ISAKA (Antérinie, Côte d'Assad et Empire de Karty)

Ce salon va servir à la création d'un projet spatial commun entre le Royaume de la Côte d'Assad, le Royaume d'Antérinie et l'Empire de Karty. La société portera le nom d'ISAKA (Institut Spatial Assadien-Kartien-Antérinien).

Après avoir effectué une rencontre diplomatique du 15/11/2013 au 22/11/2013, Empire de Karty, Côte d'Assad et Antérinie se sont concertés sur la création d'une société visant à effectuer des recherches dans le domaine spatial. Est donc né l'idée d'ISAKA (Institut Spatial Assadien-Kartien-Antérinien), cette société commune aux trois nations serait chargé d'effectuer la course à l'espace. Les trois pays se réunissent donc afin de discuter du développement de cette société.

Kaiser de l'Empire de Karty: Mes salutations homologues Assadien et Antérinien ! Nous nous retrouvons afin de discuter du développement d'ISAKA.

AFROLO-GICAROLIRDIN Imad : Mes salutations Kaiser et homologue Antérinien. Je suis Imad AFROLO-GICAROLIRDIN, je travaille dans le domaine spatial. Quand Sa Majesté m'a parlé de ce projet, j'ai directement sauté dessus ! Nous, Assadiens, ne sommes pas vraiment spécialisés dans les instituts spatiaux et le gouvernement n'a pas encore décidé d'investir dans ces domaines, nous laissant quelque peu en retrait. C'est pourquoi j'ai souhaité prendre contact directement avec vous. Sachez que même si la Côte d'Assad a du retard dans la course vers les étoiles, nous allons travailler avec vous pour réussir. Bon, je n'en dis pas plus et je laisse l'homologue Antérien s'exprimer.

L’Empereur a décidé de me nommer directeur des savants antériniens au sein de cet institut international qui n’est que l’image des bonnes relations que nos pays respectifs entretiennent.
Mais je me présente, veuillez excuser mes manières calières, je suis Martin de Saint Just qui dirigera les équipes antériniennes.
Si l’empire colonial antérinien possède quelques centres de recherches spatiaux, un à Antrania et un autre à Saint Arnaud des Pics situé dans notre colonie nazuméenne.
Mais je dois aussi réaffirmer la volonté de l’empire de faire avancer nos alliés et la science pour le bien l’humanité.
J’espère que mes estimés homologues daigneront se montrer indulgent avec mes équipes qui accomplissent pour la plupart leur première coopération internationale.
Après ma brève intervention je rend la parole à Imad AFROLO-GICAROLIRDIN mon collègue assadien.

AFROLO-GICAROLIRDIN Imad : Bien, commençons. J'ai certaines idées qui nous permettront de renforcer notre collaboration dans ce projet. J'ai quelques propositions à vous soumettre pour cette société commune à nos trois nations chargée d'effectuer la course à l'espace. Commençons par les infrastructures. Nous devrions envisager la construction de centres spatiaux de pointe dans chaque pays participant à ISAKA. Ces centres incluraient des laboratoires de recherche de haute technologie, des zones de test pour les véhicules spatiaux et des installations pour la fabrication de satellites. Je propose aussi que nous et nos gouvernements investissions consciemment dans la recherche et le développement de nouvelles technologies de propulsion pour les missions interplanétaires. Nous pouvons aussi former notre jeunesse à travailler dans ce domaine en créant des programmes de formation avancée pour les ingénieurs et les scientifiques locaux intéressés par l'astronautique. Commençons par créer des écoles ou des universités à cet effet, par exemple. C'est un bon début. Définissons aussi des objectifs scientifiques clairs pour nos missions spatiales. Nous pouvons assurer qu'ISAKA devienne une organisation de premier plan dans l'exploration spatiale dès que nous aurons commencé à investir, non seulement avec notre monnaie, mais aussi dans des projets comme celui que je viens de mentionner. Ensuite, l'Institut Spatial Assadien-Kartien-Antérinien pourra enfin commencer. En tout cas, de mon point de vue.

