Participants :
- Royaume Constitutionnel du Luminor : Premier ministre Ronald Schneider
- Empire Colonial Antérinien : Valentin d’Antrania
- Tsarat Constitutionnel de Rus've : Mikhaïl Obatchev
- Empire Raskenois : Axel Orndorff
- Royaume Constitutionnel du Valkoïnenland : Ministre des Affaires étrangères Jorpeberg Av Vaxburg
- Saint Empire Ambarois : Ministre des Affaires étrangères Soria Custos
Lors de l'ouverture de cette réunion, six pays membres déclarèrent qu'ils seraient présents : le Royaume Constitutionnel du Luminor, l'Empire Colonial Antérinien, le Tsarat Constitutionnel de Rus've, l'Empire Raskenois, le Royaume Constitutionnel du Valkoïnenland et le Saint Empire Ambarois. Plusieurs sujets étaient à l'ordre du jour. Premièrement, la situation de crise à Océana, suivie de la mise en place de la GACE et du CDJSE (Conseil de Défense, de la Justice et de la Santé Eurysien). Le troisième point discuté par le Conseil fut la mise en place du partenariat prévu avec la Rimaurie.
Ainsi, le Conseil commence par l'ouverture avec un discours du représentant du Luminor, Ronald Schneider.
"Mesdames et Messieurs les représentants des membres de l'Union, je suis heureux de vous accueillir aujourd'hui dans cette ville du Luminor. Je m'excuse pour le désagrément occasionné par le déménagement de l'institution entre Océana et ici. Comme prévu, nous allons discuter de certains sujets importants. Nous allons donc commencer par le premier : Océana."
La situation à Océana :
Ronald Schneider (Luminor) : "Je vais commencer par vous faire une récapitulation de ce qui se déroule. Une révolte a éclaté pour obtenir justice et plus d'autonomie à Océana. Un accord fut signé à ce moment-là avec les forces gouvernementales de mon pays, mais un attentat terroriste a été commis par un autre groupe de rebelles d'Océana, causant la mort de certaines personnes et la chute dans le coma de notre souverain, Charles III. Suite à cela, des forces ont été mobilisées et nous n'accepterons aucune intervention à l'intérieur du royaume, notamment à Océana, pour s'occuper de la révolte. Pas de bombardements ni de forces armées lourdes. Aujourd'hui, j'ai proposé ce sujet pour plusieurs raisons, deux d'entre elles me paraissent notables. Pour commencer, il y a le cas de mes voisins communistes qui pourraient potentiellement intervenir. J'aimerais que nous discutions de ce que nous pourrions faire face à cela. Ensuite, j'aimerais entamer une discussion sur la mobilisation d'une flotte pour empêcher une propagation et une fuite des rebelles en dehors d'Océana."
Mikhaïl Obatchev (Rus've) : "Bonjour à toutes et à tous. Je comprends l'inquiétude de votre pays. Selon moi, il est nécessaire d'effectuer un bombardement stratégique et une intervention musclée pour éviter que cela ne se reproduise. De ce que j'ai pu comprendre, un membre de l'Union a proposé une potentielle intervention aérienne sur votre pays. Est-ce que les pays membres de l'Union ainsi que le Luminor pensent que cela serait envisageable pour régler et pacifier la situation rapidement ?"
Axel Orndorff (Rasken) : "Sincèrement, monsieur, cela ne va vraiment pas régler la situation, cela va l'empirer. Selon les données que nous possédons, près de 20 % de la population totale d'Océana vote pour le Parti communiste et craint surtout un génocide. Utiliser de l'armement de masse dans la région peut déjà faire peur en voyant une force militaire massive entrer sur le territoire, leur rappelant un souvenir passé. Mais aussi, si nous décidons d'effectuer des bombardements de masse, de nouvelles rébellions éclateront, et ces dernières n'auront rien à voir avec l'actuelle. Cette fois-ci, cela entraînerait le soutien d'une partie du Parti communiste d'Océana et sans doute d'autres partis moins extrémistes pour une indépendance et potentiellement l'établissement d'un régime communiste. Réellement, je suis contre une quelconque intervention d'une force armée sur le territoire d'Océana, excepté la mobilisation de forces militaires de maintien de l'ordre, en l'occurrence déjà effectuée par le Luminor à hauteur de 20 000 hommes. C'est tout ce que j'ai à dire de mon côté."
