La République populaire démocratique de Sud-Kazum ou RPDSK.
Nom courant:
Sud-Kazum.
Gentille :
sud-kazumiens et sud-kazumiennes ( mais également kazumiens et kazumiennes en forme courtes ).
Inspirations culturelles :
La République démocratique populaire de Corée du Nord, de la Russie soviétique et de la Chine maoïste.
Situation géographique :[b]
[b]Langue officielle:
le kazumien est la seule langue autorisé dans le pays, elle a spécialement été créer par le gouvernement en mélangent plusieurs dialecte locale afin de fournir une langue commune à l’ensemble du pays.
Autre(s) langue(s) reconnue(s):
Aucune autre langue officielle n’est reconnue par l’état car considéré comme une menace à l’unité et à la solidarité du pays mais en pratique des langue étrangère sont parlé dans les grandes villes du pays.
Drapeau :
Hymne officielle:
Monnaie officielle :
Le yuan sud-kazunien
Capitale :
La capitale du RSPDK est officiellement Gwangsu avec une population de 3,5 millions d’habitants, elle abrite les membres les plus fidèle du parti et les citoyens les plus fidèle. C’est le centre politique du RSPDK car elle abrite tous les institutions politiques et gouvernement du régime et est également la capitale économique par le fait est qu’elle est le centre d’impulsion et d’organisation de l’économie du pays et abrite le siège des plus grandes organisations économiques publiques du pays. L’une des fonctions les plus importantes de Gwangsu est le fait est qu’elle est une vitrine pour les étranges sur le RSPDK, de ce fait la ville est très embellie et moderne.
Population: le pays compte 20 millions d’habitants.
Présentation du pays:
Le RPDSK est un état qui couvre la parti sud du sous continent Kazum, le pays compte près de 20 millions d’habitants. Officiellement, le pays se définit comme un "État socialiste-communiste à parti unique", révolutionnaire et éternel, dirigé par une "dictature démocratique" de la classe ouvrière, fondée sur une alliance entre les travailleurs et les paysans. Cependant, en réalité, c'est une dictature autoritaire et totalitaire, hautement centralisée et dirigée par la dynastie communiste de la famille Chong-Yol. L'idéologie officielle, nommée le grand Pakansime-kimchongulisme, fondé par le père éternelle de la nation : Kim Chong-Yol , cette idéologie est nationaliste et autarcique, dictant la vie politique et sociale des citoyens. Cette idéologie à pour renforce le pouvoir absolu du Parti des Travailleurs pour la Justice et l'Unité Kazumien (PTJK) et assure l’obéissance absolue des citoyens. Le leader suprême, occupe toutes les plus hautes fonctions de l'État et est vénéré comme une figure divine, tout comme son père et son grand-père. Le culte de la personnalité et la propagande omniprésente renforcent leur emprise sur la société. Les cérémonies, rites, et événements de commémoration des dirigeants décédés sont obligatoires. De même, la société kazumienne est fortement militarisée, avec une propagande militaire constante. Les soldats sont vus comme des héros protégeant la patrie. Le service militaire est obligatoire pour tous, durant 10 ans pour les hommes et 4 ans pour les femmes. Les industries et moyens de production sont principalement orientés vers La Défense et la production d’armement et de moyen de défense. La majorité de la population ( environ 72%) vit et travaille dans des fermes collectives contrôlées par l'État et n’ayant aucun droit de changement de travaille car seul l’état peut attribué du travail en fonction des ses besoins . Seuls les plus fidèles au régime peuvent vivre dans la capitale ou d'autres grandes villes, bénéficiant ainsi de privilèges et de services plus avancé et parmi les citadins, seuls les plus fidèle au régime et ayant prouvé leurs valeurs peuvent réside eu et leurs familles dans la capitale.
La population est massivement contrôlé et surveillé par le gouvernement, toute forme d’expression qui va à l’encontre de celui du régime est proscrite, mal parlé du régime et manque de respect au dirigeant est passible de la peine de mort, la population est étroitement surveillée par un système de points attribués par le gouvernement. Les déplacements sont strictement contrôlés et nécessitent des autorisations, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur du pays. L'État possède tous les moyens de production, industries, logements, et infrastructures, qu'il fournit à la population en échange de loyauté et de travail acharné pour le régime et elle fournit gratuitement l'éducation, la santé, le logement, l'emploi et les produits alimentaire et autres nécessités de base.
