22/02/2015
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🪖 Forces armées du Leader

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Depuis la guerre civile au Diambée le gouvernement a été renversé par les forces armées du Diambée . Depuis , le Diambée cesse d’améliorer son armée pour être l’une des plus puissante au monde


Ministre des forces armé: Khalid Khan



Pour le Diambée l'organisation militaire est le fondement de la défense nationale, orchestrée de façon méticuleuse sous la direction du Ministre des Forces Armées, Khalid Khan, un leader respecté de la population et du Dictateur pour sa vision stratégique et son dévouement envers la sécurité du pays.

Les généraux de haut rang qui dirigent les différentes branches de l'armée du Diambée sont des figures emblématiques, chacun apporte des compétences exceptionnel dans chacunes de ses spécialités ce qui fait la grandeur de l’armée du Diambée :
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Voici les différentes forces spéciale que possèdent l’armée Diambédienne et leur statistique . Tous les aspects des différentes forces spéciale ne seront pas toute dévoiler, certaines sont classées secret défense .

1. Force Spéciale Terrestre d'Assaut (FSTA-Alpha) :

La FSTA-Alpha est une unité d'élite composée de soldats hautement entraînés et spécialisés dans les opérations terrestres de haut niveau. Leur expérience comprend de nombreuses spécialités, elles sont tous garder secrets Défense pour ne pas trop informé . Leur équipement de pointe et leur coordination en font une force redoutable sur le champ de bataille et souvent craint par l’ennemie quant ont les voix ou même quand on entend leur nom ça fou la chair de poules . Cette unité contient pas moins de :

767 soldat professionnel


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2. Force Spéciale Marine d'Intervention (FSMI-Bravo) :

La FSMI-Bravo est une force spéciale spécialisée dans les opérations maritimes délicates et risquées. Leurs membres sont des nageurs de combat très aguerris, capables d'intervenir rapidement dans ce qui est domaine de la marine et de mener des missions de contre-terrorisme en mer et de réaliser des opérations de reconnaissance côtière avec discrétion et efficacité le reste nous pouvons pas vous le dévoiler c’est aussi classer secret défense . Leur formation approfondie en fait des experts en combat naval.Cette unité est composée de :

901 soldat professionnel

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3. Force Spéciale Polyvalente d'Opérations Spéciales (FSPOS-Charlie) :

La FSPOS-Charlie est une unité d'opérations spéciales polyvalente, capable d'intervenir dans divers environnements et de mener des missions variées avec succès. Leurs membres sont formés pour opérer sur terre, en mer et dans les airs, ce qui leur confère une grande adaptabilité et une capacité à relever tout type de défi. Leur polyvalence en fait une force incontournable dans les situations complexes et imprévisibles. Cette forces spéciale est aussi très redoutée elle considérée comme l’une des meilleures du monde avec le FSTA-Alpha
Cette unité a peu de membre par rapport à l’effectif total de l’armée du Diambée mais ils sont tous extrêmement aguerris ce qui fait d’une des armées les plus aguerris du monde :

124 Soldats professionnelle


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4. Force Spéciale de Maintien de l'Ordre (FSMO-Delta) :

La FSMO-Delta est une unité spécialisée dans le maintien de l'ordre public lors d'émeutes et de manifestations violentes. Leur approche repose sur la gestion de crise et la maîtrise des situations tendues, en utilisant la force de manière mesurée mais parfois extrêmement violente pour rétablir l'ordre et la sécurité dans les zones sensibles. Leur formation inclut des techniques de contrôledes interventions efficaces et proportionnées le reste ne pas pas être dévoilé . C’est soldat sont souvent très bien formés jusqu’à même 3 ans de formation ce qui montre la dureté de cette spécialisation
Cette unité et la forces spéciale la plus nombreuses du pays en terme d’hommes . Apres elle différentes des autres forces spéciale car elles est plus dans le maintien de l’ordre mais elles aussi parfois appelés sur les différents théâtraux de guerre cela dépend du chef du régime . Ce qui est différent de cette forces spéciale c’est qu’elle est plus dans le maintien de l’ordre public mais il est dit elle peut être parfois envoyé au combat
Ils sont environs 70 782



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Les alertes de sécurité au Diambée sont un système sophistiqué de niveaux d'alerte conçu pour informer les autorités et les forces armées sur la gravité des menaces et la nécessité d'une action immédiate :

Alerte Rouge :
Déclenchée en cas d'attaque imminente ou de menace grave sur la sécurité nationale, mobilisant toutes les ressources militaires du pays pour contrer la menace.

Alerte Orange :
Indique une situation critique nécessitant une vigilance accrue et des mesures défensives renforcées pour protéger le pays contre toute agression potentielle.Beaucoup de renfort sont envoyé

Alerte Jaune :
Niveau d'alerte intermédiaire , faut rester vigilant et des soldats sont déployés à côté des éventuel cibles pour y surveiller
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Forces Armées du Diambée

Le ministère des Forces Armées du Diambée est fier d'annoncer la construction de 100 nouveaux chars légers destinés à renforcer notre armée et à faire face aux diverses menaces qui pèsent sur notre nation.

Face à un environnement géopolitique instable et à des défis sécuritaires croissants, il est impératif pour le Diambée de maintenir une force de défense moderne et efficace. Les 100 chars légers nouvellement en construction joueront un rôle crucial dans notre stratégie de défense, en renforçant notre capacité de réaction et notre dissuasion face à d'éventuelles menaces extérieures.

Ces nouveaux équipements de pointe, dotés des technologies en matière de défense, permettront à nos forces armées d'être mieux préparées et équipées pour faire face à toute situation d'urgence ou de conflit. L'acquisition de ces chars légers témoigne de l'engagement ferme du Diambée à assurer la sécurité et la souveraineté de notre nation.