Jorpeberg Av Vaxburg (Valkoïnenland) : "Mon pays étant déjà dans une situation assez instable et par expérience, je m'oppose également à une intervention musclée dans la région. Je pense que des négociations sont beaucoup plus aptes à régler le conflit. Évidemment, une force de maintien de l'ordre est nécessaire pour éviter que la situation ne s'empire, mais nous ne devons pas aller plus loin que cela."
Valentin d’Antrania (Antérinie) : "Très bien, dans ce cas-là, le sujet est clos. Par contre, on peut envisager autre chose. Comme l'avait envisagé le Royaume du Luminor, nous pouvons potentiellement mobiliser une petite flotte pour montrer, d'une part, à l'international que le problème peut être réglé rapidement et pacifiquement et, d'autre part, montrer notre efficacité et notre force de dissuasion. Ainsi, de mon côté, je propose l'envoi d'une frégate pour maintenir la sécurité au sud d'Océana. Est-ce que le Royaume du Luminor autorise cette mobilisation et d'autres pays seraient-ils prêts à se joindre à cette dernière ?"
Ronald Schneider (Luminor) : "Le Royaume du Luminor a quelques défauts sur le plan de la flotte. Ce serait un véritable plaisir de voir une coopération de l'Union sur cet aspect sécuritaire. Nous sommes tout à fait prêts à laisser entrer dans notre ZEE des flottes alliées pour éviter que les communistes rebelles ne s'enfuient ou ne contaminent la région pour ensuite revenir et relancer une révolte plus intensive."
Axel Orndorff (Rasken) : "En partant de ce postulat, mon empire est prêt à affréter une frégate dans les eaux d'Océana pour montrer notre soutien au gouvernement du Luminor et éviter, comme dit précédemment, que la situation ne s'empire. J'espère sincèrement que cette mobilisation pourra nous convaincre de créer un système d'armée commune pour permettre une mobilisation rapide et efficace de nos armées respectives en cas de besoin."
Jorpeberg Av Vaxburg (Valkoïnenland) : "Bien, bien, bien. Comme vous le savez, ma nation est actuellement dans une situation précaire, ce qui rend difficile toute mobilisation de notre part. Malgré cela, l'état rebelle qui contrôle une partie des terres de mon pays ne possède pas une flotte notable et le contrôle de la mer reste en notre possession. Nous pouvons très largement mobiliser un patrouilleur pour bloquer les communistes d'Océana qui tentent de fuir ou de répandre leur poison par les voies maritimes, via des navires de pêche."
Soria Custos (Ambarois) : "Je propose que ma nation s'occupe de diriger cette opération maritime en mobilisant un navire amiral qui représente la fierté de notre flotte ainsi que la confiance que nous avons en l'Union. En effet, c'est un croiseur que nous proposons à la mobilisation. Si vous nous accordez la possibilité de diriger cette opération, cela vous conviendrait-il ?"
Ronald Schneider (Luminor) : "Étant donné que cette flotte est, entre guillemets, mise à notre disposition, en toute logique, ce serait le Royaume du Luminor qui devrait avoir le commandement de la flotte. Mais comme nous l'avons dit précédemment, nous possédons des lacunes immenses dans le domaine maritime, qui, malgré la construction de certains navires actuellement, ne sont pas prêtes d'être comblées. C'est donc en toute logique que nous confions le commandement de cette opération à l'Empire Ambarois avec son croiseur comme navire amiral."
Mikhaïl Obatchev (Rus've) : "Parfait, ce sujet est donc clos. Par contre, j'aimerais aborder un autre sujet qui pourrait être un danger pour le Royaume du Luminor et pour l'Union qui le soutient. Bien évidemment, cela sera soumis à un vote. Je pense fortement qu'une mobilisation d'une armée est nécessaire à la frontière est du Luminor pour éviter une propagation du conflit vers les deux voisins communistes du Luminor."
