Je vous transmet si joint la fiche de mon pays.
Création de pays : Sainte-Union des Cités du Sud
Généralités :
Nom officiel : Sainte-Union des Cités du Sud (S.U.C.S)
Nom courant : Sainte-Union(S.U)
Gentilé : Un(e) Sucs
Inspirations culturelles : Europe centrale, France, Confédération Suisse, Horde d'or (historique)
Situation géographique :
Langue(s) officielle(s) : Le Sucs (langue servant pour les échanges officiels mais pas dans la vie de tous les jours)
Drapeau :
Devise officielle : Tout pour l'indépendance !
Hymne officiel : Il n'y as pas d'hymne musical officiel, mais seulement un poème :
Le Péon de nos cités
Il est beau pour un brave homme de mourir en première ligne,
En luttant pour sa patrie, un homme privé de sa douce jeunesse,
Mais c'est une honte de vieillir en exil, privé de son droit,
Sans abri, sans femme, des enfants errants dans l'étranger.
Mais glorieux est celui qui tombe, sa lance en main,
Ses blessures témoignent de sa bravoure, son cœur de sa foi.
Il repose parmi les héros, son nom chanté par ses pairs,
Ses enfants grandissent avec honneur, son souvenir béni.
Dans nos cités, nous sommes unis,
Par le feu de nos cœurs, par le lien de nos vies.
Pour nos ancêtres, pour nos enfants à venir,
Nous luttons, nous chantons, jusqu'à ce que la mort vienne nous saisir.
Ne craignez pas la mort, ô guerriers de nos cités,
Car la gloire éternelle attend ceux qui donnent tout.
Mieux vaut une vie courte et pleine de bravoure,
Qu’une longue existence de honte et de servitude.
Debout, fils de nos cités, prenez vos boucliers,
Chantez les hymnes sacrés et allez de l’avant.
Pour la liberté de notre terre, pour l'honneur de nos ancêtres,
Luttez avec force, et que la victoire soit notre chant.
Dans nos cités, nous sommes unis,
Par le feu de nos cœurs, par le lien de nos vies.
Pour nos ancêtres, pour nos enfants à venir,
Nous luttons, nous chantons, jusqu'à ce que la mort vienne nous saisir.
Voyez nos pères, leurs ombres nous regardent,
De l'Élysée, ils veillent sur nous, leurs fils courageux.
Ne laissez pas leur sacrifice se perdre en vain,
Portons haut les couleurs de nos cités, sans peur, sans frein.
Le vent souffle dans nos cheveux, les tambours résonnent,
Nos cœurs battent à l'unisson, au rythme de la guerre.
Le soleil se lève sur notre camp, une nouvelle journée se profile,
Pour nos cités, pour la gloire, nous avançons sans relâche.
Dans nos cités, nous sommes unis,
Par le feu de nos cœurs, par le lien de nos vies.
Pour nos ancêtres, pour nos enfants à venir,
Nous luttons, nous chantons, jusqu'à ce que la mort vienne nous saisir.
Que chaque coup d'épée, chaque cri de guerre,
Soit une offrande aux dieux, un signe de notre foi.
Et si la mort vient, qu'elle nous trouve dignes,
Des guerriers de nos cités, invincibles et fiers.
Car c'est ici que nous faisons face à notre destin,
Sur ce champ de bataille, entre la vie et la mort.
Qu'on se souvienne de nous, non pour notre peur,
Mais pour notre courage, notre honneur, notre force.
Dans nos cités, nous sommes unis,
Par le feu de nos cœurs, par le lien de nos vies.
Pour nos ancêtres, pour nos enfants à venir,
Nous luttons, nous chantons, jusqu'à ce que la mort vienne nous saisir.
Dans les bras de la nuit, nous trouvons le repos,
Nos esprits se tournent vers les anciens, vers les cieux.
Dans le silence, nous entendons leurs voix,
Nous rappelant notre devoir, notre destinée, notre choix.
Alors que les étoiles brillent au-dessus de nous,
Nous jurons de protéger nos cités, notre terre sacrée.
Que chaque génération hérite de notre flamme,
De notre héritage, de notre fierté, de notre nom.
Dans nos cités, nous sommes unis,
Par le feu de nos cœurs, par le lien de nos vies.
Pour nos ancêtres, pour nos enfants à venir,
Nous luttons, nous chantons, jusqu'à ce que la mort vienne nous saisir.
Dans les rues de nos cités, nous marchons avec fierté,
Nos ancêtres à nos côtés, nos enfants à nos pieds.
Nous sommes unis par le lien indéfectible de notre histoire,
Nos cœurs battent ensemble pour notre gloire, notre victoire.
Et lorsque le crépuscule viendra, et que nos jours s'achèveront,
Nous savons que notre héritage brillera toujours,
Car nous sommes les gardiens de nos cités, les protecteurs de notre terre,
Et dans nos cœurs, l'esprit de nos ancêtres vivra à jamais.
Dans nos cités, nous sommes unis,
Par le feu de nos cœurs, par le lien de nos vies.
Pour nos ancêtres, pour nos enfants à venir,
Nous luttons, nous chantons, jusqu'à ce que la mort vienne nous saisir.
Monnaie nationale : Le pays n'as pas de monnaie Nationale, mais chaque cité et chaque province possède sa propre monnaie.
Capitale : Alcuna
Population : 34 062 000 habitants
Aperçu du pays :
Présentation Générale du pays :
Histoire :
La zone géographique de la G.U.C.S. est historiquement peu connue. On sait que des tribus y vivaient et fondaient des cités. L'histoire commence véritablement en 206 après Jésus-Christ avec l'invasion de l'Empire Kral. Sous cet empire, les premières cités furent fondées. En 421, la chute de l'Empire, suite à un échec lors d'une invasion, marque une période de transition. L'Empire perdit un immense territoire, et les cités redevinrent indépendantes. L'Empire fit son retour, mais ne parvint jamais à reconquérir un territoire aussi vaste qu'auparavant.
