11/05/2017
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CRSK - RASKEN : L'apocalypse en approche...

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Ça y est. Après une première rencontre concluante, Rasken et Kölisburg allait de nouveau se rencontrer pour discuter de sujets cette fois bien plus sanglants et violents. Cependant, il y avait des sujets plus doux à aborder avec Rasken comme l'UEE et notamment la lettre ouverte du représentant kolisien à l'UEE. Cette rencontre promettait d'être historique puisqu'elle avait plusieurs points à éclaircir sur l'avenir entre Rasken et Kölisburg. De plus, Kölisburg commence à sérieusement s'armer et d'un autre côté, Rasken est menacé en Kersetchnie. Bref, entre la première rencontre et celle-ci, beaucoup de choses se sont passées et il fallait justement éclaircir tous ses points. Aussi, il faut comprendre que cette rencontre réunit les deux acteurs principaux de l'Union Économique Eurysienne et, ces deniers jours, dû à la lettre ouverte du représentant kolisien à l'UEE, des rumeurs courent que la Confédération toute entière envisage de quitter l'Union. Bien que récemment le Kölisburg est ré-affirmé son attachement aux principes de démocratie et de stabilité, rien n'indique que la Confédération veut continuer à construire ces principes avec l'Union Économique Eurysienne. C'est un jeu brûlant qui s'engage dans cette rencontre et les enjeux sont énormes pour l'avenir. Enfin, économiquement, les entreprises pétrolières et de gaz de Kölisburg continuent de fournir des offres à des pays qui sont en nécessité et concluent même jusqu'à récemment des accords commerciaux. Est-ce donc le prolongement d'une amitié forte ou le commencement d'un chaos sans nom pouvant mener à l'apocalypse dans le monde? Si cette rencontre ne donne pas de réponses, qui ou qu'est-ce qui le fera?

Pour l'instant, tout ce qui importe est que cette rencontre est la dernière en son genre. En effet, c'est la dernière fois que Kölisburg remet entre les mains d'Adam Heidenborg la diplomatie confédérale. Dû à la réforme Wilhem III-1, ce sont désormais les gouverneurs des états de Kölisburg qui rencontreront leurs homologues étrangers bien qu'Heidenborg sera toujours présent pour assurer les intérêts confédéraux. Alors, pour cette dernière rencontre, le représentant de Rasken a été invité au Cabinet de la Diplomatie à Galgarde juste histoire de marquer le coup.

À LA GARDE...GARDE À VOUS!

PRÉSENTEZ...ARMES!


Adam Heidenborg : Monsieur Ordnoff, ça me fait plaisir de vous revoir. J'espère que vous avez fait bon voyage et que vous avez pu éviter les bombardements en Velsna et même ceux au Valkoïnenland d'ailleurs. Dîtes-moi, comment va Rasken?
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Axel Ordnoff – Tout s'est bien passé, ne vous inquiétez pas. En ce qui concerne le Valkoïnenland... il va vraiment falloir qu’on en parle, je crois. Quant à Rasken, le pays se porte très bien, les gens sont heureux, la croissance économique est importante, juste quelques petits problèmes avec la Mährenie, mais sinon tout va bien. Et vous ? Comment se porte la Confédération ?
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Adam Heidenborg : Très bien, très bien. Nous venons de faire passer une réforme qui fait que cette rencontre est la dernière de son genre mais cela donnera plus d'indépendance aux états-membres et renforce nos institutions. Alors, niveau politique, je dois dire que la Confédération se porte vraiment très bien. Économiquement, là encore, nous ne cessons de croître et pour tout le reste, notamment militairement grâce à vous, nous allons plus que bien. Si tout va bien pour nos deux pays, que demander de plus?

Il marqua un temps d'arrêt avant de reprendre

En fait si, il y a de quoi demander de plus. C'est justement l'objet de cette rencontre. Vous savez, nous avons tous les deux rejoint l'Union Économique Eurysienne mais nous n'avons jamais pensé à des accords bilatéraux. Imaginons qu'un jour, Raksen ou Kölisburg s'en aille. Que ferions-nous? Je ne dis pas que vous allez partir, au contraire. Cependant, je pense que nous devrions prévoir l'avenir.

