11/05/2017
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[RP] La situation à Océana [Communiste de Océana contre Gouvernement du Luminor et indépendantiste d'Océana]

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Situation à Océana : les prémisses, le 23 juillet 2013 et le 23 aout 2013.


Historien de Océana : Livkon Ridko a écrit :
Le 23 juillet, certains diront que cette date n'a aucune valeur réelle que ce n'est qu'un jour dans l'année, ils se trompent pour un peuple en particulier cette date est marquante, 23 juillet 1933 début de la guerre des pirates, l'État d'Océana sera anéanti dans cette guerre, 23 juillet 1947, c'est le début des premier l'embarquement des citoyens de Océana.

Tirée du Journal Historique "Gloire et Déclin"



Discours du Chef du mouvement indépendantiste d'Océana : Jean Tiral, à la radio du "Glorieux Océana". a écrit :
"C'est aujourd'hui que les 80 ans de cet odieux acte de nous avoir retiré l'indépendance vont être fêté par ses luminoriens lâche et sanguinaire ! Nous pouvons laisser cela continuer, j'en appelle à tous les citoyens de Océana à se rassembler dans la rue pour la 20e fois en 20 ans, pour réclamer un référendum d'autodétermination et d'indépendance définitive de la nation de Océana, à l'encontre du Luminor, et j'en demande à ce que le gouvernement soit jugé pour ses crimes de génocide ! "


Cette annonce, fut rediffusé en boucle et en boucle sur les réseaux sociaux et les radio, l'influence que possédait cet homme était immense sur la région de Océana, cela ne surpris donc pas. Les autorités luminoriennes craignant une manifestation de masse, déclarèrent immédiatement un état d'urgence et une mobilisation des forces de l'ordre pour empêcher toute manifestation dans la région. Cet acte ne fit enflammer les foules, les populations crurent alors que l'objectif des luminoriens et du roi était d'empêcher la liberté de la presse les libertés individuelles et la liberté de ce regrouper au sein de Océana, ces derniers crurent alors à une nouvelle tentative d'isoler la région, pour en terminer avec un peuple qui fut un temps considéré comme inférieur dans le Luminor.


C'est dans ce contexte que le 23 août 2013 une grande partie de la population de Océana avait déclaré qu'elle se mobiliserait en masse dans toute la région, et s'il le faut ils occuperaient les instances gouvernementales du Luminor de la région. C'en était trop alors pour les forces de l'ordre, qui décidèrent de déclarer un confinement total de la ville de Océana. Ce qui était à l'origine sans doute une manifestation de quelques milliers de personnes pour rendre hommage au génocide se transforma, d'un coup, grâce aux annonces du représentant de l'indépendance et aux réseaux sociaux, ainsi qu'à l'incompréhension des autorités du Luminor à une manifestation de plusieurs dizaines de milliers de civil refusant un confinement qui pourrait entraîner de nouveau un massacre.


Discours du Chef du mouvement indépendantiste d'Océana : Jean Tiral a écrit :

« Le royaume de Luminor a encore l'intention de nous faire taire! Ils veulent notre disparition car nous les dérangeons, citoyen ! citoyenne de Océana ! descendez dans les rues, montrez votre mécontentement, demandez l'indépendance, hurlez de tout votre cœur, vive Océana libre ! Gloire au Grand-Duché de Océana ! Vive le peuple de Océana ! Et si vous craignez qu'il vous tire dessus, alors contentez-vous de crier, que justice soit faites ! "

Suite à ce discours qui enflammait les cœurs, les rues d'Océana ont pu voir l'arriver de dizaines de milliers de personnes dans les rues, tous aux cries de " Justice soit faite et gloire à Océana libre ! "


C'est un total de 4000 policiers qui sont alors mobilisés pour empêcher les manifestations d'aller plus loin et pour rétablir l'ordre. Le gouvernement du Luminor ne désirait sous aucun prétexte voir la situation s'embraser, et tenta directement de entamer, vers 14h, des négociations avec les principaux leaders de l'opposition, ils se mirent d'accord sur certains points notamment reconnaître que beaucoup de ministres étaient responsables dans le génocide, et donc reconnaitre l'existence de ce génocide. Mais deux points principaux fractureront les débats, le premier reconnaître que Max était responsable du génocide et donc par la même occasion reconnaître que la famille royale était liée à ce génocide. Quant au deuxième, il s'agissait de l'autonomie de Océana, les indépendantistes désiraient que Océana obtiennent une autonomie bien plus supérieure aux autres régions du Luminor. C'est deux aspects furent complètement rejeté, et un des représentants fut arrêté pour diffamation envers l'ancien roi max. Cette fois-ci s'en était trop, et alors que la manifestation se déroulait relativement dans le calme malgré quelques échauffourées, quand ils apprirent qu'un de leur parlementaire avait été arrêté pour diffamation, alors que beaucoup savaient que Max était responsable. Les choses se sont d'un coup enflammées et des jets de pierre ont eu lieu contre les forces de police, la police déjà sous haute tension riposta par des coups de matraque. Ce qui entraîna la retraite des manifestants pour le moment.


