09/08/2014
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Activités étrangères en Drovolski

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Activités étrangères en Drovolski

Ce topic est ouvert à tous les joueurs possédant un pays validé. Vous pouvez publier ici les RP concernant les activités menées par vos ressortissants en Drovolski. Ceux-ci vous permettront d’accroître l'influence potentielle de votre pays sur les territoires locaux. Veillez toutefois à ce que vos écrits restent conformes au background développé par le joueur de Drovolski, sinon quoi ils pourraient être invalidés.
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Bannière du Journal Initative Kartvélie



Journal Indépendant de la Ville de Tbilgorod en Kartvélie



Bonjour à tous et à toutes, chers téléspectateurs,
En cette belle matinée du 28 septembre 2013, nous vous parlerons des premiers échantillons arrivés en Kartvélie ce matin,
dans un documentaire signé Stepane Alasania.

Paysage classique de la capitale du Drovolski
Paysage classique de la capitale du Drovolski

Bonjour à tous et à toutes, pour rappel, le Président de la Kartvélie, Monsieur Ivan Volkov, a rencontré le 21 septembre 2013 le Dauphin du Drovolski.
Le but de cette rencontre officielle était la collaboration diplomatique et économique avec la nation du Dauphin du Drovolski.
De nombreux sujets ont alors été abordés.
Cependant, un sujet important ayant engendré de nombreuses inquiétudes vis-à-vis de la population a été adopté,
le sujet de l'importation de ressources alimentaires venant du Drovolski, notamment du blé.

Alors pourquoi de telles inquiétudes, me direz-vous ?
Comme vous le voyez sur les images qui viennent d'apparaître à vos écrans,
nous pouvons constater que le Drovolski n'est pas un pays comme les autres.
Selon certaines agences internationales, ce serait même le pays le plus pollué du monde.

Cela laisse donc place au doute de nos concitoyens.
Le blé provenant du Drovolski est-il comestible, est-il conforme aux normes agroalimentaires de notre pays ?
Tant de questions auxquelles le Président a souhaité répondre avec des analyses dévoilées en exclusivité sur ce plateau.


Image des analyses du blé provenant du Drovolski
Image des analyses du blé provenant du Drovolski

Selon nos scientifiques kartvéliens, les analyses sont claires : le blé du Drovolski ne représente pas un risque pour la santé de nos concitoyens.
Cependant, prudence tout de même en gardant une consommation raisonnable et non excessive afin de rester en bonne santé.
En direct, la réaction d'artisans boulangers heureux d'apprendre la nouvelle.
En effet, grâce à ce blé, de nombreux commerces artisanaux pourront rouvrir leurs portes, qui étaient jusque-là abandonnés en raison des pénuries de céréales.


Merci à Stepane Alasania pour son documentaire.
Un format court afin de mieux comprendre les premiers échantillons de Blé arrivés en Kartvélie en provenance du Drovolski ce matin, très bien résumé.
En espérant que ce documentaire vous ait plu,
nous vous remercions pour votre attention.
C'était Helen Shaburidze avec la chaîne Journal Initiative Kartvélie, JIK.



Journal Initiative Kartvélie, JIK,
Consacré à l'arrivés des premiers échantillons de Blé en Kartvélie en provenance du Drovolski
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L’arrivée des velsniens au Nazum: le lancer de rolex



Il y a plus de 500 ans, l’historien et voyageur leucytalien Isaakios de Caria nous fit parvenir un témoignage évocateur sur les commerçants velsniens faisant halte à Théodosine : « Deux fois par an, nous vîmes le peuple de Léandre et de Velsna, voguer avec leurs noirs vaisseaux, et s’amarrer à la cité avec d’innombrables richesses. Ils posaient leurs draps à même la plage et y entassaient tout ce que la Terre pouvait porter de fabuleux. Ils vendaient de l’ambre de Manche blanche, de l’ivoire d’éléphant, des merveilles d’Aleucie et de par le monde. Rien n’existait qui ne put se vendre à bord de ces galères. La première année, il y n’eu que deux vaisseaux velsniens, l’année suivante il y en eu quatre, la troisième année ils étaient dix, dix à vendre tout ce que Théodosine pouvait vendre, mais à des prix deux fois moindre. Si bien que le Basileus ordonna que l’on refuse désormais aux velsniens l’accès aux ports impériaux. Les velsniens se vengèrent alors de leur commerce à l’arrêt, et incendièrent une dizaine de villages situés sur la côte avant de repartir. »


