GEOKRATOS
Jeu de simulation géopolitique
03/04/2016
15:36:24
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đ ATLAS | GĂ©opolitique et Ă©conomie
Petit Poete
đ ATLAS | GĂ©opolitique et Ă©conomie
Posté le :
17 juin 2024 Ă 03:50:56
138
đ ATLAS |GĂ©opolitique et Ă©conomie
Partie 1 :
https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSfpvRCdldABEnExzV4DG2yZUf2aUanx_nEJn8cGnwtdf3w1Ng/viewform?usp=sf_link
Petit Poete
Re : đ ATLAS | GĂ©opolitique et Ă©conomie
Posté le :
17 juin 2024 Ă 23:10:22
193
Partie 2 :
https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSe-PHIUaO4EY1Va-3NVjCYwn2n3GS7RB6x0F0cbFUPCv9J83w/viewform?usp=sf_link
PS : le fait d'utiliser Google Forms est fait exprÚs, afin que vos réponses n'influencent pas les autres.
Petit Poete
Re : đ ATLAS | GĂ©opolitique et Ă©conomie
Posté le :
18 juin 2024 Ă 23:44:52
5965
ARCHIVES D'UN PROJET EN COURS
Enfin, afin de valider la création du Tribunal International par la voie démocratie, je vous laisse me donner votre avis
ici
(https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSckK45WBtGOkUoWUIyPg4bEybfcEa0kiuseR8WiUcNGkB5n-Q/viewform?usp=sf_link) pour le texte suivant :
RĂšglement
TRIBUNAL INTERNATIONAL
I. Procédure pénale
1 â DĂ©pĂŽt dâun dossier par un reprĂ©sentant dâun Ătat au TI. Le dossier prĂ©sente les faits mais ne doit pas demander la reconnaissance dâun crime ou non.
2 â PossibilitĂ© Ă lâaccusĂ© de rĂ©pondre pendant un mois.
3 â PossibilitĂ©, pour tous les reprĂ©sentants dâun Ătat au TI, de dĂ©poser un avis dĂ©favorable ou, le cas Ă©chĂ©ant, favorable Ă une condamnation si lâinfraction est constituĂ©e, et en donnant le crime concernĂ©. Cette possibilitĂ© est permise au minimum un mois et jusquâĂ ce quâau moins 10 pays aient Ă©mis des avis. Il est Ă noter que les pays ne prononcent pas de condamnation, mais effectuent des avis.
4 â Le reprĂ©sentant de lâĂtat qui le souhaite clos lâaffaire et prononce la condamnation Ă lâencontre de lâaccusĂ©.
II. Crimes jugés et condamnations
Le Tribunal International se considĂšre compĂ©tent si les faits reprochĂ©s Ă lâaccusĂ© sont compris parmi les crimes suivants, assortis de leur peine :
Crimes contre lâHumanitĂ© â peine de prison ferme Ă vie.
Crimes de guerre â peine de prison ferme Ă vie.
Terrorisme â peine de 50 annĂ©es de prison ferme.
Association de malfaiteurs Ă lâinternational en vue de commettre des actes graves â 50 annĂ©es de prison.
Tuerie de masse â peine de 40 annĂ©es de prison ferme.
Pollution Ă dangerositĂ© Ă©levĂ©e â 30 ans de prison.
Sont considérés, par le Tribunal International, les crimes suivants comme la définition qui leur est assortie :
Crimes contre lâHumanitĂ© â gĂ©nocide, torture de civils, exĂ©cution dâotages civils, usage du viol comme dâune arme contre une population, esclavagisme.
Crimes de guerre â torture de militaires, exĂ©cution dâotages militaires, bombardements, usages dâarmes chimiques, usage dâarmes biologiques.
Terrorisme â fait de tuer au moins 3 personnes pour des motivations politiques ou religieuses.
Association de malfaiteurs Ă lâinternational en vue de commettre des actes graves â fait dâorganiser des rĂ©seaux clandestins de pĂ©docriminalitĂ©, de prostitution illĂ©gale, de trafic dâorganes ou de trafic de drogues.