Tous ces événements ont eu lieu avant 16h, s'est à environ 16h30 qu'a eu lieu un événement qui a encore plus fait dérapé les choses, il faut savoir que les policiers du Luminor possèdent tous une arme à feu, alors quand trois policiers, Jonathan, Marie et Ibrahim furent encerclé par des dizaines et des dizaines de manifestants qui les avaient isolés, aux cries de " Justice pour Océana ! ", il aura seulement suffit que Jonathan se prenne une pierre dans la tête, pour que Marie ouvre le feu, "pan !", "pan ! ", "pan !".

La première balle rebondit sur le sol et touche un manifestant, ce dernier est blessé à la jambe, la seconde balle touche, dans sa course effrénée, deux manifestants dont un meurt sur le coup, le deuxième se videra de son sang. Ce qui était alors sur place diront, que dans un dernier effort de lutte, ces derniers mots furent marquants, " Mes amis, tout cela est le début d'un génocide, je vous regarderai de là-haut, libérez notre peuple."

Quant à la dernière balle, elle rebondira sur un bouclier et ira à la rencontre d'un homme venu apaiser les deux camps, cet acte sera considéré comme une tentative de meurtre de manière à étouffer les événements.

Ni une ni deux, des dizaines de manifestants se jettent sur les policiers et les frappes jusqu'à les défigurer, Ibrahim réussi à fuir, avec Jonathan sur ses épaules, Marie quant à elle sera lynché sur place. Jonathan, en arrivant au poste, tombera née à née avec un représentant du gouvernement, ce dernier lui demandera, "Bon sang de bonsoir ! Que ce passe t'il ici ??", et il dira "Ma camarade est morte face à des rebelles étant venu seulement pour nous tuer et prendre le pouvoir ici, dans cette ville si belle."


Suite à cela, les deux camps eurent deux discours différents en somme, mais très proche dans le fond. Les forces de l'ordre décidèrent de repousser les manifestants avec des jets d'eau très puissants et à avancer quitte à faire des blessés, il fallait rétablir l'ordre et ceux le plus vite possible. Quant aux représentants de l'indépendances, il déclarèrent qu'il fallait repousser les forces de l'ordre et camper sur les positions ennemies de manière à les empêcher de contre-attaquer.


Le bilan de la journée était désastreux, et cela, suite aux ordres des deux camps, le nombre de victimes s'élevaient alors à 6 morts, dont deux policiers. Et un total de 253 blessés, dont une trentaine graves du côté des manifestants, compte 38 blessés, dont 3 graves du côté des forces de l'ordre.

Cette première journée de manifestation qui était à l'origine partie de mouvement pacifiste voulant rendre hommage aux victimes du génocide, et suite à des incompréhensions et des erreurs commis des deux côtés aura enflammé les choses, en l'espace d'une demi-journée. Il est évident que les évènements qui commences ici ne se régleront pas simplement et calmement dans les jours à venir...


Rapport de la journée du 23/07/2013 et du 23/08/2013
1661
Journal Intime de Vildlar Rousnaf, citoyen manifestant.

Date : 28/08/2013, à 3h30.