Dans l'histoire, on entendra très peu parler de Kartévilie, du moins du côté des cités. Quelques petites guerres eurent lieu avec ce pays, notamment en 1128 avec l'empereur David II, qui tenta d'envahir les cités après avoir conquis quelques peuples barbares. Les cités réussirent à bloquer son expansion. Ces actions permirent aux cités de s'imposer de plus en plus dans la région jusqu'à la chute de l'Empire en 1628, ce qui conduisit à la division de ce dernier. Certaines des petites nations issues de cette division choisirent de se rattacher à l'Alliance, contribuant ainsi à son extension.
La G.U.C.S. apparaît en 1913, mais son histoire remonte bien avant. En effet, jusqu'au 8ème siècle, il s'agit de tribus qui se font fréquemment la guerre et qui affrontent aussi fréquemment une ancienne nation du nord, nous la nommerons l'"Empire", les ruines de l'ancien Grand-Duché de Solara, l'État de Rus've, et les peuples de Tcharnovie, notamment Chérchére et Tchére. On note l'apparition de la première cité au 9ème siècle et une tentative de fonder un État, qui serait un royaume, dans les années 980. Mais ce royaume est anéanti en 994 suite à une guerre contre Solara. Une période sombre s'ouvre alors, assez méconnue des historiens. Pourtant, de 1132 à 1140, une guerre éclate opposant huit cités alliées à Rus've contre Solara, ce qui conduit à la fondation de la Grande Alliance des cités du Sud. Mais, suite à cette même guerre, la défaite de Solara donna des ailes à un royaume devenu extrêmement puissant : l'Empire. En effet, Rus've, suite à une guerre de huit ans, était ruiné, un duché au nord de l'empire, Mérendelle venait d'affronter, sa voisine, Océana, ce qui avait conduit à la ruine des deux duchés, et le Kovolco était en pleine crise politique.
C'est donc tout naturellement que l'Empire déclara la guerre à Rus've. Une immense coalition se mit alors en place, et la Grande Alliance se joignit aux coalisés. La guerre dura de 1144 à 1166, et l'Empire en sortit vainqueur, affaiblissant grandement l'Alliance. Suite à cette guerre, l'Alliance se rendit compte que toute extension vers le Nord était impossible, alors les cités du Sud lancèrent des offensives vers le Sud, notamment du côté de la Tcharnovie et de Samara. Par la suite, peu d'événements notables se produisirent, à part en 1234 où une guerre éclata avec Solara, qui conduisit à la victoire de Solara.
Suite aux événements de l'année 1461, durant laquelle le duché de Solara rompit ses relations avec ses alliés, puis tenta un rapprochement avec l'Alliance pour envahir l'Empire, ce que refusa l'Alliance. Solara tenta alors de fonder une alliance avec l'Empire pour envahir l'Alliance du Sud. Mais ce dernier fit semblant d'accepter, mais signa en réalité une alliance avec l'Alliance du Sud, qui stipulait que : "Quand les, ô grands défenseurs de Solaïs marcheront sur Selevis (une des grandes cités de l'Alliance), la puissante armée de l'Empire marchera sur Solaïs, et les grands défenseurs de Solaïs seront anéantis à Selevis." Cet accord fut exécuté à la lettre et Solara subit une défaite cuisante.
En 1497, la Sainte Alliance, confiante, tenta d'envahir son puissant voisin sous le contrôle de l'Empire Kault, mais fut intégralement écrasée au bout de quatre mois. Ce fut le début de la chute. En 1504, la Grande Guerre des cités commença. Pendant près de 40 ans, quatre cités tentèrent de faire chuter la Sainte Alliance, mais en 1549, la dernière des cités fut vaincue. La Sainte Alliance en sortit ruinée et sur le point de disparaître. Une tentative de modernisation fut lancée pendant 20 ans, mais celle-ci échoua.
Pourtant, les tentatives de conserver la puissance internationale de la nation ne furent pas vaines. Lors de la guerre des duchés Chechere, le pays tenta de ramener la paix dans la région en intervenant à deux reprises, mais l'objectif fut un échec. Lors de la troisième intervention, l'objectif était de soutenir les populations pour qu'elles ne subissent pas les dégâts causés par les seigneurs. Le 16e siècle se termina ainsi.
Ensuite commença le 17e siècle, appelé le siècle de la chute pour le pays, car il s'agit du pic de puissance de l'Empire. Une coalition menée par plusieurs grands pays tenta d'arrêter les expansions de l'Empire, mais elle fut écrasée et perdit une partie de son territoire lors de cette guerre. Solara fut annexé par l'Empire à ce moment-là, et deux des huit cités fondatrices de l'Alliance furent annexées par l'Empire.
En dehors de cela, la Renaissance, qui s'était déclenchée dans l'Empire, arriva également avec plusieurs décennies de retard et permit une modernisation assez rapide grâce à l'influence de la Renaissance Impérial ainsi que celle du sud du continent. Cette Renaissance permit une forte croissance de la population : le pays passa de 6 500 000 habitants en 1600 à environ 17 millions en 1750. Mais ce n'est pas tout, on constata également durant cette période un développement culturel, notamment en peinture avec le célèbre peintre Slov’kov, et en musique avec le compositeur reconnu internationalement Ridovetot. Ces artistes permirent l'afflux de capitaux économiques au sein des cités, ce qui conduisit à une forte urbanisation et une centralisation encore plus poussée.
Cependant, le pays n'avait pas oublié les nombreuses défaites que l'Empire lui avait infligées. En 1756, une coalition composée des principaux États vaincus par l'Empire quelques années auparavant réussit à écraser l'armée Impérial en crise. En l'espace de cinq ans, ils réussirent à imposer un traité de paix aux forces impériales. Les frontières furent fortement réduites et un dédommagement important fut exigé. Les territoires perdus par la Sainte Alliance furent récupérés, et les deux cités perdues déclarèrent que plus jamais elles ne se soumettraient à un pays. Aucun événement notable ne se déroula entre 1761 et 1806.
En effet, de 1802 à 1806, une guerre civile secoua l'Empire. La Sainte Alliance se positionna et réussit à obtenir l'indépendance de Solara, ce qui affaiblit encore plus l'Empire mais renforça l'influence de la Sainte Alliance. Cette action visait à rattacher Solara à l'Alliance, mais Solara choisit de prendre son indépendance totale. Cette décision dégoûta les principaux dirigeants de l'Alliance, qui décidèrent alors d'isoler le pays pour éviter de se faire tromper une nouvelle fois. Les canaux diplomatiques furent fermés, sauf avec Solara et l'Empire.