Kaiser: Bien ! Je souhaite tout d'abord souligner le fait que nos trois "entreprises" qui ont pour but de fusionner pour former ISAKA sont toutes débutantes dans le domaine spatial. Je tiens également à remercier votre participation à ce projet qui démontre encore une fois les liens qui nous unissent. Par ailleurs, Je vous présente donc le chef des services Kartiens chargés de la compétition spatial: Herwing Darköl. Suite aux propositions assadiennes et antériniennes, nous proposons les choses suivantes:
- Premièrement, la création d'un institut dans chaque capitale de nos pays respectifs, qui serviront de bases principales.
- Deuxièmement, nous proposons de créer un fond commun qui servira à financer les projets.
- Troisièmement, la création d'une école proposée par la Côte d'Assad est une bonne idée, c'est pour ça que nous proposons de créer une académie où les études seraient gratuites afin d'encourager la jeunesse à participer au projet. Bien évidemment, l'examen d'entrée serait assez dur en raison de la gratuité.
- Quatrièmement, il est important de définir les objectifs principaux comme l'envoi d'un satellite ou d'une fusée
- Cinquièmement, au sujet du satellite, l'Empire de Karty a déjà travailler sur ce projet et est prêt a dévoilé ses avancées dès l'officialisation d'ISAKA.
- Sixièmement, Nous pensons qu'il serait judicieux de créer un Traité regroupant toutes les idées afin de clarifier tout cela.
- Septièmement, au sujet d'une fusée, il n'est pas nécessaire de créer plusieurs rampe de lancement où structure aidant à ce projet, c'est pourquoi il faut définir le seul pays qui comptera les infrastructures liées au projet de la fusée.
- Dernièrement, je propose de mettre trois directeurs pour ISAKA, qui seront tout de même dirigés par nos gouvernements, bien entendu. Ces trois directeurs seraient:
- Herwing Darköl
- Martin de Saint Just
- Imad Afrolo-Gicarolirdin

J'attends donc d'autres idées de votre part ou un développement des sujets que je viens d'évoquer. Je laisse la parole à mes homologues.

Réponse de Martin de Saint Just, représentant Antérinien:

Comme nous pouvons le constater nos idées sont très proches et se suivent sur plusieurs points importants.
Car évidemment il faut des infrastructures digne de ce nom, aussi bien dans l’enseignement des futurs cadres que dans le type d’institution qui gérerait ce projet.
C’est pour cela que je vous suis sur tout vos propositions, l’instauration d’études gratuites mais sélectives dans un institut d’études aérospatiales est particulièrement brillante Monsieur Herwing Darköl.
Il faut aussi prendre en compte le prix du projet, si ce dernier ne dépend pas de moi soyez assurés que l’empire et ses chambres législatives soutiendront tout types de financement et la dépense de sommes qui peuvent s’avérer si nécessaire astronomique.
L’idée d’instaurer une caisse commune me paraît tout comptes faits pour le moins pertinente et je soutien ce projet du moins avec certaines réserves.
Mais nous je n’ai pas encore évoqué le point central de ce projet, quel type de gouvernance ce « traité prendra »?
Deux idées s’offre à moi, la première faire comme le préconise Monsieur Afrolo-Gicarolirdin et le représentant Kartien, c’est à dire instaurer une gouvernance tricéphale qui sera composé des équipes Antériniennes, Assadiennes et Kartiennes.
De l’autre j’aimerai que nos trois nations choisissent une personne qui ne représente aucune d’entre elles, un homme qui ne souhaite qu’une chose les avancées humaines dans le domaine spatiale et qui fait fi des intérêts de nos trois nations.
Ensuite vient les infrastructures, sujet complexe, devrait on localiser nos futurs sites de productions et de recherche sur le territoire d’un seul des états signataires, devrait on diviser nos infrastructures en trois pôles différents, recherche, conception et production et placer chacun d’entre eux au sein de nos trois territoires ou tout simplement multiplier par trois le nombre sites.
Ici cette fois-ci c’est une histoire de symboles, la consécration d’une puissance aux dépens des deux autres, l’envoi d’un signal d’union et d’interdépendance ou au contraire l’envie de prouver que l’on réussit mieux en autonomie…
J’espère ne pas avoir été trop long et que nous réussirons à nous entendre et à choisir les meilleurs solutions pour le bon fonctionnement de l’Institut Spatial Assado-Kartio-Antérinien.

