11/05/2017
22:44:03
Index du forum Scène Internationale Diplomatie internationale Archives des Rencontres Internationales Rencontre abandonnées et / ou impliquant des pays disparus

[Kronos - Tanska] Rencontre au Palais des Lumières - Pendragon (Kronos)

Rencontre entre la république Kronienne et la république fédérale de Tanska


Contexte :
C'est après avoir reçu la lettre de monsieur Mar Loftsson, le ministre des Affaires étrangères et des Droits humains de la République Fédérale de Tanska, que le ministre des affaires étrangères Kroniennes, monsieur Giorgio Venturelli, proposa une rencontre entre les chefs d'états Tanskiens et Kroniens. Le ministre Tanskien avait tenu a féliciter Brando Merolla pour son élection tout en faisant un geste solidaire pour prêter main forte au Kronos, en difficulté avec la hausse des prix du blé et son peuple mécontent. Le président Kronien, Brando Merolla, tenait donc a remercier en personne monsieur Harald Frogsɵn, président Tanskien, pour son geste. Cette rencontre permettra également aux deux nations de développer leurs relations économiques et diplomatiques en ces temps difficiles.


18 novembre 2013 - 14h
4 jours après avoir rencontré la reine Teylaise et son premier ministre, Brando Merolla attendait son nouvel invité, monsieur Harald Frogsɵn.
L'avion Tanskien venait d'atterrir a l'aéroport international de Pendragon. Un convoi présidentiel sécurisé attendait le président. Le président Kronien avait tenu, comme pour les Teylais, a totalement assurer la sécurité de son invité, tout en facilitant le transport du président jusqu'au palais, en bloquant certains axes routiers. La route était fut donc rapide et sans problèmes.

C'est une vingtaine de minutes plus tard que le convoi arrivait au lieu de rencontre. Une petite foule de Kronien acclamait alors Harald Frogsɵn, des drapeaux Tanskiens a la main.
Entré dans la cour, on pouvait y voir une immense statue la dominant. C'était celle de Baldassare Calabraise, encore présente lors de la rencontre.
Le président Tanskien fut déposé juste derrière, devant la porte principale, ou attendait Brando Merolla, debout.
Une fois son invité arrivé a son niveau, il lui serra la main et l'invita a prendre une photo officielle de la rencontre avant d'entrer dans le palais.

Monsieur Frogsɵn, bienvenue au Kronos. Je suis plus que ravi de vous recevoir ici, sachez le. Avez vous fait bon voyage ? A oui et, je suis désolé pour cette statue... Nous n'avons pas pu l'enlever malgré notre campagne. Nous avons eu quelques problèmes avec les pro-Calabraise, enfin, nous règlerons cela plus tard. Entrez donc !

Il le guida alors jusqu'au bureau ou allait se dérouler la rencontre.
C'est ici que nous parlerons. Vous pouvez vous asseoir ici, sur ce fauteuil.
Il montra a son invité le fauteuil et parti s'asseoir sur le sien.

La rencontre pouvait alors débuter.
Harald Frogsɵn était venu accompagné d'une partie de son secrétariat présidentiel dans le cadre de sa venue au Kronos. Si la conseillère principale de la première ministre, Jaka Lakkas avait aussi fait le déplacement, la première ministre était elle en visite en Aleucie, à l'autre bout du monde. Frogsøn, comme tout président tanskien depuis la fédéralisation du pays en 1945 n'avait avant tout qu'un rôle principalement représentatif, diplomatique. Il n'était ni à la tête de l'exécutif, ni en capacité de discuter des législations bien qu'il disposait d'un pouvoir de veto de certaines législations (que le Congrès Fédéral pouvait faire sauter à la majorité qualifiée aux deux tiers). Ses déplacements diplomatiques hors du cercle habituels des fréquentations tanskiennes étaient rares, en particulier avec les hausses de tensions en eurysie septentrionale. Sa venue au Kronos envoyait donc un message fort, un message d'avenir et d'optimisme envers la jeune démocratie.

Il descendit seul de son véhicule rejoindre Brando Merolla pour que la réunion puisse débuter.