Valentin d’Antrania (Antérinie) : "Effectivement, il faut évoquer ce problème. Comme on peut s'en douter, les communistes rebelles ont de toute évidence l'intention de chercher des renforts par-ci par-là, ce qui pourrait conduire à une propagation du conflit et à de l'ingérence étrangère au Luminor. Il est donc tout à fait normal qu'une mobilisation soit mise en place pour éviter que l'influence du gouvernement du Luminor sur la région ne soit contestée."
Jorpeberg Av Vaxburg (Valkoïnenland) : "Je suis de tout cœur d'accord avec cela. Je suis bien placé pour savoir que l'ingérence étrangère n'est vraiment pas une bonne chose. Il est donc tout à fait normal qu'une mobilisation se mette en place pour empêcher une propagation du conflit. Certains pays qui ont déjà été victimes de manigances de puissants pays communistes seront sans doute d'accord avec nous. Mais pour cela, il faudra bien évidemment passer par un vote et décider des mesures à mettre en place."
Le fonctionnement des institutions de l'Union :
Ronald Schneider (Luminor) : "Bien, je pense que le premier sujet est conclu et que nous pouvons maintenant entamer le second sujet, qui concerne le fonctionnement de certaines instances de l'Union. Je propose d'abord de traiter le cas de la GACE. Je vais vous expliquer ce qu'est la GACE : c'est une institution de l'Union qui a pour objectif de représenter les pays, de décider de la législation, de l'économie et de l'exécution. Malheureusement, jusqu'à présent, aucune discussion réelle n'a été abordée pour discuter de son fonctionnement. Chers pays membres, j'écoute vos différents avis sur la question."
Axel Orndorff (Rasken) : "Effectivement, cette institution a un rôle extrêmement important au sein de l'Union. J'ai une petite idée sur la question. Selon moi, il serait intéressant d'avoir une institution composée de représentants élus ou nommés des pays membres, mais pas selon le nombre d'habitants, plutôt par pays ou par région. Beaucoup de pays de l'Union comptent environ 10 à 15 millions d'habitants, mais quelques nations dépassent les 50 millions. Si nous restons avec une représentation par habitants, deux pays avec 100 millions d'habitants domineraient le reste de l'Union. Cela ne permettrait pas une réelle coopération et conduirait à une domination de quelques pays. Cette solution n'est donc pas envisageable. Que proposez-vous de votre côté ?"
Soria Custos (Ambarois) : "On pourrait envisager une représentation par région, avec environ 20 représentants par région, ce qui donnerait une assemblée gouvernementale intéressante et enrichissante. Bien évidemment, le scrutin resterait adapté au type de gouvernement de chaque pays, puisque tous nos pays n'ont pas le même type de démocratie ou de régime. Cependant, cette solution pose un problème : un des pays membres compte 28 régions à lui seul, soit 560 représentants, et nous franchirions les mille représentants au total. Cette solution favorise les différentes nationalités et l'autonomie des régions de l'Union, mais elle présente le même désavantage que la représentation par habitants."
Ronald Schneider (Luminor) : "Dans ce cas, j'ai une solution à proposer. Pourquoi ne pas limiter le nombre de régions par État, à un maximum de 10 régions par pays, avec un minimum de 5 ? Actuellement, il y a 12 pays au sein de l'Union. En partant du principe d'une moyenne de 7 régions par pays et en comptant 5 représentants par région, cela ferait une assemblée de 420 représentants. C'est relativement correct. Concernant le fonctionnement de cette assemblée, les lois seraient votées et des discussions auraient lieu pour les appliquer au mieux dans les différentes régions, car chaque région a des besoins et des compétences différents. C'est ensuite à chaque assemblée nationale de décider si cela est envisageable ou applicable. Des discussions préalables auraient lieu avec les représentants des régions, ce qui rendrait cette solution tenable. Cela nécessiterait bien évidemment une bonne volonté de la part des représentants de chaque pays."
Jorpeberg Av Vaxburg (Valkoïnenland) : "Je trouve cela fort intéressant et je pense que mon pays sera d'accord. Cependant, comme vous l'avez dit, cette instance intergouvernementale discute de la législation. Une autre organisation est nécessaire avec un représentant par pays : le Haut Conseil de l'Union. Les membres partenaires pourraient y participer sans droit de vote, au même titre que les membres observateurs. On pourrait y discuter de l'économie, de l'exécution et du contrôle des différentes instances pour éviter tout dérapage, et surtout l'utiliser pour combattre la corruption potentielle au sein de l'assemblée de l'Union. Qu'en pensez-vous ?"