En 1829, quand un nouveau régime fut proclamé dans l'ancienne l'Empire, l'Alliance et ce nouvel Etat signèrent un traité de non-agression. Puis, en 1914, après avoir vaincu, et rasé Solara avec l'aide de l'Empire, les huit cités se mirent d'accord pour proclamer la Sainte Union des cités du Sud, créant ainsi un véritable pays. La question se pose alors : pourquoi "du Sud" ? La raison est simple : le pays est très lié à l'histoire de l'Empire, se positionnant au sud de ce dernier. C'est donc en opposition à la domination Impérial que l'Alliance se nomma "du Sud".
Mais l'histoire ne s'arrête pas là. Quand les ruines de Solara et l'Empire recommencèrent à se battre, l'Union se positionna pour aider l'Empire, et après la défaite des quelques forces de Solara, elle annexa une région de Solara. Cinq ans plus tard, cette région fut vendue à l'Empire. La dernière tension en date remonte à 1996. L'état de Solara, réduit à sa seule ville et ses alentours, était surendetté, ruiné et en crise politique quasi permanente. Trois solutions s'offrirent alors : rester indépendant et tenter de se rapprocher de l'Ouest pour obtenir des financements et moderniser le pays, se rattacher à la République de l'ancienne Empire, ou devenir la dixième cité de l'Union.
La population, face à ces possibilités, organisa un premier référendum de rattachement à l'Union, qui échoua avec 70 % de non, dont 10 % d'indépendantistes et au moins 40 % de pro-Impérial. Un second référendum décida avec une majorité quasi absolue de se rattacher à l'État de l'Empire. Cette victoire s'explique par trois grands points : d'abord, l'Union avait mené une campagne de publicité très mal accueillie à Solara ; ensuite, économiquement, l'Empire était à l'époque plus développé que l'Union et favorisait un développement régional ; enfin, culturellement et identitairement, la plupart du territoire de Solara avait été sous contrôle de l'Empire. Ainsi, Solara fut rattaché à l'Empire.
Face à cet échec, les 15 gouverneurs décidèrent d'arrêter toute relation diplomatique avec l'Empire. Cette politique d'isolement est donc toujours d'actualité. P.S : l'Empire est un Etat qui, aujourd'hui, suite a une importante guerre civile n'existe plus (2004). Par ailleurs, durant cette guerre civile, qui fut rempli de famine, crise humanitaire et massacre en tout genre, une part de la population de Solara et de l'Empire fui vers l'Union, là où des cité étaient prêtes à accueillir.
P.S : je modifierai mon RPHistorique lorsqu'un Pays apparaitra au dessus de moi. Mais pour l'instant je garde cela, de manière a avoir une certaine cohérence.
Géographie/Région/Cité :
Les 9 Glorieuses Cités Indépendantes :
La Capitale, Alcuna :
La cité d'Alcuna a été fondée en 1964. Elle a été créée par un vote entre les huit grandes cités. La cité d'Alfastna, qui était à l'époque la cité la plus puissante, était à l'origine de cette initiative. Cette cité, fondée en plein centre du territoire, avait pour objectif de servir de capitale représentative des provinces. En effet, elle sert de capitale aux six autres provinces. Depuis 1993, cette ville est la capitale officielle du pays où siège la Grand Bureau l'Union. C'est dans cette ville que les 15 gouverneurs décident de la conduite à suivre pour les cités et les provinces.
Cette ville comporte une population de 1 220 000 habitants et est considérée comme la 9e cité. Elle est dirigée par une république censitaire, donc une démocratie indirecte. C'est une démocratie censitaire spéciale puisque les habitants de chaque quartier élisent un représentant qui ira au Conseil de la capitale pour élire le gouverneur qui dirigera la capitale. Le gouverneur ainsi que les représentants des quartiers doivent chacun payer un certain montant d'impôts pour être éligibles. La ville possède six zones qui ne lui appartiennent pas et qui servent de capitale aux six autres provinces. La ville n'a aucun pouvoir sur les autres cités ainsi que sur les provinces.
Le drapeau de la ville représente un aigle royal avec des épées et une couronne, entouré de bleu et de rouge, symbolisant une unité quelles que soient les parties. L'aigle symbolise l'autodétermination des peuples.
La Glorieuse Cité, Alfastna :
Ensuite, pour le prochain membre de la confédération, parlons de la cité d'Alfastna. La cité a été fondée dans les années 400 par l'Empire qui contrôlait alors la zone. Elle fera partie des huit cités signataires d'un traité d'alliance, et elle sera la cité meneuse de l'Alliance. Elle est toujours encore la cité la plus influente. La langue parlée dans cette cité est le Sucs. La cité est à l'origine de la création de la Sainte Alliance en 1497 et elle a initié la guerre contre l'Empire en 1756.
Aujourd'hui, la cité est peuplée de 1 900 000 habitants. Une monarchie règne sur la ville, cette monarchie est absolutiste et très peu de libertés sont présentes dans cette cité. Le gouverneur de la cité est nommé pour une durée de quatre ans par le roi de la cité, et les membres de l'Assemblée représentative au sein de l'Union sont nommés par le roi et doivent être de sang noble.
La ville est connue pour être une très belle ville, mais l'extérieur est entouré de bidonvilles. Les riches peuvent habiter en ville et les pauvres en dehors de la ville. Sont considérés comme citoyens seulement ceux qui habitent au cœur de la ville. Le rouge sur le drapeau symbolise le processus vital, tandis que l'aigle représente l'autodétermination. Quant à la couronne sur la tête de l'aigle, elle symbolise sa majesté royale.