Kaiser: Bien, je vais vous proposer le Traité d'ISAKA ! Mon gouvernement et moi-même le rédigeons en ce moment. Si vous avez une quelconque modification à y apporter avant sa signature, signalez le.

Imad Afrolo-Gicarolirdin entendit attentivement les propositions avancées par Kaiser et les autres participants, prenant note des différents points soulevés. Après avoir écouté, il prit la parole avec assurance mais aussi avec respect pour les processus démocratiques et décisionnels en vigueur.

« Tout d'abord, je tiens à remercier Kaiser et les autres pour leurs propositions constructives. Cependant, je dois préciser que la nomination du chef pour ISAKA ne peut pas être une décision personnelle. En tant que représentant de la Côte d'Assad, je propose ma candidature pour ce rôle, mais c'est au gouvernement assadien de confirmer cette nomination. Ils seront les mieux placés pour évaluer si ma candidature est appropriée et répond aux critères requis pour diriger un tel projet d'envergure internationale. Pour conclure, je suis favorable à ces propositions et je suis ouvert à d'autres suggestions pour affiner et enrichir notre plan d'action pour ISAKA.

« De plus, je propose que nous considérions deux aspects important pour renforcer notre coopération au sein d'ISAKA. Premièrement, nous pourrions explorer la possibilité d'établir des partenariats avec des institutions académiques de renommée mondiale pour bénéficier de leur expertise et de leurs infrastructures de recherche. Cela pourrait accélérer notre progression technologique et assurer une formation de haut niveau pour nos jeunes talents.

Deuxièmement, je suggère que nous développions un plan de communication et de sensibilisation publique sur les bénéfices et les impacts positifs d'ISAKA. Il est essentiel d'engager et d'informer nos citoyens sur les retombées économiques, éducatives et scientifiques de nos initiatives spatiales communes. Cela renforcera non seulement le soutien public mais aussi notre légitimité et notre transparence vis-à-vis des investisseurs internationaux et des partenaires potentiels. »

Imad Afrolo-Gicarolirdin ajouta une dernière suggestion pour compléter ses idées précédentes

« En outre, je propose que nous envisagions la possibilité d'établir des partenariats stratégiques avec des entreprises privées spécialisées dans l'aérospatiale. Ces partenariats pourraient inclure des investissements directs dans ISAKA, ce qui non seulement renforcerait notre capacité financière mais aussi accélérerait le développement technologique et l'innovation. Les synergies avec le secteur privé pourraient également ouvrir de nouvelles opportunités de marché et stimuler la croissance économique dans nos pays respectifs.

En intégrant ces nouvelles idées à nos discussions, je suis convaincu que nous pourrons construire un cadre solide et dynamique pour ISAKA, tout en renforçant nos relations et notre position dans le domaine spatial international. »

Imad conclut son intervention en observant attentivement les réactions de ses homologues, prêt à collaborer pour transformer ces idées en actions concrètes au sein d'ISAKA.

Réponse de Martin de Saint Just, représentant du gouvernement antérinien.

Pour commencer je tiens à remercier l’Empire de Karty pour son investissement dans ce projet mais aussi je salue la réponse positive du Royaume de la Cote d’Assad et une missive du premier ministre m’a assuré du soutien de l’Empire Colonial Antérinien.
Comme je l’ai fait remarqué plus tôt ce traité nous sera à tous les trois profitable, permettant d’assurer une bonne entente certaine entre nos trois nations et permettant encore une fois de grandes avancées dans le domaine spatial et éducatif.

Mais je pense qu’il faut aussi prendre au sérieux les propositions plus qu’intéressantes de mon collègue, le représentant assadien Imad Afrolo-Gicarolirdin.
Car un partenariat avec d’autres experts, comme l’a fait remarquer notre homologue, ne peut être que positif.
Sachant que nous ne sommes qu’aux balbutiements de notre projets, le tout début, aucun objectif clair n’a été défini et nous ne nous sommes pas encore mis au travail…
C’est pour cela que l’expertise de scientifiques étrangers pourrait nous être profitable et cela bénéficiera à l’ensemble des équipes travaillant sur le projet.

