Type de régime : République fédérale parlementaire unitaire.
Nom courant : Ascalon
Gentilé: Ascallonien et Ascallonienne
Inspirations culturelles : mélange de cultures africaines et égyptiennes
Situation géographique :
Langues officielles : français
Autres langues reconnues : anglais et les langues des différentes ethnies qui vivent dans le pays.
Drapeaux :
Armoiries du pays :
Divise officiel : "Harmonie par l'Union et pour l'Union : Vivre Ascalon".
Hymne officiel :
Monnaie officielle : l'Orion
Avec ses 3,25 millions d’habitants, Séfa est à la fois la capitale politique et financière du pays, avec son palais présidentiel, le grand palais du Parlement, et les sièges des ministères et des agences gouvernementales ainsi que des organisations internationales. Elle abrite également des banques, sociétés et institutions financières, ainsi que le siège de multinationales et de grandes entreprises, et la seule bourse du pays : la bourse de Séfa. La ville compte près de 16 millions d’habitants dans sa métropole.
Populations : 123 760 348 habitants
Ascalon est composé de 8 grandes régions administratives dites États, autonomes en raison de la nature fédérale de la république, et de 10 Unions qui abritent des minorités ethniques et religieuses. Les divisions administratives règlent les questions internes et s’administrent elles-mêmes, mais toute question concernant deux provinces ou plus, la défense et les relations internationales est gérée par le gouvernement central, qui, même dans d’autres domaines confiés aux États, reste très influent. Le pays possède de nombreuses fractures internes, principalement géographiques et économiques. Composé de grandes zones relativement plates et fertiles, le pays est très productif, surtout près des côtes où se trouvent d'immenses terres agricoles. Cependant, plus on s’éloigne des côtes, plus on s’approche du désert de Gobi, un des plus grands déserts du monde, au climat aride mais riche en ressources naturelles telles que les hydrocarbures. Malgré cela, près de 87 % de la population se concentre dans les grandes villes, où se trouvent les activités économiques, les emplois et les richesses. Culturellement, le pays est très uniforme, avec une seule culture dominante : les Yakans. Les croyances religieuses varient entre les régions, mais l'Islam reste la branche dominante. Les régions plus désertiques sont moyennement habitées. Il a été essentiel pour le Gouvernement de mettre en place des politiques et des initiatives favorisant l'égalité des chances et la réduction des inégalités économiques entre les régions. L'administration centrale l'a bien compris en faisant des investissements ciblés dans les infrastructures telles que les LGV (trains à grande vitesse), les routes et les autoroutes, ainsi que dans l'éducation, avec la construction d'écoles et d'universités partout dans le pays. Ces investissements visent à mieux intégrer les régions moins développées dans l’économie nationale, à les faire participer à la vie commune et à favoriser leur développement économique. Le Gouvernement cherche à garantir une représentation équitable des différentes régions.
période préhistorique :
Il y a environ 10 000 ans, les premières traces d’Homo sapiens ont été trouvées dans la région. C’étaient de petits groupes de chasseurs-cueilleurs nomades qui suivaient des troupeaux de bisons pour se nourrir. Ils possédaient des outils rudimentaires en pierre et en bois, pratiquaient la chasse, la pêche et la cueillette de subsistance. Les liens familiaux et tribaux étaient très importants, la division du travail se faisait selon le genre, le sexe et l'âge. Les plus jeunes aidaient les adultes ; les hommes allaient à la chasse et protégeaient le groupe, tandis que les femmes préparaient la nourriture, les vêtements, s’occupaient des enfants et des plus vieux. Les doyens occupaient une place centrale en tant qu'aînés, très respectés et sages, racontant les histoires de la tribu aux jeunes et s'occupant d'eux.