Il est 3h30 actuellement, de ce que j'ai compris le gouvernement vient de faire une annonce, nos représentants seraient de dangereux rebelle. Je ne sais plus qui croire, si je crois le gouvernement on se rend et on est pardonné, mais ça me paraît trop beau pour être vrai. Mais si on croit à nos représentants, si on se rend on sera exécuté. Dis dans d'autres termes je reste ici j'ai des chances d'être blessé, je quitte la ville et j'essaie de me rendre je serai condamné à mort pour rébellion. Maintenant que je réfléchis, j'aimerais écrire dans ce journal que cela fait 8 heures que l'on camp devant le poste de police du quartier ouest, mais si j'écris ça ce serait un mensonge, une propagande. En réalité, pour tout vous dire, j'ai appris que le gouvernement avait renforcé les 4000 policiers avec 3000 autres policiers venant de la capitale, et des forces de maintien de l'ordre serait actuellement en route pour nous mater, et enfin un état de siège serait en train de se poser autour de la ville avec des contrôles par les forces de police de toute personne rentrant et sortant. Aussi le gouvernement a déclaré une loi martiale, on nous oblige donc à nous confiner. Je ne sais plus quoi faire, je ne sais plus qui croire, mais un truc dont je suis sûr, c'est que mon arrière grand-père n'est pas mort de la peste ou du choléra, il est mort d'une balle dans la tête. Je vais donc me préparer, pour essayer de survivre à la prochaine nuit, de ce que j'ai compris dans 30 minutes à 4h du matin on va lancer un assaut pour essayer de prendre le poste de police. Si on y arrive alors l'Ouest, que dis-je, la moitié de la cité tombera entre nos mains. À ce moment-là un état sera sans doute proclamé par les plus extremistes, j'aimerais que cet état soit une démocratie sociale et égalitaire. Je vais tout faire pour survivre et ne pas finir à l'hôpital, je vais fermer ce cahier, je n'ai pas terminé de préparer mon cocktail Molotov...
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" Oh mon dieu ! On a bel et bien eu l'offensive à 4h, je pensais être le seul à avoir pris l'initiative de faire un cocktail Molotov, et en fait non, j'en ai vu combien en voler, je crois bien en avoir vu des dizaines et des dizaines volées dans le ciel, que dis-je peut-être des centaines. Tous ces cocktails Molotov ont mis feu au commissariat de police, la police a vite dû battre en retraite face à l'écrasante masse manifestants qui se dirige vers eux Pierre à la main et Molotov balancé en l'air. Il est actuellement 6h du matin, et c'est avec grande fierté que j'annonce que malgré une dizaine de blessés, on a capturé près de 30 policiers, et surtout on a capturé un poste police, on a donc des véhicules à jet d'eau très puissant avec nous. Je peux sans nul doute affirmer, que la moitié de la ville est un autre possession. Ah tiens qu'est-ce que c'est que ça ? Je vois rien à 50 m, il y a un brouillard hyper épais. Attends, oh non, voilà les forces de police, attends, c'est pas des tenues de militaires ça? Me dis pas que c'est la force de répression, c'est comme ça qu'on appelle la« force de maintien de l'ordre». Je crois sérieusement qu'on est dans la mouise, attends, incroyable, ils ont un drapeau blanc! Ils sont des centaines et des centaines, et devant le soutien notre glorieux représentant, Livkon Ridko ! "


À la minute ou le représentant a appris la chute du commissariat de police ainsi que de la mairie du quartier ouest, ce dernier a directement pris sa voiture et à marcher en direction du poste de police. Sur son chemin il a croisé quelques centaines de membres de la force de répression, des habitants de Océana, qui ont rejoint l'armée, ils ont direct prêté allégeance au représentant. C'est donc tout naturellement qu'à 6h du matin, le représentant arriva devant le poste de police et déclara.

" Citoyen, citoyenne de Océana, je tiens à vous féliciter pour votre effort en libérant des forces dictatorial le poste de police, vous venez de libérer tout un quartier d'une tyrannie, je vous dis merci. Les annonces du gouvernement mettent également en lumière leurs avis sur nous, il confirme encore que nous ne sommes pas égaux à eux, ils ne reconnaissent pas le génocide, ils ont arrêté l'un de nos parlementaires. C'est aujourd'hui, avec une grande fierté, que je proclame l'autonomie de Océana, et j'ai bien l'intention de mettre en place dans moins d'une semaine, un référendum d'indépendance. Si ce référendum obtient majorité, le royaume du Luminor n'aura rien à nous reprocher. Vive Océana libre vive la justice ! "