Le ministère des Forces Armées du Diambée tient à souligner que cette commande s'inscrit dans le cadre d'une planification stratégique à long terme visant à moderniser nos forces armées et à garantir la protection de nos citoyens. Nous restons vigilants et déterminés à défendre notre territoire et nos intérêts nationaux avec la plus grande efficacité et détermination.

En ces temps d'incertitude et de complexité, le Diambée affirme sa volonté inébranlable de préserver la paix et la stabilité régionale, tout en se tenant prêt à faire face à toute éventualité et à tous les pays qui nous menace et qui nous attaque. Nous demeurons unis et résolus dans notre engagement envers la défense de notre patrie, dans le respect des valeurs de liberté, de sécurité et d'unité qui font la force et la grandeur du Diambée.

Pour toute information supplémentaire, veuillez contacter le bureau des relations publiques du ministère des Forces Armées du Diambée.
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DĂ©ploiement de plus de 300 militaires
par le Ministère des Forces Armées du Diambée pour assurer la sécurité après l'annonce de la marche blanche du Régime Militaire


Le Ministère des Forces Armées du Diambée a annoncé aujourd'hui le déploiement de plus de 300 militaires afin d'assurer la sécurité et la protection des citoyens suite à l'annonce de la marche blanche organisée par le Régime Militaire en hommage aux victimes de l'attentat de Barzak.

Cette décision intervient dans le cadre des mesures préventives prises par le gouvernement pour éviter tout risque d'attentat ou d'incident lors de cette marche de solidarité et de recueillement. Les forces armées seront déployées dans les zones stratégiques de la capitale, notamment le long de l'avenue principale de Dzaoudzi où se déroulera la marche, afin d'assurer la sécurité des participants et de garantir le bon déroulement de l'événement.

Par ailleurs, des renforts militaires ont également été déployés près de la frontière du Diambée avec le Mandrarikan pour renforcer la surveillance et le contrôle des accès au territoire. Les militaires sont chargés de bloquer tout individu ou groupe d'usagers tentant de franchir la frontière sans autorisation, dans le but de maintenir l'intégrité et la sécurité du pays face à toute menace potentielle.

Le Ministère des Forces Armées du Diambée assure la population de sa détermination à protéger ses citoyens et à prévenir tout acte de violence ou de terrorisme. La sécurité et la stabilité du pays demeurent une priorité absolue, et les forces armées restent mobilisées pour garantir la paix et la sécurité de tous les habitants du Diambée.
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Voici les différentes entreprises militaires qui fournissent les équipements pour l’armée du Diambée


1. Entreprise Militaire "AĂ©roTech" - Constructeur d'Avions et de bombardier

"Serkansas Construction ", basée à Matoulou, est une entreprise de renommée internationale spécialisée dans la conception et la fabrication d'avions militaires de pointe. Situé au cœur de la région aéronautique du Diambée, l'entreprise est réputée pour ses technologies innovantes et ses performances exceptionnelles. Serkansas est fière de fournir des avions de chasse, de reconnaissance et de transport à l'armée du Diambée, contribuant ainsi à la défense et à la sécurité nationale et de nombreux avions de ligne.

2. Entreprise Militaire "BlindGuard" - Fabricant de Véhicules Blindés , de canon et de Chars

"BlindGuard", dont le siège social est à Faya, est un leader dans la production de véhicules blindés et de chars militaires de haute qualité. Spécialisée dans la protection et la mobilité des troupes sur le terrain, l'entreprise s'engage à fournir des équipements robustes et fiables adaptés aux besoins opérationnels des forces armées du Diambée. Les véhicules BlindGuard sont reconnus pour leur résistance aux attaques et leur efficacité sur le champ de bataille.

3. Entreprise Militaire "SeaSteel" - Constructeur de Navires et Sous-Marins


"SeaSteel", dont le siège est établi à Pamandzi, est une entreprise de construction navale spécialisée dans la fabrication de navires de guerre et de sous-marins de dernière génération. Grâce à son expertise technologique et à ses installations ultramodernes, SeaSteel fournit à la marine du Diambée des moyens de défense maritime performants et polyvalents. Les navires et sous-marins conçus par SeaSteel sont réputés pour leur robustesse, leur discrétion et leur capacité opérationnelle supérieure.
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Grades dans l’armée du Diambée

Note : là où la plupart des armées ont des grades différents pour les branches terrestres, aériennes et navales, le Commandement Unifié a débuté son existence comme une force principalement terrestre et aérienne, sans accès à une flotte, à des marins et aux traditions propres à une force navale. De même, en Saratovie, la force aérienne a été historiquement constituée à partir de la force terrestre et, étant assez récente, n'a pas développé de rigidité en terme de traditions. Le Commandement Unifié a donc adopter très vite une seule structure de grades.

Ci-dessous, les grades sont présentés par ordre hiérarchique croissant, avec à chaque fois une illustration, le nom du grade et le nombre d'années de service minimum où il est possible d'atteindre ce grade.

Il s'agit des occupations typique au sein d'unités de combat dans la force terrestre : les affectations d'un grade précis dans les Directorats ou dans les forces aériennes et navales diffèrent.

a. Soldat


Soldat 3ème classe - 0 année

Grade d'entrée pour toute personne n'ayant pas encore accompli pleinement son service militaire et ne s'étant pas engagé volontairement. Typiquement, il s'agit des conscrits, lesquels réalisent leur année de service militaire obligatoire ou des appelés dans le cadre de la mobilisation lors d'un conflit. Il n'est attendu d'eux aucune initiative ou témérité, simplement une obéissance courageuse. Toujours sous la supervision d'un autre soldat plus expérimenté, ils ont pour principale fonction de remplir les rangs à bon marché. Il est aussi espéré que leur service puisse inspirer des vocations et amener certains à s'engager volontairement par la suite.