En revanche j’émets quelques réserves vis à vis de la seconde proposition de mon très estimé collègue.
Même si je comprends les intérêts à offrir des partenariats avec des entreprises privées, qui se révéleraient avantageuses sur plusieurs points.
Le taux d’emploi pourrait augmenter, plus d’experts de renommées mondiale pourraient travailler avec nous…
Mais surtout le point le plus important est avant tout le financement de ce projet, qui nous nous en doutons est loin d’« être gratuit ».
Je peux évidemment proposer l’aide d’entreprise antérinienne publique, comme d'Antérin-air, qui possède un secteur aérospatial…
Mais le fait d’inviter des entreprises privées pourrait selon moi, dénaturer le projet international et offrir une place encore plus conséquentes à ces dites entreprises qui pourraient alors réclamer une part décisionnelle au sein de projet et de cet institut.

Mais seul le gouvernement en décidera, je ne fait que donner mon avis sur les propositions de mes collègues.
Nous devons aussi nous montrer prudent, car il faut instaurer des quotas et choisir avec bon sens les sociétés qui pourraient travailler avec nous à l’avenir…
En effet nos nations sont toutes les trois très développées, et certains services, notamment bancaires ne manquent pas.
C’est pour cela que je propose que les trois pôles principaux ; recherche, conception et expérimentation et chacun de ces pôles sera financé par les entreprises bancaire de chacun des trois pays membres.
Mais je ne saurais comment expliquer de manière claire et précise la manière dont nos entreprises chargées de la production des biens nécessaires au projets « se partageront le gâteaux ».

Je vous remercie de votre écoute et de votre attention et j’invite mes collègues à poursuivre et développé leur idées...

ISAKA a écrit :Le Traité d'ISAKA (Institut Spatial Antérinien-Kartien-Assadien) est un ensemble d'accords qui posent les bases de la société ISAKA. La société ISAKA est une organisation visant à effectuer des recherches et à accomplir des projets dans le domaine spatial (comme la NASA, par exemple).


Les pays signataires de ce Traité s'engagent à respecter tous les articles de ce dernier.


Article 1: Le Traité d'ISAKA compte trois membres permanents, qui sont les suivants:
- Empire de Karty
- Royaume de la Côte d'Assad
- Empire d'Antérinie

Article 2: Les pays membres, qu'ils soient permanents ou non ont exactement les mêmes droits et devoirs, néanmoins, les membres permanents ont le droit de véto, cependant, le véto passe seulement si les trois pays permanents sont en accords.

Article 3: N'importe quel pays a le droit de déposer sa candidature afin de devenir membre de l'organisation, pour que la décision soit prise, un Grand Conseil sera convoqué.

Article 4: Afin de voter les projets, les financements, l'entrée d'un pays ou toute autre chose importante, un Grand Conseil est convoqué.

Article 5: Cet article porte sur le Le Grand Conseil.
Alinéa 1: Le Grand Conseil est une assemblée convoquée par n'importe quel membre ou suite à l'application d'une nation quelconque.
Alinéa 2: Un grand conseil est présidé par le pays qui l'a convoqué ou par un membre permanent, le rôle de "dirigeant du conseil" est donc attribué à un pays uniquement lors d'une assemblée, ce rôle étant retiré à la fin de la conférence.
Alinéa 3: Un dirigeant du conseil est chargé d'annoncer le début d'une assemblée, et de faire commencer le Grand Conseil.
Alinéa 4: Si les décisions prises lors du Grand Conseil ont été décidé d'être publiées publiquement, un membre permanent se chargera de résumer la conférence et de faire communiquer les décisions.