Axel Orndorff (Rasken) : "L'Empire n'a pas de réelle objection et soutient cette idée qui permettrait un développement et une représentation d'une union supranationale tout en gardant l'autonomie des régions et des nations. Je pense que cette option est très bonne. Mais maintenant, il est nécessaire de discuter d'une autre instance de l'Union : la CDJSE. Le vrai nom de cette institution est le Conseil de Défense, de la Justice et de la Santé Eurysien. Elle se charge de la défense, de la justice et de la santé de l'Union. Je propose d'abord de parler du volet défensif. Avec d'autres représentants, nous avons eu une idée intéressante : mettre en place un système d'armée commune par armée indépendante. Nous avons une armée conséquente et un potentiel de développement tout aussi conséquent. Cependant, un des grands problèmes est la difficulté de production de nos troupes et de notre armement, qu'il soit maritime, terrestre, aérien, ou robotisé. Par robotisé, j'entends les mines, missiles, etc. Il faudrait créer une chaîne de commandement par section pour une mobilisation rapide de nos effectifs."
Ronald Schneider (Luminor) : "Cette idée est très intéressante et son impact ne peut être que positif sur notre alliance. Mettre en place une armée commune qui pourrait intervenir séparément ou ensemble est une bonne chose. Le Luminor a une histoire particulière avec son armée, avec des ordres de généraux semblables à cette idée de section. Ce qui serait intéressant, c'est une chaîne de commandement bien répartie. Un régiment d'infanterie de l'Union serait composé de membres multiples, avec une répartition de la production par pays. Si nous continuons chacun à produire des unités aléatoires, cela ne favorisera pas notre développement et nous resteraient incapables de nous diriger ensemble. La solution est simple : certains de nos pays ont déjà commencé à se répartir la production de certaines unités, comme l'infanterie ou la force maritime. Le Luminor, par exemple, se chargera de la production des missiles et de tout ce qui y est lié. Une spécialisation de la production à l'échelle des pays permettrait d'avoir une armée de plus de 500 000 hommes, bien équipée dans tous les domaines : naval, aérien, terrestre, et robotique. Ainsi, notre armée deviendrait redoutée, protectrice envers nos alliés, et nous pourrions montrer au monde qu'une coopération peut fonctionner sur notre continent."
Soria Custos (Ambarois) : "Tout ceci est très intéressant et mon pays valide les options proposées jusqu'à présent. Il faut maintenant se concentrer sur la justice. Le Luminor est sur le point de demander l'ouverture d'une enquête internationale à Océana. Mais au lieu de chercher des instances extérieures, pourquoi ne pas créer une instance juridique supranationale par le biais d'un accord signé lors d'une conférence des pays membres ? Une cour de justice serait composée de 1 magistrat et 3 procureurs par pays, ainsi que d'autres membres. Cela permettrait, à la demande de personnes, d'États, de régions, ou du procureur, d'ouvrir une enquête sur le sol d'un pays membre pour régler des litiges, par exemple en cas de soupçon de génocide à Océana. Les forces gouvernementales seraient alors obligées de prêter main-forte à l'enquête. Cette justice, une fois développée, pourrait être rendue dans d'autres pays avec leur accord. Qu'en pensez-vous ? Si vous êtes d'accord, nous pourrions alors entamer une enquête à Océana une fois la situation pacifiée."
Valentin d’Antrania (Antérinie) : "Ma nation accepte ce principe, ce qui permettrait de créer une identité continentale plus forte au sein de l'Union. Il faut également aborder le cas de la santé. Tous les pays n'ont pas le même niveau de développement en matière de santé, donc des coopérations pour améliorer nos systèmes respectifs seraient bénéfiques pour tous. Des transferts de compétences pourraient avoir lieu. Enfin, j'aimerais aborder un dernier aspect important : le financement de l'Union. Nos institutions ont besoin d'un financement réel. Je propose qu'une contribution de 3 à 5 % soit prélevée sur chaque pays pour financer l'Union : ses institutions, la force armée, la justice, la santé, et éventuellement d'autres aspects comme la coopération internationale et les accords de partenariat. Quel est votre avis sur cette question, chers représentants ?"