Soldat 2ème classe - 1 année

Grade automatiquement acquis lors de la signature d'un contrat d'engagement comme volontaire. Ils représentent une masse de jeunes gens motivés qui peuvent fournir un encadrement disciplinaire par pression de groupe aux mobilisés. Une marge d'initiative leur est laissée car ils sont volontaires mais leur fonction est la même qu'un soldat de 3ème classe. Lors de leur engagement, ils ont la possibilité d'être promus au grade suivant à partir de la 3ème année de leur contrat, sous réserve de recommandation positive de leur supérieur. À défaut, ils seront automatiquement promu au grade suivant s'ils sont démobilisés honorablement après la 5ème année et qu'ils se réengagent pour un second contrat.

Soldat 1ère classe - 4 années

Grade automatiquement acquis lors de la signature d'un second contrat d'engagement comme volontaire. Les plus doués atteignent ce grade dès la 3ème année de leur premier contrat et passent immédiatement au grade suivant lors de leur second contrat. Ils représentent un corps de vétérans expérimentés, typiquement ciblés par les troupes spéciales pour leur propre recrutement. Des responsabilités individuelles plus larges leur sont confiées, notamment pouvoir se déplacer seuls ou diriger d'autres soldats de façon temporaire si besoin. Ils ont la possibilité d'être promus au grade suivant à partir de la 3ème année de leur second contrat, sous réserve de recommandation positive de leur supérieur. À défaut, ils seront automatiquement promu au grade suivant s'ils sont démobilisés honorablement après la 5ème année et qu'ils se réengagent pour un troisième contrat.

Caporal - 6 années

Grade automatiquement acquis lors de la signature d'un troisième contrat d'engagement comme volontaire. Les plus doués atteignent ce grade dès la 3ème année de leur second contrat. Ils représentent un corps de vétérans expérimentés, typiquement ciblés par les troupes spéciales pour leur propre recrutement. Le caporal agit comme le second d'un sous-officier et lui sert de délégué temporaire si besoin. Il est ainsi progressivement formé à lui-même assumer le rôle d'un sergent dans le futur. Cette promotion n'intervient pas automatiquement et nécessite un concours où aptitudes, recommandations passées et années d'expérience jouent pour déterminer quels caporaux seront choisis pour remplir les places de sergents. Un caporal qui n'est pas sélectionner comme sergent au terme de son troisième contrat va fréquemment postuler pour une unité de troupes spéciales, lesquelles cherchent toujours des volontaires.

b. Sous-officiers

Image Sergent - 10 années
Grade associé à la fonction de chef d'escouade ou chef de section. Le Sergent a un minimum absolu de 10 ans d'expérience dans l'armée ainsi qu'un historique de recommandations et d'aptitudes prouvées. Il organise ses hommes et les dirige selon les ordres du lieutenant auquel il est subordonné. Il peut passé un concours pour être promu Sergent-Chef après avoir eu au moins trois années au grade de sergent.

Sergent-Chef - 13 années

Grade associé à la fonction de second d'un lieutenant. Le Sergent-Chef se retrouve au sein de la section de commandement d'un peloton de ligne. Il y assiste le lieutenant en le faisant profiter de son expérience et en agissant comme une autorité grise à l'égard des engagés, que le manque de charisme d'un jeune officier échoue parfois à discipliner. Il peut passé un concours pour être promu Sergent-Major après avoir eu au moins trois années au grade de Sergent-Chef.

Sergent-Major - 16 années

Grade associé à la fonction de second d'un capitaine. Le Sergent-Major est affecté dans la section de commandement du peloton de commandement d'une compagnie de ligne. Les plus anciens se retrouvent aussi dans des rôles de sous-officiers administratifs dans les compagnies de commandement des bataillons, brigades, divisions et armées, bien que dans un rôle de subordonné à un Adjudant. On en retrouve aussi dans un tel rôle dans le bataillon de soutien des régiments. Il peut passé un concours pour être promu Adjudant après avoir eu au moins trois années au grade de Sergent-Major.

Adjudant - 19 années

Grade associé à la fonction de second d'un major. L'Adjudant débute l'apprentissage du métier de sous-officier administratif. Il est subordonné à des officiers qui apprennent eux-mêmes le métier d'officiers d'état-major. Les plus anciens se retrouvent aussi dans des rôles de sous-officiers administratifs dans les compagnies de commandement des brigades, divisions et armées, bien que dans un rôle de subordonné à un Adjudant-Chef. On en retrouve aussi dans un tel rôle dans le bataillon de soutien des régiments. Il peut passé un concours pour être promu Adjudant-Chef après avoir eu au moins trois années au grade de Adjudant.

Adjudant-Chef - 22 années

Grade associé à la fonction de second d'un lieutenant-colonel. L'Adjudant-Chef est affecté dans la section de commandement du peloton de commandement d'une compagnie de commandement de bataillon. Les plus anciens se retrouvent aussi dans des rôles de sous-officiers administratifs dans les compagnies de commandement des brigades, divisions et armées, bien que dans un rôle de subordonné à un Adjudant-Major. On en retrouve aussi dans un tel rôle dans le bataillon de soutien des régiments. Il peut passé un concours pour être promu Adjudant-Major après avoir eu au moins trois années au grade de Adjudant-Chef.

