Activités intérieures en Tcharnovie
Posté le : 27 juin 2024 à 23:32:59
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Posté le : 13 sep. 2024 à 20:31:50
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Rose-Clair : Partenaires privilégiés de la Tcharnovie
Rouge : Pays avec un partenariat maritime
Nuances d'oranges : territoires Raskenois
Soldats : Présences de troupes Tcharnoves ( par bases militaires ou forces d'occupation )
Dans les tréfonds de l'administration Tcharnove, les rêves et les ambitions se croisent et se percutent, donnant nombre de personnalités et d'idées. C'est de celle-ci qu'un grand projet s'est lentement mis en place. Un objectif même, qui verrait, s'il se concrétisait, la Tcharnovie devenir maitresse incontestée des tumultueuses nations des Belkariem. Cette idée n'est autre que "Gloria Tcharnovia", de son nom employée couramment entre grands politiques du gouvernement Tcharnove.
Proposé et idéalisé par le Président Constantin Périclède, ce but serait long à réaliser, mais pourrait totalement transformer les rapports de force et permettre à la Tcharnovie de passer l'époque des guerres civiles pour s'asseoir à la même table que le Grand-Kah et d'autres puissances Eurysiennes. Voici les différents points qui devraient être réalisé selon le plan "Gloria Tcharnovia" afin de propulser le pays à l'international :
Posté le : 18 sep. 2024 à 23:10:06
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Prologue : Des plans, une guerre...
La nouvelle résonnait dans tout le pays. Un Grand Conseiller avait été élu par le président. Un évènement que beaucoup considérait comme l'avènement de la démocratie véritable, mais qui pourtant pour d'autres signifiait tout autre...
??? 1 - "Ce foutu président se met donc à l'autoritarisme en mettant un de ses pantins ?! C'est honteux !"
??? 2 - "Je suis bien d'accord, si nous continuons dans cette route, c'est vers le fascisme, logiquement, que nous nous tournons !"
Ces deux hommes qui se parlent sont Ardeleï et Vladimir. Ils sont, depuis le temps où leurs esprits se prêtaient à réfléchir politique, contre les ambitions despotiques des dictateurs Tchéres et Tcharnoves, présent en vérité, selon eux, depuis la république en Tcharnovie. C'est ce qui les avaient forcé à rejoindre un ensemble de groupes très réputé dans les Belkariem, défendant selon les légendes urbaines la liberté des peuples. Ce groupe, reconnu comme terroriste, s'appel la Rache. Si Ardeleï était un être réfléchi, qui avait rejoint la Rache pour s'assurer de changer le régime décadent et non adapté de l'Union Confédérale, ce n'était pas le cas pour Vladimir qui était très émotif et ne cachait point ses ambitions bellicistes. Ainsi, ce dernier dit à son compagnon avec colère :
Vladimir - "Je tuerais cette merde de président, et je rétablirais la liberté des peuples, comme je l'ai promis, comme nous l'avons tous promis !
Ardeleï lui répondit cependant d'une voix calme et apaisé :
Ardeleï - "Vladimir, tu oublies et avance tes idées trop rapidement. Depuis l'assaut en Kresetchnie, les Raches, ne s'écoutent plus. Et les branches Tcharnoves ne peuvent faire un assaut généralisé dans tout le pays, ne serait ce par risques. Nous ne devons pas plonger le pays dans une énième guerre civile, ça ne serait être à notre avantage. Pour le moment, nous devons procéder avec méthodologie et patience...
D'ici peu, avec de la chance, mes messages que j'ai envoyé à des chefs de branches de la Rache Tcharnove devrait arriver, et avec de l'espoir notre projet, bien que soutenu par la Rache de manière générale, pourra réellement se concrétiser. Car tu sais pertinemment que seuls, nous ne pourrons rien faire."
Vladimir, renfrogné, ne sut quoi répondre face à cette explication assez... réaliste.
Ardeleï - "Cependant, n'ai crainte camarade, nous avons beau faire partie d'un groupe dit "terroriste", nous agissons pour le peuple, alors nous réussirons !
La tête de Constantin Périclède tombera, comme celle de la dictature des Tchéres...
La nouvelle résonnait dans tout le pays. Un Grand Conseiller avait été élu par le président. Un évènement que beaucoup considérait comme l'avènement de la démocratie véritable, mais qui pourtant pour d'autres signifiait tout autre...
