01/12/2014
06:50:06
Index du forum Règles et inscription Inscriptions Inscriptions refusées

DEMANDE D'ACCEPTATION - REPUBLIQUE FEDERALE D'UBUNTULAND - AFAREE

PRESENTATION GENERALE


Nom officiel :
En forme longue, le pays est connu sous l'appellation de République Fédérale d’Ubuntuland.


Nom courant :
En forme courte et dans le langage courant, il est nommé simplement Ubuntuland, voir dans certains cas Ubuntu.


Gentilé :
La gentilé masculine est définie par Ubuntulandais, et la gentilé féminine par Ubuntulandaise.


Inspirations culturelles :
L'inspiration provient notamment des cultures sud-africaine, plus spécifiquement l'Afrique du Sud en tant que pays.


Situation géographique :


Langue(s) officielle(s) :
L’Afrikaans demeure la langue officielle du pays, parmi les dialectes locaux.


Autre(s) langue(s) reconnue(s) :
En dehors de l'afrikaans, la langue la plus parlée au sein de la Fédération, il existe une multitude d'autres langues, bien que leur utilisation soit trop marginale pour en tirer des conclusions significatives.


Drapeau :
Drapeau officiel de la République Fédérale d’Ubuntuland


Devise officielle :
La devise officielle demeure la suivante : « Justice, Paix, Progrès »


Hymne officiel :
Depuis 1956, il n'existe pas d'hymne officiel. À cette époque, le gouvernement socialiste a pris l'initiative de promouvoir les chants ethniques et régionaux plutôt que d'adopter un hymne unique favorisant spécifiquement les Ubuntu. Toutefois, des débats persistent quant à l'introduction d'un hymne capable de fédérer l'ensemble des ethnies et cultures du pays.


Monnaie nationale :
L’ubunt demeure la seule monnaie en vigueur au sein du pays - CODE ISO : UBT.


Capitale :
La capitale politique et économique est Ndluvu.


Population :
La population s’évalue à 57 423 234 d’habitants, et s’avère être en constante croissance. Elle est partagée entre deux ethnies majoritaires, les Ubuntus et les Kwalitis.


Présentation du pays :


Histoire :

Considéré comme l'un des principaux berceaux de l'humanité, la terre d'Ubuntuland abrita les premiers hommes il y a plusieurs millions d'années. Suivant l'évolution de l'humanité à travers les siècles, cette région se distingua également par son rôle pionnier et avant-gardiste en matière de progrès technologiques. Toutefois, le terme "Ubuntuland" ne fit son apparition qu'après la chute du Royaume de Sacriliand en 478 après J.C., et servait exclusivement à désigner le peuple majoritaire afaréen qui y résidait depuis des temps immémoriaux. Les Ubuntu, ayant subi de longues persécutions sous les dynasties successives du Royaume de Sacriliand, peuplé en majorité par les Roulaji, furent contraints de fuir leur terre ancestrale. Cherchant refuge dans les régions environnantes, ils devinrent ainsi des parias pour les diverses entités politiques émergentes aux alentours.

À la suite de la chute du Royaume de Sacriliand, due aux multiples conflits d'intérêts et à une guerre intestine qui perdurait depuis deux siècles, révélant une instabilité manifeste et une crise économique sans précédent, le royaume se fragmenta en diverses entités. Certaines d'entre elles parvinrent à subsister tout au long du Moyen ge. Parmi celles-ci, on note particulièrement l'Empire Kharistanais, qui conquit une majeure partie du sud de l’Afarée. Cet empire adopta une politique plus inclusive envers le peuple Ubuntu, qui, après l'an 478, décida de revenir sur ses terres ancestrales. En apportant leurs vastes connaissances, les Ubuntu contribuèrent significativement à la prospérité et à la pérennité de l'Empire Kharistanais, assurant sa stabilité jusqu'à la Renaissance.