Adjudant-Major - 25 années

Grade associé à la fonction de second d'un colonel. L'Adjudant-Chef est affecté dans la section de commandement du peloton de commandement d'une compagnie de commandement de bataillon de soutien d'un régiment. Les plus anciens se retrouvent aussi dans des rôles de sous-officiers administratifs dans les compagnies de commandement des brigades, divisions et armées, où ils ont un rôle de premier sous-officier. Il s'agit du pinacle d'une carrière de sous-officier, nécessitant un minimum de 25 années pour y parvenir, sachant que la majorité n'y parviennent pas.

c. Officiers subalternes

Sous-Lieutenant - 4 années

Grade d'entrée après la formation initiale comme officier. Les Sous-Lieutenants sont affectés à l'État-Major dans les compagnies de commandement des bataillons, brigades, divisions et armées pendant trois années afin d'y apprendre d'avantage tout en attendant qu'un poste de lieutenant se libère dans une unité de ligne. Ils n'ont aucune autorité et agissent comme des "soldats administratifs" sous la supervision d'adjudants, de major et de lieutenant-colonel. Leurs performances lors de cette période définit leurs chances de promotion au grade de Lieutenant.

Lieutenant - 7 années

Grade de commandement d'un peloton de ligne. Le Lieutenant commande une force de 30 à 60 hommes, en délégation de ce que son supérieur direct lui confie. Il commande en tenant lieu pour ce supérieur et n'a donc qu'assez peu d'indépendance. Un Lieutenant est promu au grade de Capitaine si une place se libère au sein de son régiment et qu'il est jugé le meilleur candidat par le colonel du régiment. Certains Lieutenant expérimentés et doués mais n'ayant pas eu une telle promotion sont recrutés par les troupes spéciales et suivent une voie de promotion interne à ces unités.

Capitaine - 10 années

Grade de commandement d'un peloton de commandement dans une compagnie de ligne. Le Capitaine commande une force de 100 à 250 hommes, ceci de façon directe et autonome. Il s'agit d'une force d'une arme unique, avec des capacités limitées à une série de missions bien précise. Un Capitaine est promu au grade de Major sur base de recommandation du Colonel de son régiment vers un Général spécifique. Au sein des troupes spéciales, la promotion de Capitaine à Major se fait sur base de recommandation du Lieutenant-Colonel en charge du bataillon où le Capitaine est affecté. C'est aussi le grade fréquemment attribué aux Sous-Directeurs.

d. Officiers supérieurs

Major - 13 années

Grade d'entrée comme officier supérieur. Le Major est affecté à l'État-Major d'une brigade, d'une division ou d'une armée afin d'apprendre le rôle d'officier administratif. Ils y sont directement subordonnés à des généraux. Les plus vieux Majors sont également affectés à la tête des compagnies des bataillons de soutien de régiments, où ils finissent alors leur carrière, étant estimés comme ayant atteint leur plafond de compétence. Un Major est promu au grade de Lieutenant-Colonel lorsqu'une position de chef de bataillon s'ouvre dans son régiment d'origine. Au sein des troupes spéciales, la promotion de Major à Lieutenant-Colonel se fait sur le même critère mais au sein de la Brigade, Division ou Armée dont il dépend.

Lieutenant-Colonel - 16 années

Grade de commandement d'un peloton de commandement dans une compagnie de commandement d'un bataillon de ligne. Le Lieutenant-Colonel commande une force de 300 à 800 hommes, ceci de façon directe et autonome. Il s'agit d'une force d'une arme unique, avec des capacités limitées à une série de missions bien précise. Un Lieutenant-Colonel est promu au grade de Colonel lorsqu'une position de chef de régiment s'ouvre dans son régiment d'origine, le précédent Colonel désignant en principe son successeur. Au sein des troupes spéciales, les Lieutenants-Colonels sont promus comme Colonel après 10 années au grade de Lieutenants-Colonels. Ils intègrent alors l'État-Major, en préparation d'une future promotion comme Général. C'est aussi le grade fréquemment attribué aux Directeurs Autonomes

Colonel - 19 années

Grade de commandement d'un peloton de commandement dans une compagnie de commandement d'un bataillon de soutien au sein d'un régiment. Le Colonel dirige en principe un régiment avec une autorité suprême, soit une force d’ hommes. Au sein des troupes spéciales, un Colonel est un Lieutenant-Colonel avec 10 années d'expérience comme chef de bataillon et qui est transféré comme officier d'État-Major. Il s'agit du pinacle de la carrière de la majorité des officiers, considérant que grimper plus haut demande des connexions politiques solides. C'est aussi le grade fréquemment attribué aux Directeurs Spécialisés et aux Directeurs Spéciaux.

e. Généraux

Général de Brigade - 21 années

Grade de commandement d'un peloton de commandement dans une compagnie de commandement d'une brigade. Le Général de Brigade commande une force d’hommes, ceci de façon directe et autonome. Il s'agit d'une force qui combine plusieurs armes, avec des capacités assez larges et pouvant réaliser un large éventail de missions, sans toutefois avoir l'autonomie logistique suffisante à opérer de façon indépendante. Promotion par cooptation de ses pairs et des chefs de bataillons. C'est aussi le grade fréquemment attribué aux Directeurs Généraux.

Général de Division - 25 années

Grade de commandement d'un État-Major de Division. Le Général de Division commande une force de d’hommes, ceci de façon directe et autonome. Il s'agit d'une force qui combine plusieurs armes, avec des capacités assez larges et pouvant réaliser un large éventail de missions, avec l'autonomie logistique suffisante à opérer de façon indépendante pendant une période limitée. Promotion par cooptation de ses pairs et des chefs de brigades. C'est aussi le grade fréquemment attribué aux Hauts Directeurs.