Les médias et télécommunications sont largement contrôlés et censurés, seuls quelque chaîne d’information fidèle au régime sont autorisés et juste pour une minorité des citadins. La communication avec l'extérieur est interdite et passible de la peine de mort. Les médias sont sous le contrôle du ministère de l'Information, produisant et diffusant continuellement de la propagande sur le régime, le dirigeant, et l'armée.
Histoire :
Peu de choses sont connues sur l’histoire de Sud-Kazun avant l’avènement du Royaume de Kazun, dirigé par le chef charismatique Kae Hyonu. Celui-ci parvient à unifier les terres du Sud de Kazun et à fonder une dynastie royale , la dynastie Hyonu, qui perdurera pendant des siècles. Son avènement marque une période de stabilité politique, économique et sociale, et une forte centralisation du pouvoir aux mains de la famille royale au dépend de la noblesse et va pour la première fois unifié l’ensemble des sud-kazunien dans un même état.
Entre 1500 et 1800, le Royaume de Sud-Kazun connaît une renaissance culturelle et économique. Le nombre de sociétés marchandes augmente, les échanges commerciaux s’intensifient et la population se concentre dans les villes, qui deviennent des centres prospères de commerce et d’artisanat. Bien que l’industrialisation soit faible par rapport aux pays voisins, elle commence à s’implanter. De cette industrialisation commence à naître une nouvelle classe sociale, les ouvriers, qui quittent les campagnes vers les villes pour du travail et des meilleurs conditions de vie mais c’est plutôt des conditions de vie misérables et inhumaine qui les attend dans les usines.
Au 17e siècle, Ru II Hyonu , entreprend des réformes administratives, sociales et politiques pour renforcer le pouvoir royal, contrôler la noblesse, s’affirmer comme seule puissance législatrice et dirigeante du royaume et aussi tente de contrôle et régule cette nouvelle classe sociale dominante dans les villes : les ouvriers. Il crée une armée permanente, une première dans le royaume car avant chaque seigneur possédait son propre armée privée . Cependant, ces réformes entraînent une centralisation du pouvoir accrue et des taxes élevées pour financer les réformes et les guerres continuelles, ce qui suscite des tensions surtout parmi la classe moyenne et paysanne qui doit supporté tous ces taxes et nouveaux impôts.
En réaction à cette centralisation et face aux abus de pouvoir, aux taxes élevées et aux guerres incessantes mène par le roi, des idées révolutionnaires naissent peu à peu dans les grandes villes et se répandent dans les campagnes. La population, mécontente, commence à s’organiser en groupe clandestins qui se compose surtout d’ouvriers puis peu à peu de paysans, rapidement ils montre leurs mécontentement par des actes de sabotages, de refus d’obéissance et des attaques envers la noblesses, en réaction le roi envoi l’armée matée ces mouvements dans le sang, mais c’est on des échecs, au lieu de faire peur et faire reculé la population c’est tous l’inverse qui se produit.
Contre toute attente, le 20 septembre 1830, le roi est renversé et la monarchie prend fin. La première république est proclamée le lendemain. Cependant, cette république tombe rapidement dans l’instabilité, la corruption et les luttes de pouvoir. Malgré des réformes, des infrastructures comme les chemins de fer, et une ouverture au commerce mondial, les tensions sociales persistent, exacerbées par des conditions de travail inhumaines et des inégalités sociales et économiques pour les ouvriers et paysans. Seule une minorité profite de la chute de la monarchie, ce sont les oligarques, nouveau politicien et haute bourgeoisie. Ils vivent dans le luxe et font des soirée au luxe et à la démesure exponentielle.
Les ouvriers, en réaction, s’organisent en syndicats de plus en plus influents et demandent des réformes démocratiques et de meilleures conditions de travail. En 1910, des grèves massives paralysent l’économie. Le gouvernement envoie l’armée pour réprimer ces grèves, ce qui mène à des bains de sang et à une guerre civile. En 1911, la violence atteint son paroxysme avec des massacres et des destructions massives, laissant plus de 5 millions de morts, le pays est détruit, les infrastructures rasée et l’économie au points mort.