??? 1 - "Ce foutu président se met donc à l'autoritarisme en mettant un de ses pantins ?! C'est honteux !"
??? 2 - "Je suis bien d'accord, si nous continuons dans cette route, c'est vers le fascisme, logiquement, que nous nous tournons !"
Ces deux hommes qui se parlent sont Ardeleï et Vladimir. Ils sont, depuis le temps où leurs esprits se prêtaient à réfléchir politique, contre les ambitions despotiques des dictateurs Tchéres et Tcharnoves, présent en vérité, selon eux, depuis la république en Tcharnovie. C'est ce qui les avaient forcé à rejoindre un ensemble de groupes très réputé dans les Belkariem, défendant selon les légendes urbaines la liberté des peuples. Ce groupe, reconnu comme terroriste, s'appel la Rache. Si Ardeleï était un être réfléchi, qui avait rejoint la Rache pour s'assurer de changer le régime décadent et non adapté de l'Union Confédérale, ce n'était pas le cas pour Vladimir qui était très émotif et ne cachait point ses ambitions bellicistes. Ainsi, ce dernier dit à son compagnon avec colère :
Vladimir - "Je tuerais cette merde de président, et je rétablirais la liberté des peuples, comme je l'ai promis, comme nous l'avons tous promis !
Ardeleï lui répondit cependant d'une voix calme et apaisé :
Ardeleï - "Vladimir, tu oublies et avance tes idées trop rapidement. Depuis l'assaut en Kresetchnie, les Raches, ne s'écoutent plus. Et les branches Tcharnoves ne peuvent faire un assaut généralisé dans tout le pays, ne serait ce par risques. Nous ne devons pas plonger le pays dans une énième guerre civile, ça ne serait être à notre avantage. Pour le moment, nous devons procéder avec méthodologie et patience...
D'ici peu, avec de la chance, mes messages que j'ai envoyé à des chefs de branches de la Rache Tcharnove devrait arriver, et avec de l'espoir notre projet, bien que soutenu par la Rache de manière générale, pourra réellement se concrétiser. Car tu sais pertinemment que seuls, nous ne pourrons rien faire."
Vladimir, renfrogné, ne sut quoi répondre face à cette explication assez... réaliste.
Ardeleï - "Cependant, n'ai crainte camarade, nous avons beau faire partie d'un groupe dit "terroriste", nous agissons pour le peuple, alors nous réussirons !
Posté le : 19 sep. 2024 à 21:02:32
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Frédéric Vastov, Sabres de Vastov - "Mes chers camarades et frères d'armes, il y a peu j'ai reçu une demande de la part de deux de mes hommes, des certains Ardeleï et Vladimir. Ceux-ci nous demande de réfléchir sur une façon de... tuer le président ?"
il s'esclaffa de rire.
Frédéric Vastov, Sabres de Vastov - "J'ignore quels sont vos avis sur le sujet, mais mine de rien ces gamins ont du culot, j'aime ça...
A côté de Frédéric Vastov, un homme se leva :
Wilhem II, ordo Edérokontiens : - "Voilà donc encore quelque abrutis qui s'imaginent que nous pouvons faire ce que nous souhaitons ? Pathétique... J'attendais mieux de vos hommes sieur Vastov...
Cependant pour répondre à votre interrogation, je pense qu'il est pertinent de se rappeler que nous avons déjà l'opération en Kenintie, afin de rapatrier nos fiers frères de Kresetchnie, et l'opération Bas-Littanor, afin de prendre le contrôle de la région et établir notre base arrière. Rajouter encore une autre opération amènerait à la division de nos forces, et, plus grave encore, à peut être notre destruction totale dans la Tcharnovie. N'oubliez pas que Constantin Périclède a fait beaucoup pour nous, en renforçant un statuquo permettant notre mainmise au Bas-Littanor. Le perdre pourrait plus nous provoquer des soucis, surtout avec son successeur potentiel en cas de décès prématuré, Monsieur le Grand Conseiller Polçedin Dravulka.
Cependant, il est vrai qu'une tentative d'assassinat pourrait plonger la Tcharnovie dans la guerre civile, ce qui permettrait d'enfin réaliser notre rêve de création de nations pour tous les peuples afin de les rendre libres !"
