Flamand.
  • Luxembourgeois.

Langue(s) reconnue(s) : Toute langue ayant au moins un locuteur est reconnue par la Fédération au même titre que les langues officielles.

Devise officielle : Frijheid, Wolfeart, Mienskip(Liberté, Prospérité, Communauté).

Hymne officiel :

Monnaie nationale : De Seelânske Pûn(la Livre Zélandienne), symbole ().

Superficie : 117 170 km².


Sommaire :
Les forces communales de police.
Les factions politiques en Zélandia.
Biographie Stefen van Den Haag.

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Les Forces Communales de Police.


Généralités :

Au sein de la Fédération de Zélandia, la sécurité et le maintien de l'ordre ne sont assurés par aucun des Secrétariats Fédéraux, mais par les communes elles-mêmes. Ces Forces Communales de Polices sont appelées Stads Wacht (littéralement surveillance de la ville en français), avec des variantes linguistiques locales selon les territoires et les communes qui s'y trouvent :

  • La Stads Wacht sera appelée Stadswag (littéralement garde de la ville) sur le territoire d'Afarée du Sud.

  • En Paltoterra, à côté de la dénomination de Stads Wacht, sera aussi utilisée la dénomination de Guarda Municipal (littéralement la Garde Municipale).

  • Sur le territoire Nazuméen, la Stads Wacht est aussi appelée Watch Kota, dans la langue locale majoritaire et qui veut dire littéralement "surveillance de la ville".

  • Précisions sur l'uniforme :

    L'uniforme réglementaire des Stads Wacht en Eurysie et Aleucie est fournit par cette dernière à ses agents et est composé d'une casquette, d'une chemise à col dit "Aleucien" (américain IRL), d'une cravate, d'une veste à poches, parallèles l'une à l'autre au niveau du coeur, d'une ceinture, d'un pantalon dit "Jodhpur" et d'une paire de bottes noires, montant jusqu'aux genoux. L'équipement lui, est fourni par la Stads Wacht à ses agents et est composé d'une sacoche en bandoulière beige et d'une plus petite à accrocher à la ceinture, d'une matraque ainsi que d'un fusil réglementaire Lange Bliksem et ses munitions.

    Afin de différencier la Stads Wacht d'une commune à une autre, les uniformes de ces dernières ont chacun une couleur associée. Par exemple, la Stads Wacht d'Amstergraaf a ses uniformes de couleur mauve. La légende voudrait que lors du vote sur la couleur de l'uniforme, le citoyen ayant fait la proposition du mauve se serait exclamé : "Le style avant tous !". Les historiens débâtent encore de la véracité de ce fait.

    Concernant les territoires Paltoterrans, Sud-Afaréens et Nazuméens de la Fédération, les uniformes des Stads Wacht locales sont eux, adaptés aux climats de ces régions.

    Tout d'abord, les couleurs vont du blanc, en passant par le beige, jusqu'au jaune, pour les quelques communes quelque peu extravagantes.

    Ensuite, l'uniforme est composé d'une casquette beige, d'une veste beige à poches, parallèles l'une à l'autre au niveau du cœur, avec manches facilement retroussables lors de grandes chaleurs, d'une sacoche beige, d'une ceinture, d'un pantalon "Jodhpur" beige, de bandes molletières beiges plus claires que le reste de l'uniforme, et de "godillots" noirs.
    L'équipement lui, consiste aussi en une matraque ainsi qu'un fusil réglementaire Lange Bliksem


    Précision sur l'Histoire :

    L'histoire des Stads Wacht commence avec celle de la Fédération. En effet, ces dernières étaient au départ, sous la monarchie, puis l'alliance, de simples milices urbaines. Seules les grandes villes en possédaient, les plus petites ainsi que les villages, ne pouvant que compter sur leurs propres moyens. Les colonies, elles, en revanche, pouvaient compter sur les forces de l'ordre des compagnies maritimes ou pour les plus riches, des compagnies de mercenaires afin de faire régner la loi. À l'instauration de la Fédération, lorsques les communes et communautés sont proclammées sur tout les territoires Zélandiens, les premiers Secrétaires Fédéraux, dans l'élan d'égalité que vivait la toute nouvelle Fédération, décidèrent, afin que chacun puisse vivre en sécurité et en paix, d'étendre ce système des milices urbaines, à l'ensemble des communes, grandes et petites, mais aussi aux toutes nouvelles communautés, regroupant les villages de petites tailles.

    Sommaire.
    4591

    Les factions politiques en Zélandia.