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Vous l'aurez comprit, nous estimons Rasken. Nous pensons sincèrement que voir Rasken s'en aller et prendre le risque de vous perdre serait une erreur pour nous. Bien-sûr, nous prévoyons des accords bilatéraux avec d'autres nations membres de l'Union Économique Eurysienne alors ne vous sentez pas toucher. Mais, face à la fragilité des pays qui la compose, il faut prévoir le pire. Ainsi, voici dans un premier temps ce que je pourrai vous proposer : Des accords militaires et économiques. Qu'en pensez-vous?
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Axel Ordnoff – Rassurez-vous, Rasken ne compte pas quitter l’UEE. Même si ses membres ne sont pas parfaits (loin de là), nous préférons de loin rester dans cette alliance et essayer de la tirer vers le haut plutôt que de la quitter et la laisser couler. Cependant, vous avez raison, si mon pays ou le vôtre venait à quitter l’UEE, il est vrai que l’absence d’accords bilatéraux serait grandement regrettable pour vous comme pour Rasken. Avez-vous une idée précise en tête de ce que pourrait être cet accord ?
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Adam Heidenborg : Il est évident que dans un premier temps je pense à des accords économiques similaires à ceux de l'Union Économique Eurysienne mais aussi un accord militaire d'assistance, d'entraide voir même de défense si vous le souhaitez. Entre Rasken et Kölisburg, il y a beaucoup de choses à développer d'ailleurs notamment sur le volet économique puisque nous avons tous les deux des choses à apporter à l'un et l'autre.
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Axel Ordnoff – Je suis tout à fait d’accord avec vous, la signature des accords que vous proposez serait bénéfique pour nos deux pays. En ce qui concerne les accords économiques, avez-vous des idées spécifiques ? Par exemple, des besoins que Kölisburg aurait et que Rasken pourrait satisfaire.
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Adam Heidenborg : Je pensais à des accords économiques sur les douanes par exemple et le transport de ressources en général. Il est clair que Kölisburg a des taxes qui sont parfois très élevées en fonction des états. Pour un allié, je pense que ces taxes pourrait être adoucies et inversement. Il n'est aussi pas improbable de lever totalement les taxes de mouillages de nos navires. Il est clair que faire escale en Kölisburg tient plus du luxe que de la nécessité vu les taxes que certains états imposent. Prenez l'exemple de Littarg et, rien qu'en en parlant, vous découvrirez un trou dans votre portefeuille. Concernant le transport, je ne sais pas si vous le savez mais nous avons instaurés des "autoroutes maritimes" entre les différents états. Actuellement, ces lignes de navigations sont protégées par l'armée et les états mais elles sont autant militaires que commerciales. Je suppose que vous pourriez vous aussi en bénéficier si vous le souhaitiez.

Il tendit une carte à son homologue

Je me suis permis de vous faire une carte pour que vous ayez en visuel ces fameuses autoroutes.

https://zupimages.net/up/23/51/njsl.png

Sur cette carte, vous ne voyez que les grands tronçons mais si vous le désirez, je peux aussi demander à ce que vous ayez les petits tronçons. Nous prévoyons de toute façon de créer d'autres grands tronçons afin de faciliter d'autant plus le commerce. Si le projet vous intéresse, nous pourrions ouvrir ces tronçons à Rasken.
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Axel Ordnoff – Je vois, tout cela est très intéressant. L’instauration d’une autoroute maritime entre nos deux nations serait assurément bénéfique pour les deux parties. Cela pourrait même s’intégrer parfaitement dans le projet Elysium que nous essayons de mettre en place avec l’UEE. Une réduction des taxes serait également bénéfique. Je pense que cela entraînerait, à coup sûr, une augmentation des échanges, ce qui pourrait avoir une répercussion positive sur nos économies respectives.
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Adam Heidenborg : Bien. Maintenant concernant les autres accords notamment celui d'assistance militaire, comment voulez-vous procéder? Est-ce que je nous sors un traité pré-rédigé sur lequel nous pouvons ajouter les clauses que nous souhaitons ou bien vous avez déjà des idées dont vous vouliez discuter et des exigences?
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Axel Ordnoff – Je vous laisse sortir le traité que vous mentionnez.
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