Harald Frogsɵn : Merci tout d'abord pour cet accueil et pour l'honneur que vous me faite dans ma visite. Je dois reconnaitre avoir été davantage surpris par la présence des drapeaux tanskiens parmi la foule davantage que par la statut de Baldassare Calabraise. Je suis conscient que l'on ne peut revenir sur des décennies passes en quelques semaines ou mois à peine, et je pense que vous en êtes désormais bien plus au fait que moi. Le prix des denrées alimentaires de base est, pour Tanska, d'un plus grand intérêt et d'une potentielle plus grande inquiétude que cette simple statue dont je ne doute pas que votre pays saura, de manière unie et dans un débat démocratique, trouver un avenir, d'une manière ou d'une autre.
Brando Merolla, constatant la bienveillance du président Tanskien, esquissait un petit sourire.
Nous étions méfiants a l'idée d'organiser ici cette rencontre, de peur que vous voyiez d'un mauvais œil la présence d'une telle statue, rappelant alors cette sombre époque de notre histoire. Ce fut un dictateur sanguinaire et il n'a pas sa place dans la cour du palais des lumières, important symbole de notre nation. Je suis heureux de voir que cela ne vous choque pas et que cela n'impactera pas cette rencontre. Je vous en remercie.

Brando Merolla

Tout en esquissant un petit sourire il continua de manière amicale afin d'emmètre l'hypothèse d'une possible relation amicale future entre les deux états, espérant faciliter le rapprochement.
D'ailleurs, j'espère que nous pourrons nous tutoyer d'ici la fin de cette rencontre ! Cela faciliterait notre communication et l'établissement d'amicales relations entre nos états.


Le président Kronien amorça la discussion en parlant de paix et de commerce. Il désira s'imposer directement comme étant un grand défenseur d'une paix Eurysienne.
Monsieur Frogsɵn, vous le savez, j'ai fais campagne en parlant, essentiellement, de paix. Si je vous dis ca, c'est car je sais qu'aujourd'hui les tensions, en Eurysie, sont, plutôt épicées... C'est sachant cela que nous avons décidé par ailleurs d'investir d'énormes sommes dans le développement de notre armée, en tout cas, c'est notre projet. Mais, il nous faut plus, bien plus, pour espérer garantir la paix sur notre sol, mais aussi au sein de notre continent. Nous ne voulons pas d'une guerre a grande échelle, nous ne voulons pas d'une guerre tout court... Alors, nous espérons pouvoir coopérer avec vous, stratégiquement parlant. Former un bloc allié au sein de notre continent est pour nous, d'une grande importance. Même si je ne parle pas forcément d'une grande union Eurysienne, plus importante que celles qui existent déjà, j'en émet l'hypothèse. Et puis, cela nous permettrait probablement de faire barrière a l'expansion du communisme en Eurysie, semblant désormais rimer avec dictature...
Au final, il me semble qu'il serait judicieux de signer, premièrement, un pacte de non agression entre nos deux états, car garantir la paix entre le Kronos et Tanska serait un début a l'accomplissement de notre objectif qu'est une paix, enfin, en Eurysie.
Je ne connais pas vos intentions en terme de coopération stratégique avec notre pays, je vous laisse m'en parler, si besoin.


Il continua. Cette fois ci, il encensa le gouvernement Tanskien pour ensuite parler d'économie et de commerce.
Aussi, vous vous en doutez, je ne peux pas débuter convenablement cette rencontre sans vous remercier, encore. Le peuple Kronien était mécontent par rapport aux prix grandissants du blé, des céréales. Vous avez réagi. Vous avez envoyé, dans de courts délais, des navires transportant de ces produits tant recherchés par notre nation, afin d'en diminuer le prix pour nos habitants. Je voulais donc vous communiquer les quelques résultats nous avons eu. Tout d'abord, une diminution des prix. Bien qu'ils ne soient pas revenus a leur état initial, il ont diminués, et ont, dans un deuxième temps, satisfait la population, qui as su exprimer tout leur soutient et leur remerciements envers votre nation. Peut être avez vous aperçu les drapeaux Tanskiens affichés sur quelques façades de bâtiments par la population ? Le peuple est heureux, et c'est grâce a vous ! Cependant, nous n'avons pas encore payé pour ce geste, et en plus d'un paiement financier, nous aimerions faire plus. Dites moi.