En 1930, la Grande Dépression, une grave crise économique frappe de plein fouet le pays déjà appauvri et qui a du mal à se remettre de la guerre civile. La grande dépression fait augmenté les prix des denrée de base les rendent inaccessibles pour les populations de classe moyenne principalement paysanne et ouvrière, l’inflation grimpe et atteint des sommets, près de la moitié de la populations se trouve au chômage et vie dans des conditions misérables, la grande dépression exacerbé les inégalités et la pauvreté entre les bourgeois riche et la classe moyenne encore plus pauvre. C’est dans ces conditions qu’un leader charismatique, Kim Chong-Yol ,fondateur du Parti des Travailleurs pour la Justice et l’Unité Kazuniens (PTJK), gagne en popularité. Profitant de sa popularité, il rallie l’armée à sa cause et déclenche une révolution qui renverse la république corrompue. Kim se déclare Leader Suprême, établit un régime autoritaire, enferme ses opposants, et met en place un système de propagande, de surveillance massive et de culte de la personnalité. Il abolit les institutions démocratiques et fait du PTJK le seul parti autorisé.
kim prépare son fils, Pak Chong-Yol, à lui succéder. À la mort de kim Chong-Yol, en 1953,Pak prend la tête du parti et du pays. Il élimine ses opposants, renforce la propagande et le culte de la personnalité, consolidant ainsi le régime familial. Sous son règne, la famille Iranov est vénérée comme des dieux. Bien que Pak renforce la politique isolationniste et les industries militaires, son règne est marqué par une crise humanitaire majeure en 1978, où une famine cause plus d’un million de morts. Grâce à une propagande élaborée, Yuri parvient à cacher cette tragédie.
En 2000, à la mort de Pak, le 11 septembre devient un jour de fête nationale où tous les Sud-Kazuniens doivent rendre hommage à Pak et à son père Kim . Kim Il Chong-Yol, le second fils de Yuri, prend le pouvoir après avoir éliminé son frère aîné, des membres de sa famille et des hauts dirigeants du régime pour trahison. Il place l’administration et l’armée sous son contrôle, renforce la surveillance et le contrôle de la population. Malgré des efforts de modernisation économique, Sergei concentre ses efforts sur le renforcement de l’armée.
Mentalité de la population
La population de Sud-Kazum est profondément imprégnée par les valeurs de collectivisme, de patriotisme et de loyauté au régime. Ils sont éduqués dès leurs plus jeune âge à vénérer les dirigeants et à respecter et à se soumettre à l'autorité de l'État, les Kazumiens valorisent la discipline et le sacrifice personnel pour le bien collectif, tout forme d’individualisme et de non conformité au normes de la société est mal vue et puni . On leurs inculque des le plus jeune âge à agir en groupe et de ne pas penser mais seulement à se conforme au pensée des leader suprême pour atteindre une société harmonieuse , juste et égale pour tous. La société kazumienne, fortement militarisée, considère le service militaire comme un rite de passage et un devoir sacré pour tous, qui prouve son patriotisme et sa loyauté au régime.
Les aspirations inculqué au citoyens sont renforcé par une propagande omniprésente qui glorifie le régime et les accomplissements de l'État et cache les échecs et les grandes périodes de famine qui touche le pays. Le leader suprême est aimé par la population comme un père , de même que tous les dirigeants disparue. Toutes personnes qui agit contre la volonté de l’état, sort des normes, critique le régime et les dirigeants ou même encore tente de quitter le pays ou le quitte sont considérés comme les pires criminels, des traîtres à la nation qui ont perdu la confiance des dirigeants et sont condamnés à des peines de prison, de travaux force ou même à mort, eu et leurs familles .
Place de la religion au sein de l’état:
Le RPDSK est officiellement un État athée, où la religion est strictement contrôlée par le gouvernement. L'idéologie officielle du régime, fortement nationaliste et autarcique, dicte la vie politique et sociale des citoyens, et la place de la religion dans la société est marginalisée. 99% de la population se dit athée et l'État mène une propagande antireligieuse, promouvant l'athéisme et les valeurs matérialistes de l'idéologie officielle. Les figures religieuses sont dépeintes comme des agents de division et d'obscurantisme, contraires à l'unité et à la progression de la nation et d’ailleurs il est interdit à tout touriste de ramène un objet ou livre religieux dans le pays sous peine de mort ou de prison. Le culte de la personnalité autour des dirigeants suprêmes remplace les pratiques religieuses traditionnelles. Les dirigeants, vénérés comme des figures divines, occupent la place centrale dans les rituels et les commémorations obligatoires relégué la place de la religion à un statut de second plan ou pire encore. Le système éducatif du RPDSK est entièrement séculier, inculquant dès le plus jeune âge les principes de l'athéisme d'État et de l'idéologie officielle. L'enseignement de la religion est interdit dans les écoles publiques, de même pour le prosélytismes religieux dans les espaces publics et même privé.