Général d'Armée - 28 années

Grade de commandement d'un État-Major d'Armée. Le Général d'Armée commande une force nombreuses , ceci de façon directe et indépendante. Il s'agit d'une force qui combine plusieurs armes, avec des capacités assez larges et pouvant réaliser un large éventail de missions, avec l'autonomie logistique suffisante à opérer de façon indépendante pendant une période prolongée. Promotion par cooptation de ses pairs et des chefs de divisions.

Commandant Suprême - 30 années

Premier Général parmi ses pairs. Fonction avant tout politique. Le Commandant Suprême conserve également le commandement direct de l'Armée dont il avait la charge avant d'être nommé à son nouveau titre.Mais le plus puissant des chef armée et le leader du régime
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Présentation des différentes écoles militaires du Diambée



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Chaque école se spécialise dans un type d'unité à former généralement au niveau d'une compagnie ou d'un bataillon. S'il y a des synergies entre certains types de compagnies, ne serait-ce que parce qu'elles travaillent généralement au sein du même type de bataillon, il est parfois nécessaire d'offrir une formation spécialisée propre à une compagnie précise. L'ambition à long terme du serait la réalisation de modules de formation qui s'intégreraient dans des cursus sur-mesure pour les candidats, permettant une plus grande efficience dans la gestion du temps et des ressources humaines et matérielle. Mais pour l'heure, les vieilles mentalités sont difficiles à tuer et il y a des chantiers bien plus prioritaires et moins politisés.

Sans tous les citer, voici les principaux types d'Ă©tablissement.

Écoles d'Infanterie

Il s'agit des écoles les plus nombreuses car il s'agit aussi du type d'unités le plus fréquent.
L'École d'infanterie s'occupe de la formation des officiers et sous-officiers servant dans les bataillons de fantassins, avec des formations introductives aux rôles d'infanterie légère, infanterie motorisée et infanterie mécanisée, lesquelles sont complétées en unité. Les bataillons de fantassin regroupent les forces utilisées principalement pour l'occupation du terrain et les engagements tactiques de faible intensité. Leur rôle est fixer le front et fournir des garnisons pour refuser le passage ou le contrôle d'un territoire par l'ennemi. Cela inclut des missions de maintien de l'ordre public, de patrouilles de reconnaissance en force, d'escorte de personnel non-combattant, de combat en zone urbaine, de combat en zone boisée, de combat en zone montagneuse, d'opérations amphibies, d'opérations héliportées ainsi qu'un usage de lance-roquettes et de mortiers dans un rôle d'appui léger.

Écoles d'Arme Blindée

Elles forment les officiers et sous-officiers servant dans des compagnies de chars ainsi qu'une partie des compagnies de fantassins mécanisés, qui formeront ensembles les bataillons mécanisés (2 compagnies de chars, 2 compagnies de fantassins mécanisés), lesquels sont actuellement des unités d'élite mais sont envisagées à terme comme la norme au sein des forces . Leur rôle est l'assaut terrestre dans un but de déborder les lignes ennemies pour s'attaquer à ses éléments arrières puis l'encerclement des éléments ennemis encore présents au front, dans le but de les neutraliser jusqu'à ce que des forces d'infanterie plus légères aient pu se positionner ou que artillerie et frappes aériennes aient régler durablement le problème.

Écoles d'Artillerie

Elles forment les officiers et sous-officiers servant dans des compagnies d'artillerie. Ces unités nécessitent de bonnes connaissances en balistiques mais aussi sur les principes physiques qui gouvernent les émissions radio et radar ainsi que qu'une excellente maîtrise de la logistique, considérant que le gros de la mission consiste à gérer un flux de munitions qui doit être projeter selon des trajectoires optimums vers des cibles potentiellement mobiles. Des lacunes dans un domaine peuvent résulter en une inefficacité dans le volume de feu disponible et donc mettre en péril les capacités offensives et défensives d'autres unités.

École Militaire Polytechnique


Elle forme les officiers et sous-officiers destinés à remplir des fonctions dans des unités d'avantage concernées par la technique que par les combats en eux-mêmes. La formation académique classique est ici renforcée pendant deux années, avec un accent particulier sur les cours de "Sciences Pratiques". Le génie militaire, les transmissions et la maintenance électromécanique sont les principales branches concernées. Leur rôle est de fournir l'infrastructure technique nécessaire à faciliter les mouvements et la coordination des opérations. L'École Militaire Polytechnique maintient une capacité d'enseignement supérieure aux besoins de remplacement des effectifs d'ingénieurs et techniciens nécessaires aux forces armées. La raison est que nombre de transfuges civils ont lieu, ces derniers servant à la fois d'outils à l'économie productive et de réserve aux forces armées.

École des Troupes Spéciales

École des troupes spéciales et considérées comme la plus dur du monde avec des entraînements tellement intenses , elle forme les officiers du renseignement, les officiers de sécurité et les officiers de reconnaissance, ces trois unités formant un élément particulier au sein des forces armées, n'étant ni liés à des fonctions techniques ni à des fonctions de logistique ni à des fonctions de combat. Les officiers de renseignement se concentre sur la centralisation et l'analyse des informations, laquelle est collectée initialement en collaboration avec des unités techniques ou, justement, les unités de reconnaissance. Les officiers de sécurité forment une branche à part, prévue pour former un bras armé spécialisé dans la surveillance des infrastructures, le maintien de la discipline et l'arrestation et détention de prisonniers. Tous sont entrainés à opérer sous couverture si besoin.