Le président Kronien attendit la réponse de son invité avant de parler de possibles accords commerciaux. De plus, il espérait connaître les attentes et les propositions du président Tanskien.
Le président tanskien écouta attentivement les propos du président kronien, en particulier à propos des attentes de paix de ce dernier. La République avait connu une année 2013 particulièrement troublée, notamment à proximité directe de ses frontières avec une multiplication de crises diplomatiques. Ces dernières avaient fait augmenter considérablement les dépenses militaires et de défenses de la Fédération qui pesaient désormais davantage sur les finances publiques de l'Etat. Certes l'excellente croissance économique du pays, peu impacté par la crise inflationiste qu'a connu le duché de Sylva ou plus proche royaume de Caratrad, tous deux alliés de la république, avait limité l'impact réel en dépenses par rapport au PIB, mais la situation ne pouvait s'éterniser continuellement. Déjà, Tanska cherchait des débouchés économiques nouveaux pour poursuivre sa croissance actuelle et opérait aussi une politique d'investissement publique conséquente. La dette augmentait, mais les recettes de l'Etat et le PIB augmentait encore plus vite faisant ironiquement baisser la part de celle-ci. La conjoncture économique en restait donc correcte, mais pas parfaite.

Harald Frogsɵn : "Nous avons effectivement vu l'investissement conséquent qui a récemment été fait pou votre armée. De ce que je sais, corrigez moi si je me trompe, votre République hérite d'une force armée conséquente, forte de plus de 200 000 hommes, plus de trois fois la nôtre, mais dotés d'un matériel qui n'est pas de toute jeunesse. Nous saluons néanmoins la finalisation future de votre futur porte-avions qui viendra rajouter de la stabilité et de la sécurité à vos frontières principalement maritime.

Tanska est aussi engagée dans la défense de la paix et de la stabilité sur le continent, principalement dans deux régions de l'Eurysie qui nous sont plus proches géographiquement. La première est évidemment la Manche Blanche, cela ne vous surprendra pas, la seconde est quant à elle la mer de Leucytalée qui, via la province fédérale de Kyli sur l'Isthme d'Afarée, sépare l'Océan d'Espérance de la mer Blême, zone qui vous est plus familière. Nous n'avons en cela, bien que je parle sous l'impérative condition d'une ratification par le Congrès Fédéral, aucun élément contraire à la signature d'un pacte de non-agression entre nos deux pays. Kronos fait désormais office, si le terme m'est permit, de tête de pont de la Démocratie dans le sud de l'Eurysie. Antérinie, Listonie sont deux empires coloniaux, Fortuna est...Fortuna, Dian est un empire est seule la Youslévie est un régime davantage compatible avec votre régime et notre régime. Il est donc d'une importance nécessaire d'assurer votre protection pour que le berceau de la démocratie et des droits humains que vous êtes en train de former dans cette région de l'Eurysie puisse perdurer. C'est en ce sens, sans doute, qu'il faut analyser la relation que Tanska souhaite entretenir avec vous. Aucun paternalisme, aucune supériorité, aucune domination mais l'intime conviction que deux régimes démocratiques, deux républiques ne peuvent que s'entendre et se soutenir mutuellement dans des environnements de voisinages parfois différents, sinon conflictuels avec nos idéaux. Ce sentiment a aussi poussé un certain nombre d'Etats, dont plusieurs de nos voisins de rivage de la Manche Blanche à former l'Organisation des Nations Démocratiques pour se réunir autour de valeurs et de principes plus démocratiques et humains davantage que sur le commerce ou l'anarchie.