Frédéric Vastov, Sabres de Vastov - "Voyez donc, camarade, que mes hommes ne sont pas idiots. Vous ne cachez même point votre optimisme quant à ce projet. Certes il faudrait procéder rapidement et de manière subtile à cet assassinat, car nous n'avons pas totalement les moyens de faire de grands attentats, cependant je pense que cette opération pourrait réellement provoquer des bouleversements dans le pays et peut être la permettre de détruire les soutiens du gouvernement pour enfin faire naitre le chaos que nous revendiquons !
David IV, Ordo Saint-Sylvains - "Sous tout le respect que j'ai pour vous tous, sachez à l'avance que mes hommes ne vous soutiendrons pas. Nous avons déjà fort à faire au Bas-Littanor, et je ne veux en aucun cas perdre le peu de force que j'ai à ma disposition. Cependant, en cas de votre victoire, bien évidemment que mes forces tenteront de s'étendre en dehors de la bande afin de pouvoir permettre l'extension du Chaos Universel plus rapidement"
??? - "Mes chers compatriotes, je ne peux qu'affirmer mon soutiens à votre proposition, enfin, à la proposition de certains membres des tiens Frédéric Vastov. Cependant, garder bien à l'esprit que nous devrons nous affirmer en cas de guerre civile, et ne pas devenir passif comme nous l'avons fait en 1961...
Nous réussirons à bannir le despotisme et nous incarnerons à jamais la liberté de tous les peuples !"
Posté le : 29 sep. 2024 à 11:33:36
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Pour les grands hommes les grands explosifs...
Cela faisait plusieurs semaines que tout se préparait minutieusement. Depuis la proposition d'Ardeleï et de Vladimir, les Raches leurs avaient fourni les informations nécessaires et le matériel pour enfin parvenir à leurs fins. Ces quelques jours avaient été rythmé par les recherches sur l'emplacement précis du président, par la corruption de certains députés scrupuleux ( principalement des membres du Parti Netzuist ), et par les quelques missions de reconnaissances aux abords du palais Présidentiel.
Les recherches en sont arrivées à connaitre le quartier résidentiel du palais. C'était donc cette partie qu'il faudrait détruire par les bombes. Vladimir avait bien du mal à cacher son excitation à leur heure de gloire à venir. La fin de Périclède pourrait changer beaucoup de chose. A commencer par la fin de l'autoritarisme Tchére, le président étant considéré comme un traitre des peuples, car s'étant allié aux anciennes hiérarchies Tchéres ( toujours du point de vue de la Rache ). C'est pour cela que la Rache haïssait profondément le gouvernement actuel. Certes, la liberté des peuples avaient plus ou moins été mis en place sous Kulbrath, cependant Périclède avait tout détruit, souhaitant unifier les ethnies, et empêcher l'indépendance de celles-ci. Ainsi, il fallait défaire le président, pour enfin permettre l'avènement d'un nouveau jour. Et pour le faire quitter le pouvoir, il n'y avait pas le choix ; il fallait le tuer.
Evidemment, la Rache en elle-même ne souhaitait pas être liée à cela. Ainsi, laisser deux membres inconnus de tous faire le sale bouleau était une aubaine. Ces deux personnes, n'ayant jamais eu de missions importantes sur les bras, allaient être les lances d'une nouvelle propagande appelant à la destruction d'un prétendu pays de "Tcharnovie" qui cachait depuis trop longtemps l'existence des ethnies.
La bombe fournit par la Rache était, au contraire de ce que pensait les deux protagonistes, très artisanale. Ce n'est qu'un simple tuyau, dans lequel on y a placé un explosif suffisamment puissant pour qu'il puisse abattre une personne. Le détonateur était mis juste à côté, étant lui-même relié à la batterie permettant de mettre en place la minuterie pour qu'ensuite la bombe explose au temps indiqué. Tout un système certes ingénieux mais qui devait être posé à un lieu bien précis s'ils voulaient que l'impact soit assez fort envers la victime et pour que l'opération réussisse. Lorsque Vladimir découvrit ce pauvre explosif, il tenta désespérément de cacher sa rage, lui qui voulait tant détruire l'aile entière du palais présidentiel. Ardeleï le rassura en prétendant que l'explosion pourrait surement souffler une partie de l'étage où il serait posé.