Les premières civilisations :
Au fur et à mesure du temps, ces nomades sont devenus peu à peu sédentaires par manque de ressources, les gibiers et ressources naturelles se raréfiant. Les hommes se sont implantés progressivement et ont commencé à pratiquer l'agriculture et à échanger des ressources. De petites exploitations agricoles ont vu le jour, cultivant des champs et faisant du commerce. La population augmentait, les rendements aussi, rendant la population plus riche. De nouveaux métiers spécialisés sont apparus comme l’artisanat, la poterie, la fabrication de textiles, etc. Ces métiers se sont regroupés dans de grandes communautés nommées villes, de petite taille, vivant du commerce et dominant une région. L'enrichissement général a engendré des convoitises et des guerres ont éclaté pour dominer les ressources et les régions, contrôlant ainsi les zones les plus riches. De ce fait, de petits États dirigés par des rois ont émergé. Ces rois, possédant des pouvoirs absolus, régnaient sur des villes et leurs régions, se disant descendants des dieux. Ils étaient à la tête de bureaucraties bien organisées, de nouveaux systèmes d'écriture et de puissantes armées. Ces rois rendaient la justice et commandaient les hommes et les régions. C'est également la naissance de l'écriture, des premières formes de philosophie et d'astronomie.
L'âge des empires :
Entre 2000 av. J.-C. et 500 av. J.-C., plusieurs empires ont émergé dans la région d’Ascalon. L'Empire d'Armoria, connu pour son expertise dans la métallurgie et le commerce, a prospéré pendant cette période. Au cours du premier millénaire avant notre ère, l'Empire de Val est devenu la puissance dominante de la région grâce à sa puissante armée et sa grande population. D’autres empires et royaumes sont également nés puis ont disparu durant cette ère, notamment la civilisation des fleuves à Valacyron entre 3000 et 2300 avant notre ère. Cet empire a prospéré grâce à son agriculture et son irrigation sophistiquées ainsi qu’aux richesses du sol de sa région. Ces empires se sont effondrés à cause de catastrophes naturelles (sécheresse prolongée) qui ont conduit à une crise alimentaire, une instabilité sociale et politique ainsi qu’à des guerres et des invasions par ses voisins. Ces grands empires influencent toujours durablement la culture ascalonienne. Vers la fin du premier millénaire, ces grands empires ont disparu en raison de catastrophes naturelles et climatiques : montée des eaux, inondations, périodes de grand froid puis de sécheresse. Cela a mené à un appauvrissement général de la population, incitant au vol et à la violence. Les assassinats et complots ciblaient les dirigeants, affaiblissant leur autorité, et des révoltes ont commencé à apparaître. Mélée à des invasions étrangères et des crises économiques, c'est une période de chaos général et peu de choses sont connues de cette époque.
L'âge oublié :
De cet âge, peu de choses sont connues. Les historiens ont peu d’informations et de vestiges de cette époque, mais on sait juste que c’était une ère de chaos, d’invasion et de violence. Les faibles cherchaient la protection des plus puissants, les connaissances régresaient, le commerce faiblissait et les voyages avaient presque disparu. Près de 92 % de la population vivait à la campagne dans de petits villages et exploitations agricoles.
L’âge des royaumes combattants :
Durant cette période, qui a suivi le mystérieux empire Lung, de nombreux petits royaumes sont apparus, composés d’une ville et de ses environs et dirigés par un roi qui se faisait la guerre entre eux. C’est également une ère de grandes découvertes et de sciences, mais qui fut rapidement stoppée par l’arrivée de colons étrangers. C’est aussi durant cette ère que la dynastie Maesar est apparue et a rapidement dominé une grande partie de la région, mais elle s’arrêta brusquement avec l’invasion étrangère.
L'ère de la colonisation :
Au XVe siècle, une grande puissance coloniale, les Empires eurasiens, est arrivée sur le territoire d'Ascalon. Les autochtones les ont accueillis avec sympathie et leur ont offert des cadeaux, mais ils ne savaient pas que ces explorateurs étaient en mission au service des souverains eurasiens à la recherche de nouvelles terres et de richesses. Grâce à leur supériorité technologique, ils ont rapidement dominé la région et soumis les empires et royaumes autochtones. Les populations furent massacrées et exterminées à cause des maladies amenées par les colons. Les survivants furent réduits en esclavage, forcés à travailler dans des mines et à exploiter la terre des colons. Ils furent marginalisés, exclus de la société et considérés comme des moins que rien.
