11/05/2017
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Activités étrangères au Grand Ling

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Activités étrangères au Grand Ling

Ce topic est ouvert à tous les joueurs possédant un pays validé. Vous pouvez publier ici les RP concernant les activités menées par vos ressortissants au Grand Ling. Ceux-ci vous permettront d’accroître l'influence potentielle de votre pays sur les territoires locaux. Veillez toutefois à ce que vos écrits restent conformes au background développé par le joueur du Grand Ling, sinon quoi ils pourraient être invalidés.
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Journal Indépendant de la Ville de Tbilgorod en Kartvélie



Bonjour à tous et à toutes, chers téléspectateurs,
En cette belle matinée du 16 octobre 2013, nous vous parlerons de l'enseignement du Kartuli ( Géorgien ) dans une petite associassion du Grand Ling situé dans le village de Xanjai au Nord du pays ce matin,
dans un documentaire signé Eldar Abazasdze.

Image du village de Xanjai
Image du village de Xanjai

Dans le petit village de Xanjai,
village du nord du Grand Ling,
se trouve Boris Avaliani,
expatrié kartvélien depuis plus de 16 ans.
À l'âge de 32 ans, il eut l'envie de voyager,
ce qui le poussa à voir le monde,
notamment le Grand Ling,
dont il tomba amoureux.

Il s'installa d'abord dans la capitale, Neijing,
où il resta près de 4 ans, approfondissant son lingois standard puis son lingois classique.
C'est lors d'une soirée comme toutes les autres avec ses amis qu'il rencontra sa future épouse.
Elle était venue pour des affaires quelques jours dans la capitale.
Cependant, lorsqu'elle retourna à son village,
elle ne revint pas seule, mais avec Boris Avaliani.
C'est ainsi qu'il s'installa dans le village de Xanjai.

Il entreprit alors de partager sa culture avec les villageois en devenant professeur de langue du village.
Il donne des cours aux enfants, adolescents, mais également aux personnes âgées.
Ses cours sont d'une grande aide pour le moral et la créativité du village.
Son association gratuite est financée par la province,
ce qui lui permet de toucher un large public,
lui offrant une réputation dans la région.


Merci à Eldar Abazasdze pour son documentaire.
Un format court afin de mieux comprendre l'enseignement du Kartuli ( Géorgien ) dans une petite associassion du Grand Ling ce matin, très bien résumé.
En espérant que ce documentaire vous ait plu,
nous vous remercions pour votre attention.
C'était Helen Shaburidze avec la chaîne Journal Initiative Kartvélie, JIK.


Journal Initiative Kartvélie, JIK,
Consacré à l'enseignement de la langue Kartuli ( Géorgien ) au Grand Ling
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embleme patriarcat de meroeme et tout lorient

A l'attention de Mgr Huang Ming, doyen des évêques linguoisMgr Sinwar, Patriarche de l'Eglise maronite rattachée au Saint-Siège
20 juillet 2017, Sancte, Etats pontificaux de Catholagne


Très cher frère,

Je suis bien arrivé à Sancte la semaine dernière, par l'avion de Meulières, et je tenais à t'en faire part. Je me rappelle avec précision de nos entretiens et de notre dernière entrevue, lors de mon déplacement informel au Nazum au sein de la délégation panépiscopale pour le Synode. Quel bon moment cela a-t-il été ! La justesse de tes observations et ta grande connaissance des encycliques de Clément XV nous avaient permis d'aborder ce moment dans la plus grande santé d'esprit.

Enfin ! Mes pieds foulent à présent le sol de l'île sainte, pour la première fois depuis onze ans. Le Camerlingue pourvoit à l'organisation du conclave, suite à la démission du Saint-Père. Pie XVI était, de fait, en mauvaise santé. Hélas je crains que ses symptômes ne se soient généralisés depuis à notre Eglise toute entière. C'est du moins ce que j'observe depuis que je suis là, mais depuis des années aussi. Il me tarde d'aborder avec toi ce sujet.

Je pressens de grandes difficultés dans les débats à venir, et l'imminence de choix cornéliens. Je crains que notre bon Pie n'ait été usé par des forces contraires qui menacent de déchirer l'Eglise, et leur probable irruption au sein même du Collège cardinalice me donne la migraine. Car, cher frère, l'heure est véritablement grave. Alexius Palamas a été tué, dans ce que mon pays appelle un accident, mais qui est sans doute aucun une frappe militaire qui vraisemblablement cherchait à l'éliminer. Cette nouvelle terrifiante, reçue alors que nous déjeunions dans le réfectoire de la Maison Sainte-Marthe avec la plupart de nos collègues cardinaux, a frappé le Collège de stupeur.

