Ambrozei Chielminski est la cible n°1 des rebelles.Qualifié par de nombreux rebelles de "chien" et de "traitre", lui et l'entièreté de son gouvernement sont constamment menacés de mort par les rebelles, quels que soient leur groupe. Ils ont leur raison : lors de son dernier discours présenté à Vilovka lors de la Conférence sur l'Unité, il a évoqué être en total désaccord avec les idées du mouvement indépendantiste et a proclamer faire la guerre et utiliser la force s'il le fallait pour maintenir l'ordre là-bas.
Dans le même discours, il a également annoncé que l'Etat était en guerre contre les terroristes et les indépendantistes (bien que, pour les terroristes, cela avait déjà été déclaré lors de la création de l'EIAR) et qu'il avait décidé avec l'ensemble de son gouvernement de prendre les pleins pouvoirs le temps de calmer la situation en Chérchérie du Nord, en Stavélie et en Obn. Désormais, ce n'est pas que lui et la famille royale qui sont menacés de mort, mais l'ensemble du gouvernement. Le seul ministre qui est désormais respecté est Robert Vladislav, Ministre des Affaires Etrangères qui négocie tous les jours pour défendre la paix et inciter les différentes nations du monde à venir aider humanitairement le peuple et à faire venir des négociateurs pour contrôler et maintenir la paix et non l'ordre comme le souhaiterai Ambrozei Chielminski. Ses origines Nord-Chérchéres sont peut-être également à l'origine de cet amour du peuple de la région.
Autre incident qui a également rajouté de l'huile sur le feu : le gouvernement a publié un communiqué officiel dans lequel il identifiait et dévoilait l'identité des 4 opposants les plus recherchés liés à la Guerre de Chérchérie du Nord, bien que parmi eux, seuls 1 est réellement dangereux dans ses actions. Les autres sont plutôt pacifistes, à être favorable à la paix. Dans la situation, il est difficile de pouvoir étudier en profondeur qui fait le bien et qui fait le mal : les indépendantistes se battent pour de meilleures conditions de vie mais se lient d'amitié avec des terroristes et refusent pour certains des négociations et le gouvernement tente de maintenir l'ordre par la force, contrairement à d'habitude où il est généralement inefficace lorsqu'il est question d'appliquer l'ordre et la loi dans le pays.
Une situation donc hautement complexe, où TOUS s'accusent à tour de rôle, sans réellement porter de preuves. Heureusement, il reste au fond du cœur du peuple une once d'espoir, une petite lueur qui scintille tout au fond mais qui un jour deviendra un grand flash de lumière qui illuminera le pays tout entier. Cette lumière s'appelle la paix.
Ci-dessous vous est présenté le fameux document identifiant les 4 opposants les plus recherchés par le gouvernement.Les émeutes en Chérchérie du Nord du 28 Novembre 2013 ont débuté suite à une manifestation pacifique qui a dégénéré après l'intervention brutale de la police. Voici le déroulé complet des faits.
Heure 1 : L’ÉtincelleVille de Paradizna, Place de la Liberté, 14h28Des milliers de Nord-Chérchéres se rassemblent pour protester contre l'arrestation de plusieurs leaders indépendantistes, comme Jeskov Molenkayr, leader du parti politique "Second Souffle" arrêté pour "meurtre" sans aucune preuve à l'appui. Les manifestants, portant des bannières et scandant des slogans en faveur de l’indépendance, sont déterminés à faire entendre leur voix. La situation dégénère lorsque la police anti-émeute tente de disperser la foule à l'aide de gaz lacrymogènes et de canons à eau.
Premier affrontement :Manifestants : Répondent avec des pierres et des bouteilles. Les plus organisés utilisent des boucliers improvisés pour se protéger contre les projectiles de la police. La violence est inouïe, ils ne peuvent se défendre autrement que comme ceci.
Police : Riposte avec des charges à la matraque, provoquant une panique et une dispersion violente. 2 morts chez les manifestants et 14 blessés, la situation a bien trop dégénéré pour le moment, pourtant, cela n'est que le début des évènements.
Heure 2 : Escalade de la ViolenceQuartier de Vorovski, Paradizna
Les émeutiers se réorganisent rapidement. Des barricades sont érigées dans les rues principales. Des groupes de jeunes militants rebelles, masqués et armés de cocktails Molotov, commencent à cibler les bâtiments gouvernementaux et les postes de police.
Incidents majeurs :Incendies criminels : Plusieurs commissariats sont incendiés. Des flammes ravagent aussi un centre administratif, symbolisant la révolte contre l'autorité centralisée. Dans ces incendies, 24 personnes perdent la vie et 78 sont blessées.