    Généralités :
    Contrairement à la grande majorité des démocraties, qui sont de nature parlementaire, Zélandia a quant à elle, opté pour une démocratie directe, valorisant avant tout l'individu en priorité sur la nation et la société. De ce fait, il n'y a pas réellement de partis politiques en Zélandia du moins, les partis traditionnels n'ont que peu d'influence étant donné que les individus votent en fonction de leurs idées, et non par rapport à la ligne directrice d'un parti. On peut cependant trouver des factions : qui sont un ensemble de citoyens partageant des idées similaires sur comment doit se gouverner Zélandia. Ces factions sont réparties sur l'ensemble des territoires fédéraux, et ne partagent souvent pas le "pouvoir" avec d'autres factions, les individus pensant différemment étant souvent minoritaires. On peut néanmoins trouver des territoires dans lesquels aucune faction n'est vraiment majoritaire, obligeant au consensus.

    les différentes factions :

    Les Sans-Convictions : La faction qui n'en est pas une. Majoritaire au sein de la Fédération, tout territoire confondu. Elle regroupe l'ensemble des citoyens n'ayant pas adhéré à une autre faction ou une idéologie en particulier. Ses "membres" votent en fonction de leurs idées sur le moment, ou si leur interlocuteur les a convaincus de voter pour son projet de loi.

    Les anarchistes : Les anarchistes sont la première faction au sein de la population Zélandienne, et on pourrait se risquer à dire, que d'une manière ou d'une autre les Zélandiens se considérant comme "simples citoyens" sont anarchistes. La seule différence, est que les anarchistes le clament haut et fort, alors que les simples citoyens ne se posent pas la question de savoir ce qu'ils sont. Cependant, les anarchistes sont divisés en trois courants :

    • Les communalistes Zélandiens : Cette faction regroupe plusieurs courant que sont les Anarcho-Syndicalistes, les Libertariens de gauche (Libertarisme de gauche) et les Anarchistes Radicaux aussi appelés Anarchistes Individualistes. Partisans du système actuel, à savoir la démocratie directe, sur le lieu de travail en particulier, et la détention des capitaux et moyens de production locaux de la compagnie par les salariés (le salarié est actionnaire et membre du conseil d'administration local de la compagnie dans laquelle il travaille). Les Anarcho-Syndicalistes et les Radicaux s'opposent cependant sur la place de l'individu et la propriété privée dans la société : les seconds favorisant ces derniers par rapport aux premiers, qui eux sont bien plus en faveur des valeurs socialistes et de justice sociale. Les Libertariens de gauche sont quant à eux un syncrétisme des deux premiers courants, à savoir primauté de l'individu et de la propriété privée sur la société, mais avec un minimum de justice sociale, la mise en place d'un libre-marché coopérativiste et d'un entrepreneuriat volontariste. Il est à noter que le système actuel est le Libertarisme de gauche et que ce dernier n'est que la conclusion et la mise en place commune du programme des deux premiers courants ; mise en place ayant été effectuée tout au long des XIXe et XXe siècle.

    • Les communalistes Kah-Tanais : Majoritaire dans certaines communautés et petites communes, minoritaires à l'échelle de la Fédération ; ces communaliste-ci sont d'obédience Kah-Tanaise (l'idéologie, pas la citoyenneté).

    • Les Ultralibéraux : Majoritaires principalement dans l'ouest de l'Eurysie Zélandienne (Amstergraaf), ainsi qu'au sein des territoires Aleucien (Nij-Blankenvoorde) et Nazuméen (Nij-Amstergraaf) ; les Ultralibéraux ou Anarcho-capitalistes, sont pour la suppression de l'État par une privatisation de ses compétences politiques régaliennes.

    Les communistes : Les communistes Zélandiens, regroupés au sein de l'Union Communiste de Zélandia (U.C.Z.), sont essentiellement majoritaires dans la région de Noordcroen. Ces derniers sont d'obédience Eurycommuniste et souhaiteraient instaurer un régime calqué sur celui de la Démocratie Communiste de Loduarie. Cependant, malgré leur nombre dans la région, ils n'ont pour l'instant pas réussi l'instauration d'une seule réforme communiste.

    Les monarchistes : Les monarchistes sont majoritaires dans les nord et nord-ouest de la Fédération, ainsi qu'au sein du territoire Paltoterran. Il y a pour l'instant deux grands "partis" monarchistes :
    • L'Union pour le Renouveau Royal de Zélandia (U.R.R.Z.), ces derniers sont pour un retour de la monarchie et des traditions, mais ne sont pas reconnus par l'actuel prétendant à la couronne.

    • Le Nasjonale-Monargistyske Partij : N.M.P. (Parti National-Monarchiste) : Parti nationaliste, fasciste, militariste et raciste, ce groupe commence à avoir de plus en plus d'adhérents, en particulier chez l'U.R.R.Z. Moins conservateur que cette dernière, leur monarchisme s'explique par leur besoin d'avoir un chef d'État fort ; mais sans parvenir à en choisir un parmi eux, ils se sont alors tourné vers un retour à la monarchie. L'actuel prétendant les reconnaît politiquement, bien qu'il ne partage pas leur idéologie. Le N.M.P. n'est pas surveillé (du moins pas trop) par le B.S.F.


