21/02/2015
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[En cours - Barnavelia, les belles jumelles des tropiques]

¡ Amigo, bienvenido a Barnavelia !


[Les images sont légendées, il suffit de passer la souris dessus.]

Nom officiel : République Libre et Socialiste de Barnavelia
Nom courant : Barnavelia
Gentilé : Barnavel / Barnavelle
Inspirations culturelles : Le pays est très fortement inspiré des ex colonies espagnoles des caraïbes, en particulier Cuba. On y retrouve notamment l'importance de la junte militaire, une iconographie guerrière très forte et l'importance du communisme. L'appareil étatique est plus inspiré de l'URSS, avec un gouvernement clairement dictatorial. Je me permettrais, cependant, de prendre certaines libertés pour voir les choses avec un second degré amusant, notamment en ce qui concerne la corruption omniprésente de dirigeants pas très compétents qui sont surtout là pour s'en mettre plein les poches tout en promouvant un communisme exacerbé. "Nous sommes tous égaux, mais certains sont plus égaux que d'autres."
Situation géographique :

Langue officielle : Espagnol
Autre langue reconnue : Créole haïtien

Drapeau :
République Libre Socialiste de Barnavelia

Le triangle rouge, comme une flèche montrant le droit chemin, représente le communisme et le sang de ceux qui se sont battus pour la liberté et le socialisme. La houe et le fusil sont les armes du peuple qui doit assurer son indépendance. La houe qui lui permet de cultiver de quoi assurer sa subsistance sans faire appel aux puissances extérieures, le fusil pour pouvoir se défendre contre les puissances étrangères jalouses de la réussite de la République Libre. Les parties vertes et brunes sont les deux îles de Barnavelia : Santa Barna au nord, avec ses jungles luxuriantes et pleines de vie, dont la terre fertile nourrit son peuple avec générosité et Cabo Velia au sud avec son relief riche en minerais, pierres précieuses et carburants fossiles qui assure stabilité et revenus à ses camarades citoyens. Les îles sont séparées par l'Océan en bleu et au centre se trouvent trois étoiles qui symbolisent les trois piliers de la République ainsi que sa devise : l'Unité du peuple, son travail et le progrès qu'il apporte

Devise officielle : Unitad, Trabajo y Progreso
Hymne officiel :

Monnaie nationale : le Peso Barnavel

Capitale : La capitale de Barnavelia est Santa Barna, une ville portuaire animée de la plus grande île éponyme où les cargaisons des produits issus de l'agriculture et de l'extraction minière sont exportées vers le monde entier.

Population : Environ 2.210.500 habitants


Aperçu du pays :



Présentation du pays :

Carte de Barnavelia

Mentalité de la population :

Rue animée en plein centre-ville historique

Malgré un appareil étatique très présent dans la vie de la population, celle-ci est vraisemblablement heureuse. La propagande et le culte de la personnalité sont si efficaces que les habitants de Barnavelia les considèrent comme normaux et faisant parti de leur vie. Adorer littéralement son pays et son dirigeant, ce n'est jamais qu'être un bon camarade citoyen et patriote prêt à défendre la liberté et le socialisme. Il faut dire que si le fondateur et premier président de Barnavelia, César Francisco, a mis en place un régime très autoritaire, c'était pour le bien commun et il a profité de l'aura de l'indépendance qui lui a valu le soutien des habitants. Les vagues de réformes d'Augustin Ravelino ont permis néanmoins à la population de s'épanouir et de devenir globalement heureuse. Les barnavels sont, d'un point de vue individuel, relativement libres, malgré un accès à la propriété très limité. D'un autre côté, même avec l'unique parti communiste, ce serait un mensonge d'affirmer que tous les citoyens ont la même pensée politique. En effet, la population peut être grossièrement répartie en différentes factions qui s'opposent et s'influencent mutuellement. Si on ne parle pas de groupes officiels, les techniques de profilage de pointe du gouvernement barnavel s'en servent pour connaître dans les grandes lignes la répartition idéologique de ses ressortissants. A l'heure actuelle les factions sont les suivantes, triées par ordre d'importance : Militaristes, Religieux, Industrialistes, Conservatistes, Progressistes et Ecologistes.

Place de la religion dans l'État et la société :

Eglise de village

Si les multiples clochers de [religion pays colonisateur] parcourent le paysage de Barnavelia, des plus grandes villes jusqu'aux plus humbles hameaux, la promulgation de la république socialiste a d'abord entraîné un quasi rejet de la religion. Avec le temps et depuis la présidence de Ravelino, une nouvelle ère de liberté a secoué les îles et le rejet a laissé la place à la liberté de culte. Si la/le [religion pays colonisateur] reste solidement implanté avec plus de 70% de la population croyante, on trouve de plus en plus de traces d'autres cultes établis, en particulier dans les grandes villes plus cosmopolites, tandis que dans les coins les plus reculés de la jungle, il arrive de trouver des personnes mêlant les vieilles superstitions païennes aux cultes traditionaux.