Volonté d’Indépendance :
Au début du XIXe siècle, des revendications indépendantistes ont vu le jour partout dans la colonie d’Ascalon. Les populations autochtones réclamaient plus d’égalité, l’abolition de l’esclavage et l’indépendance d’Ascalon. Ils se heurtaient aux colons qui souhaitaient garder cette main-d’œuvre gratuite et continuer d’exploiter les ressources de la colonie. Des groupes indépendantistes comme Pandémonium, la Main Noire ou les Forces d’Indépendance d’Ascalon (FIA) ont commis des assassinats contre des hauts placés dans l’armée d’occupation et l’administration coloniale, des attaques armées et des destructions de lignes ferroviaires et de ports. La riposte des colons ne se fit pas attendre : l’armée organisait des couvre-feux dans les quartiers autochtones et tuait des autochtones sans distinction.
En représailles. En 2 jours, plus de 10 000 Yakans furent exterminés à Séfa et bien d’autres dans des villages et villes autochtones. Tous ces massacres ont renforcé la détermination des Yakans et les divers groupes d’indépendance se sont organisés en un seul groupe, l’Alliance des groupes indépendantistes d’Ascalon (AGIA). Plus organisés, ils effectuaient des opérations clandestines de haut niveau.
Indépendance :
Incapable de restaurer l’ordre, l’administration coloniale a décidé de reconnaître l’indépendance d’Ascalon et a organisé une réunion avec l’AGIA pour discuter des termes de l’indépendance. Le 24 avril 1923, Ascalon est officiellement indépendant, au grand dam des colons et à la joie des autochtones. Le 24 avril devient officiellement un jour férié et fête nationale. Même si Ascalon avait obtenu la victoire en obtenant son indépendance, il se retrouve face à une nouvelle réalité : le pays est ruiné, sa population paupérisée et aucune infrastructure n’est fonctionnelle, tout est détruit et à refaire. On a besoin d’un gouvernement fort pour redresser le pays et le rendre plus fort.
30 novembre 1924 :
la Constitution nationale du pays est officiellement déclarée, affirmant qu’Ascalon est un pays libre, souverain et unitaire. La Constitution partage les pouvoirs entre les États et le gouvernement central et impose le principe de séparation des pouvoirs en trois : l’exécutif au gouvernement, le législatif au Parlement et le judiciaire à la Cour suprême. Parallèlement, la première élection présidentielle est organisée, suivie des législatives. Le pays sort petit à petit des problèmes liés à l’indépendance, commence à s’industrialiser et se développe.
7-14 Juillet 1987 :
Un général nommé Yassin El-Perouz tenta de renverser le gouvernement et réalisa un putsch contre l’État. S’ensuivirent des combats violents et le gouvernement déclara l’état d’urgence. Finalement, après 7 jours de combats entre traîtres et loyalistes, les loyalistes remportèrent la victoire. Les traîtres furent arrêtés et jugés, et le général Yassin fut condamné à mort.
2004 :
Une grave crise économique secoue le pays, due à l’effondrement des cours du marché boursier et à une bulle immobilière. Le pays est touché de plein fouet et beaucoup de citoyens tombent dans la pauvreté.
2008 :
La crise économique fut contrôlée et le marché reprit lentement son cours. Le pays tente maintenant de relancer son économie et ses industries, et de faire face aux graves crises économiques, sociales et politiques causées par la crise de 2004.
2012 :
À l’époque actuelle, le pays a réussi à relancer ses industries et technologies et est en train de devenir un acteur majeur sur le continent. Cependant, des tensions régionales et intérieures ralentissent cette relance, en plus de l’arrivée des élections présidentielles et législatives.