Bien entendu, tout cela est ancien, et les pratiques du négoce au long court ont heureusement bien changé. Entre temps, le réseau commercial velsnien s’est également replié quelque peu sur lui-même. Les décennies récentes n’ont pas fait de cadeau à la cité sur l’eau, qui a dû repartir sur des bases nouvelles pour s’enrichir. Et c’est ce qu’elle fit, par l’intermédiaire des industries du luxe, de la haute technologie et du montage fiscal. En 2014, la Grande République, qui paraît avoir rattrapé son retard, constitue ainsi la septième économie mondiale, malgré tous les « on dit » quant à la bulle spéculative dont les sylvois font état. Parallèlement à ce boom économique, la guerre civile qui frappait le pays s’est achevée, et avec elle, le gouvernement républicain peut désormais s’affairer à la reconstitution d’un réseau diplomatique et commercial digne de ce nom. Pour la première fois de l’Histoire, l’Etat, et non le secteur privé, était à l’origine d’un gigantesque plan d’investissement, à la fois dans le cadre des réparations de l’après-guerre, mais également dans la perspective de réinvestir dans le déploiement d’une stratégie commercial à long terme entre ses acteurs et des régions du monde dont le nom de « Velsna » semblait avoir disparu depuis bien longtemps. La Manche Blanche ne suffisait plus à satisfaire les offres proposées par les grandes entreprises qu’étaient le Groupe automobile Strama, le Groupe Laurenti Alfonso, la banque Oliveira, la banque Falieri… Il devenait clair que le regain de stabilité dans la plaine velsnienne allait libérer ces énergies, qui étaient à l’ardente recherche de nouveaux marchés à n’importe quel prix, en plein dans une dynamique d’un enthousiasme indescriptible d’ouverture économique sur le monde.

Le gouvernement velsnien, à l’écoute de ses entreprises et désormais libre de ses luttes internes passées, ne se fit pas prier afin de préparer le terrain en perspective de rentrées fiscales nouvelles. Et son attention, à lui et à ses acteurs privés, avaient l’air de se focaliser sur le Nazum. Il y avait des signes, par-ci par-là depuis plusieurs semaines, plusieurs mois même. La publication du rapport DiGrassi sur les perspectives commerciales den Velsna au Nazum fit l’effet d’une bombe dans les milieux d’affaire velsniens. Si bien que la plupart comprirent qu’il fallait monter dans le bateau très rapidement afin de ne pas se retrouver sur le carreau, et à la traîne de la concurrence ? Cette publication fut rapidement suivie d’une reprise brutale de l’activité de transport maritime dans le Septentrion velsnien, en l’occurrence l’île de Tercera située au nord du Nazum, et qui pendant des siècles fit office de port avancée à proximité du détroit du Nazum. Le trafic maritime avait été multiplié par trois depuis l’annonce du Triumvir DiGrassi. Rapidement après, des diplomates velsniens furent aperçus dans l’étrange contrée de Drovolski, et le lendemain, on eut rapidement appris que ces derniers avaient arraché une concession commerciale et militaire à l’entrée de la mer de Blême. Des cargos velsniens intégralement remplis de denrées alimentaires affluaient désormais dans ce que les velsniens baptisaient désormais « le pays gris », en référence à l’absence notable de faune de cette région aux apparences désolées. Par cet acte d’accord commercial, les velsniens avaient semble-t-il la volonté de créer leurs propres voies commerciales plutôt que de recourir aux autorisations de navigations des propriétaires des canaux reliant la Leucytalée à la Blême. Un pas de plus vers ce que le nouveau gouvernement considérait comme une nécessaire indépendance vis-à-vis de tout acteur étranger.

Les signaux ne cessaient de se multiplier. Parmi cette accumulation de changements, le nouveau gouvernement velsnien vit alors une évolution majeure de son conseil communal : désormais, un bureau spécialement dédié au grand commerce, complètement détaché donc du traditionnel « bureau dui maître des balances », fit son apparition. Et le comble : ce dernier s’arrogea également le portefeuille de la diplomatie (en temps de paix seulement) qui était auparavant dévolu au Maître de l’Arsenal. Le Sénat plaça sa confiance en son excellence Valeria Cavalli, qui parait-il, était la femme déjà responsable de l’accord avec Drovolski.

