DOBRYNINE Alexei
Date et lieu de naissance : Le 14 novembre 1949 à Carraville (OBENON)
Nationalité(s): Hasparnaise
Origines sociales : Classes moyennes inférieures
Ethnie : caucasien
Taille : 1m87
Poids : 94kg
Parcours scolaire : Enseignement public, diplômé en fin de scolarité avec la mention passable.
Parcours universitaire : Aucun parcours universitaire
Profession : Militaire puis politicien
Politisation :- Union conservatrice (1977-1979)
- Parti républicain progressiste (1982-2004)
- Mouvement républicain (2004-
Fonctions occupées:- Militaire (1969-1981)
- Adjoint au maire de Carraville en charge de la sécurité (1981-1984)
- Conseiller militaire auprès d'un Sénateur (1987-1988)
- Directeur de cabinet auprès d'un Sénateur (1988-1989)
- Maire de Carraville (1989-1994)
- Sénateur (1994-1999)
- Maire de Carraville (1999-2004)
- Vice-Président du Mouvement Républicain (2004-2012)
- Gouverneur d'Obenon (2005-2011)
- Vice-Président de la République d'Hasparne (2012-2015)
Parcours : Elève très moyen, Alexei Dobrynine souffre d'un comportement impulsif et volontiers bagarreur. Il valide son diplôme de fin d'étude assez difficilement. Par la suite, il intègre l'armée où étonnement il réussit à gravir les quelques échelons. Il subit la politique de démilitarisation du pays mené par le Président Victor Bonnet contre qui vouera une haine tenace. Il décide cependant de ne pas prendre les armes lors du putsch de 1981 et décide de se lancer dans la politique. Il commence sa carrière auprès du Maire de Carraville où il est d'ailleurs né. C'est pendant cette période qu'il rencontre sa femme avec qui il aura deux enfants.
Par la suite, il bénéficie d'une promotion éclaire auprès d'un Sénateur affilié au Parti Républicain Progressiste dans des conditions troubles. Il décide finalement de quitter le Sénat pour se présenter sur son nom en tant que maire dans la ville où sa carrière politique a commencé. Il reste maire jusqu'à ce qu'il se fasse élire Sénateur au profit de ce parti où il se fera remarqué pour ses prises de positions tranchées, à la limite du libertarianisme qui plaisent aux adhérents les plus radicaux. Il décide de revenir à la tête de la ville menacée d'être prise par un candidat communiste. Il devient ainsi une icône du libéralisme et un symbole de la lutte contre le communisme en Hasparne.
Alors qu'il gagne de peu la ville où il avait déjà été maire, il se fait une image sur le plan national en étant de plus en plus actif dans les campagnes sénatoriales. Il se fait une réputation en étant un débatteur coriace contre ses adversaires socialistes, fédéralistes ou communistes. A la formation du Mouvement Républicain, il hésite d'abord puis rejoint Armand Duffet en qualité de bras droit. Il ne participe pas beaucoup à la fondation du parti du fait d'ambitions personnelles: Il se présente et remporte la Province d'Obenon en 2005 et représente le Parti aux élections sénatoriales partielles de 2006, 2009, 2012 avec fougue. Il sera considéré comme l'un des principaux acteurs de la réussite du Parti à ces trois échéances.
Grâce à des opérations de lobbying plus ou moins agressif, il réussit à faire élire Armand Duffet à la tête de la République d'Hasparne qui va le nommer à la Vice-Présidence. Il aura été le principal acteur du renouveau de l'armée en poussant pour une hausse inédite des investissements dans la défense, multipliant par 11 le nombre de militaires d'active entre 2012 et 2015. Il échoue cependant à faire passer la réforme de la Sécurité sociale et sera pris en grippe par la foule des contestataires en raison d'une attitude aggressive envers les manifestants. Un journal socialiste le qualifie même de "Bulldozer". Il est finalement débarqué du Gouvernement en 2015.
On en parle ... :