La Glorieuse Cité, Selevis :
Maintenant, nous allons parler de la cité de Selevis. Fondée aux alentours de l'an 900, elle est aujourd'hui peuplée de 870 000 habitants. Il s'agit d'une république communiste qui dirige cette zone, une dictature communiste à parti unique. La langue parlée est le russe. La cité est connue pour être très industrialisée, en fumée et très polluante. Elle est également réputée pour avoir stoppé l'armée de Solara il y a des centaines d'années et pour être une ville très égalitaire, bien que les droits et libertés ne soient pas forcément respectés. Son drapeau est composé d'une fleur, symbole du communisme de l'Alliance, sur un fond vert et rouge, le vert symbolisant le peuple Okaristan présent dans la cité et le rouge symbolisant le Parti communiste. Le gouverneur est élu pour une durée infinie, c'est-à-dire jusqu'à sa mort. Une fois décédé, une chambre composée de 8 membres nommés par ce même gouverneur en nomme un nouveau. La cité se situe au nord-est du pays, dans les montagnes de Solara.
La Glorieuse Cité, Milavka :
La prochaine cité se nomme Milavka. La langue principale de cette ville est le polonais. Elle est peuplée de 893 000 habitants, dont plus de 600 000 personnes parlent le polonais. Le polonais est ici la langue d'un ancien royaume appelé « Polagne », qui aurait existé il y a plusieurs centaines d'années, ce qui explique pourquoi cette langue est autant parlée ici. Il s'agit ici d'un état anarchique. Un gouverneur représentatif de la cité est nommé pour un an, mais il n'a aucun pouvoir et doit seulement rapporter les décisions de la cité à la capitale. Dans chaque quartier, 10 assemblées proposent des lois qui sont votées librement, et chacun les applique comme il l'entend. Le gouverneur est nommé par cette assemblée. La cité est apparue au cours du 4e siècle. Elle est située à l'ouest du pays et est entourée de montagnes au nord et de plaines au sud. Le drapeau est une croix avec un côté rouge et un côté bleu, et au centre se trouve ce qu'ils nomment le symbole de l'anarchie, le monstre anarchiste. Le drapeau symbolise que, quelle que soit votre idéologie, vous êtes au-dessus des lois proposées.
La Glorieuse Cité, Lowt :
La cité suivante se nomme Lowt, ce qui signifie droit en lyshaï. Ce nom symbolise toute la politique de la ville. En effet, cette cité peuplée de 855 000 habitants est une République Sénatoriale basée sur le droit de chacun. On y compte presque 700 000 personnes parlant le Impériuom, formant ainsi la plus grande communauté de l'Union. Le régime est une république qui est dirigée par la Grande Assemblée, composée de 1000 membre qui élisent le Roi, ainsi que le 1er ministre. Les députés sont élus pour une durée de 4 ans et sont l'institution la plus puissante de la cité. Le roi est élu pour une durée de 30 ans. La cité est apparue aux alentours du 9e siècle et a obtenu la Constitution qu'on lui connaît en 1996. La monarchie a toujours été présente dans son histoire, et historiquement ce sont des membres de la dynastie royale de l'Empire qui sont élus, et qui dirigent cette ville. La population de cette ville est relativement pacifiste et anti-guerre. La cité se situe au nord-nord-centre de l'Union, en plein dans les montagnes de Solara. À l'origine, il s'agissait d'une colonie de peuplement apparue suite à des explorations lancées depuis l'Empire. Ce comptoir commercial s'est alors développé jusqu'à obtenir son autonomie et son indépendance, rejoignant les grandes cités de la région. Quant à son drapeau, il s'agit d'un fond vert symbolisant l'équilibre politique, avec une constitution présente au centre. L'influence Tsariste est relativement présente dans la cité.
La Glorieuse Cité, Goulka :
La prochaine cité est Goulka, ou du moins l'empire de Goulka. À l'origine, cet état est une monarchie qui apparaît au cours du 9e siècle et qui subit un coup d'État militaire en 1831, en même temps que les événements de la République Impérial qui voient un empire se mettre en place là-bas. La langue parlée à quasiment 100 % est le Goulav sur les 1 092 000 habitants de la cité, une langue mélangeant différentes langues présentes dans le territoire de l'Union et officialisée dans les années 60. Le régime est un empire fasciste, militariste et nationaliste. L'État ne désire pas la guerre mais ne veut pas qu'on le provoque. Le gouverneur qui dirige la ville est nommé par l'empereur pour une durée de 5 ans. Il en va de même pour les ministres qui dirigent la cité avec l'empereur. Toute personne non citoyenne de la ville doit payer un impôt pour y entrer, et il est strictement interdit aux citoyens de la cité de la quitter sous peine de mort. Ainsi, la cité est entourée d'un immense rempart, et toute personne suspecte tentant de s'enfuir est immédiatement exécutée. La cité se situe au centre nord-est de l'Union, dans une zone froide entourée d'une forêt dense rendant le commerce difficile. Le drapeau est assez original : en haut, un œil symbolise l'empereur qui vous observe ; le rouge symbolise la noblesse impériale et le blanc symbolise les militaires. On y voit ensuite un couloir, qui signifie que l'on doit suivre ce couloir pour atteindre le bonheur absolu de l'Empire. Cela nous fait comprendre qu'il est fortement déconseillé de se détourner du droit chemin.
La Glorieuse Cité, Ridawn :
La prochaine cité est Ridawn, apparue au cours du 6e siècle. Située dans la zone de l'ancien royaume de Room, la langue parlée par plus de 700 000 habitants de la ville est le roumain. La cité compte en effet 1 088 000 habitants. Il s'agit d'une république censitaire où tout le monde vote et où le vote est obligatoire, mais seules les personnes payant des impôts suffisamment élevés peuvent se présenter à l'assemblée pour être élues et pour élire le gouverneur. Le gouverneur est élu par l'Assemblée. La liberté de la presse est assez limitée, et des assassinats ont lieu régulièrement, rendant la cité assez instable. La République n'est pas apparue directement ; elle a été proclamée en 1921, suite à un coup d'État militaire qui a échoué à instaurer une junte militaire. En 1827, la république censitaire est proclamée. La cité se trouve au sud-centre-est, dans une zone de toundra. Contrairement à sa voisine du nord, elle a réussi à dégager les routes et à créer des voies fiables où les bandits ne rôdent pas, créant des routes sécurisées et devenant la porte d'entrée du pays pour les produits venant de l'est. Son drapeau est une fleur composée de rouge et de blanc : le blanc symbolise les citoyens votants, le rouge les citoyens pouvant se présenter et votants, et le rouge présent dans la fleur représente les élus. La cité est également connue pour ses fleurs magnifiques, d'où la présence notable de cette fleur sur le drapeau.