Au fil du temps, le peuple Ubuntu se réinstalla et s'enracina dans les structures étatiques les plus fondamentales, recouvrant ainsi son pouvoir et son influence légitimes. La Renaissance marqua une période de progrès et de prouesses pour l'empire, lequel se reforma progressivement à mesure que les mentalités évoluaient. En 1796, avec la fin de la dynastie Molkacher, marquée par le décès de son dernier représentant, l’empereur Ingwe V, les Ubuntu déclenchèrent une révolution de faible envergure et sans violence, se manifestant par une lutte de pouvoir pour la succession. Grâce à leur forte influence, patiemment consolidée au fil des ans, et au soutien massif de la population majoritairement Ubuntu, ils remportèrent cette lutte. L'élite Ubuntu prit alors le pouvoir et instaura une oligarchie ploutocratique et mercantile, abolissant ainsi l’Empire Kharistanais et faisant émerger une entité démocratique, de jure, renommée en République Ubuntunaise.

Le système républicain naissant devait s'imprégner dans les esprits, mais contrairement à une véritable démocratie où l'ensemble du peuple participait à la vie électorale et citoyenne, seuls les plus riches exerçaient leur influence politique par les urnes. Ce mode de fonctionnement, leur permettant de maintenir des financiers au pouvoir et de corrompre l'appareil d'État, s'apparentait à un suffrage censitaire, théorisé par Siegmund Schieffer, essayiste et philosophe d’Eurysie venu étudier les régimes afaréens à l'époque contemporaine. Une telle structure déplaisait déjà à la majorité et n'augurait rien de bon pour l'avenir si elle perdurait. En plus de ces problèmes électoraux, la forte centralisation du pouvoir entre les mains des Ubuntu, au détriment des Kwalitis, fut la genèse d'un conflit ethnique qui allait changer la face du pays à jamais.

L’année 1867 marqua une rupture significative avec l’ordre oligarchique établi. Depuis plusieurs années, le mécontentement s'étendait à toutes les strates sociales, et les classes populaires subissaient les conséquences les plus graves de la politique oligarchique du gouvernement, faussement républicain. Ce mécontentement favorisa l'émergence de forces de gauche et d'ultra-gauche, ainsi que d'entités considérées comme terroristes dans l'échiquier politique, qui réclamaient davantage de droits, voire l'abolition de cette République fondée sur des principes capitalistes extrêmes, écrasant le dialogue social depuis tant d'années. Il convient également de rappeler les conflits ethniques qui sévissaient dans le pays et qui atteignirent leur paroxysme en 1867. Les Kwalitis se rebellèrent massivement pour renverser le gouvernement, en collaborant avec les forces de gauche de toutes ethnies différentes. L’année suivante, le chaos régnait en maître. Les différentes factions revendiquaient désormais le pouvoir, aucune ne se satisfaisant de l'autre. L’armée, surnommée la “grande muette”, était indubitablement la seule entité capable de gérer ce chaos. C'est ce qu'elle fit le 14 mai 1868, renversant le régime transitoire instable, instaurant la loi martiale et décrétant un état d’urgence permanent.

L'armée instaura ainsi un régime de transition, rigoureux et autoritaire, afin de maintenir l'harmonie idéologique et ethnique du pays. Pour la première fois, l’Ubuntuland fit l'expérience d'un régime autoritaire et conservateur, qui perdura plusieurs années. Sous la bannière du Konserwa Tiewe Pool (KTP), le gouvernement militaire mit progressivement en place les institutions démocratiques et fédérales de la nouvelle nation. Désignée sous le nom de Seconde République, la République fédérale d'Ubuntuland vit le jour en 1876 et continue de subsister aujourd'hui. Le gouvernement militaire parvint ainsi à répondre aux attentes de chaque mouvement politique et ethnique, assurant leur pleine reconnaissance. Actuellement, le Konserwa Tiewe Pool (KTP) est représenté par le Broer Nasionaal-Konserwatief (BNK), parti majoritaire depuis 20 ans. Toutefois, après un mandat mitigé, sa domination politique sur le paysage ubuntulandais semble compromise à l'approche des élections présidentielles. L’Ubuntuland se trouve ainsi à un nouveau tournant historique de son existence.

Géographie :

La République fédérale d'Ubuntuland est une nation caractérisée par une grande richesse en verdure tout en présentant des zones arides. Les divers cours d'eau et le fleuve Ghali ont permis aux différentes populations historiquement établies de prospérer sur une longue durée. Cependant, le nord du pays se révèle quelque peu désertique, abritant principalement la tribu Halaj, qui y adopte un mode de vie semi-nomade. La population est inégalement répartie sur le territoire, avec une pauvreté plus marquée au nord et au centre-est. En revanche, le reste du pays se porte relativement bien grâce à des investissements répartis de manière équitable, motivés par une volonté de favoriser chaque ethnie et d'éviter des mécontentements notoires.