Prises de bâtiments : Des militants prennent le contrôle de l'hôtel de ville de Paradizna, armés de fusils d'assaut. Les drapeaux de la Chérchére du Nord sont hissés, et des slogans indépendantistes sont peinturés sur les murs et hurlés au mégaphone devant les quelques policiers impuissants assistant à la scène.
Heure 3 : Réaction MilitaireIntervention de l'arméeLe gouvernement décide d’envoyer l’armée pour rétablir l'ordre. Des véhicules blindés patrouillent les rues, et des soldats sont déployés en nombre. Lorsque les convois roulent dans la ville, ils sont attaqués par des émeutiers qui leur jette divers projectiles tels que des briques, parpaings ou encore des cocktail molotov. Une voiture de police suivant le convoi militaire est retournée et enflammée en pleine rue, sous les cris de joie des assaillants. 31 membres des forces de l'ordre ont été blessés, empêchant ainsi l'intervention de se produire, la retardant d'une dizaine de minutes.
Affrontements :Les Nord-Chérchéres : Utilisent des feux d’artifice modifiés comme projectiles, attaquent les véhicules blindés avec des cocktails Molotov, et montent des embuscades en utilisant leur connaissance des ruelles et des bâtiments de la ville.
L’armée : Répond avec des balles en caoutchouc, des grenades assourdissantes, et parfois des tirs réels lorsqu'ils se sentent menacés. Une bavure a notamment eu lieu, dans l'Avenue St Peter où un régiment a ouvert le feu face à des manifestants pacifiques, en tuant 15 et déchaînant la rage chez tous les manifestants dans la ville.
Heure 4 : Propagation de la RévoltePropagation à d’autres villesLes émeutes s’étendent à d'autres villes de Chérchérie du Nord dans les environs de Paradizna, comme les cités jumelles de Vodakvot et Vodovorot. Les scènes de violence se répètent : des barricades enflammées, des bâtiments publics attaqués, et des affrontements violents entre manifestants et forces de l'ordre. Les scènes sont souvent similaires, malgré les dérapages qui diffèrent en terme de violence en fonction du lieu.
Communication :Réseaux sociaux : Les manifestants utilisent les réseaux sociaux pour coordonner les attaques, partager des informations en temps réel, et galvaniser les sympathisants.
Médias traditionnels : Le gouvernement tente de contrôler la narration en censurant les médias locaux, mais les images de violence circulent largement sur Internet et les médias internationaux. Les journaux "Le Petit Chérchére" et "Le Justicier" s'insurgent complètement contre cette censure en critiquant ouvertement le gouvernement et l'armée. L'Artilleur va même plus loin en les qualifiant de "cons sans cervelle".
Heure 5 : Intervention HumanitaireFace à l'escalade de la violence, des organisations humanitaires commencent à intervenir pour fournir une assistance médicale et aider les civils pris entre deux feux. Des hôpitaux de campagne sont établis, et des corridors humanitaires sont négociés pour évacuer les blessés. L'association "The Eagle", connue pour ses prouesses réalisées lors de la guerre d'Okaristan de 2012, a pris l'importante responsabilité de coordonner toutes les opérations humanitaires, ce qu'ils parvinrent heureusement à faire avec brio en évacuant plusieurs milliers de civils bloqués chez eux par le feu, la terreur et la violence des affrontements. Un cessez-le-feu de 45 minutes a même été négocié par l'association le temps d'évacuer tous les civils pris au piège.
Émeutes continues :Malgré les appels à la paix et à la médiation, les affrontements se poursuivent. La ville de Paradizna reste en grande partie paralysée, en feu et en ruine, avec des quartiers entiers sous le contrôle des Nord-Chérchéres. Les scènes de chaos, de destruction et de répression deviennent monnaie courante, rendant le quotidien des habitants de plus en plus difficile. La violence ne fait qu'augmenter au fil du temps et même les politiciens les plus pacifistes finissent par perdre patience et s'engager en faveur de la violence.
En somme, les émeutes en Chérchérie du Nord illustrent la gravité du conflit entre les aspirations d'indépendance et le maintien de l'ordre par le gouvernement, plongeant la région dans un cycle de violence quasi permanent. Voici la cruelle réalité se cachant derrière les villes ravagées par les affrontements. Il aurait été possible de décrire les mêmes situations à Dynamo ou encore à Zhytsava, mais celles de Paradizna sont les plus marquantes du fait qu'il s'agit ici de la capitale historique de la région, d'habitude paisible. La cruauté des combats emporte la joie qui régnait autrefois dans les rues. Voilà le triste sort de Paradizna.