École d'Administration Militaire

Structure spécialisée dans la formation d'officiers et sous-officiers destinés à des fonctions d'État-Major. Aucun militaire ne commence sa formation par cette école : ce n'est qu'à force de prendre du grade (et de l'âge) que les candidats sont progressivement envoyés pour suivre des cours ponctuels, à partir des grades d'Adjudants et de Majors, en vue d'une reconversion. Typiquement, l'éducation physique est délaissée en grande partie au profit des cours académiques de "Gestion et Commandement" et de "Entrainement Spécialisé" assez proches.
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Exercice Militaire au Diambée : Préparation Intensive pour Assurer la Souveraineté du pays et pour garantir la sécurité des habitants aux éventuel attaque terroriste


Dans un effort sans précédent pour renforcer la sécurité nationale, nous sommes avons décidé d’organiser un grand exercice militaire de grande envergure dans le grand désert impitoyable du Kataminga. Cet exercice d'envergure sert à évaluer la préparation du pays face à diverses menaces et à renforcer sa capacité à protéger sa population et sa souveraineté.Car comme vous le savez nous sommes en alerte orange

Les unités militaires dont de unités de force spéciale qui peuvent pas être cité ( secret défense)et les services de renseignement vont unir leurs forces pour simuler une série de scénarios complexes et réalistes. Ces scénarios incluaient des attaques terroristes coordonnées et des simulations de conflits avec des puissances de n’importe quelle continent et des pays frontaliers avec notre nation comme le Mandrarika .

L'exercice va débuté par une alerte générale à la population du Diambée et majoritairement des citoyens qui vivent à côté pour éviter toute panique inutile. Les autorités vont rassuré les citoyens en expliquant que c’est un exercice crucial pour renforcer la sécurité du pays et se préparer à toute éventualité, tout en assurant que toutes les mesures étaient prises pour garantir la sécurité et le bien-être de chacun. Ils vont etre prévenu car de nombreuses explosions vont être entendu des villes à proximité de l’exercice .

Les différents groupes impliqués dans l'exercice vont travaille en étroite collaboration pour coordonner leurs actions et leurs réponses aux diverses menaces simulées. Des centres de commandement ont vont être établis pour assurer une gestion efficace de la crise fictif de l’exercice , tandis que des équipes d'intervention rapide vont été déployées pour neutraliser les scénarios d'urgence.

Les participants vont être soumis à des conditions de stress intense pour tester leur réactivité et leur capacité à prendre des décisions rapides et efficaces. Des simulations de tirs réels, des exercices de désamorçage d'explosifs et des manœuvres tactiques ont été réalisés pour renforcer les compétences opérationnelles des troupes.

En conclusion, cet exercice de sécurité nationale vise à renforcer la préparation du Diambée face à une variété de menaces potentielles , cette exercice sert aussi de former les militaires moins aguerit et les rendre plus competents . Cette exercice va permetre aussi a notre nations a se preparer a un eventuel conflit avec les pays frontaliers hostiles de notre nations comme le Mandrarika qui est un pays tres puissant et parfois meme menacant ou de puissances de différente continent ou même de pays de superpuissances . La population est encouragée à rester calme et confiante, car ces exercices sont essentiels pour assurer la sécurité et la stabilité du pays.
Exceptionnellement quelques exercices seront effectués dans quelques villages près du désert pour que cet exercice soit plus réel. Bien sûr pour cette exercice aucune balle réel et bombe fictif seront engagés et il n’y aura aucun dégât sur les différents villages

Nous avons demandé l’autorisation du Leader du régime et ils nous as donné son accord pour l’instant nous nous savons pas quand cet exercice va être produit nous vous pouvons pas vous en dire plus . De plus les statistique des troupes seront dit

En se préparant activement et en renforçant ses capacités de sécurité nationale, nous envoyons un message fort à nos éventuels adversaires , notre détermination à protéger notre souveraineté et notre population coûte que coûte .

Nous disons cela car notre pays a été touché de fois par des attaques terroriste en a peine 2 mois et la justice sera rendu
Comme vous le savez, notre pays a déclaré la guerre au terrorisme et nous nous préparons aux éventuel attaquer qu’on pourrait faire.

Nous annonçons aussi de dernière minutes nous venons de l’apprendre l’exercice militaire aura bien lieu le 27 février 2014

Vive le régime
Vive le DIAMBÉE
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Lancement de l'Exercice Militaire National : Le Diambée se Prépare à Protéger Sa Souveraineté

Un exercice militaire de grande envergure pour renforcer la sécurité nationale et assurer la protection des citoyens face aux menaces potentielles.


Les Forces Armées du Diambée annoncent le début d'un exercice militaire majeur destiné à renforcer la sécurité nationale et à préparer le pays à faire face aux menaces terroristes et aux tensions potentielles avec les nations voisines. Prévu pour le 3 mars 2014, cet exercice se déroulera dans le vaste désert du Kataminga et impliquera des unités militaires ainsi que des services de renseignement.

Cet exercice, qui se tiendra sous une alerte générale, vise à simuler divers scénarios complexes, y compris des attaques terroristes coordonnées et des confrontations avec des puissances extérieures. Les unités de forces spéciales, dont les détails restent classifiés pour des raisons de sécurité, travailleront en étroite collaboration avec d'autres groupes pour tester leurs capacités de réaction et d'intervention.

Préparation et Coordination

Les autorités ont pris des mesures pour informer la population, en particulier les habitants des zones adjacentes, afin d'éviter toute panique inutile. Des explosions contrôlées seront entendues dans les villes à proximité, et les citoyens sont rassurés que ces activités sont essentielles pour renforcer la sécurité du pays. Nous travaillons en étroite collaboration avec les communautés locales pour garantir que l'exercice se déroule dans un environnement sécurisé.