La faune et la flore de l'Ubuntuland demeurent remarquablement diversifiées, abritant une multitude d'espèces de toutes sortes. L'Ubuntuland s'est affirmé comme un acteur majeur dans la protection de l'environnement et aspire à créer davantage de réserves naturelles. Par ailleurs, il existe une volonté de sécurité tant pour les animaux, victimes du fléau du braconnage, que pour les citoyens ubuntulandais, qui, dans les années 1960, devaient faire face à des intrusions animales incontrôlées. La recherche scientifique en biologie y occupe une place essentielle et est un secteur de premier plan dans le pays. La nation ambitionne également de devenir un leader dans l'étude des espèces animales et végétales afin d'apporter de nombreuses réponses à la communauté internationale. L'État ubuntulandais est également un financier important des organismes de recherche biologique.


Mentalité de la population :
La population est profondément enracinée dans des valeurs traditionnelles et chrétiennes, largement promues par le BNK au cours de ses vingt années de pouvoir. Les mentalités sont ainsi historiquement positionnées à droite de l'échiquier politique. Cependant, depuis plusieurs années, en raison notamment de la stagnation économique et de la dérive autoritaire et corrompue du parti de droite, la population se tourne de plus en plus vers la gauche et le centre, exprimant un exaspération manifeste. Un certain racisme subsiste encore, mais il s'est considérablement atténué ces dernières années. Les différentes ethnies ont finalement mis de côté leurs différends historiques pour cohabiter pacifiquement.


Place de la religion au sein de l'État :
La religion occupe une place prééminente au sein du pays, mais son influence ne pénètre pas la sphère politique. Depuis 1923, avec l'adoption de la Loi de Mmadinare - également connue sous le nom de Loi de Séparation de l’Église et de l’État -, la religion catholique, bien que majoritaire, est proscrite des institutions politiques afin de consacrer la laïcité de la nation. Elle visait principalement à préserver l’État de toute ingérence religieuse. Cependant, le BNK s'est vigoureusement opposé à cette loi, en promouvant activement le christianisme au sein du pays.


Institutions politiques :


Pouvoir Exécutif


Le pouvoir exécutif est dirigé par le Président de la République, qui est élu au suffrage universel direct pour un mandat de 4 à 6 ans, généralement renouvelable une fois. En tant que chef de l'État et du gouvernement, le président est responsable de la politique étrangère, commande les forces armées et possède un droit de veto sur les lois. Il nomme également les ministres et les juges fédéraux, souvent avec l'approbation du parlement. Le Vice-Président, élu sur le même ticket que le Président, remplace ce dernier en cas de besoin et préside le Sénat avec pouvoir de vote en cas d'égalité. Le gouvernement ou Conseil des Ministres, nommé par le président, exécute les lois, administre les affaires publiques, prépare le budget et conduit les politiques publiques. Les ministres peuvent être révoqués à tout moment par le président.


Pouvoir Législatif


Le pouvoir législatif est exercé par un parlement bicaméral, composé de la Chambre des Représentants et du Sénat. La Chambre des Représentants, dont les membres sont élus au suffrage universel direct pour des mandats de 2 à 4 ans, est chargée de l'élaboration et de l'adoption des lois, du vote du budget et du contrôle de l'exécutif. Le Sénat, avec des membres élus au suffrage universel direct ou par les législatures des États pour des mandats de 4 à 6 ans renouvelables, partage ces prérogatives et se distingue par son rôle dans la ratification des traités et la déclaration de guerre. Le renouvellement partiel du Sénat tous les 2 à 3 ans assure une continuité dans la législation.


Pouvoir Judiciaire


Le pouvoir judiciaire est dominé par la Cour Suprême, qui possède la juridiction finale en matière de constitutionnalité des lois, arbitre les conflits entre pouvoirs publics et protège les droits fondamentaux. Les juges de la Cour Suprême sont nommés par le président et confirmés par le Sénat, avec un mandat à vie ou jusqu'à un âge de retraite fixé. Les cours fédérales inférieures, dont les juges sont également nommés par le président et confirmés par le Sénat, interprètent les lois fédérales et exercent une juridiction en première instance et en appel pour les affaires fédérales.