Les citoyens possèdent un fort sentiment d'identité nationale qui peut se manifester à travers des symboles nationaux, tels que le drapeau, l'hymne national, les événements historiques partagés et les célébrations nationales. Le président apparaît comme le symbole de l’unité nationale et de la lutte contre l’ingérence étrangère. Les habitants d’Ascalon sont fiers de leur pays dans son ensemble et se considèrent comme faisant partie d'une communauté nationale plus large, malgré les divisions à l'intérieur du pays. Les habitants valorisent les particularités culturelles, linguistiques et gastronomiques propres à leurs États et, à un plus grand niveau, à celui du pays. Ils sont attachés à leurs traditions locales, à leur patrimoine et à leur identité régionale, mais ont une forte conscience d’une identité nationale commune. Cette fierté régionale contribue à la richesse de la diversité culturelle des régions. Les disparités socio-économiques entre les régions influencent la mentalité de la population. Ceux qui vivent dans les régions moins développées ressentent une frustration face à l'inégalité des opportunités économiques, à l'accès limité aux services sociaux de base et aux infrastructures déficientes. La jeunesse de ces régions part vers les grandes villes des côtes pour une vie meilleure, et les campagnes se dépeuplent. Toutes ces fractures internes ont créé des tensions et des divisions au sein de la population.
La religion est séparée de l’État, qui est laïque et ne s’intéresse pas aux questions religieuses de ses citoyens. La majorité de la population est musulmane (86 %), avec une prédominance de la branche sunnite (94 %). Le christianisme vient ensuite, suivi du judaïsme et d’autres religions minoritaires comme le bouddhisme. De nombreuses communautés locales gardent leurs croyances, mais elles restent largement minoritaires. Même si le pays se dit laïque, chaque intronisation d’un nouveau président se fait par un serment sur le Coran. Cette pratique montre que, malgré la séparation officielle de la religion et de l’État, la religion conserve une place symbolique importante dans la culture et les traditions du pays.
le pays est une République unitaire fédérale, dotée d'une Constitution et fonctionne selon un principe de séparation des pouvoirs très strictes avec une véritable séparation des pouvoirs.
-Pouvoir exécutif :
-Le président de la République : il est le chef de l'État. Ces fonctions sont principalement symboliques en tant que figure unificatrice et incarnation de l’unité nationale et de la continuité historique de l’état et également symbole de stabilité, garant de l’équilibre des pouvoirs et de leur séparation. Il possède des fonctions définies par la constitution qui sont qui sont : des fonctions de représentation de l’état, des fonctions cérémoniel, constitutionnel, un rôle consultatif, le commandement suprême des forces armées et des pouvoirs de réserve. Il est élu pour 4 ans et limité à 2 mandats.
le Premier ministre : nommé par le président parmi les députés de l’Assemblée et dont il doit être le chef du groupe majoritaire, il est le chef du gouvernement et celui qui exerce réellement les pouvoirs exécutifs, il est responsable devant le parlement, auxquels il doit régulièrement donner des comptes rendus de ses actions et décisions.
-Pouvoirs législatifs :
Le parlement exerce le pouvoir législatif et est divisé en deux chambres : la chambre haute (le Conseil) et la chambre basse (l’assemblée).
- Conseil :
Le Conseil est composé de 200 sénateurs élus au suffrage universel indirect pour un mandat de 6 ans et renouvelé à moitié tous les 3 ans.ses membres sont les sénateurs et exerce le pouvoir législatif avec l’assemblée et disposer un pouvoir de surveillance sur les actions du gouvernement. Les sénateurs sont élus par un niveau des provinces et régions et au maximum une région peut posséder 10 provinces et l’Islam possède 4 sièges tandis que le judaïsme et le christianisme possèdent chacun 3 sièges.
-l'Assemblée :
L’Assemblée est composée de 700 députés sont élus au suffrage universel direct pour 8 ans et change de moitié tous les 4 ans. ils représentent directement l'ensemble des citoyens.
Les fonctions du Parlement sont de proposer et vote des lois, surveille les actions du gouvernement, représente les intérêts de la nation, contrôle les dépenses et recettes publiques, vote sur les taxes et impôts ainsi que les déclarations de paix et guerre et tout changement dans la constitution du pays.
Pouvoir judiciaire :
la Cour suprême : garant de la séparation des pouvoirs et du respect des lois et de la constitution.il est composé de 9 juges suprêmes nommés par le président et le conseil tour-à-tour à vie. Le président est la plus haute autorité judiciaire mais qu’ils a dévolue aux parlement (selon la constitution). Il veille également à ce que les lois fédérales n’entrent pas en conflit avec les lois des régions et de veille aux litiges entre les régions ou les régions et l’état fédéral et agit également en tant que tribunal de dernière instance. Il veillent également à ce que les lois fédérales ne soit pas en anticoncurrentielles et doit approuvé à la majorité absolue toute volonté de modifier la constitution.