Article 6: Cet article porte sur la construction du siège d'ISAKA et de ses infrastructures.
Alinéa 1: Il existe trois types d'infrastructures au sein de la société ISAKA:
- Les centres de recherches, infrastructure la plus petite. Cette infrastructure sert à effectuer les recherches mineures.
- Les instituts, infrastructure moyenne. Cette infrastructure est un centre de recherche avancée, on y effectue la majeur partie des recherches, la plupart des scientifiques y travaillent. Le lancement de satellites, de fusées ou de tout autre appareils peut s'effectuer ici.
- Les sièges, infrastructure grande. Il y a seulement trois sièges, un dans chaque pays permanent. Les sièges sont les locaux où s'effectuent la plupart des lancements d'appareils, les informations confidentielles sont stockées ici. Les fonds sont gérés dans les sièges.
Alinéa 2: Afin d'assurer les progrès scientifiques et les avancées, chaque pays membre devra disposer au moins d'un institut et de plusieurs centres de recherches.
Alinéa 3: La société ISAKA possède trois sièges, un dans chaque pays permanent. Les Grands conseils se tiennent dans ces sièges.

Article 7: Cet article porte sur le fond commun.
Alinéa 1: Le fond commun est l'ensemble de l'argent de la société ISAKA. Les financements de chaque projet et la construction des infrastructures se font par le fond commun.
Alinéa 2: Chaque pays membre s'engage à financer le fond commun équitablement avec les autres nations afin de financer les projets d'ISAKA.
Alinéa 3: Tous les trois mois, les fonds du fond commun seront attribués. C'est-à-dire que tous les trois mois, un Grand Conseil sera convoqué afin de débattre sur le montant que chaque pays devra donner au fond commun.
Alinéa 4: A chaque fois que le fond commun doit être utilisé, un Grand Conseil est convoqué afin de savoir si l'attribution du fond commun et possible, et dans le cas positif, le montant attribué doit également être débattu.
Alinéa 5: En cas de manque de financements, la société ISAKA peut faire intervenir d'autres investisseurs afin d'augmenter le fond commun.

Article 8: Cet article porte sur la formation des scientifiques qui participeront à ISAKA.
Alinéa 1: L'académie d'ISAKA est l'institution chargée de superviser les écoles liées au projet ISAKA.
Alinéa 2: Chaque nation s'engage à construire ou à attribuer le minimum de trois écoles, qui seront liées à l'académie. Ces écoles serviront à former les scientifiques d'ISAKA.

Article 9: Tous les 10 ans, une élection se tiendra, avec le Grand Conseil, afin de nommer les trois directeurs de recherche. A l'instant, les trois directeurs sont:
- Herwing Darkölr.
- Martin de Saint Just.
- Imad Afrolo-Gicarolirdin.

Article 10: Cet article sert à modifier le traité fondateur, il peut être demandé lors d'un Grand Conseil.


Kaiser: Voici donc le Traité fondateur d'ISAKA, avez vous des modifications à y apporter ?

L'Empire Colonial Antérinien et moi même ratifions ce traité, il sera effectif à partir du 29 janvier 2014:


SIGNATURE

"Lu et approuvé"

Imad Afrolo-Gicarolirdin : Moi, représentant de la Côte d'Assad accepte le traité. Bien sûr, une réponse des autorités assadienne sera faite.


auteur a écrit :Le Traité d'ISAKA (Institut Spatial Antérinien-Kartien-Assadien) est un ensemble d'accords qui posent les bases de la société ISAKA. La société ISAKA est une organisation visant à effectuer des recherches et à accomplir des projets dans le domaine spatial (comme la NASA, par exemple).


Les pays signataires de ce Traité s'engagent à respecter tous les articles de ce dernier.


Article 1: Le Traité d'ISAKA compte trois membres permanents, qui sont les suivants:
- Empire de Karty
- Royaume de la Côte d'Assad
- Empire d'Antérinie

Article 2: Les pays membres, qu'ils soient permanents ou non ont exactement les mêmes droits et devoirs, néanmoins, les membres permanents ont le droit de véto, cependant, le véto passe seulement si les trois pays permanents sont en accords.

Article 3: N'importe quel pays a le droit de déposer sa candidature afin de devenir membre de l'organisation, pour que la décision soit prise, un Grand Conseil sera convoqué.

Article 4: Afin de voter les projets, les financements, l'entrée d'un pays ou toute autre chose importante, un Grand Conseil est convoqué.