Pouvoirs Régionaux (États Fédérés)


Les États fédérés disposent de leur propre exécutif et législatif. Le Gouverneur, élu au suffrage universel direct des citoyens de l'État pour un mandat de 4 ans renouvelable, est le chef de l'exécutif de l'État, chargé de la mise en œuvre des lois de l'État et de la gestion des affaires publiques locales. Les législatures d'État, composées d'une Assemblée législative et souvent d'un Sénat d'État, élaborent les lois locales, contrôlent le budget de l'État et surveillent l'exécutif de l'État. Les membres de l'Assemblée législative sont élus pour des mandats de 2 à 4 ans, tandis que ceux du Sénat d'État ont des mandats de 4 à 6 ans.




Principaux personnages :

Steven Ngoma


Steven Ngoma, en fonction depuis cinq ans en tant que Président de la République, incarne l'éminence de la droite nationale. Ngoma a substantiellement renforcé le conservatisme déjà profondément enraciné dans le pays et demeure fermement attaché à son poste. Impliqué dans d'innombrables controverses, Ngoma se trouve alors sur la sellette.

Portrait non-officiel de Steven Ngoma

Thabo Nkosi

Leader du Saam! et principale figure de l'opposition, Thabo Nkosi incarne la nouvelle génération politique à la mentalité progressiste. Devenu la personnalité la plus appréciée des Ubuntulandais, il ne recule devant rien pour dénoncer vigoureusement le Chef de l'État et ses pratiques discutables, tout en adoptant le populisme comme stratégie politique.

Thabo Nkosi, figure de l'extrême gauche donnant un meeting

Morad Mboso

Ancien pilier de la classe politique, toujours fidèle à ses valeurs et candidat à chaque élection présidentielle malgré ses perpétuelles défaites, Mboso demeure l'indétrônable leader du Republikeinse Party. Éprouvant une aversion profonde pour la gauche, Mboso a toujours soutenu les directives du BNK, imprégnant des incertitudes quant à ses véritables intentions.

Morad Mboso au visage dépité

Kagiso Mabena

Chroniqueur devenu présentateur de télévision, Mabena est l’une des célébrités les plus en vue de l’Ubuntuland. Animateur de l’émission Le Temps des Experts sur UB-NEWS, il est également un vecteur reconnu de la propagande d'extrême droite, soutenu par les riches financiers du pays auxquels il reste redevable.

Kagiso Mabena, posant fièrement devant les locaux de son émission


Politique internationale :

La République fédérale d'Ubuntuland se veut ouverte à tous, prônant depuis des années une politique étrangère axée sur le multi-alignement. Toutefois, elle nourrit une aversion profonde envers les régimes communistes et excessivement progressistes, bien qu'elle n'y voie que peu d'inconvénients tant que ses intérêts sont préservés. L’Ubuntuland aspire également à devenir une plaque tournante des relations diplomatiques sur le continent, se positionnant comme une économie émergente en Afarée.
A mon avis, le pays est très avancé, proche de pouvoir être installé et de fournir du RP pour un bout de temps. Je verrais deux choses à dire. De un : Ubuntu peut dire que les humains les plus anciens ont été trouvés là, mais les autres pays peuvent ne pas être d'accord avec cette affirmation. Il faudrait une harmonisation pour permettre de dire qu'il y a quoi que ce soit de scientifique derrière. L'autre truc, LE truc à modifier ici, c'est qu'il y a eu un impressionnant développement de l'histoire du pays, qui s'arrête en 1868... Quelques phrases d'histoire récente et contemporaine, pour s'assurer que tu sache d'où tu pars, et normalement, c'est tout bon !
Ok problème je vais modifier tout cela. Seulement il me semble que je précise que ce n'est pas formellement le bastion de l'humanité mais plutôt l'un d'entre eux. Normalement ça ne devrait pas poser de problème;
Disons que comme tous les autres pays peuvent raisonnablement ne pas être d'accord, pas un problème. Après, on imagine bien que les humains sont pas apparus en même temps de trente endroits du globe. Après, il y a largement moyen de faire du RP préhistorique et paléontologique, berceau de l'Humanité ou pas.
Aucun changement fait après deux mois de laissés.
Haut de page