Cher frère, je suis convaincu que tes paroles et ta bonne guidée nous permettra d'y voir plus clair dès l'arrivée de ta délégation ici. Tu apportes de l'Extrême-Orient, ta terre, une sagesse et une patience qui fait bien défaut à l'Eglise telle que nous la connaissons sur les rivages de la Mer de Leucytalée... D'aucuns cherchent à influencer le conclave et, si l'on en croit l'importance de certains propos, je crains qu'ils n'y parviennent.

Cher frère, en tant que patriarche oriental, je me fie à ta clairvoyance et à ta tempérance pour faire cependant la même analyse que celle qui m'anime. En tant que minorité religieuse dans mon pays, et bien que l'Eglise maronite dont j'assure la conduite ne dépende que de la périphérie du Saint-Siège, l'issue du conclave affectera à coup sûr nos communautés autant que leur image. Car il me faut invoquer ma sérieuse inquiétude de l'éventualité d'un Pape belligérant. Un Pape qui, au nom de la croisade et de l'Evangile, agiterait les douloureuses fractures et le ressentiment inter-religieux, d'une façon qui ne pourrait que nuire aux catholiques dans tous les pays où ils sont minoritaires. L'on connaît, à travers le monde, l'existence de mouvements anti-chrétiens qui n'attendent que la dislocation de notre Eglise pour s'en prendre aux fidèles du Christ. Ainsi, je suis sûr que tu considères comme moi que la préservation de l'intérêt supérieur de nos communautés orientales passe par de bons rapports avec les autres représentants religieux et les gouvernements des pays où nous vivons. En ce sens, j'arrive à ma préoccupation centrale.

Si je t'écris avant ton arrivée à Sancte, cher frère, c'est pour aborder sans plus de langue de bois les décisions que nous aurons à prendre lors du conclave. Je crois fermement qu'il faudra mettre de côté la patience et l'endurance pour obtenir une solution véritablement conforme à ce que nous pensons être la meilleure solution pour l'Eglise, étant donné les grands défis qu'elle affronte.

Le premier de ces défis est, comme je l'ai mentionné plus haut, celui d'un raidissement de notre Eglise face aux autres religions et donc, par effet de conséquence, de plus grandes difficultés politiques et diplomatiques pour interagir avec ces acteurs et ces gouvernements qui sont pourtant nos voisins et nos autorités nationales, à nous autres représentants des communautés catholiques minoritaires. Je suis sûr que tu conviendras comme moi de ce risque, et de la nécessité, certes parfois peu gratifiante et pénible à mener, de garder toujours le fil du dialogue interreligieux et international ouvert. En ce sens, j'observe parmi nos collègues de bons profils, capable d'assurer cette mission, mais aussi des visages inadaptés à cet impératif. Cher frère, pardonne-moi si mes propos te heurtent, mais je crois que le meneur des cardinaux velsniens, Son Eminence Pepe Scaela, étant l'un des plus virulents et rétifs à l'idée de ce dialogue interreligieux, devrait être urgemment écarté de la liste des papables.

Je vois un second défi pour notre Eglise dans les temps à venir, que le prochain Pape devrait être en mesure de conjurer. Ce défi est celui de la division de l'Eglise, du Schisme. Les catholiques sont unis par la foi dans l'Eglise, dans les Saints Apôtres, la Vierge Marie, et la Trinité ; la permanence de notre institution a été bâtie sur la méditation des Evangiles autant que sur la pratique de l'apostolat, la fidélité aux commandements divins aux dogmes. Le dogme est ce qui unit les fidèles. Rompre le dogme, c'est rompre l'Eglise, et défaire notre unité. Dieu, quel grand risque en effet
! Cher frère, à nouveau sans détours je me dois de pointer les issues possibles de ce risque. Sans mâcher mes mots, et je te prie à nouveau de me pardonner s'ils heurtent ta conscience. Je considère qu'un Pape trop audacieux, trop soucieux d'adhérer à l'air du temps plutôt qu'au dogme multiséculaire de notre Eglise, et ainsi animé d'un esprit réformateur aveugle et dangereux, ne mette sérieusement à l'épreuve l'unité des catholiques au moment où nous en avons le plus besoin. Ainsi, et malgré la sympathie personnelle que je peux avoir pour certains de leurs profils, les cardinaux les plus notoirement progressistes devraient à mon sens aussi être écartés de la course à la Papauté. Ces évêques contribuent à la diversité de notre Eglise et à la réflexion, mais leur faible attachement au dogme disqualifie leur éligibilité au trône de Saint-Pierre. Fort heureusement, la plupart d'entre eux sont d'honorables collègues, mais un certain profil m'horrifie ; je vois en Monseigneur Bienheureux, le chef de la délégation cardinalice carnavalaise, rien de moins que l'Anti-Pape. L'ignoble attentat contre Palamas témoigne des horribles manigances de la synarchie dégénérée de Carnavale pour pervertir le conclave ; elle n'est que le prélude de ce que serait une Eglise présidée par ce jeune homme de dix-sept ans, qui, Dieu sait comment, a su recueillir l'ordonnancement de Sa Sainteté Pie XVI. Son élection serait rien de moins que la fin de notre Eglise, car cet intriguant déclare sans honte vouloir dialoguer avec le Diable ! Quelles dangereuses innovations verrons-nous encore sous sa férule ? Des encycliques promouvant le recours au clonage ? Des synodes avec des fabricants d'armes bactériologiques ? O mon frère, je suis convaincu que tu vois comme moi la menace que représente ce personnage et la nécessité de mettre fin à la rumeur de sa papabilité, en réunissant le maximum de voix pour un profil tout à fait opposé, et ce dès le premier tour du scrutin. En ce qui me concerne, si jamais nous ne parvenions pas à enrayer sa présence dans le peloton de tête dès le premier vote, je m'attacherai à faire élire n'importe qui plutôt que lui, fût-ce Scaela.