    Cette liste est non exhaustive et pourra être amenée à évoluer en fonction de l'apparition de nouvelles factions sur la scène politique de la Fédération.

    Sommaire.
    3942

    [Catégorie : Personnalités Zélandiennes.]

    Stefen van Den Haag


    Stéphane Bern

    Stefen van Den Haag, de son nom complet Stefen Michiel Adriaenszoon van Den Haag, est une personnalité publique de premier plan de la scène télévisée et radiophonique Zélandienne dans le large domaine de la culture ; et de l’Histoire avec un Grand H en particulier.

    *
    **

    Le jeune Stefen naît le dix-sept juillet 1983 au Centre Hospitalier Autogéré de Blankenvoorde. Ses parents : Adriaen Michielszoon van Den Haag et Liselotte Sofie Heleen van Den Haag : née Van Heemen ; respectivement ingénieur naval pour lui et romancière pour elle. Deux professions apportant des revenus confortables à la famille, et lui permettant de vivre une enfance joyeuse ainsi que d’avoir accès à une bonne éducation. En effet, et en particulier grâce à sa mère, Stefen van Den Haag grandit littéralement entouré de livres. C’est par ailleurs au sein des pages de ces derniers qu’il se découvre une passion pour la Grande Histoire.

    C’est décidé : il en fera son métier.

    Il y a cependant une ombre au tableau. Durant sa scolarité, et en particulier son adolescence, le jeune homme prend conscience de la limitation des programmes scolaires. Il faut toutefois comprendre qu’en Zélandia, ces derniers [les programmes scolaires] ne sont pas décidés par une autorité fédérale. Ainsi, même si les disciplines scientifiques — d’ailleurs peut développer en dehors de ce qui touche au domaine naval — ont des programmes plus ou moins équivalent dans l’ensemble de la Fédération (comprenant aussi les communes ultramarines) : les disciplines littéraires et humaines ont-elles des programmes complètement différents, non pas d’une commune à une autre, mais d’une école à une autre. Ce faisant, dans les disciplines historiques (qui nous intéressent ici), les périodes, événements et personnages étudiés ne sont jamais les mêmes ; parfois au sein d’une même commune. Cette disparité au sein des programmes scolaires va alors pousser Stefen van Den Haag non pas vers la voie de l’instruction, mais la voie, tout d’abord, de la radio puis de la télévision. En effet, le jeune Stefen veut enseigner ; transmettre à autrui ce qu’il sait sans être bridé par un programme ou des méthodes. Il voit ainsi le support audiovisuel (mais aussi littéraire) comme un bon moyen de parvenir à ses fins.

    Ainsi, à la fin de son cursus scolaire dit classique. Ce dernier s’inscrit à l’École Autogérée des Arts de la Scène de Blankenvoorde qui, depuis l’avènement de la radio, puis du cinéma ainsi que de la télévision, forme aussi les futurs acteurs, animateurs et chroniqueurs Zélandiens.

    À la fin de ses études, il sort quatrième de sa promotion. Son diplôme maintenant en poche, il postule pour l’une des radios locales de la commune, mais n’est finalement pas pris ; un autre lui est préféré, car (bien) plus expressif et extraverti.

    Qu’à ne cela tienne. Avec d’anciens camarades de promotion de qui il était proche, il décide de fonder sa propre radio destinée exclusivement à l’Histoire avec un Grand H. Les débuts sont cependant difficiles. Il y a peu d’auditeurs (surtout des personnes âgées) et leur activité s’apparente plus à un loisir de niche qu’à une profession lucrative ; les membres du groupe étant obligé de prendre des petits boulots à côté afin de vivre un minimum correctement.

    La patience et l’implication dans cette radio de Stefen van Den Haag finira cependant par payer lorsque ce dernier sera contacté par le producteur d’Épisode d’Histoire. Une émission Velsienne de plusieurs épisodes et saisons sur l’Histoire de la Grande République. Le producteur propose alors au, maintenant trentenaire, Stefen d’être le présentateur d’une filiale de l’émission, sur l’Histoire Zélandienne et affiliée ; proposition que ce dernier accepte.

    Se servant du fait de la quasi-inexistence de contrôle en Zélandia. La production de la filiale désormais formée rachète un hôtel particulier de Blankenvoorde dans lequel elle installe ses bureaux et un studio. Grâce à cette émission : Stefen van Den Haag devient la première personnalité politique de la Fédération, tout en alliant son objectif d’instruire le plus grand monde.

    Vie privée :
    Peu expressif sur sa vie en dehors de sa carrière ; Seul est connu le fait qu’il est marié. C’est aussi un ami proche de l’ancien prétendant à la couronne Zélandienne et père de l’actuel ; ainsi qu’un ami de l’actuel Secrétaire Fédéral au Commerce extérieur : Fleur Wessels. Rapprochés par leurs passions respectives pour l’Histoire et l’Art.

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