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Conseil de sécurité
Objet : Action menaçante de la Poétoscovie
Mes Chers Collègues, comme vous le savez, le rôle du conseil de sécurité est de donner un avis et un verdict sur des actions que nous devrons prendre collectivement. Ces actions auront comme intérêt de protéger et de servir les intérêts de l'ASEA et donc des nations qui la composent. C'est pourquoi j'ai décidé de demander une réunion exceptionnelle du conseil de sécurité.
Les faits : Depuis plusieurs jours, la fédération de Stérus prépare au nom de l'ASEA un développement des activités commerciales diplomatiques et militaire dans d'autres régions du monde. Ceci dans le but clairement énoncé de permettre aux forces maritimes de passer d'une projection locale à une projection mondiale. Ainsi, dans ce but, la fédération est entrée en contact avec de multiples nations à travers le monde. La fédération s'est toujours montrée très claire sur ses actions futurs et sur ses motivations.
Ainsi, la Poétoscovie fut choisie par le magistrat aux affaires étrangères afin de participer à ce projet. Comme convenu, nous avons en priorité établi une ambassade, puis avons déclaré clairement nos intentions. Nous nous sommes montrés ouverts aux négociations puis avons défini nos attentes. En premier lieu, la Poétoscovie n'a pas eu de choix concret, la décision étant difficile. Puis elle est revenue vers nous avec des conditions qui lui son propre. Au nom de la confiance permanente entre les nations, je ne peux vous donner directement toutes les conditions sans entraver les secrets diplomatiques. Mais au nom de notre organisation, qui prévoit des coopérations autant en matière commerciales que sécuritaire, nous avons fait le choix de déclassifier des document hautement important pour et seulement pour les membres de ce conseil.
Message secretInformation secrète réservée aux personnes autoriséesVoici donc les documents nécessaires au cadrage spatio-temporel des événements. Mais le problème ne réside pas vraiment dans ce type d'échanges, mais au contraire. Il s'avère que le gouvernement de la Poétoscovie à délibérément vendu nos échanges entre gouvernements aux journaux du pays. C'est écrit textuellement, "Des photos des conversations". Ceci n'est pas acceptable dans un gouvernement qui respecte les institutions et ses homologues. La Poétoscovie à afficher aux yeux du monde entier des informations capitales et potentiellement à haute tension. De plus, le gouvernement s'est permis en collaboration avec les journaux locaux de divulguer des contrevérité et ce dans le but de nuire directement à la fédération de Stérus, il suffit de lire les journaux pour s'en rendre compte.
En voici l'intégralité. Depuis cet événement, la fédération de Stérus qui voulait simplement développer des accords militaires avec la Poétoscovie se voit insulté de colons, et même de virus. Évidemment le gouvernement de la Poétoscovie se dédouanne de ces événements en disant que c'est le peuple qui s'exprime. Mais dans leur grande intelligence, ils n'ont même pas pensé à ne pas divulguer dans la presse qu'ils avaient eux même transmis l'information, et qui plus est, l'ont orienté pour qu'elle dise ce que nous n'avons pas dit.
Le problème ici, le problème que je soulève et de l'ordre de la bien séance. La Poétoscovie a commis un acte de trahison du secret diplomatique, et cela, dans le but de nuire à la fédération, la Poétoscovie a orchestré un mouvement anti-Stérus et également anti-ASEA (puisque s'oppose à notre stratégie de développement militaire). Le plus grave est pour nous le manque consternant de professionnalisme qui entraîne des réactions dangereuses. Car je le rappelle, la Poétoscovie a également décidé de renforcer drastiquement les contrôles de sécurité pour les départs en direction de Stérus. Ce qui signifie que le niveau de tension chez les civils est tel, qu'ils pourraient directement s'en prendre à la fédération. Une nouvelle fois, c'est inacceptable. Je préviens le conseil, si une attaque étrangère de la Poétoscovi a lieu sur le sol Stérusien, alors nous ne céderons rien et engagerons toutes les forces armées.
Je demande donc à l'ASEA au vu de nos statuts de rendre un verdict collectif sur la réponse que nous devons ou non donner. Merci chers collègues