La Glorieuse Cité, Loukza :
Ensuite, nous allons présenter la cité de Loukza, très inspirée de l'ancienne Solara. Il s'agit d'une république par quartier. Le système est assez simple : on élit des représentants de chaque quartier, au nombre de 12, qui forment alors des groupes de 4. Dans chacun de ces groupes, un président est élu, et les trois présidents se présentent aux élections de la cité. Celui qui obtient le plus de voix devient gouverneur-président pour une durée de 5 ans, comme les autres présidents. Cette cité est principalement composée de personnes parlant le solarien, environ 900 000 habitants sur près de 1 134 000, et le régime est donc une république. La cité se situe au nord-ouest de l'Union, en dessous de la cité de Solara. La cité est entièrement entourée de montagnes, ce qui rend son accès difficile. Pour pallier cela, de nombreux tunnels ont été creusés tout autour de la ville, facilitant ainsi le commerce. La ville a été fondée autour du 9e siècle par des Solariens essayant d'établir des comptoirs commerciaux dans la région. Ce fut un échec, et comme le comptoir de l'Empire, en 1300 cette cité a officiellement pris son indépendance de Solara, rejoignant la Sainte Alliance. Cette cité fut occupée par l'Empire durant une période, puis réintégrée à l'Union, et le gouverneur de l'époque déclara qu'ils ne seraient plus jamais soumis à un autre état. Le drapeau de la cité est blanc, avec en son centre un livre symbolisant le trio de présidents dirigeant la ville, entouré des quartiers. Le blanc symbolise les citoyens.
La Glorieuse Cité, Milta :
La cité de Milta est peuplée majoritairement de personnes parlant le chérchére. Environ un million de personnes sur les 1 410 000 habitants parlent cette langue, ce qui fait que la ville est considérée comme surpeuplée. Il s'agit d'un état communiste, composé d'un système de démocratie directe et populaire. Le gouverneur est élu directement et peut être destitué à tout moment par un référendum, qui peut être demandé par n'importe quel membre de la ville. La propriété n'existe pas et les libertés sont très limitées ; l'égalité est considérée comme la valeur la plus importante. Il est absolument interdit aux habitants de sortir de la ville, excepté pour les membres nommés par le gouverneur. Les commerçants entrent dans la ville en secret, et seuls les gouverneurs des autres cités sont admis normalement. Toute personne entrant dans la ville sans répondre aux critères requis est immédiatement condamnée à mort. La cité est apparue au cours du 9e siècle, fondée par le même peuple parlant cette langue, qui tentait alors d'établir des comptoirs commerciaux dans cette région peu connue. Au début, c'était une république qui s'y est établie, mais en 1940 les habitants se sont soulevés et ont mis en place cet état communiste. La cité se situe au centre sud-ouest du pays, proche de la frontière de la Tcharnovie. La cité est présente dans des plaines, principalement dédiées à l'agriculture, tandis que la ville elle-même est industrielle. Une double muraille est présente : la première pour délimiter la zone industrielle et la seconde pour délimiter la zone agricole. Cette politique de délimitation entraîne souvent des famines ravageuses. Le drapeau de la cité est simple : un fond rouge symbolisant l'Union des communistes, avec une fleur représentant le communisme et l'égalité de tous.
Les 6 Grandes Provinces Autonomes :
La Province Autonome, Prodvo :
La province de Prodvo est située au sud de l'Union, avec sa capitale située dans le quartier des ambassades de la capitale. La région est peuplée de 3 900 000 habitants. Il s'agit d'une république communiste à parti unique, où la langue parlée est le tchère, majoritaire avec plus de 3 millions de locuteurs. La région est extrêmement agricole et commerce avec les régions du nord. Sa frontière avec le pays voisin est fermée, et toute personne tentant de partir dans l'autre pays est exécutée, de même que quiconque tente de quitter la province. Le système de gouvernement est dirigé par un dictateur communiste nommé à vie, le gouverneur, qui est nommé par 8 membres d'une chambre, eux-mêmes nommés par le gouverneur. L'égalité est prônée dans la région, qui est très peu développée technologiquement. Tous les biens doivent être mis en commun et la propriété privée n'existe pas. La province est connue pour ses plaines agricoles et quelques villes. Les huit membres de la chambre s'installent dans les 8 villes principales de la région où ils dirigent chacun un sous-département. La province est apparue en 1932 lors de la fondation des provinces, faisant partie des premières provinces. Étant donné qu'il s'agit d'une province, elle n'a pas de drapeau spécifique, mais elle possède une étoile, la plus petite en comparaison avec les autres, composée de 6 branches.
La Province Autonome, Timalta :
La province suivante est la province de Timalta, fondée en 1993, ce qui en fait la plus récente. Elle est peuplée d'environ 4 200 000 habitants, dont presque tous parlent le chérchére. Timalta est connue sous le nom de royaume des Lords, une monarchie représentative avec une assemblée composée exclusivement de nobles élus par le peuple. Le roi est élu pour une durée de 30 ans par le peuple et les nobles, qui sont élus pour 10 ans. Le Premier ministre, proposé par le roi et élu par l'assemblée, fait office de gouverneur. Le roi a un pouvoir consultatif et un droit de veto. La région est caractérisée par ses plaines montagneuses et il est interdit de quitter la province pour se rendre dans un autre pays, bien que les déplacements entre provinces soient autorisés, à l'exception de la cité de Milta où il y a des risques de mort. La province est localisée à proximité du peuple chérchére, plus précisément au centre-est de l'Union. Son drapeau possède l'étoile la plus haute à gauche, symbolisant sa naissance récente.