Sur la question du blé, je me dois de reconnaitre que le gouvernement n'a pas précisé d'attentes particulières à ce sujet. Cette première livraison n'impliquait guère de payement mais les prochaines pourraient effectivement demander rétribution mais il serait mal venu pour Tanska d'entacher vos finances publiques alors même que la démocratisation ne fait que commencer et que cela nécessite sans doute des investissements conséquents dans vote économie. Une telle demande ne ferait que limiter vos actions. Le simple accès, pour le blé tanskien, au marché kroniens sans droits de douane me parait sans doute déjà une belle compensation. l'apport de blé provoquerait nécessairement une baisse du court et en échange nos producteurs n'auront pas à être directement financés par le gouvernement tanskien.

Ce que tanska aimerait savoir c'est si votre gouvernement, du fait de sa récente transition démocratique, à d'autres besoins urgents ou qu'il peut prévoir et dans lesquels mon pays pourrait vous porter assistance.
Brando Merolla souriant

Brando Merolla fut ravi d'entendre les réponses du président Tanskien quant a ses propositions. C'est alors qu'il reprit la parole, un petit sourire aux lèvres.
Et bien sachez que je suis ravi de vous savoir prêt a coopérer avec nous. J'y vois la une grande possibilité de développement de bien amicales relations entre le Kronos et Tanska, deux importantes nations et références en terme de démocratie !

En ce qui concerne notre armée, nous possédons en effet aujourd'hui une force de plus de 260 000 homes tous équipés d'armes. Nous restons, même après la guerre, une puissance terrestre et aérienne importante. Mais vous n'avez pas tord, nos équipements commencent a se faire vieux... C'est pour cela d'ailleurs que nous avons pour projet d'investir de grandes sommes dans la défense de notre pays. Cela nous permettra donc de moderniser notre équipement en démantelant nos armes de précédentes générations pour les remplacer par les nouvelles. Nos armes d'infanteries par exemple, serait sujettes a ce remplacement. Le Kronos étant aujourd'hui capable de produire des armes de toute dernière génération, il serait bête de garder des armes bien moins performantes...
En ce qui concerne notre porte avion, il redonnera un peu d'espoir a notre nation quant a la refonte de sa marine de guerre d'autrefois.

Je suis également ravi d'apprendre votre accord quant la signature d'un pacte de non agression et votre position quant a une possible coopération entre nos deux états. Notre gouvernent, et notre nation, bien que nouvellement démocratique, n'accepterait en aucun cas de dépendre d'une autre militairement parlant. Vous nous rassurez alors en nous parlant de cette coopération, sans intention de paternalisme ou de supériorité, qui ferait de nous un état dépendant du votre.
Par rapport a l'OND, j'ai fais campagne en émettant l'hypothèse d'une possible candidature a cette organisation. Outre le fait que je ne connaisse pas les avis de ses membres a l'égard du nouveau Kronos, je sais que l'OND est sujette a de nombreuses tensions, un peu partout en Eurysie. J'imagine que la rejoindre nous apporterait plus de problèmes qu'autre chose au final...

En ce qui concerne la question du blé, je ne saurais vous remercier assez, encore une fois. Je ne peux donc qu'accepter votre demande. Le blé et les céréales Tanskienne ne seront pas soumis au droits de douane Kroniens.

J'aimerais enfin vous parler de quelque chose d'autre. Nous en avons parlé au premier ministre Teylais et je désirais vous en parler a vous aussi. Cela concerne le commerce. Nous aimerions en effet pouvoir encourager le commerce entre le Kronos et Tanska en signant, pourquoi pas, un accord de libre échange, qui faciliterait et encouragerait investissements et commerce. Permettre les échange entre nos deux nations sans barrière tarifaires stimulerait sans aucun doute nos économies respectives. Quel est votre avis?

Au delà de cela nous n'avons pas vraiment de besoins particuliers. Qu'en est-il de Tanska ?
A oui et, j'aimerais connaitre votre avis quant a la création de cette organisation dont je vous ai parlé... Cette idée, si elle obtient assez de soutient, pourrait être officialisée par le biais d'un grand sommet Eurysien qui permettrait l'établissement de la charte et du fonctionnement de cette organisation. Elle serait alors plus importante en terme de nombre de membres, que l'OND ou que toutes les organisations existantes. Alors plus puissante diplomatiquement, stratégiquement et économiquement parlant, elle permettrait une totale coopération entre tout ses membres tout en dissuadant qui que ce soit d'attaquer un de ceux ci. Ce serait pour nous une des solutions a une paix Eurysienne.