Institutions politiques:
La politique de Sud-Kazum (officiellement République Populaire Démocratique de Sud-Kazum ou RPDSK) se déroule dans le cadre de la philosophie officielle de l'État, le . Cette idéologie est la conviction que le véritable socialisme ne peut être réalisé que grâce à l'autonomie et à un État fort et indépendant.
Depuis sa proclamation en 1930 par Kim , le parti des Travailleurs pour la Justice et l’Unité Kazuniens (PTJK) jouit d’une suprématie légale sur tous les autres institutions politique du pays et est dirigé par un membre de la famille Chong-Yol depuis sa fondation. Le secrétaire général du parti (PTJK) occupe également la fonction de Président du conseil des affaires d’état, maréchal de la commission militaire centrale, Président du comité permanent du parti et président général du bureau exécutif du parti et secrétaire en chef du secrétariat du comité central et bureau exécutif, tous ces fonctions font de lui l’être le plus puissant du pays.
-Parti des Travailleurs pour la Justice et l’Unité Kazuniens (PTJK) est le seul parti autorisé en Sud-Kazum, même si des parti politique dite « satellite », le PTJK a une influence omniprésente et totale sur tous les aspects de la vie politique, sociale, et économique du pays. Il est composé de plusieurs structures qui sont les suivants :
- Le secrétaire général du parti :
Il est chef suprême du parti et de l'État, il détermine les grandes orientations politiques, économiques, sociales et sécuritaires du pays. Il préside également le Comité Central du parti et le bureau exécutif. Il est en théorie, élu par les membres du Comité Central tous les cinq ans, mais en pratique, il s'agit toujours du même candidat unique choisi par les élites du parti.
- Le comité central du parti :
L’ organe suprême du parti composé de 235 des membres les plus influents et puissants du parti et de l’état. Les décisions sont prises par vote, mais les propositions du Secrétaire Général font force de loi. Les membres du Comité Central approuvés par le Secrétaire Général et peuvent être démis à tout moment. Il se réunit une fois par an pour prendre des décisions sous forme de résolutions ou de décisions. Il détermine la politique générale du pays et nomme les plus hauts responsables du régime.
-Bureau Exécutif :
Il est composé de membres titulaires votants et des membres candidats (non-votants). C’est l’organe décisionnel le plus élevé lorsqu'il se réunit (une fois par an). Ses membres sont élus par l'Assemblée Populaire Suprême mais doivent être acceptés par le Président Général du Bureau Exécutif. Ses membres occupent des hautes fonctions dans les commissions du parti, de l'État, du gouvernement et du Comité Central.
- Bureau du conseil des affaires de l’état :
Est l'organe suprême exécutif de la République Populaire Démocratique de Sud-Kazum (RPDSK). Il détient le pouvoir exécutif suprême, il est distinct du cabinet (gouvernement), et a une influence directe sur la formulation et la mise en œuvre des politiques nationales. Il est composé du Président du Conseil des Affaires de l'État, Vice-Présidents du Conseil des Affaires de l'État, Premier Ministre, Secrétaire Général du Conseil des Affaires de l'État et de conseillers spéciaux, du ministre de La Défense ( ou QG militaire centrale) , du ministre de la sécurité d’état et du ministre de la sécurité intérieur ( sorte de ministère de l’intérieur au pouvoir étendu et à la tête de la police , gendarmerie et des forces paramilitaires). Il est chargé de formule et de mettre en œuvre les politiques nationales, de supervise les départements exécutifs et assure leurs conformité avec les directives du PTJK, de coordonne et supervise les travaux des administrations publiques, de s’assure l'exécution des décisions prises par le Comité Central du PTJK et le Bureau Exécutif , de la représentation de la RPDSK dans les affaires internationales , de s’engage des négociations et signe des traités au nom de l'État et enfin de propose et mettre en œuvre des projet de lois et des réglementations au bureau exécutif puis au comité central qui seront enregistré par l’assemblée populaire suprême. Le Bureau du conseil des affaires de l’état gère directement les ministère suivant : Ministère de la Défense, Ministère de la sécurité d’état ( police secrète ) et le ministère de la sécurité intérieur.