La Province Autonome, Mikaïd :
La prochaine province se nomme Mikaïd, majoritairement peuplée de Russes, et où le russe est la langue la plus parlée, suivie du Impériuom et du solarien. La province compte 3 300 000 habitants et est une monarchie communiste, un régime communiste à parti unique sous forme de monarchie. Un roi dirige la province et nomme un Premier ministre communiste, qui est le gouverneur. Ce Premier ministre peut être destitué par une chambre de 8 membres, également nommés par le roi et proposés à l'assemblée de la Butte, composée de commissaires du peuple. La région est apparue en 1983 et a toujours été une monarchie communiste. Son étoile est la deuxième en partant du bas à gauche, et sa taille imposante symbolise sa relative ancienneté. La province se situe au nord-est de l'Union, dans une zone de montagnes au nord et de toundra au sud. La région est principalement composée d'usines, ce qui conduit à une crise écologique très présente.
La Province Autonome, Souf :
Vient ensuite la grande région de Souf. Trois langues y sont parlées : au nord le russe, au centre le SUCS, et à l'ouest le chérchére. Respectivement, 700 000 personnes parlent russe, 1 400 000 parlent SUCS, et 600 000 parlent chérchére, soit un total de 3 500 000 habitants. Il s'agit d'une république où un président est élu pour 7 ans, tout comme le Premier ministre, qui prend le rôle de gouverneur. Ce dernier est élu par une assemblée, qui peut le destituer si plus de 30 % de ses membres sont d'accord. Il s'agit donc d'un régime d'assemblée, et l'assemblée ainsi que le président sont élus par les citoyens. Cette zone est devenue une province en 1932, ce qui lui confère la deuxième étoile petite dans le fond du drapeau, symbolisant sa relative ancienneté et sa forte population. La région est relativement calme malgré la diversité culturelle élevée. Sa capitale est située dans le quartier des ambassades de la capitale. Souf est une région extrêmement commerçante, les principales lignes de commerce passant par elle. Elle se situe au centre du pays, s'étendant du sud au centre-nord. Elle est principalement composée de toundra à l'est, de plaines à l'ouest et de quelques montagnes au nord.
La Province Autonome, Causta :
La prochaine province est Causta, fondée en 1954. Deux langues principales y sont parlées : le polonais et le solarien. Elle est peuplée de 5 100 000 habitants, dont près de 2 millions parlent le solarien et plus de 1 500 000 parlent le polonais. Il s'agit d'une monarchie censitaire avec une démocratie censitaire. Le régime est assez simple : tout le monde peut voter, mais tout le monde ne peut pas se présenter. La monarchie est assez fédérale, c'est-à-dire qu'il y a 5 régions dans la province. Chacune élit un duc ainsi qu'une assemblée. Le duc dirige la région et, parmi les représentants des assemblées, ils élisent un Premier ministre qui sera le gouverneur. Seules les personnes payant certains impôts peuvent se présenter et devenir membres de l'Assemblée, et seuls quelques-uns peuvent se présenter au titre de duc. Le roi possède un pouvoir de contrôle et de veto sur les décisions des fédérales. Cette région fut un temps sous la domination de l'Empire et est relativement stable. Au nord de la province, il y a des montagnes et au sud des plaines. La région est peu industrialisée mais possède un des meilleurs réseaux de chemins de fer de l'Union. Elle possède la deuxième étoile centrale composée de 6 branches ; par sa taille, elle symbolise la population habitant la région ainsi que son ancienneté. Enfin, la région se situe au nord-ouest de l'Union.
La Province Autonome, Rifso :
Pour finir, la dernière province est Rifso, fondée en 1973. Elle se localise au nord-centre-ouest et est peuplée de près de 3 600 000 habitants. Elle possède trois langues officielles : le Impériuom, parlé par près de 1 million d'individus ; le russe, parlé par près de 600 000 personnes ; et majoritairement le SUCS, avec plus de 1 500 000 locuteurs. Il s'agit d'une république semi-directe : chacun vote pour élire des représentants qui siègent au Sénat, lequel élit un Premier ministre. Le président est élu par le peuple et représente le pouvoir exécutif. La République est instaurée dès 1973. La région est principalement montagneuse au nord et de toundra au sud, ce qui rend son accessibilité difficile et explique la création de tunnels pour relier la capitale au nord de l'Union. La région est connue pour sa diversité en termes de faune et de flore. En effet, cette zone voit fréquemment la réhabilitation d'animaux en voie de disparition et est assez tournée vers l'écologie. Sur le plan de la carte, elle possède la dernière étoile composée de 6 branches également, tout en haut.
Mentalité de la population :
Il est assez difficile de définir une mentalité générale de la population, mais on peut déjà noter qu'une bonne majorité de la population est persuadée que l'indépendance des cités et des provinces, ainsi qu'une immense autonomie, est nécessaire au bon fonctionnement des cités. Mis à part cela, la diversité des langues, des histoires, des géographies, des cultures et des gouvernements fait qu'il existe une mentalité de non-soumission à une grande autorité et un désir de rester entre cités, ce qui entraîne un refus de l'étranger (par "étranger," on entend ceux en dehors des frontières de l'Union). Malgré cela, l'Est de la confédération reste assez ouvert avec l'étranger, voyant une possibilité de commerce avec l'extérieur. Pour finir, quand on observe tous ces aspects, on se rend bien compte qu'aucune "unité ou identité" sur l'ensemble du territoire de l'Union n'existe, mais le désir de se protéger fait que l'Union reste relativement unie.
Place de la religion dans l'État et la société :
Il n'y a pas de religion d'État, aucune religion n'est placée au-dessus d'une autre, et la croyance ou non-croyance n'impacte pas la vie quotidienne. Cependant, plusieurs religions restent assez présentes sur le territoire. On trouve la religion musulmane (environ 2 000 000 de pratiquants), chrétienne catholique (environ 1 400 000 de pratiquants), juive (environ 600 000 de pratiquants), La religion de l'ancienne Empire déchu, le Impériuomt(environ 1 500 000 de pratiquants), chrétienne orthodoxe (environ 6 000 000 de pratiquants) et le paganisme slave (environ 1 000 000 de pratiquants). D'autres religions régionales sont également présentes, comme à Alcuna, Alfastna et dans la province à grande majorité, Souf, avec la religion d'Alfastao pratiquée par environ 6 000 000 de personnes. Il en va de même pour le Goulfa, pratiqué notamment avec obligation dans la cité impériale de Goulka, ainsi qu'autour avec près de 2 000 000 de pratiquants. On constate également la forte présence de la religion Dace, pratiquée par plus de 1 500 000 membres, et environ 700 000 individus pratiquant la religion de l'ancienne ville de Solara, le Solis.