Dernier signe du réinvestissement du Nazum par la Grande République : l’île de Tavaani, l’unique possession velsnienne située de l’autre côté du globe, avait également recouvré une certaine activité portuaire, des cargos provenant de Drovolski s’entassant de plus en plus dans ses ports. Ce n’était pourtant pas dans les habitudes des quelques 40 000 habitants de ce petit monde insulaire d’assister à une telle activité. De toute évidence, cette activité n’allait pas être limitée au territoire velsnien, et allait affecter toute la région pour le meilleur et également pour le pire, pour ceux voyant d’un mauvais œil l’arrivée de ces étrangers.

C’est ainsi qu’un beau matin, les wanmiriens de Jalitaya furent confrontés à un bien curieux spectacle. Les « noirs vaisseaux » recouverts de goudron relatés par Isaakios de Caria il y a 500 ans avaient laissé la place à de grands porte-containers, lesquels affluaient désormais dans les installations portuaires de la métropole wan. En l’occurrence des navires appartenant à la société navale Laurenti Alfonso, lesquels transportaient en priorité des véhicules de facture Strama produits dans les usines de Saliera, en Eurysie. Depuis les quais, les passants wanmiriens ont pu assister à une bien étrange tradition de la part des marins velsniens : le lâcher d’argent. A chaque fois que des commerçants velsniens entraient dans un territoire nouveau dont ils n’avaient pas encore effleuré le sol, ceux-ci distribuaient aux premiers civils qu’ils voyaient un échantillon de ce qu’ils apportaient, et ce gratuitement. On lançait alors aux wans des montres de luxe, de belles étoffes, avant même de faire cadeau d’une Strama à un passant plus chanceux que les autres. C’était là uen pratique courante à Velsna pour fidéliser et se constituer une clientèle politique au sein des élites velsniennes, une forme de communication que les entreprises avaient repris à leur compte. Mais du reste, le premier cargo velsnien abordant les côtes du Wanmiri était surtout chargé de ces petites automobiles au prix modeste et défiant toute concurrence. L’observation d’Isaakios de Caria se confirma au sujet des prix : les velsniens mettaient un point d’honneur à casser les prix partout où ils allaient, quitte à y perdre dans un premier temps au change.

Le Groupe automobile Strama, fort des erreurs d’un certain Toni Herdonia dans ce même pays, s’était bien renseigné sur les besoins de la population sur place, dans le cadre d’une étude de marché des plus sérieuses. Le Wanmiri était un pays émergeant qui commençait tout juste à se rattacher au monde, mais dont les progrès technologiques dans certains domaines étaient fulgurants. Ses industries concurrençaient déjà Velsna dans le domaine de la construction navale et de l’armement, voire les surpassait en certains points. La population, probablement en quête d’une plus grande mobilité et de moyens nouveaux de parcourir leur pays, devait être dans le besoin d’un véhicule pratique, ne nécessitant pas beaucoup d’entretien dans un pays où les concessions sont encore rares, et qui présentait l’avantage d’afficher un prix particulièrement abordable. Strama produisait de tels véhicules en Eurysie depuis des décennies. L’occasion était trop belle.

Mais le Wanmiri n’était pas le seul marché cible du Nazum. Il fallait contenter les besoins de ce que les velsniens appelaient « le pays du sucre », et qu’ils identifiaient comme étant les « maîtres du Nazum » : la Jashuria. Ce pays constituait un marché bien différent de son voisin. Ici, il était plus à propos d’y vendre des produits de luxe et de sophistication qui auraient la satisfaction d’une classe moyenne et supérieure pleinement développée, exacerbant son égo par le besoin de s’accrocher des bijoux et de riches accessoires autour de son poignet, de ses doigts ou de son cou.