Tuerie de masse â fait de tuer au moins 10 personnes pour des motivations autres que politiques ou religieuses
Pollution Ă dangerositĂ© Ă©levĂ©e â fait de contaminer une territoire ou des populations par une pollution cancĂ©reuse, radioactive ou mortelle et ce dĂ©libĂ©rĂ©ment.
Il ne saurait y avoir de prescription pour les crimes suivants :
Crimes contre lâHumanitĂ©Â ;
Crimes de guerre ;
Terrorisme.
Pour lâensemble des autres crimes, la prescription est prĂ©vue Ă 30 ans.
III. Informations diverses
Dans chaque pays, un reprĂ©sentant de lâĂtat doit ĂȘtre nommĂ© au Tribunal International. Par dĂ©faut, cette personne est le Chef dâĂtat, mais cette responsabilitĂ© peut ĂȘtre Ă confier Ă nâimporte qui.
Le Tribunal International ne remplace pas les tribunaux nationaux, mais les complĂšte sur toutes les affaires oĂč ceux-ci ne sont pas compĂ©tents Ă cause du caractĂšre international des faits reprochĂ©s.
Le Tribunal International ne juge pas de personnes morales (associations, entreprises, administrations, syndicats et autres organisations). En revanche, les responsables des faits au sein organisations le sont Ă©galement devant le Tribunal International et pourront, en consĂ©quence, ĂȘtre condamnĂ©s pour des actes commis par lâorganisation et en son nom.
Ni lâĂtat ayant dĂ©posĂ© le dossier, ni lâĂtat dont lâaccusĂ© a la nationalitĂ© nâest habilitĂ© Ă clore lâaffaire.
Le Tribunal International ne dĂ©livre pas de mandat international. Il nâest donc pas autorisĂ©, pour toutes forces de lâordre, de pĂ©nĂ©trer sur le territoire national dâun autre pays et sans son accord dans lâobjectif dâarrĂȘter un condamnĂ©.
Le Tribunal International ne saurait juger que des individus sur des faits commis alors que ces derniers Ă©taient majeurs.
Le Tribunal International, au vue de la gravitĂ© des diffĂ©rents crimes pour lesquels il est compĂ©tent, reste compĂ©tent mĂȘme si les dossiers mĂ©dicaux des accusĂ©s prĂ©sentent des maladies ou handicaps.
IV. Documents pour la procédure
A â Dossier
Moi, reprĂ©sentant de lâĂtat [nom de lâĂtat], souhaite saisir le Tribunal International ce [date RP] afin que soit jugĂ©Â [Madame ou Monsieur] [nom de lâaccusĂ©] de nationalitĂ© [nationalitĂ© de lâaccusĂ©].
LâaccusĂ© pourra se dĂ©fendre jusquâau [date RP] , avant que les reprĂ©sentants des Ătats ne dĂ©libĂšrent au moins jusquâau [date RP].
En outre, lâaffaire ouverte est numĂ©rotĂ©e [chiffre].
Je présente ce jour les faits suivants, sur lesquels seul le Tribunal International sera amené à se prononcer :
[faits]
B â DĂ©fense
Moi, accusĂ© au Tribunal International dans le cadre de lâaffaire [chiffres], vous prĂ©sente mon rĂ©cit :
[prĂ©sentation de lâaccusĂ©]
Je confronte également le dossier à ma version des faits qui me sont reprochés :
[texte]
Par ailleurs, je souhaite ajouter que :
[texte]
C â Avis
Moi, reprĂ©sentant de lâĂtat [nom de lâĂtat], considĂšre dans lâaffaire [chiffres] les Ă©lĂ©ments suivants :
[texte]
Reconnaissant alors lâinfraction constituĂ©e, je demande alors au Tribunal International de bien vouloir condamner lâaccusĂ© aux peines prĂ©vues pour les crimes suivants :
[crimes]
OU
Moi, reprĂ©sentant de lâĂtat [nom de lâĂtat], considĂšre dans lâaffaire [chiffres] les Ă©lĂ©ments suivants :
[texte]
Reconnaissant alors lâinfraction nâest pas constituĂ©e, je demande alors au Tribunal International de ne pas reconnaĂźtre la culpabilitĂ© de lâaccusĂ©.