C'est alors que dans la nuit du 30 Aout 2014, les deux hommes s'infiltrèrent dans le bâtiment, grâce aux députés corrompus qui siégeaient dans une autre aile du palais. Ces derniers avaient réussi l'exploit d'éloigner la garde présidentielle, en soulignant le fait que le président l'avait demandé, bien qu'en réalité tout était faux. C'est dans la salle à manger que la bombe fut placée. La minuterie devait faire exploser celle-ci au moment où le président se lèverait, c'est à dire 7 : 00 ( ces informations avaient été reçu grâce aux missions de corruptions de certains membres du gouvernement. Après avoir fait toutes les préparations, on entendit cependant du bruit, en provenance des quartiers du président. "Bordel il s'est réveillé ?!!" pensait Ardeleï. Foutu pour foutu, Vladimir décida, sans l'accord de personne, de monter pour tuer de ses mains ce président tyrannique. Son compagnon le poursuivit, voulant à tout prix éviter plus de problèmes. Alors qu'ils marchèrent, vers 2 : 00, dans les marches d'escaliers qui menaient à la zone résidentielle, ils tombèrent, nez à nez, au président, en tenue, descendant après avoir entendu des bruits.
Lorsque les yeux des trois personnages se croisèrent, il y eu un silence qui sembla éternel. Personne ne peut estimer savoir ce que les trois personnages pensaient au moment même de leurs croisements. Finalement, le vide auditif fut brisé par Vladimir, devant Ardeleï, qui tira avec son pistolet personnel ( pour rappel, les armes sont autorisées en Tcharnovie ) et toucha la poitrine du président. Celui-ci tira en retour sur le camarade de Vladimir, qui s'effondra rapidement. Mais finalement, alors que Constantin Périclède tentait de rejoindre sa chambre, Vladimir tira trois balles dans le dos du président. Ce dernier s'effondra finalement, dans une mare de sang.
Malheureusement pour l'assassin de Périclède, il fut pris à l'arrière par la garde présidentielle, qui, alertée par les bruits, passèrent les lignes des députés voulant les empêcher de passer. Parmi eux, le Premier Conseiller, Polçedin Dravulka, en montant les marches, découvrit le corps des deux assaillants, l'un abattu par le président, l'autre étant mort par un garde. Puis, à côté, il vit la pire horreur qu'il a pu observer de son existence : le corps du président au sol, sans vie. Aussitôt, il ordonna aux gardes d'un voix forte et imposante, mais cachant son horreur et sa peur :
Polçedin Dravulka - "Soldats, capturez les députés encore présents dans le bâtiment et capturez quiconque sort ou approche trop du palais présidentiel !"
La Tcharnovie, en l'espace d'une nuit, avait perdu son héro, et étrangement, le cycle des assassinats, autrefois débuté durant la Konfraternité, semblait se relancer...
Dans le côté des Raches, bien qu'on ne savait si l'attentat avait marché, on pensait haut et fort...
"Douce Tcharnovie, meurt dans les guerres et le sang..."
Cela faisait plusieurs semaines que tout se préparait minutieusement. Depuis la proposition d'Ardeleï et de Vladimir, les Raches leurs avaient fourni les informations nécessaires et le matériel pour enfin parvenir à leurs fins. Ces quelques jours avaient été rythmé par les recherches sur l'emplacement précis du président, par la corruption de certains députés scrupuleux ( principalement des membres du Parti Netzuist ), et par les quelques missions de reconnaissances aux abords du palais Présidentiel.
Les recherches en sont arrivées à connaitre le quartier résidentiel du palais. C'était donc cette partie qu'il faudrait détruire par les bombes. Vladimir avait bien du mal à cacher son excitation à leur heure de gloire à venir. La fin de Périclède pourrait changer beaucoup de chose. A commencer par la fin de l'autoritarisme Tchére, le président étant considéré comme un traitre des peuples, car s'étant allié aux anciennes hiérarchies Tchéres ( toujours du point de vue de la Rache ). C'est pour cela que la Rache haïssait profondément le gouvernement actuel. Certes, la liberté des peuples avaient plus ou moins été mis en place sous Kulbrath, cependant Périclède avait tout détruit, souhaitant unifier les ethnies, et empêcher l'indépendance de celles-ci. Ainsi, il fallait défaire le président, pour enfin permettre l'avènement d'un nouveau jour. Et pour le faire quitter le pouvoir, il n'y avait pas le choix ; il fallait le tuer.
