TEXTE(S) A L'ORDRE DU JOUR - JUILLET 2024Sur proposition d'élus de Villas-est incités par les ouvriers et mineurs auto-gérant la mine de nickel de Kipi'i, le prochain texte étudié sera la demande de protection des acquis sociaux et des politiques d'auto-gestion de leur mine. L'ensemble des élus sont invités à participer au débat et à se prononcer sur la question.
Le vote des élus non clientélisé sera un dé de 100. En dessous de 50 il vote contre, au dessus il vote pour. C'est maintenant à votre tour d'influencer ça.
règles & déroulementEn cas d'élu client ou influencé :Vous avez le droit de faire directement parler un ou plusieurs élus sous votre clientèle ou votre influence pour ce mois-ci.
Il est à noter que la règle d'influence des élus liés aux interventions n'est pas encore définie (si vous avez des propositions n'hésitez pas). Dans l'idée, j'aimerais que cela joue selon la longueur du texte mais avec un maximum (vous pourrez aller au-delà , sans que cela ne rapporte davantage de bonus ou de malus).
Après votre intervention, indiquez le vote du ou de vos élus. Formulaire de prise de parole[justify][b]Nom de l’entité investisseuse / Nom du gouvernement :[/b]
[b]Nombre d'élus :[/b]
[list][*]Tafanu :
[*]Villas-ouest :
[*]Villas-est :[/list]
[b]Intervention :[/b]
[/justify]
[b]Vote : POUR / CONTRE [/b]____
En cas d'investissement dans les mines :Les possesseurs de mines ou de parts de mines peuvent envoyer des lettre au Fale Alea qui les lira directement dans l'assemblée. Ces lectures
influenceront uniquement les élus libres des régions où vous avez des mines et de manière plus faible que les interventions directes des élus sous clientèle.
Là encore, la règle d'influence n'est pas fixée. Elle sera basée sur le même principe que celle des élus, mais avec un rapport inférieur (probablement deux fois inférieur).
Formulaire envoi de lettre de mines[justify][b]Nom de l’entité investisseuse / Nom du gouvernement :[/b]
[b]Nom de la mine :[/b]
[b]Nombre de parts :[/b]
[b]Lettre d'intention:[/b]
[/justify]
[b]Positionnement sur la législation : POUR / CONTRE [/b]La mine de nickel de Kipi'i est une mine destinée à la faillite. En perdition, sans investissement du fait de sa faible rentabilité et de la fréquence de ces grèves, elle était vouée à la fermeture en 2010. Le gouvernement précédent, présidé par le MRM, avait décidé d'arrêter les opérations de sauvetage jugée trop couteuse et les investisseurs étrangers avaient désertés cette mine. En 2010, avec l'élection du Parti Populaire Maoti, une négociation s'engagea pour envisager le rachat de la mine par les ouvriers. D'abord opposé à cela, les ouvriers et mineurs parvinrent à trouver un accord au printemps 2011 : l'achat de la mine pour une somme dérisoire : l'équivalent du salaire annuel d'un mineur. Mais aucun mineur ne déboursa la moindre pièce puisque des élus du PPM eux-mêmes financèrent le rachat avant ensuite de vendre chaque part à 1 Pa'Iara. Le 12 mars 2011, la mine devint totalement auto-gérée et plus ou moins auto-financée, en partie par des "dons" d'hommes politiques sans rétributions jusqu'à ce qu'en septembre 2011, le PPM passe un accord commercial avec des pays nazuméens sur l'export de nickel offrant à la mine un débouché économique lui assurant son autonomie.
Depuis, la mine est réellement auto-financée et auto-gérée mais dépendante des exports vers le Nazum pour son financement. L'Etat n'interfère plus dans les affaires de la mine, dans ses finances, dans ses grèves. Il n'y a plus de patrons, plus de contremaitre formel. La gestion quotidienne de la mine est faite par le Comité des Mineurs de kipi'i regroupant l'ensemble des mineurs et ouvriers de l'usine. Chacun dispose d'une voix. Afin d'assurer le fonctionnement de la production, les mineurs élisent régulièrement des chefs de groupe chargé de coordonner la mine, aucun ne dispose d'un salaire supplémentaire ni d'une bonification salariale. Ils sont révocable de leur statut par leur groupe sur simple vote.
Le salaire des employés est voté de façon trimestrielle par les employés sur la base du consensus.
Il n'est cependant pas exclu que des élus du PPM y aille pour rappeler à qui Kipi'i doit son salut afin de faire campagne.
Assurer la protection du statut de la mine viserait à permettre d'éviter tout potentiel rachat de la mine de Kipi'i par des investisseurs étrangers. L'entreprise Wanmirienne Swalio a pour le moment l'intégralité des contrats d'exports de nickel de la mine et bénéficie donc d'une forte influence auprès des mineurs. Protéger son statut protègerait aussi ce contrat.