Mikhaïl Obatchev (Rus've) : "Je pense que les précédentes propositions seront largement acceptées par la population de ma nation et par mon gouvernement. Concernant l'impôt, un vote est nécessaire pour déterminer le pourcentage. Mon pays serait d'accord avec un taux fixe de 4 %. Certains espèrent que ce financement varie en fonction du développement des pays, mais cela poserait des problèmes d'équité. Un pays avec une économie de 6 000 milliards n'aura pas les mêmes problèmes qu'un pays à 2 000 milliards. Utiliser une partie de ce financement pour aider les pays moins développés permettrait d'équilibrer la situation. Les nations ayant investi un pourcentage important ne seraient pas perdantes, car elles recevraient des aides pour d'autres aspects de leur développement, comme l'agriculture ou l'éducation. J'espère que vous comprenez mon discours. J'aimerais conclure ce sujet par un vote sur un taux de financement allant de 3 à 5 %."
La mise en place du partenariat avec la Rimaurie :
Ronald Schneider (Luminor) : "Je vous remercie pour votre participation, et de mon côté, ma nation soutiendra votre idée. Que ce soit sur le plan des impôts, de la Justice, de la santé, de la défense ou de l'Assemblée de l'Union. Mais tout à l'heure, vous avez évoqué les partenariats, j'aimerais d'ailleurs revenir sur un de nos partenaires auquel nous n'avons pas encore défini l'enjeu de notre partenariat, il s'agit de la Rimaurie. En effet, nous sommes sur le point d'officialiser notre partenariat avec ce dernier. Disons-nous dès aujourd'hui que le vote l'a accepté comme partenaire. Tout ce qu'il nous restait donc à définir d'autres, il se définit aujourd'hui, c'est-à-dire le partenariat sur les aspects militaires, scientifiques et autres. De mon côté, mon gouvernement et moi-même y avons grandement réfléchi, et on s'est aperçu que nos pays ne sont pas si loin que ça et qu'une immense zone maritime nous sépare. Ainsi, nous avons pensé qu'une politique d'exploration de cette zone pourrait être mise en place, favorisant un certain partenariat sur cet aspect. Une campagne d'exploration entre l'Union et leur pays ne peut être qu'avantageuse pour les deux camps."
Soria Custos (Ambarois) : "De mon côté, j'ai une autre proposition à faire. En plus d'une potentielle exploration de la zone maritime séparant les quelques nations que nous avons ainsi que la leur, cette fois-ci un accord plus militaire. Je verrai bien qu'on lui propose des réductions sur nos ventes d'armes, que ce soit sur l'artillerie et les blindés. Et de son côté, étant donné son fort développement, des réductions sur ses chars légers et ses avions. Ce sont des aspects où nous ne sommes malheureusement pas au top, contrairement à l'artillerie. Cela permettrait donc de montrer que nous favorisons le développement des nations partenaires au profit de d'autres nations, que nous soutenons nos partenaires mais que nous ne nous positionnons pas dans les conflits et les tensions qu'elles possèdent. Tout cela est gagnant-gagnant et on n'a rien à y perdre. Maintenant, s'il s'agit de discuter avec une fois la répartition effectuée, les principaux producteurs de ces armes, pour pouvoir ensuite proposer cet accord à notre partenaire. Cela ne peut que favoriser notre développement ainsi que le sien, et peut favoriser le développement de la région."