Des centres de commandement seront établis pour coordonner les opérations et gérer les scénarios d'urgence simulés. Les équipes d'intervention rapide seront également déployées pour tester leur réactivité face à des situations critiques, renforçant ainsi les compétences opérationnelles des troupes.

Un Message Fort aux Adversaires

Cet exercice représente une étape cruciale dans la préparation du Diambée à faire face à des menaces à la fois internes et externes. "Nous envoyons un message clair à nos éventuels adversaires : notre détermination à protéger notre souveraineté et notre population est inébranlable", a déclaré un porte-parole des Forces Armées. "Nous avons été touchés par des attaques terroristes ces derniers mois, et nous sommes résolus à renforcer nos capacités pour garantir la sécurité de notre nation."

En formant nos militaires, en particulier ceux qui sont moins expérimentés, cet exercice vise à accroître la compétence et la préparation des troupes. Bien que des conditions de stress intense soient simulées, il est important de noter qu'aucune balle réelle ni explosif authentique ne sera utilisé, garantissant ainsi la sécurité des villages environnants.

Nous tenons à dire que des militaires et des forces de l’ordre sont actuellement entrain de surveiller les manifestations musulman sans accord du régime et que nous tenons à avertir la population que si les manifestations ne se termine pas d’ici 4h nous tirons à balle réel
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Clôture de l'Exercice Militaire National : Un Succès Retentissant et Déploiement des Forces dans les Villes

L'exercice militaire majeur organisé par les Forces Armées du Diambée s'est achevé avec succès, marquant une étape significative dans la préparation du pays à faire face aux menaces potentielles. Cet exercice, qui s'est déroulé dans le désert du Kataminga, a permis de tester les capacités de réaction et d'intervention des militaires dans des scénarios complexes, incluant des attaques terroristes et des confrontations simulées.

La coordination et la préparation ont été essentielles tout au long de l'exercice, et les autorités ont veillé à informer la population locale pour minimiser l'inquiétude liée aux explosions contrôlées. Les équipes d'intervention rapide ont démontré une réactivité impressionnante, renforçant ainsi les compétences opérationnelles des troupes.

Déploiement des Forces armées pour Assurer l'Ordre Public

Suite à la réussite de cet exercice, les militaires seront déployés dans les villes pour assurer le contrôle des manifestations et maintenir l'ordre public. Les autorités ont souligné l'importance de garantir la sécurité des citoyens tout en respectant le droit de chacun à s'exprimer. Les forces armées seront présentes pour gérer toute situation qui pourrait dégénérer, et des mesures appropriées seront prises pour assurer la tranquillité publique.

Les Forces Armées du Diambée restent déterminées à protéger la souveraineté du pays et à garantir la sécurité de tous ses citoyens. Un message clair est envoyé à ceux qui pourraient troubler la paix : la sécurité et l'ordre sont des priorités absolues, et des actions fermes seront mises en œuvre si nécessaire.
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Bataillon d'Infanterie Mécanisé

Introduction : En avant

Les bataillons d'infanterie mécanisé représente l'élite des unités de ligne du Commandement Unifié. Equipés avec les derniers véhicules de transport blindés fonctionnels , ces bataillons sont utilisés pour accompagner les actions d'assaut de bataillons blindés en vue d'enfoncer puis dépasser les positions ennemies avant d'occuper le terrain face à des contre-attaques, permettant d'isoler l'ennemi jusqu'à ce que les forces d'infanterie motorisée puissent prendre le relai et débuter, en coordination avec l'artillerie, la réduction des poches. Bien entendu remplacer l'infanterie motorisée par de l'infanterie mécanisée mais l'absence d'une industrie d'armement domestique développée force pour l'heure des compromis. Chaque général rassemble donc les rares véhicules blindés fonctionnels au sein de quelques régiments d'élite.

Chacun de ces régiments ont pour mission le maintien d'un bataillon de ligne
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Bataillon de Cavalerie Blindée

Introduction


Les bataillons de cavalerie blindée sont le fer de lance de toute opération offensive, avec pour rôle d'exploiter la mobilité et résilience des chars de bataille sous le feu ennemi pour écraser toute résistance locale afin de permettre au reste des troupes de s'engouffrer dans la brèche pour ensuite désorganiser, isoler et encercler les forces ennemies. Ces formations sont prévues pour assener des attaques précises de courte durée sur des points précis du front et ne sont simplement pas capables de tenir le terrain dans la durée, comptant justement tant sur leur vitesse et sur la surprise pour obtenir une supériorité tactique temporaire face à un adversaire localement faible.

Gourmands sur le plan logistique et matériel, ces bataillons sont encore moins nombreux que ceux d'infanterie mécanisée.
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Bataillon d'Artillerie Roquette

Introduction

Il est des moments lors d'une bataille où la manœuvre, la vitesse et l'audace remportent la victoire. Le bataillon d'artillerie roquette n'est pas pour ses moments. Son rôle est de sélectionner une zone du champs de bataille et d'en faire disparaitre ce qui s'y trouve dans un barrage de saturation qui noie les positions ennemies supposées sous un déluge de feu et d'acier. Si la précision est loin d'être une vertu de ce type d'artillerie, ce n'est pas un défaut mais bien un compromis : la portée des lance-roquettes lourds peut atteindre jusqu'à 40 kilomètres et leur usage ne vise pas à toucher une cible précise mais bien à interdire une zone entière. Au sein des forces armées , il est capable de tirer en moins de vingt secondes une série de seize roquettes de 220 mm, chacune avec une variété de
munitions allant de la simple charge explosive jusqu'aux charges chimiques en passant par les sous-munitions à fragmentation, les mines anti-char, les mines anti-personnel et les fumigènes.
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Système régimentaire