L'annonce qu'il venait de faire fut immédiatement rediffusé et partager dans l'intégralité de la ville, la situation déjà très très tendu, devenant complètement instable. Cela conduisit, malgré leur matinale qui était très tôt à une descente en masse pour tout le quartier ouest et une partie du quartier sud de la ville, dans les rues. La pression que ressentait le gouvernement, et la peur des policiers d'ouvrir le feu sur les manifestants, faisait que la situation était en faveur des manifestants. Et très rapidement l'information, de la mise en place d'un référendum prochainement, enflammat les cœurs des villes et villages de la région de Océana, cela conduit à des manifestations en dehors de Océana et ce des la matinée. Visiblement les choses ne faisait que commencer.
Alors que les forces de l'ordre sont de plus en plus présentes autour de la cité, un risque d'embrasement menace de se produire. Océana est tombée aux mains de ceux que Luminor nomme à la radio "les rebelles". Un siège semble se profiler. La situation, déjà tendue à Océana, s'accélère dans les principales villes autour de la cité, ainsi que dans toute la région. Des manifestations pour la justice éclatent partout à Luminor. Le plus grave est que des gouvernements ont été proclamés au sein d'Océana. Le premier appelle au retour du grand-duché d'Océana, qui serait un État démocratique avec un grand-duc élu pour 15 ans et une assemblée élue tous les 5 ans. L'autre proclamation est assez différente, il s'agit d'un régime communiste qui proclame que la cité d'Océana doit être dirigée par le peuple avec une égalité pour tous. Ces derniers ont proclamé un régime communiste non pas à Océana, mais un peu plus au sud. C'est une catastrophe.

En effet, jusqu'à présent, la situation à Océana était extrêmement tendue et complexe entre les forces gouvernementales et les rebelles. Mais là, c'est tout autre chose qui s'enclenche. Alors que le gouvernement de Luminor commence à enfin reconnaître l'existence d'un potentiel génocide auquel un membre de la famille royale, en l'occurrence Max, aurait participé, les communistes déclarent qu'ils veulent une sécession totale de l'État de Luminor et qu'un État communiste soit proclamé. Ils ne veulent pas d'un gouvernement libéral et d'une démocratie faible. D'après ce que l'on sait, un quartier reste sous contrôle gouvernemental, tandis que tout le reste de la ville et une petite partie de la région sont sous contrôle des rebelles républicains du duché. À l'origine, ces rebelles réclamaient l'indépendance, mais réalisant qu'ils ne pourraient pas l'obtenir par la force, ils ont fini par signer un accord avec les forces gouvernementales. L'accord stipule deux choses : premièrement, Océana recevra autant d'autonomie que Solara. Deuxièmement, une enquête internationale sera menée pour investiguer le potentiel génocide qui aurait frappé le pays il y a des années. Cette annonce a été accueillie dans toute la ville aux cris de « Vive Océana, vive la démocratie, vive la justice et vive le Luminor ! »

C'est suite à cette annonce qu'un gouvernement communiste a été proclamé plus au sud. Les indépendantistes extrémistes, ne considérant pas que l'autonomie soit suffisante, estiment que tous ceux qui collaborent avec Luminor ne sont pas dignes de diriger Océana. Ce gouvernement siège à Simba, au sud de la province. En proclamant un régime communiste, ils déclarent également l'indépendance de l'État d'Océana. D'après les informations, ils auraient armé certains de leurs partisans et lancé des actions contre les forces du gouvernement et les forces rebelles du duché.

C'est ainsi qu'à la capitale royale de Luminor, vers 16h, alors que le roi était en pleine visite de la ville, on entendit « Pour une Océana libre, pour l'égalité de tous et le communisme d'Océana, mort au roi ! » et une explosion retentit alors à quelques dizaines de mètres du roi. De cette attaque terroriste des communistes, il y a eu trois morts et treize blessés légers, et surtout cinq blessés graves dont l'état est encore incertain. Parmi ces malheureux se trouve le roi Charles III.

À peine une heure après l'attentat, Ronald Schneider a prononcé un discours. Dans celui-ci, il disait : « C'est un acte impardonnable qui a été commis par les communistes d'Océana. Je suis obligé de déclarer l'état d'urgence et la mobilisation d'un corps de 20 000 hommes pour mater la révolte des communistes et capturer les responsables de ce crime odieux. Je peux envisager qu'on éprouve de la haine envers une personne au point de diffamer ou de l'attaquer en justice pour essayer d'avoir justice, mais je n'accepterai sous aucun cas qu'on s'en prenne à des innocents juste parce que leur père serait à l'origine d'un massacre. Cette mobilisation est une première dans l'histoire de la démocratie de Luminor. Cela me blesse terriblement de savoir que l'on envoie un corps expéditionnaire sur notre propre territoire pour régler un conflit. Je ne tiens pas à ce que notre nation devienne comme notre allié du Nord, divisée et en guerre civile. C'est donc tout naturellement que j'exige que l'intégralité des effectifs mobilisés à l'étranger et toutes les missions au sud du pays soient annulés. Ils doivent tous rentrer à la capitale. Une ligne d'isolement de la région d'Océana va être mise en place. L'objectif est simple : empêcher les terroristes de passer pendant que les 20 000 hommes trouveront les responsables de cet acte tragique et sordide. Je vous remercie de m'avoir écouté, et une communication très prochainement aura lieu pour vous annoncer l'état du roi. »