L'Union ne reconnaissant aucune religion réelle, les sectes sont tolérées en fonction des lois des provinces et des différentes cités, comptant environ 300 000 membres de sectes officiellement. En outre, il y a près de 1 000 000 d'individus pratiquant d'autres religions diverses et variées. Surtout, en raison d'une forte présence de communisme, une laïcité fortement développée prévaut, avec presque 12 000 000 d'individus laïques.
Tout cela pour dire que les religions peuvent impacter les régions tout comme elles peuvent n'avoir aucune influence. Cela démontre encore une fois qu'aucune culture ou religion ne domine la nation, chacun possède sa part du gâteau. Les cités et les provinces définissent elles-mêmes la conduite à suivre ; la religion est parfois utilisée comme outil de propagande, parfois comme une simple croyance, et d'autres fois elle est combattue. Cependant, une règle tacite veut qu'aucune cité ou province ne se mêle des politiques des autres. Cela permet de garder une certaine unité et d'éviter l'implosion. Les différents citoyens vivent donc au gré de leurs cités ou de leurs provinces.
Politique et institutions :
Institutions politiques :
La Sainte-Union est une confédération d'États indépendants et complètement autonomes. Toutefois, une certaine ligne de conduite tente d'être mise en place par "la capitale". Cette dernière a été fondée pour réunir les cités entre elles. C'est ainsi que siègent à la capitale les gouvernements de chaque province, dans ce que l'on nomme les "ambassades provinciales". Au centre de la ville se trouve le "Grand Bureau", conçu pour pouvoir réunir deux fois par an, en temps normal et hors crise, les 15 gouverneurs. Ces derniers sont soit élus, nommés, ou désignés, selon les différentes cités et provinces. Aussi, si cinq nations de la confédération se mettent d'accord pour provoquer un grand conseil, alors toutes les cités et provinces doivent répondre à cet appel et envoyer leurs gouverneurs à la capitale.
Les gouverneurs présentent des lignes de conduite suivies au bon vouloir de chaque nations de l'Union. Des ministres sont alors nommés par ce conseil, notamment ceux de la guerre, de l'économie, de la justice souveraine, de la diplomatie renfermée, et de l'écologie. Leur objectif est de gérer les affaires extérieures et de proposer deux fois par an des projets potentiels de lois à voter. Ensuite, chaque cité et province se dirige en autonomie, toute ingérence étant interdite (comme expliqué plus haut concernant le fonctionnement de chaque cité/province).
Une seule loi relie toutes les entités : la loi de la guerre. Dès l'instant où un pays extérieur envahit le territoire de manière non justifiée et non légitime, les cités et provinces doivent mettre leurs efforts en commun pour repousser l'ennemi. Si une province ou une cité décide de s'allier ou de rejoindre une grande alliance, telle qu'une union, elle peut le faire sans consulter le "Grand Bureau", à une condition : l'alliance ne doit pas nuire aux autres nations de la confédération. Autrement dit, si une grande alliance dont une cité est membre entre en guerre contre une autre alliance dont une autre cité est membre, alors les deux cités doivent rester neutres.
Principaux personnages :
Liste des Principaux Ministres de la Confédération :
- Ministre de la Guerre : Geogof Tchéros
- Ministre de l'économie : Lucas Lemito
- Ministre de la justice souveraine : Abraham Novïsk
- Ministre de la diplomatie renfermée : Sylavana Rodues
- Ministre de l'écologie : Zaäide Tcoukaf
Principaux dirigeants des Cités/Provinces :
La Capital Alcuna :
- Le Gouverneur de Alcuna (depuis 2012) : Milto Rito
- 1er Ministre de Alcuna (depuis 2012) : Rid Sif
- Ministre de la Diplomatie de Alcuna (depuis 2012) : Asta Roud
La Cité de Alfastna :
- Le Gouverneur de Alfastna (nommée en 2013, mais est présent depuis 1997) : Jouadan de Alfastna (frère du roi)
- Roi Absolue de Alfastna (depuis 1992) : Louis VIII de Alfastna
- 1er Ministre et Ministre en charge de la Diplomatie de Alfastna (depuis 2002) : Albert de Alfastna (frère du roi)
La Cité de Selevis :
- Le Gouverneur/dirigeant de Selevis (nommée dictateur depuis 1981 ) : Flehish Noft
La Cité de Milavka :
- Le Gouverneur de Milavka (nommée temporairement depuis 2009) : Milawk Quish
- Homme en charge de la Diplomatie de Milavka (nommée temporairement depuis 2010) : Ulkish Zograd
La Cité de Lowt :
- Le Roi/Gouverneur de Lowt (depuis 1995) : Henri IV de Imperau
- 1er Ministre de Lowt (élu en 2013) : Robert Schneider
- Ministre en charge de la Diplomatie de Lowt (depuis 2013) : Filsto Ruok
La Cité Impériale de Goulka :
- Le Gouverneur de Goulka (depuis 2011) : Buono Vilto
- L'Empereur Suprême de Goulka (depuis 1965) : Imperio II de Wonesbourg.