D â Condamnation
Moi, reprĂ©sentant de lâĂtat [nom de lâĂtat], au nom du Tribunal International, dĂ©clare [Madame ou Monsieur] [nom de lâaccusĂ©], mis(e) en examen dans le cadre de lâaffaire [chiffres], coupable des faits qui lui sont reprochĂ©s, Ă savoir :
[crimes reconnus par le TI suivi du pourcentage dâĂtats favorables]
[Madame ou Monsieur] est alors condamnĂ© Ă [chiffres] annĂ©es de prison ferme et lâaffaire est close.
OU
Moi, reprĂ©sentant de lâĂtat [nom de lâĂtat], au nom du Tribunal International, dĂ©clare [Madame ou Monsieur] [nom de lâaccusĂ©], mis(e) en examen dans le cadre de lâaffaire [chiffres], non-coupable et [le ou la] relaxe donc des faits qui lui Ă©taient reprochĂ©s.
[Madame ou Monsieur] ne pourra alors plus faire lâobjet de poursuites devant ce tribunal pour ces mĂȘmes faits.
V. Exécution des peines
Suite aux condamnations dâun individu par le Tribunal International, toutes les forces de lâordre, et ce Ă lâinternational, ont le droit dâarrĂȘter le condamnĂ©.
Le pays ayant clos lâaffaire doit prendre en charge le condamnĂ© dans ses locaux pĂ©nitenciers.
Tout Ătat prenant part aux dĂ©libĂ©rations consent Ă respecter le prĂ©sent rĂšglement.
Petit Poete
Re : đ ATLAS | GĂ©opolitique et Ă©conomie
Posté le :
21 sep. 2024 Ă 22:03:08
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đ
Rapport sur la géopolitique et l'économie
Ăchelle internationale
DĂ©cembre 2013
Cet Altas n'a aucunement pour objectif de discriminer certaines nations ou de faire l'éloge de certaines autre. Il n'a que vocation de documenter des phénomÚnes et systÚmes observables qu'il serait intéressant de clarifier. Pour toute question ou remarque, premiÚre de contacter les équipes en charge du projet
ici
.
I. REPARTITION GĂOGRAPHIQUE DES INFLUENCES
Croquis de synthĂšse
Il est à noter que les résultats ci-dessous ne visent pas des pays mais des territoires afin de mettre en lumiÚre des inégalités. Ainsi, la carte a été réalisée de la maniÚre qui suit. Un territoire était désigné au hasard sur la carte, et il lui était attribué une couleur suivant s'il faisait partie de la tranche (ou tiers dans le cas présent) supérieure haute, moyenne ou basse. Il est à noter que cela a fait l'objet d'une exception pour tous les pays sur le top 3 de leur catégorie et dont il était indispensable de les mettre sur carte. Il est à noter que ce croquis n'a nullement pour objectif de discriminer quelque nation que ce soit mais au contraire de pointer les disparités géographiques.
Croquis :
Légende organisée :
Des influences diverses ...
đȘ- Influence Ă©conomique
đȘ- Influence militaire
đïž- Influence politico-culturelle
đ§Ź- Influence scientifique
đïž- Influence commerciale
... réparties inégalement
âą
- Influence dans la tranche supérieure
âą
- Influence dans la tranche moyenne
âą
- Influence dans la tranche inférieure
Lecture trÚs simplifiée :
-> Grace au croquis, nous pouvons constater que l'ensemble des richesses (influence économique et commerciale) sont concentrées sur les deux tiers environ du globe terrestre.
-> Grace au croquis, nous pouvons constater que certains pays concentrent plusieurs types d'influences.
Le croquis met donc en lumiÚre les différentes inégalités géographiques tout en présentant de maniÚre synthétique le développement qui suit.