-Le Président de la République : Ylandar Olankran
-Premier ministre : Akkar Ianbella
-Président du conseil : Maelyn Erraleir
-Président de l’assemblée : Collan Biphyra
-Le juge suprême en chef : Wayn Daephyra
- Ministre de la Défense et des Armées (QG militaire central) : Malik Al-Haddad
-Ministre de l'Intérieur et des États constitutifs : Karim Mansouri
-Ministre des Affaires étrangères : Leila Fawzi
-Ministre de l'Économie, des Finances, des Industries et du Commerce : Omar Khalidi
-Ministre de la Justice : Amira Saïd
-Ministre de l'Éducation nationale et de l'Enseignement supérieur : Sofia Rahman
-Ministre de la Santé, de la Prévention Sociale, de la Sécurité Sociale et de la Lutte contre les Discriminations : Adam Al-Mansour
-Ministre de l'Agriculture, de la Pêche, des Mers et Océans, ainsi que de la Souveraineté Alimentaire : Elena Farid
-Ministre du Logement, des Transports et du Travail : Ali Ghanem
-Ministre de l'Énergie et des Ressources Naturelles : Nadim Aziz
-Ministre de la Science, de la Recherche et de l'Espace : Aisha Abadi
Au niveau des États, le pays est divisé en 8 États et 10 unions. Les unions sont de petites zones où des minorités religieuses ou ethniques sont prédominantes. Les États possèdent leurs propres administrations locales et se régissent selon le principe de séparation des pouvoirs. Le pouvoir exécutif est exercé par un gouverneur élu directement par la population pour un mandat de 2 à 4 ans (varie selon les États). Le gouverneur nomme un second, le conseil principal, qui est l’adjoint du gouverneur. Ce dernier forme un gouvernement composé de conseillers dont le portefeuille est à la discrétion du gouverneur et de son adjoint.
Le pouvoir législatif est géré par un parlement d’État, qui peut être monocaméral ou bicaméral. Le pouvoir judiciaire est exercé par une cour d’État, qui fonctionne comme une cour suprême au niveau de l’État.
Chaque État possède sa propre constitution et ses propres lois, qui ne peuvent être en désaccord avec les lois établies au niveau fédéral. En cas de conflit, les lois fédérales prévalent. Les États ont des compétences dans plusieurs domaines, notamment la santé, l’aménagement du territoire, les infrastructures, les transports, le logement, l’immobilier, la législation, l’éducation (primaire et secondaire), la police, la sécurité et la justice.
Les 8 États sont :
- Illirora avec sa capitale Ilokot
- Virijor avec sa capitale Ifera
- Omoro avec sa capitale Numina
- Oridove avec sa capitale Tarbes
- Balreen avec sa capitale Gotoka
- Zilack avec sa capitale Yonin
- Motoroa avec sa capitale Fanu
- Mavira avec sa capitale Marrie
Les 10 unions sont :
- la République de nudé
- La République de Lamira
- l’archevêché de Toleo
-la république de Kon
- La Principauté de Sukoro
- la République Kanana
- l'Émirat de Lan
- la République d’Elvaron
- la République de Cirece
- la République de Malayui
Malgré leur large indépendance et autonomie, les Unions sont largement moins autonomes que les États et très contrôlées par le gouvernement fédéral, mais il possède les mêmes compétences plus ou moins restreintes que les États.
Ascalon cherche à s'imposer comme une puissance centrale sur son continent et comme un moteur de l'économie mondiale. Le pays ambitionne également de devenir un allié et un acteur fiable sur la scène internationale. Pour ce faire, Ascalon s'efforce de diversifier ses partenariats étrangers et de projeter sa puissance au-delà de ses frontières, tant sur le plan économique que militaire. Cette stratégie vise à renforcer son influence globale et à sécuriser des alliances stratégiques tout en stimulant la croissance économique nationale.