Article 5: Cet article porte sur le Le Grand Conseil.
Alinéa 1: Le Grand Conseil est une assemblée convoquée par n'importe quel membre ou suite à l'application d'une nation quelconque.
Alinéa 2: Un grand conseil est présidé par le pays qui l'a convoqué ou par un membre permanent, le rôle de "dirigeant du conseil" est donc attribué à un pays uniquement lors d'une assemblée, ce rôle étant retiré à la fin de la conférence.
Alinéa 3: Un dirigeant du conseil est chargé d'annoncer le début d'une assemblée, et de faire commencer le Grand Conseil.
Alinéa 4: Si les décisions prises lors du Grand Conseil ont été décidé d'être publiées publiquement, un membre permanent se chargera de résumer la conférence et de faire communiquer les décisions.

Article 6: Cet article porte sur la construction du siège d'ISAKA et de ses infrastructures.
Alinéa 1: Il existe trois types d'infrastructures au sein de la société ISAKA:
- Les centres de recherches, infrastructure la plus petite. Cette infrastructure sert à effectuer les recherches mineures.
- Les instituts, infrastructure moyenne. Cette infrastructure est un centre de recherche avancée, on y effectue la majeur partie des recherches, la plupart des scientifiques y travaillent. Le lancement de satellites, de fusées ou de tout autre appareils peut s'effectuer ici.
- Les sièges, infrastructure grande. Il y a seulement trois sièges, un dans chaque pays permanent. Les sièges sont les locaux où s'effectuent la plupart des lancements d'appareils, les informations confidentielles sont stockées ici. Les fonds sont gérés dans les sièges.
Alinéa 2: Afin d'assurer les progrès scientifiques et les avancées, chaque pays membre devra disposer au moins d'un institut et de plusieurs centres de recherches.
Alinéa 3: La société ISAKA possède trois sièges, un dans chaque pays permanent. Les Grands conseils se tiennent dans ces sièges.

Article 7: Cet article porte sur le fond commun.
Alinéa 1: Le fond commun est l'ensemble de l'argent de la société ISAKA. Les financements de chaque projet et la construction des infrastructures se font par le fond commun.
Alinéa 2: Chaque pays membre s'engage à financer le fond commun équitablement avec les autres nations afin de financer les projets d'ISAKA.
Alinéa 3: Tous les trois mois, les fonds du fond commun seront attribués. C'est-à-dire que tous les trois mois, un Grand Conseil sera convoqué afin de débattre sur le montant que chaque pays devra donner au fond commun.
Alinéa 4: A chaque fois que le fond commun doit être utilisé, un Grand Conseil est convoqué afin de savoir si l'attribution du fond commun et possible, et dans le cas positif, le montant attribué doit également être débattu.
Alinéa 5: En cas de manque de financements, la société ISAKA peut faire intervenir d'autres investisseurs afin d'augmenter le fond commun.

Article 8: Cet article porte sur la formation des scientifiques qui participeront à ISAKA.
Alinéa 1: L'académie d'ISAKA est l'institution chargée de superviser les écoles liées au projet ISAKA.
Alinéa 2: Chaque nation s'engage à construire ou à attribuer le minimum de trois écoles, qui seront liées à l'académie. Ces écoles serviront à former les scientifiques d'ISAKA.

Article 9: Tous les 10 ans, une élection se tiendra, avec le Grand Conseil, afin de nommer les trois directeurs de recherche. A l'instant, les trois directeurs sont:
- Herwing Darkölr.
- Martin de Saint Just.
- Imad Afrolo-Gicarolirdin.

Article 10: Cet article sert à modifier le traité fondateur, il peut être demandé lors d'un Grand Conseil.

SIGNATURE

"Lu et approuvé"

ISAKA a écrit :Le Traité d'ISAKA (Institut Spatial Antérinien-Kartien-Assadien) est un ensemble d'accords qui posent les bases de la société ISAKA. La société ISAKA est une organisation visant à effectuer des recherches et à accomplir des projets dans le domaine spatial (comme la NASA, par exemple).


Les pays signataires de ce Traité s'engagent à respecter tous les articles de ce dernier.


Article 1: Le Traité d'ISAKA compte trois membres permanents, qui sont les suivants:
- Empire de Karty
- Royaume de la Côte d'Assad
- Empire d'Antérinie

Article 2: Les pays membres, qu'ils soient permanents ou non ont exactement les mêmes droits et devoirs, néanmoins, les membres permanents ont le droit de véto, cependant, le véto passe seulement si les trois pays permanents sont en accords.