Il attendit alors la réponse de monsieur Frogsɵn.
Harald Frogsɵn : L'investissement dans la défense est un choix sur pour protéger votre pays et votre nouvelle démocratie des tempêtes de l'extérieur qui n'attendent que de l'amener en votre maison.

Sur l'OND je ne rejoins pas votre analyse. Il est vrai que l'OND est sujette à de nombreuses tensions mais celles si sont presque uniquement en relation avec la Loduarie Communiste. De plus, elles sont particulièrement instrumentalisées et déformées par nos adversaires politiques afin de redorer leur propre blason ternis des années de violences, de violations de souverainetés, de crimes de guerre, et de salir le notre. Vous savez, l'OND est et reste une organisation défensive visant à protéger les démocraties. Je vais être clair, je ne vous invite pas ici à la rejoindre, cela doit être du seul et unique choix du peuple kronien. Mais je tiens à préciser quelques faits souvent déformés. Nous sommes régulièrement présentés comme des agresseurs, en particulier après l'affaire de l'oblast de Zladingrad, mais cela n'est rien. Il est vrai qu'il y a eu une guerre civile au Kolcovo, guerre dans laquelle la Loduarie est intervenue pour venir en aide à un gouvernement déchu, et l'UEE pour soutenir des populations civiles, pas l'OND. La Loduarie a finie par imposée une paix aux rebelles en occupant l'oblast de Zladingrad. Savez vous ce qu'elle a imposé ? 2 000 hommes maximum pour l'occupation. Dans les semaines qui ont suivi, la Loduarie a envoyée plus de 10 000 hommes occuper ce territoire, violant elle-même le traité qu'elle avait elle même imposée et déstablisant la région. Face à cela, nous avons du réagir et nous avons réagit pour ramener la paix, en demandant aux Loduariens de partir et en laissant à la population civile le choix, libre cette fois-ci, de son autodétermination. Et pour cette action, l'on nous accuse de tous les mots, de tous les méfaits. Il n'en est rien.

Nos forces, qui ne dépassent pas les quelques milliers d'hommes, sur le Royaume de Teyla n'ont été déployée qu'après le déploiement de troupes loduariennes à la frontière pour y conduire des exercices et menacer le royaume. Notre intervention humanitaire au Valkoinenland fut dans le but de sauver des habitants de la famine, nous l'avons fait, et nous sommes reparti sans occupation, sans gouvernement fantoche, sans rien ramener d'autres que de la nourriture et un peu de liberté. Et pour cela, pour ces réactions défensives et cette aide humanitaire, l'OND est accusée.

Mais encore une fois, le choix est absolument libre pour vous, l'OND, qui n'st en réalité que la volonté commune de ces états membres, ne vous imposera rien.

Désormais sur la question du libre échange, nous pourrions y être favorable à quelques exceptions prêt. Vous avez, vous aussi comme nous en avons, quelques secteurs stratégiques peu ouverts à la concurrence en interne ou trop important pour être altérer par une concurrence externe qui bien que libre, porterait atteinte à des intérêts nationaux. Ces quelques secteurs que nous pourrions avoir seraient naturellement à exclure d'un tel accord de libre échange.

Enfin, sur la question de l'organisation...Je pense que Tanska pourrait être ouverte à l'idée d'une grande conférence eurysienne, mais nous n'accepterons pas d'une organisation à caractère partiellement militaire comme peut l'être l'OND. Tanska ne peut s'engager à défendre des régimes qui victimisent leur population, les réduisent en esclavage pour certains, leurs suppriment leurs droits humains les plus fondamentaux, et l'Eurysie en compte de nombreux. Alors si nous ne sommes pas opposée à un cadre de discussion entre eurysiens permettant de limiter les conflits et réduire les incompréhensions, un système engageant recevrait probablement le refus du Congrès Fédéral tanskien.
Haut de page