Politique et institutions :



Institutions politiques :

Palais présidentiel au cœur de Santa Barna

Le pays est régi par la Constitution d'Indépendance de Barnavelia, document officiel qui a constitué la Déclaration d'Indépendance de la nouvelle République Populaire de Barnavelia et qui représente aussi ses lois fondamentales. Sont prévus, entres autres, l'irrévocabilité du socialisme, les postes de Président de la République et Généralissime de l'Armée et Police de la Liberté, de Vice-Président de la République, de Premier Secrétaire du Parti et la nationalisation de près des trois quarts des terres agricoles et de 90% de l'industrie. Le Parti Communiste est le seul reconnu par la Constitution, considéré comme "l'unique organe supérieur capable de mener l'Etat et la société". Dans la réalité, le parti, sert principalement les intérêts des grandes entreprises et de l’élite dirigeante, la nomenklatura. La ploutocratie autoritaire maintient son pouvoir en réprimant toute opposition. Si des élections sont organisées tous les sept ans, dans les faits, c'est le parti qui décide qui dirige, que ce soit par la manière "douce" de la propagande, ou par la manière "moins douce" de la répression politique et les présidents ne changent qu'après plusieurs dizaines d'années.

Le système politique est très hiérarchisé, censé reposer sur le Conseil d'Etat en ce qui concerne le pouvoir exécutif et l'Assemblée Nationale du Pouvoir Populaire censée détenir le pouvoir législatif. En pratique, la séparation des pouvoirs n'est pas respectée car le Parti Communiste Unique concentre tous les pouvoirs, contrôle l'Etat et les hauts fonctionnaires et la cohésion du Parti est gérée par l'Armée et Police de la Liberté, un organisme unique qui sert, entre autre, de police d'Etat.

Principaux personnages :

Ernesto Gavilia, en tenue de général et équipé d'un cigare barnavel, l'un des produits d'exportation les plus réputé de la République libre > Ernesto Gavilia : Le troisième et actuel président de Barnavelia, élu (comprendre "placé là par le Parti") comme en réponse à la politique de réformes de son oncle et prédécesseur, Augustin Ravelino. En effet, Ernesto, en tant que dirigeant, ressemble beaucoup plus à César Francisco, le premier président. S'il n'a pas la volonté de défaire ce qu'à entrepris Augustin, Ernesto a tout de même remis au goût du jour une politique de contrôle de la population, une propagande et un culte du chef dignes des premières années post révolution. C'est un autoritariste absolutiste, mais également un orateur très charismatique, qui sait dire ce qu'il faut à la foule pour qu'elle soit heureuse, notamment lors des interminables discours au balcon du palais présidentiel (une idée de l'époque de César également remise à la mode). De plus, il est entouré des bonnes personnes, notamment de l'ancien président, ce qui, couplé aux services de surveillance et de profilage de la police d'état et des mesure de communication (propagande) mises en place, lui permet de toujours avoir le parfait équilibre entre pouvoir dictatorial absolu et population heureuse.
"Depuis mon oncle, la liberté est devenue précieuse. Maintenant il faut la rationner."
Augustin Ravelino dégustant un cocktail typique de Barnavelia dans son ensemble de survêtement taillé sur-mesure > Augustin Ravelino : C'est le deuxième président de Barnavelia, surnommé El Reformador. Il est à l'origine de la grande vague de liberté qui a secoué les îles entre 1971 et 1994. C'est notamment à lui que l'on doit les premières élections présidentielles (bien que ça n'ai pas changé grand-chose, puisque le Parti a fait en sorte qu'il soit réélu jusqu'à ce qu'on lui laisse le droit d'abdiquer après 36 ans de présidence). Aujourd'hui, c'est un vieil homme qui souhaiterait profiter tranquillement de sa retraite, mais en tant que symbole barnavel, il a encore une grande influence sur les îles. Une influence que le gouvernement préfère contrôler. Il lui reste donc de nombreux rôles et titres honorifiques et ce n'est un secret pour personne qu'il est un des conseillers les plus proches de l'actuel Presidente. Au grand bonheur du peuple, de toute façon.
"J'ai mis en place des élections et on a continué à me traiter de dictateur. Le même 'on' qui gouverne avec 20% de sa population ayant voté en sa faveur."
Lucia Bailén, toujours élégante, a trouvé cinq secondes dans son planning pour prendre cette photo avant de sortir de son bureau > Lucia Bailén : Elle est le visage et le cerveau du Parti. Elue "Miss Barnavelia" pendant ses études à l'Université Populaire Nationale de Barnavelia, son discours d'investiture plus tourné sur l'importance du socialisme que sur la sensibilisation à la préservation des bébés chenilles tropicales du sud de Cabo Velia (contrairement à sa prédécesseur) a rapidement attiré l'attention du Parti qui en a fait sa véritable coqueluche. Elle a fini par devenir rapidement Première Secrétaire et, en tant que telle, elle va plus loin que ses prérogatives. Plus de la moitié des bonnes décisions prisent par Gavilia depuis qu'elle est en poste viennent en réalité d'elle et de son cabinet. C'est la véritable tête pensante du gouvernement ainsi qu'un monstre social et l'une des figures phares de la propagande barnavelle, au niveau national comme à l'étranger.
"L'idéalisme, c'est bien sympa, mais quand il se rapproche de la réalité, les coûts deviennent vite prohibitifs."
Politique internationale :

Cargo quittant Cabo Velia

Barnavelia revendique son indépendance internationale en se positionnant officiellement comme un pays neutre. Le tourisme représente une part non négligeable de leur économie et les îles jumelles sont également des paradis fiscaux assumés, aussi il serait très dommageable pour elles de se retrouver coincées dans un conflit dont elles n'auraient rien à gagner. D'autant que la République Populaire ne possède pas les moyens de produire, d'entretenir et de projeter une armée d'invasion ni même un contingent de défense capable de repousser une tentative d'invasion sérieuse de son territoire. L'objectif de Barnavelia est, au pire, d'être ignorée et laissée en paix et, au mieux, de faire affaire avec les grandes puissances en exportant des produits et en recevant touristes et capitaux étrangers.
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