Pour finir, cette irruption soudaine de tous ces commerçants et entreprises n’allaient pas sans son pendant politique. Il fallait s’attendre dans les prochaines semaines, à une multiplication des demandes d’ambassade partout autour de la mer Blême et au Nazum. La présence soudaine de Velsna posait une question à tous les peuples du Nazum : s’agissait-il d’une opportunité de développement, ou d’une porte ouverte à un facteur d’instabilité supplémentaire ? Le moins que l’on puisse dire, c’est que ces velsniens ont laissé partout où ils sont allés, une impression pour le moins ambivalente…
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Projet: Conférence de Velcal
Pour la formation d'une ligue de défense de nos intérêts communs


"A toutes les forces de bonne volonté en ce continent et du reste de ce monde, j'en appelle à toutes les nations libres et désireuses de le rester, du danger que représente ces choses qui composent notre paysage politique eurysien actuel. Ces organisations supra-nationales qui défigurent le sens du mot "souveraineté" et qui se servent de tout leur poids pour interférer dans l'existence de ceux ne désirant que la tranquillité d'âme, d'esprit, et dont l'unique volonté est d'exister dans la paix de leur foyer, sans que l'on ait à les invectiver de vivre d'une mauvaise manière. Que ces Hommes soient libres de vivre selon leurs valeurs et conscience propre, c'est là mon seul désir. La Grande République de Velsna sera toujours l'ennemie de toutes les volontés d'hégémonie d'un petit groupe de nations, quelle que soit les valeurs dont ces dernières se targuent ou les convictions politiques qu'elles brandissent. Cela n'a toujours et éternellement que la même finalité: une hégémonie politique, économique, culturelle ou les trois à la fois. Je suis de ces hommes qui estime que c'est la seule volonté d'un peuple qui est légitime à la direction qu'il prendra: si celui-ci désire la démocratie, que l'on ait pas à lui imposer par les armes, et il en va de même avec le communisme et tous les régimes ne mettant pas en péril le droit de leurs voisins à faire de même. OND, Liberaltern, ONC...ce sont là des appellations différentes pour une même méthode de terreur et de pression politique sur les petits, les faibles et les nations isolées. Le seul horizon politique auquel ces nations ont le droit est le suivant: quand est-ce que notre tour sera venu d'être la cible d'une intervention criminelle d'une armée qui causera bien davantage de mal que de bien à notre patrie ? Alors que le sens de l'Histoire devrait être dédié aux particularismes et à l'exception que représente chacun d'entre nous, nous nous complaisons à éterniser un monde ne nous laissons d'autre choix que la conformité. La conformité ou la disparition, tels sont les deux seuls choix de ces nations.

C'est pourquoi, en vertu de l'état politique désastreux d'un monde partagé entre des organisations au but noble, mais dont la finalité est mortifère, que nous annonçons le présent projet validé par le Sénat des Mille de la Grande République de Velsna: à savoir la mise en place d'une Ligue d’États souverains et indépendants, dont le seul et unique but sera la préservation de leur indépendance à tout prix. Notre organisation ne sera pas une union économique, ni même une union politique ou culturelle artificielle et dont les contraintes seraient bien trop nombreuses à notre goût. Il ne s'agira pas là non plus de nous affilier à raison d'une idéologie commune, car nous n'avons que faire que de la manière dont vous concevez votre monde. Il ne s'agira en réalité là que de deux choses: un pacte défensif commun, et uniquement dans ce cas de figure, et la mise en place d'un marché de l'armement interne à tarifs préférentiels. Ni plus, ni moins, car nous pensons qu'il n'y a guère meilleure organisation supra-nationale que celle que l'on voit le moins souvent.

En vertu de ces principes que l'on pourrait qualifier à juste titre de minimaliste, nous n’exigerons des futurs intéressés que deux choses:
- De ne faire partie d'aucune des trois organisations suivantes: ONC, OND ou Internationale Libertaire.
- De respecter votre engagement vis à vis de ce pacte de défense, qui mettra en jeu nos paroles et notre dignité."



- Matteo DiGrassi, Sénateur des Mille de la Grande République de Velsna, Maître du Bureau de l'Arsenal, vainqueur des achosiens et des landrins, restituteur du Sénat




Si vous êtes intéressés par ce projet, veuillez remplir ce formulaire dans l'éventualité d'une conférence qui se tiendra en la cité de Velcal, en Grande République de Velsna:

[b]Entité participante (nom complet du pays):[/b]
[b]Nom du représentant ou de la représentante:[/b]
[b]Observations personnelles et attendus de cette future organisation:[/b]
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