À son cœur, un régiment est composé de trois bataillons :
Le bataillon de commandement, qui regroupe des officiers, sous-officiers et engagés vétérans triés sur le volet. Un minimum de dix ans de service est ainsi requis en théorie pour rejoindre le bataillon de commandement, ce qui correspond à deux contrats accomplis avec démobilisation honorable pour les sous-officiers et engagés. Dans la pratique, ce critère est parfois ignoré lorsque l'individu est particulièrement méritant mais c'est une exception, d'autant plus difficile à justifier que les troupes spéciales sont sans cesse aux aguets pour des vétérans talentueux mais mécontents de leur sort. Ce bataillon a la charge du recrutement, de la formation et de l'encadrement général des troupes. Il a aussi la charge de l'administration, de l'approvisionnement et de la maintenance de l'équipement du régiment. Enfin, il supervise les compagnies de milice et assure la sécurité de la base où est stationnée le régiment. Il est organisé en une compagnie d'administration et cinq autres compagnies, chacune responsable d'une des autres missions :

Administration
Recrutement & Formation
Sécurité & Police
Intendance humaine
Intendance matérielle
Service MĂ©dical

Le bataillon de ligne "A", organisé selon les prérequis propres au Corps d'Armes dont dépend le régiment.
Le bataillon de ligne "B", organisé selon les prérequis propres au Corps d'Armes dont dépend le régiment.


En plus de cela, le régiment peut accroitre ses effectifs en créant jusqu'à trois bataillons de ligne additionnels si sa mission et ses ressources le justifient. En gardant à l'esprit qu'un bataillon est composé d'une compagnie de commandement et de deux à cinq compagnies . Et il s'agit d'une unité administrative : seul une partie des bataillons sont déployés simultanément.
En temps de paix, il est d'usage d'avoir un minimum de un bataillon de ligne "en Réserve" et un bataillon de ligne "au Front", avec une rotation régulière entre les deux bataillons de ligne pour permettre aux troupes ayant fait un déploiement "au Front" de se reposer, de recevoir des renforts, d'être rééquipées et de s'entrainer avant d'amorcer un nouveau cycle de déploiement, sachant qu'un tel cycle n'est jamais supérieur à six mois.
En cas de conflit, il est typique pour le régiment de débuter immédiatement la formation de nouvelles troupes en prévision des pertes, avec dans l'espoir de parvenir à recruter et former assez de soldats pour créer deux bataillons de ligne "en Réserve" et ainsi permettre de maintenir efficacement un bataillon de ligne "au Front". Toutefois, si le conflit s'éternise, cette formation en masse permettra progressivement au régiment d'aligner jusqu'à trois bataillons de ligne "au Front" tout en ayant deux bataillons de ligne "en Réserve". Si l'urgence le nécessite, la prudence de la Réserve peut être temporairement abolie afin de combler des pertes importantes, pour couvrir un front spécifique de façon dense... ou simplement parce que la province du régiment est une zone de combat active.

Le recrutement provient de quatre sources distinctes :
Les engagés volontaires, lesquels signent un contrat de cinq années, lequel débute par une formation initiale de trois mois en vue de trier les recrues selon leur qualité, le régiment ne gardant que les éléments viables pour la formation spécialisée au sein d'un bataillon de ligne "en Réserve" avant d'accompagner ce bataillon lors de son déploiement "au Front", lequel peut simplement être justement des manœuvres d'exercice conjointes avec d'autres régiments. Au terme de son service, s'il est démobilisé avec honneur, l'engagé reçoit une prime correspondant à un tiers de son salaire. Enfin, une prime supplémentaire d'une année est offerte en cas de réengagement immédiat, lequel permet à l'engagé de garder tout le bénéfice de ses grades.
Les Écoles d'Armes. Ces dernières sont une création du Commandement visant à former un cadre d'officiers et sous-officiers dont les candidats sont sélectionnés parmi les engagés les plus prometteurs au terme de leur premier cycle de déploiement "au Front", ce qui correspond généralement environ à une année d'incorporation. La formation de sous-officier une à trois années, selon l'Arme pour laquelle il a été désigné. La formation d'officier dure deux années de base, au terme de laquelle le candidat officier peut choisir son Arme sur base des disponibilités et de ses résultats. Il s'en suit une à trois années de formation selon l'Arme.
Les compagnies de milice fournissent continuellement des engagés potentiels, spécifiquement en cas de conflit où chaque milicien a une obligation de se tenir disponible pour la conscription. Il s'agit alors de la principale source de recrutement en vue d'une augmentation rapide des effectifs d'un régiment. Parce qu'ils ont déjà reçu une formation initiale, une formation spécialisée et réalisé cinq années minimum comme soldat, les miliciens ne nécessitent typiquement qu'un rafraichissement de leurs compétences. La formation initiale est généralement ignorée, considérant que la milice a maintenu les hommes en situation de préparation physique et mentale.
Les appelés au service militaire. Si tout sujet est éligible pour le service militaire de 14 à 54 ans, la majorité ne sont effectivement appelés qu'à leur 18ème anniversaire et maintenu sous les drapeaux pour une période d'une année, jugée suffisante à leur fournir une formation initiale, une formation spécialisée et plusieurs cycles au sein des bataillons "de Réserve". L'objectif premier du service militaire est surtout ici de faire naître des vocations et de repérer les futurs officiers ou sous-officiers. La majorité des jeunes gens sont jugés simplement inaptes ou, au contraire, trop précieux que pour perdre leur temps à "jouer au soldat". Ils réalisent leur service dans des Sous-Directorats, offrant une main d'œuvre bon marché en lien avec leur vocation professionnelle et leur éducation.
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