- Le secrétariat du parti:
Est une structure essentielle du PTJK, chargé de la supervision et de la mise en œuvre des politiques du parti. Il assure la continuité administrative entre les sessions du Comité Central. Le Secrétariat est responsable de la supervision quotidienne et de la mise en œuvre des politiques décidées par le Comité Central et le Bureau Exécutif du PTJK et Supervise la loyauté et l'efficacité des membres du parti à tous les niveaux.
- La commission militaire centrale:
Est l'organe suprême chargé de la supervision de toutes les forces armées de la RPDSK, ses membres sont le Maréchal de la commission militaire centrale, les plus haut garde des trois branches de l’armée , des hauts fonctionnaires des ministère de La Défense et des conseillers militaires et secrétaire.
- L’Assemblée Populaire Suprême:
Est en théorie l'organe législatif suprême de la République Populaire Démocratique de Sud-Kazum (RPDSK). Cependant, en pratique, ses pouvoirs sont largement symboliques et elle agit principalement comme un organe de ratification des décisions prises par le Comité Central du Parti des Travailleurs pour la Justice et l'Unité Kazuniens (PTJK). Il est composé de 689 députés élue au suffrage universel direct par circonscription, mais les candidats sont pré-sélectionnés et proposés par le PTJK. Chaque circonscription propose un minimum de deux candidats choisis par le parti et ils sont élue pour un mandat de 5 ans. Ses sessions plénière ont lieu deux fois par an pour une durée d’au moins un mois chacun. L’assemblée Populaire Suprême est composé de commission spécialisé . Théoriquement, ces commissions sont responsables de l'examen des projets de loi, de la supervision des politiques publiques et de la gestion des affaires législatives spécifiques, mais en réalité, ses pouvoirs sont symbolique, ces commissions ne font que confirmer les décisions du parti et n'ont pas de pouvoir réel. Les élections pour l’Assemblée Populaire Suprême servent principalement à recenser la population et à démontrer l'unité et le soutien populaire au régime. Tous les citoyens sont obligés de voter, et les résultats montrent systématiquement un taux de participation et d'approbation de près de 100% en faveurs du parti.
- commission permanent de l’Assemblée Populaire Suprême (CPAPS) :
Le Comité Permanent de l'Assemblée Populaire Suprême (APS) assure la permanence de l'APS en dehors des sessions plénières. Il joue un rôle essentiel dans la gestion des affaires courantes et dans la supervision des commissions spécialisées. Il est composé de 100 sénateur élus parmi les membres de l'Assemblée Populaire Suprême. Les candidats sont approuvés par le Président du Comité Permanent du Parti et ratifiés par l'APS en session plénière.
La cour supérieur:
La plus haute instance judiciaire du pays composé de 9 juges suprême nommé par le président du conseil des affaires de l’état sur recommandation du comité central du parti puis confirmé par l’assemblée populaire suprême pour un mandat de 10 ans, en théorie c’est l’organe judiciaire suprême avec le rôle d’interprétation des lois et de la constitution ainsi que tribunal de dernière instance, mais le pouvoir judiciaire n’est pas indépendant car les forces de police interfèrent si souvent que le jugement est connue d’avance et il n’est pas possible de faire un recours. Les jugements rendus par les tribunaux sont stricts et sans appel.
Principaux Personnage :
- Les dirigeants décédé :
Kim Chong-Il (Le grand-père et fondateur de la dynastie) surnommée le leader suprême et président éternelle de la République démocratique populaire de Sue-Kazum, né le 12 février 1899 en période trouble de la fin de la monarchie et mort le 5 mai 1953 (d’une crise cardiaque), il aura régné pendant 23 ans sur le pays, sa place est elle dans le pays qu’il est vue comme un dieu vivant et il est obligatoire pour chaque citoyen d’avoir un portrait du Président disparu chez lui mais également de lui rendre hommage tous les 12 février, le jour de la fondation.
Pak Chong-Il, le père de l’actuelle dirigeant Kim Il-chong surnommé le guide éternel et Président éternelle de la commission militaire centrale et gardien du pays, il est née le 3 mars 1925 plein dans les dernière instant de la République du Sud-kazum et des prémices de la grande dépression et mort le 11 septembre 2000 d’un cancer au poumon et des reins. Sous son règne de 1953 - 2000 ( 47ans) il n’a cessé de renforcé la centralisation du pouvoir et de consolidé le pouvoir de sa famille ainsi que de les industrie militaire et l’économie du pays même si c’est sous son règne que la plus grande famille de l’histoire du Sud-Kazum a frappé le pays et à cause la mort de au moins 1 millions de personnes. Il est fêté le 12 février de même que son père et le 11septembre en mémoire de sa mort.