II. LES NATIONS INFLUENTES
A. Influence générale
ou influence Ă©conomique
Afin de mesurer le développement d'un pays sur le plan économique, il convient tout d'abord de l'aborder du point de vue du PIB par habitant. Cependant, en terme de géopolitique, une toute autre approche est nécessaire. En effet, négocier avec un pays ne dépend pas de sa population mais uniquement de la richesse qu'il produit. Le PIB a donc été arbitrairement choisi dans l'étude de l'influence générale. Il est toute fois à noter que cet indicateur, comme tout indicateur, possÚde ses limites.
Montrer le graphique
Les nations au fort PIB à la fin de l'année 2013
Graphique réalisé à partir de données internationales publiques
Nous pouvons observer une rupture dans le graphique ci-dessus. En effet, alors que les Ă©carts de PIB entre les diffĂ©rents pays Ă©taient plutĂŽt faibles, en tĂȘte de liste les plus forts PIB, les Ă©carts se creusent considĂ©rablement, notamment Ă partir de Teyla. Cela montre que les nations Ă la tĂȘte du podium se dĂ©marquent largement des autres, et qu'il exsite un phĂ©nomĂšne d'aristocratisation qui rend les nations les plus hauts dans des rangs d'importance privilĂ©giĂ©e sur la scĂšne internationale. Les Ă©carts mentionnĂ©s sont tels que, par exemple, le sixiĂšme pays en terme de PIB correspond Ă moins de la moitiĂ© de l'Alguarena, soit le premier.
B. L'influence militaire
L'influence militaire d'un pays est complexe a évaluée, tout comme ses conséquences. D'une part, celle-ci dépend des multiples partenariats et organisations dans lesquelles le pays concerné est investi. S'agissant parfois de nuances de l'influence militaire, afin de ne pas entrer dans une classification arbitraire des nuances de partenariats, nous laisserons ce point-là de cÎté. Sur un plan plus national et intérieur, l'influence militaire passe également par le développement de l'industrie d'armement et la construction d'usines militaires. Dominant et sur le marché international de l'armement, et sur le développement de son industrie, l'
Alguarena
est sans aucun doute possible le pays le plus influent militairement parlant. Par ailleurs, la puissance de son armĂ©e et la sufface sur laquelle celle-ci serait capable d'agir rend la domination de l'Alguarena d'autant plus importante. Enfin, le marchĂ© de l'armement oĂč l'Alguarena est prĂ©curseure, grĂące Ă des prix compĂ©titifs, entretien l'image du leadership militaroindustriel de la nation.
Il est également important d'ajouter que l'influence militaire est complémentaire avec la recherche scientifique, car les usines d'armement, sans recherche préalable, ne sauraient garantir la qualité des produits militaires.
C. L'influence politico-culturelle
L'influence politico-culturelle est Ă dissocier de l'influence diplomatique. En effet, si l'influence diplomatique dĂ©crit les relations d'influence entre les Ătats, les influences politico-culturelles s'incrivent quant Ă elles au coeur des processus artistiques, mĂ©diatiques, historique sociĂ©tales etc. L'ensemble de ces processus ne sont pas liĂ©s aux administrations que sont les Ătats, mais aux populations habitant sur le territoire oĂč s'exerce l'autoritĂ©. De plus, il est important de comprendre que l'influence politico-culturelle, contrairement par exemple Ă l'influence scientifique, s'effectue de maniĂšre plus Ă©pisodique, et qu'elle demande un entretien minutieux. L'influence politico-culturelle est grandemment dĂ©pendante les industries culturelles dĂ©veloppĂ©es dans le pays et Ă l'Ă©tranger. De plus, l'investissement de l'Ătat dans ce secteur est primordial pour le faire fonctionner dans tout son potentiel. Le premier pays en terme d'influence politico-culturelle est la PoĂ«toscovie. En effet, cause des moyens dĂ©ployĂ©s dans le Centre National de la LittĂ©rature et de la PoĂ©sie (CNLP), la PoĂ«toscovie a vite su se dĂ©marquer par un art littĂ©raire recherchĂ© en plein essort. De plus, la volontĂ© de la nation Ă exportĂ© ses oeuvres Ă l'international pousse toujours l'Ătat Ă investir dans le secteur, qui reprĂ©sente par ailleurs une part importante de l'emploi dans le pays. De plus, une entreprise poĂ«toscovienne s'est rĂ©cemment spĂ©cialisĂ©e dans le "commerce d'influence", donnant encore une autre dimmension Ă celle-ci. Il est cependant Ă noter que les pirates Pharois restent en tĂȘte sur les marchĂ©s de ce secteur bien particulier.