Article 3: N'importe quel pays a le droit de déposer sa candidature afin de devenir membre de l'organisation, pour que la décision soit prise, un Grand Conseil sera convoqué.

Article 4: Afin de voter les projets, les financements, l'entrée d'un pays ou toute autre chose importante, un Grand Conseil est convoqué.

Article 5: Cet article porte sur le Le Grand Conseil.
Alinéa 1: Le Grand Conseil est une assemblée convoquée par n'importe quel membre ou suite à l'application d'une nation quelconque.
Alinéa 2: Un grand conseil est présidé par le pays qui l'a convoqué ou par un membre permanent, le rôle de "dirigeant du conseil" est donc attribué à un pays uniquement lors d'une assemblée, ce rôle étant retiré à la fin de la conférence.
Alinéa 3: Un dirigeant du conseil est chargé d'annoncer le début d'une assemblée, et de faire commencer le Grand Conseil.
Alinéa 4: Si les décisions prises lors du Grand Conseil ont été décidé d'être publiées publiquement, un membre permanent se chargera de résumer la conférence et de faire communiquer les décisions.

Article 6: Cet article porte sur la construction du siège d'ISAKA et de ses infrastructures.
Alinéa 1: Il existe trois types d'infrastructures au sein de la société ISAKA:
- Les centres de recherches, infrastructure la plus petite. Cette infrastructure sert à effectuer les recherches mineures.
- Les instituts, infrastructure moyenne. Cette infrastructure est un centre de recherche avancée, on y effectue la majeur partie des recherches, la plupart des scientifiques y travaillent. Le lancement de satellites, de fusées ou de tout autre appareils peut s'effectuer ici.
- Les sièges, infrastructure grande. Il y a seulement trois sièges, un dans chaque pays permanent. Les sièges sont les locaux où s'effectuent la plupart des lancements d'appareils, les informations confidentielles sont stockées ici. Les fonds sont gérés dans les sièges.
Alinéa 2: Afin d'assurer les progrès scientifiques et les avancées, chaque pays membre devra disposer au moins d'un institut et de plusieurs centres de recherches.
Alinéa 3: La société ISAKA possède trois sièges, un dans chaque pays permanent. Les Grands conseils se tiennent dans ces sièges.

Article 7: Cet article porte sur le fond commun.
Alinéa 1: Le fond commun est l'ensemble de l'argent de la société ISAKA. Les financements de chaque projet et la construction des infrastructures se font par le fond commun.
Alinéa 2: Chaque pays membre s'engage à financer le fond commun équitablement avec les autres nations afin de financer les projets d'ISAKA.
Alinéa 3: Tous les trois mois, les fonds du fond commun seront attribués. C'est-à-dire que tous les trois mois, un Grand Conseil sera convoqué afin de débattre sur le montant que chaque pays devra donner au fond commun.
Alinéa 4: A chaque fois que le fond commun doit être utilisé, un Grand Conseil est convoqué afin de savoir si l'attribution du fond commun et possible, et dans le cas positif, le montant attribué doit également être débattu.
Alinéa 5: En cas de manque de financements, la société ISAKA peut faire intervenir d'autres investisseurs afin d'augmenter le fond commun.

Article 8: Cet article porte sur la formation des scientifiques qui participeront à ISAKA.
Alinéa 1: L'académie d'ISAKA est l'institution chargée de superviser les écoles liées au projet ISAKA.
Alinéa 2: Chaque nation s'engage à construire ou à attribuer le minimum de trois écoles, qui seront liées à l'académie. Ces écoles serviront à former les scientifiques d'ISAKA.

Article 9: Tous les 10 ans, une élection se tiendra, avec le Grand Conseil, afin de nommer les trois directeurs de recherche. A l'instant, les trois directeurs sont:
- Herwing Darkölr.
- Martin de Saint Just.
- Imad Afrolo-Gicarolirdin.

Article 10: Cet article sert à modifier le traité fondateur, il peut être demandé lors d'un Grand Conseil.



[signature du Kaiser]
lu et approuvé