Kim Il Chong, l’actuelle leader suprême et maréchal du pays, est née le 25 décembre 1960 sous le règne de son père Pak Chong-Il et dont il reprendra le flambeau à sa mort en 2000 au dépend de son frère aîné : Kwon chong-Il considère comme faible, incapable et trop efféminé, qu’il aura vite fait d’éliminé à son ascension au pouvoir au côté de son oncle et ses tantes paternelles. Sa fête est le 25 décembre, jours férié et fête militaire nationale.
Choi Sung-Ho :Vice-Président du Conseil des Affaires d’État. Choi Sung-Ho est le principal adjoint de Kim Il Chong, chargé de superviser l’administration des politiques nationales et de coordonner les efforts des ministères.
Park Ji-Hoon :Premier Ministre
En tant que chef du gouvernement, Park Ji-Hoon dirige le cabinet, coordonne les ministères, et supervise l’exécution des politiques du parti . Il joue un rôle clé dans la mise en œuvre des directives du Bureau du Conseil des Affaires d’État dont il occupe le 3eme siège et est le second homme le plus plus puissant de l’état après le leader suprême.
Kim Hye-Jin :Secrétaire Général du Conseil des Affaires d’État.
Lee Chong-Il ( sœur jumelle de Kim Il-Chong): Présidente de l’Assemblée Populaire Suprême et membre du Bureau du conseil des affaires de l’état, du comité central du parti, du bureau exécutif et du secrétariat du parti.
Kang Dong-Won: Président du Comité Permanent de l’Assemblée Populaire Suprême.
Jeong Soo-Jin : Présidente de la Cour Supérieure, la plus haute institution judiciaire du pays, elle fut nommé à ce poste en reconnaissance de sa loyauté au parti et au leader.
Ministre :
- Han Seo-Jun, ministre de La Défense.
- Cho Min-Kyu, ministre de la Sécurité d’État.
-Yoon Mi-Ra, ministre de la Sécurité Intérieure.
- Kim Soo-Hyun, ministre des Affaires Étrangères.
- Park Eun-Ji, ministre de l’Économie et des finances.
- Jung Hye-Jin, ministre de l'Éducation.
- choi Ji-Hoon, ministre de la Santé et des affaires sociales.
- Seo Joon-Young, ministre du Travail et des logement.
- Kang Min-Soo, ministre de l'Agriculture et de la souveraineté alimentaire.
-Im Soo-Hyang - ministre de la Culture et du patrimoine.
- Kim Jae-Wook, ministre du développement Industrie et technologiques.
- Lee Seung-Gi, ministre de l’Énergie et des ressources Énergétiques.
-Lee Dong-Wook, Porte parole du gouvernement
-Hwangbo Ji-Hun, ministre de l’Environnement.
-Mok Hae-Il, ministre des Transports et de l’Aménagement du Territoire.
-Ryang Eun-Soo, ministre de la Science et de la Technologie.
-Ryom Nam-Joo, ministre de la Jeunesse et du Sport.
-T'an Min-Ho, ministre des Anciens Combattants.
-Ri Tonghyon, ministre des Affaires Juridiques et du Droit.
-Ru Chunso, ministres de l’Information et de Télécommunication.
-On Young-Ah,ministre sans portefeuille.
Politique internationale:
Le RPDSK adopte une posture isolationniste, se méfiant des influences étrangères et limitant ses relations diplomatiques et économiques. Le pays montre une forte volonté d'autosuffisance et de sécurité intérieure, en surveillant constamment les pays voisins et les potentielles menaces à sa sécurité nationale. Déterminé à protéger sa souveraineté nationale, le RPDSK cherche également à promouvoir son idéologie officielle sur la scène internationale.
Les relations diplomatiques sont marquées par des tensions avec toutes formes de démocratie, tandis que de bonnes relations sont maintenues avec d'autres régimes autoritaires partageant des intérêts communs. Le RPDSK aspire à changer son image à l'international, se présentant comme un pays autosuffisant, respectueux des droits de l'homme, et comme une puissance majeure sur le continent et dans le monde mais l’une des principales objectifs du régime est de montre une bonne image du pays pour attiré le tourisme et donc les divise étrangère.