D. L'influence scientifique
L'influence scientifique dĂ©pend Ă©normĂ©ment des moyens dĂ©ployĂ©s par les Ătats dans la recherche, que ce soit via des instituts nationaux ou des subventions d'entreprises. Contrairement aux autres influences, celle scientifique, bien que mineure en gĂ©opolitique, est facilement quantifiable. Le pays ayant le plus dĂ©velopper son influence scientifique est le Pharois Merirosvo. Bien que ce secteur ne soit pas trop regardĂ© dans les relations entre les pays, il reste important dans le poids notamment militaire de la nation, car la qualitĂ© du matĂ©riel militaire ne saurait ĂȘtre garantie que par des usines scientifique.
E. L'influence commerciale
L'influence commerciale est basée sur deux critÚres : le nombre d'habitants et le niveau de richesse. En effet, plus le nombre d'habitants est élevé, plus le nombre de clients potentiels est élevé pour les futures entreprises et nouveaux investisseur, plus ceux-ci seront ammenés à entreprendre des partenariats commerciaux importants. De plus, si le niveau de richesse est important, il sera également plus facile pour les diverses entreprises de s'y construire un marché solide. Or, les pays les plus peuplés sont rarement les plus riches, et toute la complexité de l'investissement économique et commercial joue justement sur ce caractÚre multifactoriel.
Pour donner des exemples de pays propices aux futurs investissements, et donc influents commercialement, on peut retrouver les pays suivants pour les raisons qui y sont inscrites :
- La
Lutharovie
(pays ayant le plus grand nombre d'habitants)
- La
RĂ©gion Autonome de Port-Hafen
(pays ayant le PIB par habitant le plus élevé)
Cependant, il est à noter que certains politiques nationales internes (impÎts sur les sociétés, communisme) peuvent dissuader divers investisseurs sans que cela soit chiffrable de maniÚre précise.
Voir HRP
SĂ©rieux les mecs (et les meufs) c'est pas un classement. Si vous voulez vraiment vous mesurer la taille de la *** allez
ici
. LĂ c'est pas l'objectif.
Petit Poete
Re : đ ATLAS | GĂ©opolitique et Ă©conomie
Posté le :
21 sep. 2024 Ă 22:04:26
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đ
Rapport sur l'harmonisation internationale
Ăchelle internationale
Janvier 2014
Ce rapport n'a que pour seul et unique but de présenter factuellement ce que reconnaßt ou ne reconnaßt pas la majorité des pays, sans regard politique ou judiciaire sur la chose en question
.
I. La Zone Ăconomiques Exclusive
Tout d'abord, il convient de dĂ©finir ce qu'est la Zone Ăconomique Exclusive (ZEE) d'une Ătat. Celle pourrait se rĂ©sumĂ© Ă un territoire maritime sur lequel seuls les Ătats dont le territoire terrestre se trouve Ă moins de tant de mĂštres pourraient exploiter les ressources qui s'y trouvent, notamment en terme de pĂȘche ou d'extraction de pĂ©role. Cependant, il est Ă noter que ce territoire n'appartient pas aux Ătats pouvant extraire les ressources, bien qu'ils y soient autorisĂ©s. Si l'ensemble des Ătats s'accordent sur cette dĂ©finition, deux points fondamentaux constituent le majeur obstacle Ă l'instauration d'un ZEE pour tous. En effet, tous les pays ne reconnaissent pas la ZEE. En effet, sur 18 Ătats interrogĂ©s, 4 y Ă©taient dĂ©jĂ dĂ©favorables, soit 22,2%. Par ailleurs, il convient Ă©galement de se mettre d'accord sur la distance des cĂŽtes Ă laquelle se termine la ZEE. Malheureusement, aucun chiffre ne permet actuellement de dĂ©finir la distance souhaitĂ©e par une majoritĂ©.