- Ministre en charge de la Diplomatie de Goulka (depuis 1999) : Roata Silvest
La Cité de Ridawn :
- Le Gouverneur de Ridawn (depuis 2010) : Siltos Koön
- Dirigeant de la Force d'Opposition de Ridawn (depuis 2006) : Syllivas Roundtouberg
- Ministre en charge de la Diplomatie de Ridawn (depuis 2010) : Zioto Lodva
La Cité de Loukza :
- Le Gouverneur/Grand Président de Loukza (depuis 2012) : Raätoün Stakin
- Président de Loukza (depuis 2012) : Jony Xenaf
- Président de Loukza (depuis 2012) : Nicolas Oliva
- Ministre en charge de la Diplomatie de Loukza (depuis 2012) : Polish Tyouf
La Cité Libre de Milta :
- Le Gouverneur Temporaire de Milta (depuis 1993) : Yotoum Goulfbourg
- Homme qui a pris en charge la Diplomatie de Milta (depuis 2010) : Lenish Rodvaïqi
La Grande Province de Prodvo :
- Le Gouverneur/Dictateur de Prodvo (depuis 1985) : Zulosif Yusaritonovitch Adjoukadvilitch
- Ministre en charge de la Diplomatie de Prodvo (depuis 1992) : Vitatchevech Molotinov
La Grande Province de Timalta :
- Le Gouverneur/1er Ministre de Timalta (depuis 1993) : Ladislaus Von Bardossy
- Le Souverain Universel de Timalta (depuis 1993) : Árpád de Wittelsbach
- Ministre en charge de la Diplomatie de Timalta (depuis 1993) : György Von Károlyi
La Grande Province de Mikaid :
- Le Gouverneur/1er Ministre Communiste de Mikaid (depuis 1983) : Virlmihït Jodaf
- Le Souverain Universel Communiste de Mikaid (depuis 1983) : Rutalista de Youagram
- Ministre en charge de la Diplomatie Communiste de Mikaid (depuis 2001) : Zidaftef de Youagram (fils du Roi)
La Grande Province de Souf :
- Le Gouverneur/1er Ministre de Souf (depuis 2009) : Victor Tougram
- Le Président de Souf (depuis 2009) : Emmanuel Dilito
- Ministre en charge de la Diplomatie de Souf (depuis 2009) : George Roudon
La Grande Province de Causta :
- Le Gouverneur/1er Ministre de Causta (depuis 2006) : Viladiv Sokolovakav
- Le Grand-Duc de Causta (depuis 2006) : Ripidoung de Kounbourg
- Le Roi en charge de la Diplomatie de Causta (depuis 1988) : Zolar de Causta
La Grande Province de Rifso :
- Le Gouverneur/1er Ministre de Rifso (depuis 2012) : Viltov Korspa
- Le Président de Rifso (depuis 2012) : Aldemid Jiouf
- Ministre en charge de la Diplomatie de Rifso (depuis 2012) : Jen Tiprouf
Politique internationale :
Pour finir, sur le plan de la politique internationale, la Sainte-Union a coupé ses canaux diplomatiques avec ses voisins, il y a fort longtemps, notamment depuis 1996 avec la fin des relations avec l'Empire, et cela ne s'est guère amélioré depuis la disparition de ce dernier en 2004. Depuis ce moment-là, les quinze gouverneurs font en sorte de bloquer chaque tentative de diplomatie avec des étrangers. Cependant, comme expliqué précédemment, une cité peut établir des contacts diplomatiques sans mêler les autres cités à cela. La Confédération est placé en tant que porte d'entrée de l'Est à l'Ouest, ce qui lui permettrait d'ouvrir des voies commerciales, pour d'une part taxer et augmenter ses profits, limiter les famines et exporter des produits. Mais actuellement, à part quelques cités et provinces, chacune a pour politique de bloquer les relations avec l'étranger. Enfin, la poste diplomatique reste ouverte, mais une réponse n'est pas toujours garantie. Il est donc fortement conseillé de contacter les cités ou les provinces afin d'obtenir une potentiel réponse. Il faut préciser un point supplémentaire. Comme on l'a dit précédemment, la diplomatie se fait au bon vent de chaque région fédérale. C'est ainsi que des accords commerciaux ont été signés avec Kartvélie, ce qui a permis d'organiser, depuis 1993 et depuis 1998, des championnats éliminatoires en football et basketball. Ces championnats regroupent l'équipe nationale de Kartvélie et les 15 régions autonomes. Cela fait donc de Kartvélie le seul pays au monde à avoir des contacts officiels avec des régions de l'Union.
Autres choses à savoir (culturel) :
Le Sport :
L'unité peut être difficile à maintenir à cause des désirs nationaux, identitaires, ou encore de la culture, de la religion, des régimes et des langues. Ainsi, pour faciliter une certaine unité, et alors que certains gouverneurs tenaient à affirmer l'unité de l'Union, la capitale fut fondée en 1964. Dans ce même élan, en 1966, le Comité Unioniste du Football (CUF) fut fondé. Ce dernier avait pour objectif d'organiser des championnats à la fois dans les provinces et dans les cités, puis d'organiser des championnats dans toute l'Union. C'est donc avec le même objectif que le CUNatation (1967), le CUAtlétisme (1971), le CUBasket-ball (1973) et le CUCyclisme (1980) furent fondés. D'autres furent fondés ensuite, mais ceux-là figurent parmi les plus importants. En effet, tous les deux ans, des championnats inter-union ont lieu pour la natation course, idem pour l'athlétisme, et tous les ans pour le cyclisme. Quant au football et au basket-ball, il y a un championnat avec système éliminatoire tous les trois ans et un championnat classique tous les ans. Cela a permis de renforcer une pseudo-"identité" au sein de l'Union et d'éviter des sécessions de la part de certains gouvernements. Pour chaque grande compétition, chaque cité présente une équipe dite "nationale". C'est dès 1993 que le premier championnat a eu lieu à Alcuna, un championnat de football. Mais si on remarque bien, l'Union possède un total de 15 zones fédérales. Donc, pour un championnat composé de 16 équipes, cela pose un léger problème. Pourtant, la solution fut vite trouvée. En effet, il faut savoir que la cité de Goulka et la province de Rifso possèdent des accords commerciaux de longue date avec Kartvélie, ce qui en fait le seul pays du monde à avoir des contacts avec des régions de l'Union. C'est dans cette optique qu'une rencontre a eu lieu en 1992 à la capitale Tbilgorod de Kartvélie. Suite à cette rencontre, le pays accepta que son équipe nationale de football participe au championnat. Voici ce que donna le premier championnat de 1993 :
Serait-il envisageable de mettre en place 15 sous-dossiers (le nombre d'États fédéraux de mon Union) afin de pouvoir effectuer un RP correct ?
Je suis ouvert pour les différentes questions ou/et suggestions que peut vous apportez ma fiche. (Pour ce qui est du RPhistorique, il a été mis en commun avec les pays aux alentours.)
Il s'agit ici d'un Reroll, si ma fiche est validée, j'aimerai si possible, comme justifié avec la modération sur le discord que mon ancien pays soit archivé.
Merci d'avance.
Bien Cordialement
Bobmarley3