Ce discours annonça la couleur. Les dirigeants des rebelles démocratiques du duché d'Océana ont immédiatement apporté leur soutien aux forces militaires envoyées sur le territoire. Ils considèrent également que cet acte est impardonnable et injustifiable. L'un des représentants dira : « Je comprends également qu'on puisse en vouloir aux responsables du génocide et à ceux qui empêchent notre indépendance. La raison pour laquelle nous avons décidé d'arrêter notre proclamation d'indépendance et de nous contenter d'une autonomie égale à celle de Solara, c'est que sinon la région sera plongée dans le sang et les larmes pour la deuxième fois de son histoire. Cet acte est injustifiable et impardonnable et ne fera qu'engendrer des malheurs. J'exige que les responsables soient arrêtés et je ne m'opposerai en aucun cas à l'intervention militaire. »

C'est ainsi qu'un total de 60 000 hommes allait être mobilisé pour mater cette rébellion communiste, et les forces démocratiques rebelles allaient se joindre aux troupes. Un blocus de la région fut mis en place, composé de 40 000 hommes, dont 10 000 mobilisés tout autour de la région. Ainsi, 30 000 hommes bloqueraient l'entrée et la sortie de la région, et 10 000 hommes bloqueraient toute évacuation ou aide venant de la mer. Enfin, les 20 000 hommes restants rentreront dans la région et passeront au peigne fin chaque village et chaque ville pour trouver les responsables de ce crime odieux. Cette mobilisation est historique et sans précédent dans l'histoire de Luminor depuis les grandes guerres. Certains pensent alors que la situation serait réglée dans quelques jours, mais les communistes d'Océana basés à Simba n'avaient clairement pas l'intention d'en rester là. Ces derniers ne tardèrent pas à envoyer une missive à un pays qui, selon eux, les soutiendrait au moins un minima. Ce que l'on nommera dans le futur la guerre civile d'Océana venait de commencer.
Face à l'avancée des choses, certains habitants de Océana commence à stresser avoir peur :
« Vous avez vu la déclaration du président de cher, ils ont l'intention d'effectuer un bombardement de masse sur notre terre, on va finir par croire que les communistes avaient raison...»

« oui oui c'est vrai, je l'ai vu cette annonce, le président Constantin a vu son pays se déchirer à plusieurs reprises, je comprends maintenant qu'il craigne la situation à Océana. Mais notre premier ministre a réagi assez rapidement de ce que j'ai remarqué, il a clairement déclaré que les communistes n'étaient pas ses ennemis, que le peuple dossier à la non plus n'était pas son ennemi et que seuls les terroristes devaient être ciblés, et mieux encore! Il a déclaré qu'il n'accepterait aucune intervention militaire dans le territoire terrestre du Luminor. Autrement dit cette histoire se jouera entre les terroristes et l'autorité du Luminor et de Océana.»


Leurs inquiétudes étaient complètement compréhensible la déclaration du président de la tchernoby avait choqué la plupart des Océana, la peur d'un embrasement général, la peur d'un génocide comment c'est à refaire sur place, c'est dans cet optique que des manifestations anti interventionnisme éclatèrent à la fois à la capitale du Luminor et à la fois à Océana, tous avait la même idée en tête, manifester pacifiquement pour montrer que le conflit pouvait être réglé sans arme de destruction massive. Beaucoup pensèrent que contrairement au reste du continent central, le Luminor et Océana aller réussir à régler le problème sans massacre, et guerre civile généralisée. Car en effet malgré la situation qui avait vraiment la tête d'une guerre civile, seule une petite partie de la région de Océana, en l'occurrence un département entier était en instabilité, le reste grâce à la force armée de 20000 hommes avait été pacifié très rapidement, le non-soutien de nation communiste puissante à Océana aller, s'il continue, une rébellion passée et ce très rapidement.
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