II. Le statut d'exterritorialité des établissements diplomatiques
Le statut d'exterritorialité défini le fait qu'un certain établissement, le plus souvent diplomatique, appartienne au pays qui est représenté, afin notamment s'assurer une protection des informations confidentielles au sein des ambassades et consulats.
Actuellement, d'aprĂšs des derniers chiffres, la majoritĂ© des Ătat reconnnaissent le statut d'exterritorialitĂ©, mĂȘme si beaucoup d'autres indiquent ou que cela doit remplir certaines conditions spĂ©cifiques qui leur son propres. Pour donner un ordre d'idĂ©e, seuls 2 Ătats sur les 18 interrogĂ©s ont exprimĂ© leur opposition face au statut d'exterritorialitĂ© des ambassades et consulats.
Il conviendra donc, Ă l'avenir et pour chaque Ătat, de bien spĂ©cifier s'il souhaite que ses Ă©tablissements diplomatiques ne disposent pas du statut d'exterritorialitĂ©.
Il est Ă©galement Ă noter qu'une ambassade est par dĂ©finition un Ă©tablissement diplomatique chargĂ© de reprĂ©sentation et disposant d'un statut d'exterritorialitĂ©. Le terme "ambassade sans statut d'exterritorialitĂ©" est donc oxymorique. Pour tout Ătat ne souhaitant pas que les Ă©tablissements diplomatiques disposent du statut d'exterritorialitĂ©, il sera prĂ©fĂ©rable de dire "Ă©tablissement diplomatique chargĂ© de reprĂ©sentation Ă l'Ă©tranger", ou plus simplement "Ă©tablissement diplomatique".
III. Les organisations internationales
Parmis les nations interrogĂ©es, nous pouvons tout d'abord constater qu'un tiers des Ătats ne fait partie d'aucune organisation diplomatique internationale. Par ailleurs, 72% des Ătats considĂšrent qu'il y a trop d'organisations abandonnĂ©es et qui mĂ©riteraient simplement de cesser d'exister. Ce chiffre, considĂ©rable, ne doit pas ĂȘtre pris Ă la lĂ©gĂšre puisqu'il peut expliquer le dĂ©sintĂ©ressement de certains Ătats Ă devenir acteur auprĂšs de la scĂšne internationale. Toutefois, un autre chiffre est quant Ă lui tout Ă fait rassurant, puisque 77,8% des Ătats considĂšrent que les organisations internationales, de maniĂšre gĂ©nĂ©rale, ne sont pas trop fermĂ©es. Il reste cependant les 22,2% qui, sans doute, doivent se trouver dans des situations politiques ou gĂ©ographiques complexes qui empĂȘche donc de passer certaines sĂ©lections. MalgrĂ© le chiffre positif exposĂ© ci-dessus, il est important d'ajouter que 52,9% des Ătats seraient favorables Ă des organisations plus ouvertes, notamment sur d'autres sujets ou continents.
IV. Les devises Ă©conomiques
TrĂšs rapidement, on peut constater que les Ătats semblent satisfaits de leurs devises. Il reste tout de mĂȘme intĂ©ressant de constater que 11,8% des Ătats ayant rĂ©pondu Ă l'enquĂȘte utilisent une monnaie Ă©galement utilisĂ©e par d'autres pays. De plus, 77,8% des Ătats n'utilisent qu'une seule monnaie. Enfin, 16,7% des Ătats seraient favorables Ă l'usage d'une monnaie commune, 27,8% uniquement s'ils s'agissait de la leur, 27,8% seraient dĂ©favoables et le reste des Ătats uniquement sous conditions, comme par exemple au niveau du commerce international.