Mikhaïl Obatchev (Rus've) : "Très bien, je pense qu'une coopération scientifique peut également être potentiellement mise en place, en plus de la coopération maritime. On pourrait par exemple effectuer des coopérations sur le plan de l'électronique, où nos nations sont assez développées respectivement, et cela peut largement favoriser le développement de l'Union et le leur tout en rapprochant nos différentes nations. Tout cela peut servir un développement plus intensif de l'influence de l'Union sur le plan international. Certains se diront, 'Oh voilà une union qui favorise le développement scientifique et pas que militaire', et cela est non négligeable. Il faut également penser aux différents revenus que pourraient toucher nos états de ces investissements. L'électronique est un domaine extrêmement avantageux et qui peut rapporter pas mal. L'expertise de notre partenaire sur l'électricité est également présente sur d'autres aspects, tels que la chimie. En effet, leur nation possède un certain développement sur le plan chimique, leurs scientifiques sont assez reconnus. Une coopération de chimistes pourrait conduire à repérer des maladies, à les combattre et à tout autre chose. Ils peuvent également intervenir dans la justice internationale que nous avons l'intention de mettre en place. Car en effet, l'excuse donnée pour le génocide soupçonné était une maladie présente et qu'il fallait guérir la population d'Océana. Cela permettrait, par des tests génétiques, de vérifier ces informations, ce qui leur ferait grandement avancer les choses."
Valentin d’Antrania (Antérinie) : "Je me permets de continuer derrière vous. J'admets que la chimie et l'électronique sont des aspects intéressants de la vie de tous les jours, mais l'avenir est dans d'autres technologies telles que les télécommunications, les radars informatiques, ou encore la robotique, et surtout la propulsion à réaction. Et c'est ici que je vous invite à vous pencher. Notre partenaire possède une technologie à propulsion à réaction assez impressionnante quand même. Plusieurs bases existent et ses recherches sont considérées de niveau 3 hier relativement correct et conséquent. Je pense sincèrement que des coopérations sur la propulsion à réaction, sur le développement de réacteurs nucléaires, etc., tout ce qui tourne autour de l'atome, ne peut être que bénéfique pour nous tous. Rechercher comment s'occuper de déchets radioactifs dangereux, d'améliorer la propulsion, et pourquoi pas, soyons fous, mettre en place un jour un programme spatial. Pour ça, bien évidemment, il faudra que notre économie soit des plus stables et que notre génie soit développé sur tous ces aspects. Le fait de proposer des partenariats à propulsion à réaction permettra de favoriser notre développement ainsi que le développement de nos futurs alliés. Économiquement, politiquement et défensivement, je pense sincèrement que la propulsion à réaction est un bien meilleur calcul que la chimie ou l'électronique. C'est pour ça que je vous propose par un vote sur quoi faisons-nous un partenariat, car on ne peut pas le faire partout. On peut tenter de le répartir par pays, par contre, en partenariat de chimie, avec un tel partenariat d'automobile, avec un d'eau, de métallurgie, de mécanique et d'électronique, ainsi que, bien évidemment, un partenariat sur la propulsion à réaction."
Axel Orndorff (Rasken) : "Bien, nous vous remercions pour ce sujet ainsi que pour la mobilisation au Luminor et pour les institutions de l'Union. Nous voterons sur les divers aspects quand le tout viendra après. C'est pourquoi je suppose que les dirigeants du Luminor nous inviteront à peu près tous à nous diriger vers les salles de vote prévues à cet effet pour que nous décidions dans les 72 heures qui viennent de notre décision. Je me permets donc de conclure cette réunion en vous remerciant tous les cinq d'avoir effectué le déplacement, même si on est chez le Luminor bien évidemment donc je fais partie de ce que je remercie. Et je vous dis donc à dans 3 semaines pour nous tenir de nouveau à une réunion sur l'avenir de l'Union."
Valentin d’Antrania (Antérinie) : "Je me permets moi aussi de prendre la parole. Dans cet optique, je me mets debout devant vous, pour vous remercier d'avoir admis très rapidement ma nation au sein de l'Union. Ma nation est prête à suivre la voie de l'avenir et mon pays pense effectuer un très bon choix en pariant sur l'Union. Je vous remercie tous de m'avoir accueilli avec un quasi-accueil absolu, en tant que 11e nation de l'Union. Mon pays a bien l'intention de favoriser le développement des différents pays, si et seulement si ces derniers le font dans les deux sens. Je me permets donc de déclarer que cette réunion est aujourd'hui terminée, et je vous invite tous à rejoindre vos appartements ou le grand salon, soit pour effectuer des parties de baby-foot avec d'autres représentants, soit pour discuter avec vos différents dirigeants de l'avenir de l'Union et des votes à donner."