Voilà, mon cher frère, deux défis que je vois pour ce conclave, deux périls pour notre Eglise et qu'il faudra conjurer en réunissant le maximum de voix, dès le premier tour, sur le nom de celui qui possède les qualités requises pour y faire face et conduire notre Eglise.

Tu connais le fonctionnement de l'élection papale. En effet, les premiers tours seront déterminants, cardinaux si j'ose dire ; seuls les noms ayant réunis le plus grand nombre de voix seront qualifiés pour les tours suivants, et ainsi de suite, éliminant les plus faibles candidatures, jusqu'à ce qu'émerge le profil recueillant deux-tiers des votes. Adjoignons à nos prières la pensée constante que l'Esprit Saint préside à ce processus, et nous prémunisse de toute issue néfaste pour notre Eglise.

Cependant, l'heure approche de glisser le bulletin votif dans l'urne. De qui donc faudra-t-il alors inscrire le nom ? La question me traversait autant que toi, mais je l'ai résolue. Pour ce premier tour, je vais te dire pour qui se portera ma voix. Confirmé dans mes prières sur ce choix, j'en suis d'autant plus convaincu qu'il répond à tous mes critères.

Les périls que j'ai évoqué demandent des qualités rarement réunies en un seul homme ; d'abord, l'intégrité. Il fallait que celui de nos frères digne à mes yeux de la fonction papale détonne avec un profil trop courant dans l'Eglise, celui de la corruption du corps et de l'esprit que provoque le contact de l'argent et de la politique. Il fallait que ce soit quelqu'un qui rejette les ors et embrasse la simplicité. Et cependant, il fallait que ce soit véritablement un pasteur, un habitué du prêche, fréquentant l'humanité dans ce qu'elle a de plus trivial et de plus beau, à travers des mots susceptibles de toucher le coeur, autant qu'ils sont conformes au dogme de l'Eglise. Enfin, il fallait un profil capable de dialogue avec le monde entier, et pas seulement un habitué de la Curie. Car, comme je te l'ai écrit, le dialogue est notre nécessité vitale, à nous autres catholiques du vaste monde. Je crois que les habitants des îles, ceux de la mer Leucytaléenne à l'histoire chargée d'échanges multiséculaires, sont naturellement disposés à interagir avec l'autre et à travailler malgré les différents.

Pour toutes ces raisons, parce qu'il réunit ces multiples qualités, pour son positionnement doctrinal capable de rassembler largement l'Eglise, modérés, progressistes, conservateurs, pour l'exemple qu'il donnerait à nos confrères cardinaux, je voterais pour notre frère Cesare Crezzini, évêque d'Ascoti, à Fiumiglia, et pour lui je formule le voeu qu'une majorité de nos confrères porte son vote dès le premier tour, éludant les autres possibilités, conjurant les périls.

J'espère que l'Esprit Saint viendra à toi au moment de ta décision, toi qui est le doyen et le plus sage des neuf cardinaux linguois, et dont la voix porte auprès de ta délégation toute entière.

J'espère te voir bientôt au conclave.

Fraternellement,

Joseph Qandri Sinwâr
Patriarche maronite
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Privatisations : tout doit disparaître !
Jouez, vous gagnerez peut-être !

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