Evidemment, la Rache en elle-même ne souhaitait pas être liée à cela. Ainsi, laisser deux membres inconnus de tous faire le sale bouleau était une aubaine. Ces deux personnes, n'ayant jamais eu de missions importantes sur les bras, allaient être les lances d'une nouvelle propagande appelant à la destruction d'un prétendu pays de "Tcharnovie" qui cachait depuis trop longtemps l'existence des ethnies.
La bombe fournit par la Rache était, au contraire de ce que pensait les deux protagonistes, très artisanale. Ce n'est qu'un simple tuyau, dans lequel on y a placé un explosif suffisamment puissant pour qu'il puisse abattre une personne. Le détonateur était mis juste à côté, étant lui-même relié à la batterie permettant de mettre en place la minuterie pour qu'ensuite la bombe explose au temps indiqué. Tout un système certes ingénieux mais qui devait être posé à un lieu bien précis s'ils voulaient que l'impact soit assez fort envers la victime et pour que l'opération réussisse. Lorsque Vladimir découvrit ce pauvre explosif, il tenta désespérément de cacher sa rage, lui qui voulait tant détruire l'aile entière du palais présidentiel. Ardeleï le rassura en prétendant que l'explosion pourrait surement souffler une partie de l'étage où il serait posé.
C'est alors que dans la nuit du 30 Aout 2014, les deux hommes s'infiltrèrent dans le bâtiment, grâce aux députés corrompus qui siégeaient dans une autre aile du palais. Ces derniers avaient réussi l'exploit d'éloigner la garde présidentielle, en soulignant le fait que le président l'avait demandé, bien qu'en réalité tout était faux. C'est dans la salle à manger que la bombe fut placée. La minuterie devait faire exploser celle-ci au moment où le président se lèverait, c'est à dire 7 : 00 ( ces informations avaient été reçu grâce aux missions de corruptions de certains membres du gouvernement. Après avoir fait toutes les préparations, on entendit cependant du bruit, en provenance des quartiers du président. "Bordel il s'est réveillé ?!!" pensait Ardeleï. Foutu pour foutu, Vladimir décida, sans l'accord de personne, de monter pour tuer de ses mains ce président tyrannique. Son compagnon le poursuivit, voulant à tout prix éviter plus de problèmes. Alors qu'ils marchèrent, vers 2 : 00, dans les marches d'escaliers qui menaient à la zone résidentielle, ils tombèrent, nez à nez, au président, en tenue, descendant après avoir entendu des bruits.
Lorsque les yeux des trois personnages se croisèrent, il y eu un silence qui sembla éternel. Personne ne peut estimer savoir ce que les trois personnages pensaient au moment même de leurs croisements. Finalement, le vide auditif fut brisé par Vladimir, devant Ardeleï, qui tira avec son pistolet personnel ( pour rappel, les armes sont autorisées en Tcharnovie ) et toucha la poitrine du président. Celui-ci tira en retour sur le camarade de Vladimir, qui s'effondra rapidement. Mais finalement, alors que Constantin Périclède tentait de rejoindre sa chambre, Vladimir tira trois balles dans le dos du président. Ce dernier s'effondra finalement, dans une mare de sang.
Malheureusement pour l'assassin de Périclède, il fut pris à l'arrière par la garde présidentielle, qui, alertée par les bruits, passèrent les lignes des députés voulant les empêcher de passer. Parmi eux, le Premier Conseiller, Polçedin Dravulka, en montant les marches, découvrit le corps des deux assaillants, l'un abattu par le président, l'autre étant mort par un garde. Puis, à côté, il vit la pire horreur qu'il a pu observer de son existence : le corps du président au sol, sans vie. Aussitôt, il ordonna aux gardes d'un voix forte et imposante, mais cachant son horreur et sa peur :
Polçedin Dravulka - "Soldats, capturez les députés encore présents dans le bâtiment et capturez quiconque sort ou approche trop du palais présidentiel !"
La Tcharnovie, en l'espace d'une nuit, avait perdu son héro, et étrangement, le cycle des assassinats, autrefois débuté durant la Konfraternité, semblait se relancer...
Dans le côté des Raches, bien qu'on ne savait si l'attentat avait marché, on pensait haut et fort...